1 Travaux pratiques de l'échelle SIG la direction Touati Wahiba l'étudiant abd el Hakim Zereg Plan de travail chapitre 1 : Informations sur le système d'information géographique ❖ Définition ❖ système de projection ❖ les types de systèmes de projection ❖ les systèmes de projections adopté en Algérie chapitre 1: travaux pratiques ❖ TP1 : calage et affichage d'un carte topographique. ❖ TP2 : calage d'un carte qui ne de pas de données géographique. ❖ TP3 : Dessiner et créer une base de données. ❖ TP4 : numérisation et correction typologie. ❖ TP5 : les requetes gestion de base de données. ❖ TP6 : maison de pages et utilisation des symbologie donc création de base de données. Informations sur le système d'information géographique Définition Les systèmes de projection en SIG sont des techniques mathématiques utilisées pour représenter la surface tridimensionnelle et courbée de la Terre sur un plan bidimensionnel. Ils permettent de convertir des coordonnées géographiques (latitude, longitude) en coordonnées planes tout en gérant les inévitables distorsions liées à cette transformation. Chaque système est conçu pour répondre à des objectifs précis, tels que préserver les distances, les angles, ou les surfaces, rendant ainsi possible une analyse et une visualisation géographique adaptées aux besoins spécifiques. système de projection Un système de coordonnées est une structure de référence qui définit la position d’entités dans un espace à deux ou trois dimensions. Les cartes et les scènes utilisent des systèmes de coordonnées pour localiser et afficher des données correctement sur la surface de la terre et les unes par rapport aux autres. Les systèmes de coordonnées peuvent être horizontaux, et définir l'endroit où les entités se trouvent sur le globe, ou verticaux, et définir la hauteur ou la profondeur des entités par rapport à une surface. Les systèmes de coordonnées peuvent être définis dans des cartes et des scènes. système de coordonnées Un système de coordonnées est un cadre de référence permettant de localiser des points dans l’espace en utilisant des valeurs numériques. Il existe deux types principaux : 1.Système de coordonnées géographiques : basé sur la latitude et la longitude, qui positionnent un point sur une sphère ou un ellipsoïde (surface de la Terre). 2.Système de coordonnées projetées : basé sur une surface plane, résultant de l'application d'un système de projection, permettant de travailler avec des distances et des angles en unités métriques ou impériales. Systèmes de coordonnées verticales Les systèmes de coordonnées verticales fournissent une référence pour les coordonnées z, qui sont les mesures de la hauteur ou de la profondeur des entités. Ils sont toujours mesurés en unités linéaires, comme des pieds ou des mètres. Projections cartographiques Une projection cartographique est la méthode selon laquelle vous affichez le système de coordonnées et vos données sur une surface plane (une feuille de papier ou un écran numérique). Des calculs mathématiques lors de la projection cartographique permettent de convertir le système de coordonnées utilisé sur la surface courbe de la Terre en un système adapté à une surface plane. Transformations Même après avoir défini le système de coordonnées qui correspond à vos données, vous pouvez être amené à utiliser les données dans un système de coordonnées différent. Dans ce cas, les transformations se révèlent utiles. Les transformations convertissent des données d’un système de coordonnées géographiques en un autre, ou d’un système de coordonnées verticales en un autre. types de projections Projection conique (tangente) Un cône est placé sur un globe. Le cône et globe se rencontrent le long d'une ligne de latitude. Il s'agit du parallèle de référence. Le cône est coupé le long de la ligne de longitude opposée au méridien central et aplati dans un plan. Projection conique (sécante) Un cône est placé sur un globe mais le coupe à travers sa surface. Le cône et le globe se rencontrent le long de deux lignes de latitude. Ce sont les parallèles de référence. Le cône est