Uploaded by Emmanuel Doup

- Auto Evaluation - Gastrologie 2020-2021 Part 1

advertisement
QCM Classés &
Organisés par COURS
Faculté de Médecine - Oran
 Questions Compilés & Organisés par :
- A. Khalida : étudiante en 4ème année médecine Section A
- B. Imad Eddine : étudiant en 4ème année médecine Section B
 Répertoire :
1. Reflux Gastro Œsophagien ...................................................................................01
2. Lésions Caustiques du Tube Digestif.....................................................................01
3. Troubles Moteurs de l’Œsophage .........................................................................02
4. Cancer de l’Œsophage ..........................................................................................02
5. Maladie Ulcéreuse Gastro Duodénale ...................................................................03
6. Complications de l’UGD .......................................................................................04
7. Cancer de l’Estomac ............................................................................................05
8. Diarrhées Chroniques ..........................................................................................06
9. Maladie Cœliaque et Sd de Malabsorption............................................................06
10. Lymphomes Malins Primitifs du TD ....................................................................07
11. Tuberculose Péritonéale..................................................................................08
12. Tuberculose Intestinale...................................................................................08
13. Polypes & Polyposes ..........................................................................................09
14. 15. Diverticulose Colique.................................................................................10
16. Recto Colite Hémorragique...............................................................................11
17. Maladie de Crohn ...........................................................................................12
18. Manifestations Digestives du SIDA .....................................................................13
19. Parasitoses Digestives.....................................................................................13
20. 21. Cancer Colo Rectal.......................................................................................14
22. 24. 25. Explorations du Tube Digestif .................................................................15
26. Dyspepsie fonctionnelle .....................................................................................17
27. Colopathie Fonctionnelle (SII) ...........................................................................17
28. 29. Proctologie ..................................................................................................18
4ème Année Med Oran
2020/2021
2. Lésions Caustiques du Tube Digestif :
1. Reflux Gastro Œsophagien :
01. Le syndrome postural du RGO comporte plusieurs
éléments sauf un lequel ?
A. Brûlure épigastrique à irradiation ascendante
B. Toux nocturne de décubitus
C. Pyrosis
D. Pituites matinales
E. Signe de lacet
Source : Q01 - 20-21 Sec A Q19 - 16-17 Sec C
Réponse : D
02. Le traitement du RGO simple non compliqué est
basé sur tous les moyens suivants sauf un lequel ?
A. Intervention de NISSEN
B. Mesure posturales
C. Alginate ou antisécrétoires
D. Prokinétiques
E. Perte de poids
Source : Q13 - 19-20 Sec A Q19 - 16-17 Sec C
Réponse : A
03. Au cours d'un reflux gastro-œsophagien : La RJ
A. La sécrétion gastrique acide est toujours augmentée
B. La hernie hiatale par glissement n'est pas constante.
C. La PH-métrie œsophagienne est indispensable au
diagnostic.
D. La vidange gastrique est accélérée
E. L'hypotonie du sphincter inférieur de l'œsophage est
constante.
Source : Q17 - 18-19 Sec A
Réponse : B
04. Parmi les complications suivantes, quelle est celle
qui n’est pas dû à un reflux gastro-œsophagien :
A. Une sténose peptique
B. Un endobrachyoesophage
C. Des pneumopathies récidivantes
D. Une œsophagite ulcérée
E. Un carcinome épidermoide de l'œsophage
Source : Q31 - 18-19 Sec B
Réponse : E
01. Certains gestes à faire s'imposent dans le traitement
initial des ingestions de produits caustiques : La/Les RJ
A.Placer le patient en décubitus dorsal
B. Ne pas donner à boire
C. Proscrire les vomissements
D. Placer une sonde naso-gastrique
E. Procéder au lavage gastrique
Source : Q02 - 20-21 Sec A
Réponse : BC
02. Une sténose œsophagienne secondaire à une
ingestion de produit caustique se manifeste
cliniquement par les signes suivant sauf un. Lequel ?
A. Dysphagie d'évolution croissante
B. Amaigrissement
C. Hématémèse
D. Anémie
E. Signes de déshydratation
Source : Q10 - 19-20 Sec C
Réponse : C
03. Parmi les gestes suivants, cochez ceux qui sont
proscrits lors de l'ingestion de produits caustiques :
A. L'absorption de liquides neutralisants
B. L'aspiration gastrique pendant l'endoscopie digestive
C. La réalisation en urgence d'un transit gastrique aux
produits solubles
D. La position semi assise du malade
E. La réalimentation précoce en cas de lésion stade 1
Source : Q08 - 18-19 Sec B
Réponse : AC
04. Après ingestion de produit caustique le stade
endoscopique IIb correspond à : La RJ
A. Erythème
B. Nécrose étendue
C. Nécrose localisée
D. Ulcérations confluentes et circulaires
E. Perforation
Source : Q35 - 16-17 Sec A
Réponse : D
05. Les critères de gravité d'une ingestion de
produits caustiques sont : Les RJ
A. Ingestion massive d'une solution caustique (>150ml).
B. Présence d'un pneumopéritoine sur l’ASP.
C. Stade IIb et IIa à l’endoscopie haute.
D. Acidose métabolique avec troubles de l'hémostase.
E. Brûlure buccales et cutanées importantes.
Source : Q40 - 16-17 Sec B
Réponse : ABD
06. Quels sont les gestes à éviter chez un malade qui se
présente en urgence pour une ingestion massive d'un
produit caustique ?
