Uploaded by ALASKAR ÖZPERÇİN

La linguistique textuelle

advertisement
La linguistique textuelle de Jean-MICHEL ADAM - Compte rendu
Jean-Michel ADAM est un linguiste français, qui est aujourd’hui
professeur à l’université de Lausanne. Il a écrit une quinzaine
d’ouvrages, parlant de manifestations littéraires et non littéraires dans la
linguistique du texte et du discours mais il son ouvrage le plus populaire
est son travail sur la linguistique textuelle.
Le but majeur du livre, est l’analyse du texte de Borges qui a accordé de
réunir des propositions théoriques et méthodologiques. Dès le début,
l’auteur nous montre les notions “texte et “discours” séparément en
utilisant les théories de deux linguistes: Saussure et de Benveniste. La
linguistique textuelle est relier a l’analyse du discours. Il est écrit que
“ dès que le texte est défini comme une occurrence communicationnelle,
la linguistique textuelle devient une pragmatique textuelle”, et donc c’est
a partir de là qu’elle se rapproche de l’analyse du discours. L’objet de
son étude est tout ce qui est par rapport au discours. L’objet de la
linguistique textuelle est ainsi recentré sur les ordres d’unités de niveau
différents de complication, qui se trouve dans une unité texte dont les
frontières de la phrase doivent êtres interrogées.
Par après, l’auteur du livre se consacre sur l’unité textuelle élémentaire,
donc proposition - énoncé. Il y a trois dimensions complémentaires pour
toutes propositions énoncée; une dimension énonciative qui prend en
charge un contenu référentiel et lui donne une certaine possibilité
argumentative qui lui donne une force ou même un valeur illocutoire plus
ou moins distinguable.
Par après, il parle de l’unité textuelle, il nous explique de la prise en
charge énonciative des énoncés et nous donne des catégories de
justement cette prise en charge d’une proposition; les introducteurs, le
discours rapporté, la modalisation, les indices de personnes, déictiques,
temps verbaux et en dernier modalités. Par la suite le thème a propos de
liages des unités textuelles de base est expliqué. L’auteur montre cinq
liages; liages du signifié, liages du signifiant, implications, connexions,
séquences d’actes de discours. Ces cinq opérations ne suffit pas à faire
d’un texte une unité cohérente. Dans la construction textuelle il y a deux
types dans les liages sémantiques, la co-référence et les anaphores.
Co-texte gauche veut dire anaphore et co-texte droit cataphore. En
parlant de anaphore, l’auteur nous montre les différent anaphores;
anaphore résomptive, qui veut dire la reprise du titre et de l’événement.
Par exemple: Le fantôme leur était apparu sous les espèces d’un
monsieur en habit noir qui s’était dressé tout à coup devant elles, dans
le couloir, sans qu’on put savoir d’où il venait. Son apparition avait été
si subite qu’on eût pu croire qu’il sortait de la muraille.1
Le nom apparition de l’anaphorique résomptif est le dérivé du lexème
verbal apparaître présent dans la proposition antécédente.
Puis il y a l’anaphore associative; il ne reprend pas ce qu’il a été déjà dit
mais se penche sur des implications lexicales. Ainsi, dans: Paul entra
dans le village. Les cheminées fumaient, village et cheminées sont
implicitement associés par le lecteur. Le lien qu’il y a entre ces deux
phrases nous pousse à penser que c'est lui qui voit fumer les cheminées
et non quelqu’un d’autre, au lieu de penser que c’est l’écrivain qui
donnerait ici une information de l'extérieur.
Et en dernier l’anaphore pronominal qui est fidèle parce qu’elle n’indique
généralement aucune nouvelle propriété de l’objet. est constituée du
pronom personnel qui peut, selon les contextes linguistiques, varier avec
des pronoms démonstratifs.
Jean-Michel Adam, ensuite nous parle de l’isotope du discours; Dans
l’isotopie il y a trois types: la co-topie, hétérotopie, et polyisotopie.
Le point commun qu’on retrouve dans un texte sémantique est la notion
isotopie. L'isotopie permet la lecture d'un texte en langue naturelle
relevant de plusieurs systèmes à la fois, en établissant son équilibre. Par
exemple, dans les deux phrases suivantes :
« D’abord, vers 8 heures, je déjeune chez moi. Ensuite, à 9 heures, je
mange une pomme en sortant de ma maison et en marchant vers le
métro sous les arbres en fleurs. » Ici, on peut repérer une isotopie de la
nourriture (déjeune et mange).
« D’abord, vers 8 heures, je déjeune chez moi. Ensuite, à 9 heures, je
mange une pomme » Ainsi qu'une isotopie du déplacement (marchant et
métro) : « en marchant vers le métro sous les arbres en fleurs ».2
Ensuite les liages du signifiant est pris en compte en parlant des quatre
points qui jouent un rôle important qui sont les répétitions de phonèmes,
répétitions de syllabes, répétitions de lexèmes et de groupes
morphosyntaxiques. Le point suivant est consacré au formes d’implicite
qui se coupe en deux présupposé et sous-entendu. Pour pouvoir les
distinguer, l’ouvrage utilise deux exemples:
“Lucky Luke a cessé de fumer”; Cette phrase nous laisse entendre
sous forme de présupposé que Lucky Luke fumait avant.