coupé le long de la ligne de longitude opposée au méridien central et aplati dans un plan. Aspects planaires Un plan est placé sur un globe. Le plan peut toucher le globe au pôle (cas polaire), à l'équateur (cas équatorial) ou sur une autre ligne (cas oblique). Aspect polaire (différentes perspectives) Les projections azimutales ou planes peuvent avoir des points de perspective différents. Le point de la projection gnomonique est au centre du globe. Le côté opposé du globe du point de contact est utilisé pour une projection stéréographique. Le point de perspective pour une projection orthographique se situe à l'infini. Les systèmes géodésiques utilisés en Algérie Les systèmes géodésiques utilisés en Algérie, désignés par l’arrêté du 15 Rabie Ethani 1444 correspondant au 10 novembre 2022 fixant les systèmes de référence des coordonnées géographiques, planimétriques et altimétriques relatifs au territoire national, à savoir sont Système Géodésique Nord Sahara 1959 : Pour les besoins de l'établissement de la cartographie régulière couvrant le territoire de l'Algérie, l'Institut Géographique National de France (IGN) a conçu et mis en place, en 1959, un système géodésique bidimensionnel pour l'Algérie, en utilisant les techniques terrestres de géodésie classique (triangulation) qui consistent à mesurer les angles et des distances basé sur l'ellipsoïde de Clarke 1880, ce système géodésique est dénommé Système Nord Sahara 1959. System Géodésique Mondial WGS-84 (World Geodetic System 1984): C'est un système géodésique mondial conçu et mis au point par le Département de la Défense (DOD) des Etats Unis d'Amérique (USA). Il est établi à partir des observations géométriques et gravitationnelles. Les coordonnées de tout utilisateur terrestre, maritime ou aérien muni d'un récepteur GNSS se réfèrent à ce système géodésique mondial. Ce système géodésique global tridimensionnel est caractérisé par : • L’ellipsoïde de référence: WGS-84 • La projection associée: UTM (Universal Transverse Mercator) Système de projection UTM : Le système de projection UTM comporte des fuseaux de 6° d'amplitude en longitude par rapport au méridien origine de Greenwich soit 3° d'amplitude de part et d'autre du méridien central. La terre entière est ainsi divisée en 60 fuseaux. La zone d'application de la projection UTM : de 80° Sud à 80° Nord. L'Algérie s'étale de l'Ouest à l'Est sur quatre fuseaux : le 29, 30, 31 et 32 soit de 9° à l'Ouest du méridien origine (Greenwich) et à 12° à l'Est du méridien origine (Greenwich). travaux pratiques calage et affichage d'un carte topographique Le calage est une étape nécessaire avant tout travail sous SIG, il sert à établir une relation entre les entités affichées sous le système d’information géographique et leur position dans le monde réel. Nous créons la base de données Nous nous dirigeons vers table des matières Puis nous nous dirigeons vers icône layers Nous cliquons sur le bouton droit puis choisissons les paramètres Ensuite, nous choisissons système de coordonnées projetées ensuite UTM ensuite WGS 1984 ensuite ZONE 31 L’objectif de ce TP est de montrer aux étudiants comment ouvrir et caler une image sous le logiciel ArcGIS en respectant le système de projection selon lequel elle a été réalisé 1. Les commandes nécessaires pour le calage des cartes Pour caler une carte il faut agir comme suit : a. Ouvrir une image Raster sous le logiciel ArcGIS : commandes suivantes : ArcMap >Add data>Fichier > Une boite de dialogue s’affiche sur l’écran (Figure 1), Add > Ok et on affiche la carte Fig.1 : Choix du type de fichier et ouverture d’une image (carte) « image Raster sous ArcGIS ». Après avoir validé l’option la structure pyramidale (Oui), la fenêtre suivante s’affiche : Un premier bloc de données est donc crée par défaut dans chaque document. Chaque bloc de données du document représente une carte Dans la fenêtre, l’image est contenue dans un frame layers : - L’image Chott El Hodna.bmp est une image couleur RGB - Les trois couches Red,Green and Blue ( Rouge, Vert et Bleu) sont affichées. Dans le menu Géoréférencement ,sélectionner l’image Chott El Hodna .bmp (Image à géoréférencer) : On parle également du calage ou calibrage. Le nombre de points utilisés dans le calage est de 4. Ces points ont été choisis parce qu’ils correspondaient à des positions particuliers facilement repérables et identifiables aussi bien sur terrain que sur carte. Géoréférencement à partir de coordonnées connues : • Saisie des points de calage : D’une façon générale, il va s’agir de rechercher des relations entre des points caractéristiques présents dans l’image et leur position réelle à la surface du globe : ce sont les points de références (aussi appelés « points d’amer » ou « points de calage »). La qualité du géoréférencement dépendra de la précision de la localisation des points d’amer, de leur nombre ainsi que de leur repartition mer, de leur nombre ainsi que de leur répartition. - Il faut alors localiser des points « remarquables », caractéristiques sur le document à géoréférencer rencer. - Ensuite, il faut retrouver leur emplacement sur une couche (raster ou vecteur peu importe) déjà géoréférencée,sur une carte papier munie de coordonnées , ou faire correspondre un relevé GPS. Il en faut au minimum 4. - Plus les points sont nombreux, plus le géoréférencement est précis, mais attention : il ne faut pas sacrifier à leur nombre la qualité et le degré de confiance dans les points.Plus ces points sont distants et forment une surface importante (les points proches de l’alignement font des géoréférencements médiocres), plus l’image finale sera proche de la réalité du terrain. La saisie des points de calage se fait en cliquant tout d’abord le point sur l’image à géoréférencer. Add control points / Points de calage, Cliquez ensuite sur ce bouton Chaque ligne correspond aux coordonnées d’un point : X et Y sur l’image source et X et Y sur l’image de référence Supprimer un point de calage Pour supprimer un couple de calage, vous devez afficher la liste des points de calage puis sélectionner le couple de points. Le bouton situé dans le coin haut – droit de la boîte de dialogue permet de supprimer la ligne sélectionnée. Le lien disparaît alors automatiquement de la carte. Modifier les coordonnées d’un point de calage : La liste des points de calage permet de sélectionner, par un double – clic, la coordonnée du point à modifier. Vous pouvez alors saisir la valeur x ou y souhaitée. TP2 : calage d'un carte qui ne de pas de données géographique. Le calage d’une carte qui ne contient pas de données géographiques dans ArcMap (une application de la suite ArcGIS) nécessite l’utilisation de l’outil de géoréférencement. Voici les étapes détaillées pour effectuer cette opération : 1. Préparer vos donnée Données de référence : Une couche SIG (comme un shapefile ou une autre carte raster déjà géoréférencée) contenant des coordonnées connues. Carte non géoréférencée : Une image raster (par exemple, TIFF, JPEG, PNG, BMP) qui ne contient pas de données géographiques. Ajouter la carte raster non géoréférencée Cliquez sur File > Add Data > Add Data, puis sélectionnez l’image raster Ajouter les données de référence Chargez les couches de données géographiques ou une carte de référence que vous utiliserez pour aligner la carte non géoréférencée. Ouvrir la barre d’outils "Georeferencing" Cliquez sur Customize > Toolbars > Georeferencing pour activer la barre d'outils de géoréférencement. Dans la barre d’outils, sélectionnez votre couche raster non géoréférencée dans la liste déroulante. 