A. Désobstruction oropharyngée par des compresses sèches
B. Toute manœuvre destinée à provoquer des vomissements
C. L’absorption d'eau ou de lait
D. Oxygénothérapie nasale
E. Le décubitus dorsal qui peut augmenter le risque
d'inhalation
Source : Q32 - 16-17 Sec C
1
Réponse : BCE
4ème Année Med Oran
2020/2021
3. Troubles Moteurs de l’Œsophage :
4. Cancer de l’Œsophage :
01. Parmi es propositions suivantes : La/Les RJ
A. Les anomalies manométriques caractérisent les troubles
moteurs de l’œsophage
B. Le contrôle de la motricité œsophagienne fait intervenir
de façon cordonnée les muscles striées et les muscles lisses
C. Le signe du ressaut en endoscopie digestive oriente vers
une maladie des spasmes diffus de l’œsophage
D. L'achalasie se définie par l'absence de péristaltisme du
corps de l’œsophage, hypotonie de repos du SIO, et une
relaxation incomplete du SIO lors des déglutitions
E. Les douleurs thoraciques pseudo angineuses sont absentes
01. Parmi les propositions suivantes : La/Les RJ
A. Le mauvais pronostic du cancer de l’œsophage est lié
au retard diagnostic
B. Le scanner thoracique fait partie des moyens
diagnostiques et non pas du bilan d'extension.
C. L'echo-endoscope a peu d’intérêt dans le bilan d’extension
D. L'aphagie est un signe de très mauvais pronostic en
matière de cancer de l’œsophage
E. La radio-chimiothèrapie est l'essentiel de l'arsenal
thérapeutique en matière de cancer de l’œsophage
Source : Q04 - 20-21 Sec A
Réponse : AD
au cours de la maladie des spasmes diffus de l’œsophage
Source : Q03 - 20-21 Sec A
Réponse : AB
02. Parmi les propositions suivantes : La/Les RJ
A. Les troubles moteurs de l'œsophage sont liés à des
anomalies PH métriques.
B. Le sphincter inférieur de l'œsophage est un
épaississement musculaire du bas œsophage.
C. Le signe du ressaut en endoscopie digestive oriente vers
un cardiospasme.
D. La manométrie de haute résolution est l'examen le plus
spécifique pour le diagnostic de l'achalasie.
E. Les douleurs thoraciques pseudo angineuses sont
exceptionnelles au cours de la maladie des spasmes diffus
de l'œsophage.
Source : Q32 - 19-20 Sec A Q08 - 19-20 Sec B
Réponse : BCD
03. Les troubles moteurs de l’œsophage comportent :
A. Des anomalies de sphincters œsophagiens entravant la
progression du bol alimentaire.
B. Des anomalies du corps de l'œsophage entravant la
progression du bol alimentaire.
C. Peuvent être primitives (évoluant de façon isolée)
D. C'est une pathologie très fréquente
E. L'examen clé est la manométrie de l'œsophage.
Source : Q21 - 17-18 Sec B
Réponse : ABCE
04. La pseudo achalasie peut-être secondaire à : La RF
A. Une maladie de Chagas
B. Une tumeur bronchique à petites cellules
C. Un adénocarcinome du bas œsophage
D. Une sténose bulbaire
E. Une obstruction intestinale chronique
Source : Q19 - 16-17 Sec A
Réponse : D
05. La maladie des spasmes diffus est caractérisée par :
A. Douleurs thoraciques pseudo angineuses
B. Dysphagie, Intermittente avec odynophagie
C. Stases œsophagienne et régurgitations importantes
D. Amaigrissement
E. Aspect en tire-bouchon de l'œsophage au transit baryté
de l’œsophage
Source : Q14 - 17-18 Sec B
2
Réponse : ABE
02. Concernant le cancer de l’œsophage : Les RF
A. Le pneumo médiastin témoigne d'un cancer de
l’œsophage qui saigne
B. La dysphonie est une des complications du cancer de l'œsophage
C. La carcinose pleurale est un signe de mauvais pronostic.
D. L’écho endoscopie fait partie du bilan d'extension du
cancer l’œsophage
E. L'adénocarcinome est le type histologique le plus
fréquent du cancer œsophagien.
Source : Q02 - 19-20 Sec A
Réponse : AE
03. Concernant le cancer de l'œsophage : La/Les RF
A. Le scanner thoracique n'est d'aucune utilité dans son
bilan d'extension
B. Le cancer de l'œsophage peut se manifester par des
hématémèses
C. L'échoendoscopie est un examen fiable pour apprécier
l'extension de la tumeur œsophagienne.
