Uploaded by 于清如

讲稿

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Avant de commencer notre présentation, je vais d’abord vous montrer deux photos
ils sont tous les personnes en costume traditionnel d’un certain peuple
Evidemment, l’un de ces peuple est certainement breton
mais est-ce que vous connaissez laquelle correspond aux bretons et quel est l’autre peuple
La photo à gauche, c’est les jeunes bretons en costume traditionnel breton dans une fête
religieuse
et la photo à droite, la femme est en costume traditionnel irlandais, pendant la Fête de SaintPatrick
Et de plus, est-ce que vous avez remarqué que ces deux genres de costume sont un peu
similaire?
On vas répondre à cette question dans la présentation suivante.
Voici le sommaire divisé en trois parties
On revient au sujet de costume
Quand on parle du costume breton, on pense tout de suite à la coiffe bigoudène.
la coiffe tout blanche, avec les dentelles et assez haut, une hauteur d’une trentaine
centimètres
Mais en fait, il y a une grande diversité dans le costume breton. La coiffe seule, il s’agit de
nombreux genres : avec dentelle ou sans dentelle, de différentes formes, et parfois avec le
motif de pois.
Et on dit il y a 1001 manières de s’habiller en Bretagne.
On peut reconnaître l’origine d’une personnes à travers son costume. Les couleurs, les
broderies nous permettent de savoir qu’il ou elle est venu de quel quartier ou quel
village.C’est égal avec l’âge, statut social et profession d’un breton.
Depuis la naissance du costume breton, il existe deux genre : costume au quotidien et
costume réservé aux grands événements comme le mariage le pardon ou les fêtes
les costumes que l’on voit souvent dans les manifestation culturelles sont plutôt les
costumes spectaculaires, destinés aux grands événements.
Encore, pour répondre à la question au début, pourquoi les vêtement des bretons
s’apparentent à ceux d’Irlandais, on va voir l’origine ethnique et l’immigration des bretons.
Un contexte : il y a toujours les liens commerciaux entre l’Ile de Bretagne et le continent
la première migration est plutôt militaire
sou la règne de l’Empire romain, appellent les bretons à la défense côtière et pour lutter
contre les pirates
Dans la deuxième vague migratoire, en 442, les bretons sont poussés par xxx
qui ont abordé sur l’Ile de Bretagne
Anne de Bretagne, fille de François II
garder une indépendance totale vis à vis de la France et de l’Angleterre
A partir de 13 ans, Anne a vécu plusieurs fiançailles et trois mariages : avec roi
d’Angleterre, roi de France, Louis 12.
Ça sera assez long si on parle de détails
Mais pendant toute sa vie politique, il cherche à garder l’indépendance d total de la duché
de Bretagne.
Les crêpes, c’est peut-être l’un des gastronomies françaises les plus connues
La crêpe est à l’origine de Bretagne, mais maintenant c’est partout en France, qui peut être
un plat, un dessert ou un snack.
Les crêpes bretonnes sont une spécialité culinaire bretonne très renommée, et
la Bretagne compte de nombreuses crêperies.
Il existe deux sortes de crêpes :
à la farine de froment(⼩麦粉), mangé sous la forme sucrée
--à la farine de blé noir, pour une consommation salée
La recette de crêpe est assez simplement, surtout par rapport au chocolat coulant.
La crêpe suzette est une crêpe avec la sauce à base de sucre caramélisé et de beurre, de jus
de mandarine ou d'orange, de zeste et de liqueur
Elle est souvent servie flambée
les crêpes de blé noir sont parfois improprement appelées galettes.
la galette et la crêpe ne désignent pas les mêmes produits11 et sont faites avec des
ingrédients différents
Haute-Bretagne, la « galette de blé noir » ou « galette de sarrasin » est exclusivement salée.
Préparée à base d'eau de farine de sarrasin et de sel, elle est épaisse, molle
Basse-Bretagne, la crêpe de sarrasin est salée ; sa version sucrée est la crêpe bretonne de
froment.
La galette bretonne est un biscuit sablé au beurre fabriqué en Bretagne.
Au XIVe siècle, le roi Philippe VI de Valois impose à tout le royaume une taxe sur le sel, qui
allait perdurer plus de 400 ans, que l’on appelle la gabelle. Le sel devient une denrée de luxe
très chère et la population abandonne le beurre salé pour le beurre doux.
a Bretagne, grande région productrice de lait et autrefois exemptée de taxe sur le sel a su
associer ces deux ingrédients pour assurer au beurre une plus longue conservation. C’est
aussi comme cela qu’il dévoile toutes les saveurs du lait avec lequel il est fabriqué.
Far en latin signifie « froment, blé, gruau ». À l'origine, c'était une bouillie de blé dans
laquelle on ajouta, plus tard, des fruits secs tels que le pruneau ou le raisin. C'était donc un
dessert peu coûteux, qui est devenu aujourd'hui un plat traditionnel de la Bretagne.
La recette est très simple : œufs, sucre, farine et lait. Il est possible d'ajouter du rhum brun
ou des fruits.
un rapport rédigé par Henri Grégoire (surnommé l'abbé Grégoire) et présenté
à la Convention nationale le 4 juin 1794 (16 prairial an II) sur l'état de
la langue française en France.
« On peut uniformer le langage d’une grande nation… Cette entreprise qui ne
fut pleinement exécutée chez aucun peuple, est digne du peuple français, qui
centralise toutes les branches de l’organisation sociale et qui doit être jaloux
de consacrer au plus tôt, dans une République une et indivisible, l’usage
unique et invariable de la langue de la liberté. »
La Vergonha est un processus « consistant à rejeter et à avoir honte de
sa langue maternelle (ou de celle de ses parents) par la faute d'exclusions et
d'humiliations à l'école », organisé et sanctionné par les dirigeants politiques
français 2,3,4 à partir d'Henri Grégoire. La Vergonha est toujours un sujet
controversé dans le discours public français 5 où certains nient l'existence
d'une telle politique.
Dans les années 1880, Jules Ferry a mis en œuvre une série de mesures
strictes visant à affaiblir davantage les langues régionales en France, comme
le montre le rapport de Bernard Poignant à Lionel Jospin en 199813. Il
s'agissait notamment de sanctions infligées aux enfants par leurs professeurs
pour avoir parlé breton en Bretagne
la Loi d'éducation française (Loi sur l'enseignement en français, 1851)
mentionne : « Il est strictement interdit de parler patois pendant les cours ou
les pauses. »
exemples d'humiliation ou de châtiments corporels
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