4. Identifier des points de contrôle • Les points de contrôle (Ground Control Points ou GCP) sont des points reconnaissables sur la carte raster et sur la carte de référence. Dans la barre d’outils Georeferencing, cliquez sur Add Control Points Cliquez sur un point dans l’image raster (par exemple, une intersection de routes, un bâtiment, ou un repère naturel) Cliquez ensuite sur le même point dans la carte de référence ou entrez ses coordonnées manuellement. • 1. Cliquez ensuite sur le même point dans la carte de référence ou entrez ses coordonnées manuellement. TP3 Dessiner et créer une base de données. Les cartes sont les outils utilisés le plus fréquemment pour comprendre les informations spatiales. Qu’il s’agisse d’analyse, de modification, d’illustrer des rapports, de concevoir des bases de données SIG ou de les gérer, lorsque vous travaillez avec SIG, vous travaillez avec des cartes. ArcMap vous permet de travailler avec toutes vos données géographiques dans des cartes, indépendamment du format ou de l’emplacement des données sous-jacentes. ArcMap vous permet d’assembler rapidement une carte à partir de couches prédéfinies ; vous pouvez également ajouter des données à partir de couvertures, de fichiers de formes, de géodatabases, de grilles, d’images, de tables de coordonnées ou d’adresses. ArcCatalog a été pensé de manière à fonctionner avec ArcMap. ArcCatalog vous permet de parcourir, d’organiser et de documenter vos données et de les glisser facilement sur une carte existante. 1. Lancer ArcCatalog à partir d’ArcMap : Différents types de fichiers peuvent être crées :Shapefile… / fichiers de formes, File Géodatabase/géodatabases, dBase Table/tables dBase, etc. Sélectionner dans l’arborescence l’emplacement du New Folder / Nouveau fichier Cliquer droit dans la fenêtre « Contenu du New Folder » et choisir New Shapefile / Nouveau Fichier de forme Choisir ensuite le Feature Type / type de fichier, le Name / Nom à créer et renseigner ses propriétés. Une géodatabase est un modèle de données spatiales utilisé dans les logiciels SIG (Systèmes d’Information Géographique), notamment dans la suite ArcGIS d'Esri. Elle permet de stocker, organiser, analyser et gérer des données géographiques et attributaires dans une structure relationnelle. Types de géodatabases dans ArcGIS : Géodatabase fichier (File Geodatabase) Géodatabase personnelle (Personal Geodatabase) Structure de la géodatabase : • Classes d’entités (Feature Classes) Jeux de données d’entités (Feature Datasets) : Nous ouvrons Arc Catalog, puis nous créons un nouveau fichier. Nous cliquons sur le bouton droit et choisissons l'icône Personal Geodatabase Une nouvelle icône apparaît à l'intérieur du fichier dans l'arc du catalogue. Nous faisons un clic droit dessus et choisissons Feature Datasets Une nouvelle icône apparaît à l'intérieur du fichier dans l'Arc du Catalogue, et nous la nommons en fonction de l'emplacement sur .lequel nous travaillons Ensuite, nous faisons un clic droit sur Factor Dataset, puis choisissons New Factor Class. Nous créons plusieurs bases de données et les nommons selon nos besoin Nous le nommons et choisissons le type de dessin polygone facture ligne facture .point facture Transformation des données Il s'agit ensuite de nous préparer une base de travail agréable, avec des noms de couches (layers) et des couleurs représentatives des éléments. Prenons comme exemple la couche de Chott El Hodna. Clic droit sur la couche, properties (ou double-clic sur la couche). Dans l'onglet General, changer le nom de la couche en " Chott El Hodna ". Dans l'onglet Symbology, cliquez sur la couleur et changez la en une couleur verte (de votre choix). Cliquez sur OK. 2. Fonctionnement général de l’outil Edition: Editor Toolbar / La barre d’outils Editeur contient la majorité des outils d’édition d’ArcMap. Ils ne seront disponibles que si une session de mise à jour est couverte. Start Editing = Stop Editing / La session de mise à jour rend modifiable la géométrie et les attributs des classes d’entités. Ce système vise à protéger les données des petites erreurs de manipulation. ll permet surtout l’enregistrement des modifications au fur et à mesure et donc un possible retour aux géométries et attributs précédemment sauvegardés. L’ouverture et le fermeture d’une session mise à jour se fait via la barre d’outils Editor Dans la barre d'outils Editor Cliquez sur l'outil Create Features Cliquez sur la couche Chott El Hodna Allez à l'outil Construction Tools → choisir le : type de géometrie Maintenant vous pouvez commencer à créer les polygones de Textures ❖ TP4: numérisation et correction typologie. A. Ajouter une colonne dans la table attributaire : Editor/ Save