“Sachat a recommencé à fumer”; Celle-ci comporte une double
présupposition. Sachat qui fumait avant, avait cessé de fumer.
Le sous entendu de ces deux exemple serait l’idée reçu au point de
imprimée sur les paquet de cigarettes: Fumer nuit gravement à la santé.
Les connecteurs est un autre point dont Adam nous montre, et il
distingue trois sortes de connecteurs: connecteurs argumentatifs,
connecteurs organisateurs et connecteurs marqueurs textuels et
marqueur de prise en charge énonciative. Les fonctions de ceux là est
de faire une liaison entre deux unités sémantiques pour pouvoir créer
une structure.
Avec les connecteurs nous avons des organisateurs qui jouent un rôle
essentiel dans la description des plans de texte. Il y a plusieurs
organisateurs; comme organisateurs spatiaux ( à gauche, à droite,
devant,...), organisateurs énumératifs (et, ou, aussi, d’une part, d’un
coté, ...).
L’auteur ouvre un autre point dans son livre qui est a propos des
périodes et séquences. Les périodes sont des unités faiblement typées
et les séquences sont des unités plus complexe. Dans une séquence,
nous trouvons des macro-propositions qui sont des périodes dont la
propriété principale est d’être des unités liées à d’autres
macro-propositions. Une séquence peut être abordée par différentes
sortes qui sont descriptive, narrative, argumentative, explicative et
dialogale. Dans la période, il y a deux notions qu’on distingue qui sont;
les structures rythmiques dépourvues de connecteurs et les périodes
organisées autour de connecteurs.
Dans l’ouvrage il y a aussi une partie considérée pour le texte comme
unité compositionnelle et configurationnelle. L’auteur, nous montre
que pour pouvoir reconnaître un texte comme un tout, il faut réaliser
un plan de texte. Le liage textuel est composé de plusieurs
composants comme montrer ci-dessous.
L’auteur s’intéresse aux plans des textes, et nous en site deux types,
dont l’un est conventionnel qui veut dire fixé par l’état historique d’un
genre de discours et le second type est occasionnel, qui est un plan de
texte d’une chanson ou d’un poème, d’une publicité,... En parlant de
plans des textes, l’auteur ajoute aussi la structure séquentielle.
Dont il y a deux type; Les combinaisons de séquences soit identiques,
soit différentes. Le deuxième types est Dominant selon certain
modalité, le texte est alors plutôt narratif, descriptif, ...
Dans ces séquences, il y a plusieurs combinaisons: coordonnée,
insérées et alternées. Le terme macro-structure sémantique, veut
dire que un texte peut presque toujours être sémantiquement résumé
par un titre, elle exprime le sens global du texte.
L’auteur ensuite aborde comme sujet le fonctionnement textuel des
temps verbaux. Harald Weinrich était l’un des premiers à examiner le
rôle textuel des temps verbaux. Il s’intéressait aux effets textuels liés
au suite de temps identiques (passé simple, passé récent,...) et aux
transitions entre temps proches ( passé simple + imparfait,..).
L’auteur s’est penché sur la théorie de Benveniste qui lui distingue
deux systèmes l’énonciation historique et l’énonciation du discours.
Dans cette partie du livre l’auteur parle souvent de la temporalité,
l’espace-temps.
La dernière partie de l’ouvrage, est constitué d’une analyse textuelle
d’un récit de J.L.Borges. L’auteur fera une analyse translinguistique
en utilisant les méthodes et les théories qu’il a parler dans les
chapitres précédents.
CRITIQUE
Pendant ma lecture, j’ai pu observer que la typographie dans les
exemples de texte littéraire, discours etc que l’auteur utilise sont
différent. Entre chaque phrase qu’il utilise dans l’exemple; dans un
texte pour chaque phrase, entre parenthèse il a utilisé (pn1), (pn2),...
Dans un autre exemple de texte, il a utilisé (P1-é1), (P2-é2),etc. J’ai
pu comprendre par après que en faite, l’auteur a utiliser des points de
repérages par rapport au titre. C’est-à-dire pour Pn1 , cela voulais
dire Ponctuation dont il parle dans le chapitre 2 et pour le deuxième
exemple P1-é1 voulais en faite dire proposition-énoncé dans le
chapitre 3.
CONCLUSION - Mon opinion:
J’ai trouvée ce livre bien écrit avec un très haute qualité mais je
trouve qu’il y a certaine partie dans l’ouvrage qui est difficile a
comprendre. Ce livre est bien chargé avec de nombreuses analyses
suivies d’exemple pour bien qu’on comprenne. Les exemples qu’il
utilisait était des textes riches qui venaient de texte littéraire, de
discours, etc. Jean-Michel Adam, nous explique vraiment les notions
de linguistique textuelle ainsi que l’analyse du discours.
Ali Asker
1. wikipedia - Isotopie (linguistique) / janvier 2020
2. Hal archives ouverte - L’anaphore résomptive avec recatégorisation /
écrivain; Mélynda salcedo Daval/ 08.sep.2016
Download