Edits après/ Stop Editing. Puis ouvrir la table attributaire / Options / Add Field : renseigner le Nom et le Type de l’information quand cherche à remplir (texte, chiffres, dates, …)/ ok B. Remplir les colonnes de la table : Redémarrer l’édition : Editor / Start Editing, ce qui va nous donner la main pour pouvoir écrire dans la table attributaire. Et finalement, on ouvre la table attributaire et on remplit les cases. La table peut être renseignée de deux manières : B.1. Manuellement B.2. En faisant des calculs : pluseurs calculs sont possibles : • Des Calculs simple tels les rapports, aditions, soustractions, multiplications …, ils peuvent être effectués dans la table attributaire. Après avoir Créé un champ dans la table attributaire pour accueillir les résultats/ clic droit sur le nom de la couche (Densité)/ Calculer des valeurs (Field Calculator …)/ choisir les champs et la fonction (pour calculer la densité de la végétation on va diviser le champ Végétation par le champ Surface) • Calculs des surfaces, périmètres, longueurs Clic droit sur le nom de la couche (Densité)/Calculs Géométrique (Calculate Geometry …). • Autres calculs : moyennes, sommes, écare-type, …. • Faire une requête ArcMap offre la possibilité de réaliser des requêtes de recherche / sélection d’entités sur base spatiale et attributaire via une requête de type SQL. Clic droit sur la couche concernée / Propriétés / Ensemble de définitions (definition Query) / Générateur de requêtes (Query Builder) Sélectionner un seul élément Sélectionner plusieurs élément TP6 : maison de pages et utilisation des symbologie donc création de base de données Pour le TP6 sur l’utilisation de la symbologie et la création de base de données dans ArcMap , voici un guide détaillé des étapes que vous pouvez suivre pour réaliser ces tâches : Sur la base de ce qui précède et de ce qui a été accompli dans le TB n°3, nous avons dessiné et créé une base de données Une catégorie décrit un ensemble d'entités ayant la même valeur attributaire, par exemple des parcelles catégorisées par une valeur d'utilisation du sol (résidentiel, commercial ou industriel, par exemple). A l'aide de catégories, vous pouvez affecter des symboles différents pour représenter chaque catégorie définie par des valeurs attributaires uniques. Cette rubrique décrit la procédure à suivre. Attributs décrivant la classe, le type, la condition ou l'état d'une entité. Attributs qui identifient une entité de manière unique telle que son nom Utilisation de valeurs uniques pour afficher des catégories Dans une couche à valeurs uniques, vous représentez des entités en fonction d'une valeur attributaire ou d'une caractéristique qui identifie les catégories. Par exemple, sur une carte d'utilisation du sol, chaque type d'utilisation du sol est affichée à l'aide d'une couleur spécifique. les types de symbologie Features 1. Single symbol Categories 1. Unique values 2. Match to symbols in a style 3. Unique values, many fields Quantities 1. Graduated colors 2. Graduated symbols 3. Proportional symbols Charts 1. Pie 2. Bar/Column 3. Stacked Pour modifier le type de police, la couleur de la route ou la couleur de la zone, accédez à la fenêtre du tableau de Tableau Center, choisissez ce que vous souhaitez modifier et c Utilisation de valeurs uniques pour afficher des catégories Cliquez avec le bouton droit sur la couche, puis sélectionnez Propriétés. Cliquez sur l'onglet Symbologie de la boîte de dialogue Propriétés de la couche. Choisissez l'option Valeurs uniques sous Catégories dans la liste de représentation de gauche. Sélectionnez le champ qui contient les catégories. Cliquez sur Ajouter toutes les valeurs ou Ajouter des valeurs pour identifier les catégories que vous souhaitez afficher. Ajouter des valeurs vous permet de sélectionner un sous-ensemble des valeurs de champ à inclure en tant que catégories dans votre affichage de couche. Identifiez la symbologie que vous souhaitez utiliser pour afficher vos catégories. Pour ce faire, cliquez avec le bouton droit sur le symbole de chaque catégorie pour modifier ses propriétés de symbole ou choisir un autre symbole. Nous pouvons également choisir d'autres types de symbologie symbologie Quantities La symbologie de quantité dans ArcMap est utilisée pour représenter des données numériques de manière visuelle, en fonction de valeurs quantitatives. Cela permet de visualiser des tendances ou des différences dans les données numériques à l’aide de différents symboles, tailles, couleurs ou dégradés. Voici les principaux types de symbologie de quantité que vous pouvez utiliser dans ArcMap pour les : données quantitatives symbologie charts La symbologie par graphiques (ou Charts en anglais) dans ArcMap permet de représenter des données sous forme de graphiques directement sur la carte. Cela peut être particulièrement utile lorsque vous souhaitez visualiser des données quantitatives pour chaque entité géographique de manière plus détaillée. Par exemple, au lieu de simplement colorier des zones ou de modifier la taille des symboles, vous pouvez afficher des graphiques (comme des graphiques à barres, des graphiques circulaires, etc.) à côté ou à l'intérieur des entités de la .carte la maison de page La mise en page dans ArcMap vous permet de préparer une carte pour l'impression ou l'exportation. C'est dans ce mode que vous allez configurer la taille de la carte, les légendes, les .étiquettes, les titres, les barres d'échelle et autres éléments Création d'une mise en page La première étape dans ArcMap consiste à modifier votre affichage de carte en mise en page, en sélectionnant Layout View (Mode Mise en page) depuis le menu View (Mode) ou en cliquant sur le bouton Layout View (Mode Mise en page) sur l’angle inférieur gauche de la carte. Nous choisissons le type de papier a4 .a3 a1 a2 et le recto du papier Ajout d'autres éléments cartographiques à la mise en page Vous pouvez utiliser le menu Insert (Insérer) pour ajouter les valeurs suivantes Legend (Légende), North Arrow (Flèche Nord), Scale Bar (Barre d’échelle) et Scale Text (Texte d’échelle). Lorsque vous cliquez sur une de ces options, un assistant ou une boîte de dialogue apparaît, où vous pouvez définir les propriétés de chaque élément de la carte. légende Nous modifions selon votre opinion personnelle. Vous pouvez également ajouter votre propre touche à .l'ajout ou à la suppression d'éléments à l'intérieur d'une légende Créer et insérer une flèche indiquant le Nord (North Arrow) dans ArcMap est une étape essentielle pour améliorer la lisibilité et l'interprétation d'une carte. Voici un guide pour ajouter une flèche de Nord dans ArcMap : Cliquez sur Insert dans la barre de menus en haut de l’écran Sélectionnez North Arrow dans le menu déroulant. Une fenêtre s’ouvre, affichant une bibliothèque de styles pour les flèches de Nord. La barre d'échelle (Scale Bar) est un élément essentiel dans une carte, permettant aux utilisateurs de comprendre les distances représentées. Voici un guide pour ajouter une barre d'échelle dans ArcMap, étape par étape. Dans ArcMap, assurez-vous que vous êtes en Vue de Mise en Page (Layout View). Allez dans View > Layout View si ce n'est pas déjà fait. Une fenêtre s’ouvre, affichant plusieurs styles de barres d’échelle dans une bibliothèque Les styles incluent des barres simples, graduées, ou des formats plus complexes. Ajouter du texte dans une carte dans ArcMap est une étape importante pour fournir des informations contextuelles, annoter des caractéristiques spécifiques ou ajouter des descriptions. Voici un guide détaillé pour insérer, personnaliser et gérer le texte dans ArcMap. .Passez en Vue de Mise en Page (Layout View) .Allez dans View > Layout View .Cliquez sur Insert > Text dans le menu Tapez le texte souhaité dans la boîte de .dialogue Par exemple, un titre comme "Carte des Zones ."Protégées : Positionnez le texte sur la mise en page .Cliquez et faites glisser pour déplacer le texte conclusion Le travail pratique avec ArcMap est une étape clé dans l’apprentissage des systèmes d’information géographique (SIG), offrant une introduction complète aux outils et fonctionnalités permettant de créer des cartes précises