D. Le reflux gastro-œsophagien est le maitre symptôme
dans le Kc œsophagien
E. La carcinose pleurale témoigne d'un stade évolué du Kc
œsophagien
Source : Q22 - 19-20 Sec B
Réponse : AD
04. Le cancer de l’œsophage se caractérise par : La RJ
A. Une dysphagie douloureuse et intermittente.
B. Une dysphagie progressive aux solides puis aux liquides,
aboutissant à l'aphagie.
C. Une simple gêne au passage des aliments avec état
général conservé.
D. Une dysphagie élective aux liquides.
E. Une douleur retro sternale sans difficulté à la déglutition
Source : Q05 - 18-19 Sec A
Réponse : B
05. Parmi les facteurs suivants citez lequel ou lesquels
favorisant le cancer de l’œsophage ?
A. Les nitrosamines
B. Immunosuppresseurs
C. Traumatismes
D. Poisson et viande frais ou congelé
E. Le megaœsophage
Source : Q30 - 16-17 Sec C
Réponse : ABCE
4ème Année Med Oran
2020/2021
5. Maladie Ulcéreuse Gastro Duodénale :
01. A propos de I'Hélicobacter pylori : La/Les RJ
A. Bactérie gram négatif
B. Transmission de l'infection par voie sanguine
C. Le reservoir de la bactérie est le tube digestif des
mammifères
D. N'a pas de cytotoxicité directe
E. Faible activité uréasique
Source : Q05 - 20-21 Sec A
Réponse : A
06. Le contrôle de l'éradication d’HP (dans la maladie
ulcéreuse) s’impose en cas de : La RF
A. Maladie fréquemment récidivante
B. Antécédents de perforation
C. Antécédents d'Hémorragie digestive
D. Prise d'anticoagulants
E. Systématiquement, à la première poussée, chez l'adulte
jeune
Source : Q22 - 18-19 Sec B
02. La MUGD résulte d’un déséquilibre entre facteurs
d'agression et facteurs de défense. Cochez parmi les
réponses suivantes, celles qui correspondent à des
facteurs de défense :
A. L'HCL
B. Les bicarbonates
C. L'Hélicobacter pylori
D. La pepsine
E. Le renouvellement cellulaire
Source : Q27 - 19-20 Sec A
Réponse : BCE
04. Parmi les facteurs de défense lors de la maladie
ulcéreuse gastroduodénale : La/Les RJ
A. Helicobacter pylori
B. Les bicarbonate
C. La pepsine
D. L'acide chlorhydrique
E. Le mucus
Source : Q40 - 19-20 Sec C
Réponse : BE
05. L’échec de l'éradication de l’Helicobacter pylori (HP)
peut-être dû à : La RF
A. Mauvaise observance du traitement
B. Résistance primaire aux macrolides
C. Résistance primaire aux imidazoles
D. Ancienneté de la maladie ulcéreuse
E. Persistance du tabagisme
Source : Q21 - 18-19 Sec B
3
07. Le diagnostic d'infection à Helicobacter pylori peut
être fait par : La/ Les RJ
A. La sérologie
B. La coproculture
C. Le test rapide à l'uréase
D. Un test respiratoire
E. L'histologie des biopsies antrales
Source : Q15 - 16-17 Sec A
Réponse : ABCDE
Réponse : BE
03. La physiopathologie de la MUGD est multifactorielle,
elle résulte de : La/Les RF
A. Une dégradation du mucus à la surface V des cellules
gastriques
B. Une augmentation du taux de bicarbonates véhiculés
par le sang à la surface de la muqueuse gastrique
C. Un renouvellement cellulaire au niveau de la muqueuse
gastrique très rapide
D. Une hypersécrétion chlorhydro-peptique
E. Une prolifération d'une bactérie gram (+), à faible
activité uréasique
Source : Q10 - 19-20 Sec B
Réponse : E
Réponse : D
08. L’ulcère duodénal se manifeste par un syndrome
ulcéreux typique dans : La RJ
A. 5% des cas
B. 20% des cas
C. 40 à 60% des cas
D. 80 à 95% des cas
E. 100% des cas
Source : Q18 - 16-17 Sec A
Réponse : C
09. Parmi les affirmations suivante, concernant la
maladie ulcéreuse gastroduodénal : La RF
A. La douleur ulcéreuse peut être atypique.
B. L’ulcère n’est jamais révéler par une complication
C. Le tabac diminue les chances de cicatrisation sous
traitement anti sécrétoire.
D. Des facteurs génétiques interviennent dans
l’ulcérogénèse.
E. L’antibiothérapie fait partie du traitement médical
Source : Q37 - 16-17 Sec B
Réponse : B
10. A propos de l’ulcère duodénal : La RJ
A. Est plus Fréquent que l’ulcère gastrique
B. Dégénère dans 2 % des cas
C. Helicobacter pylori est retrouvée dans 25 % des cas
D. Le tableau clinique est toujours typique
E. Aucune de ces réponses
Source : Q39 - 2015 Sec A Q21 - 16-17 Sec C
Réponse : A
4ème Année Med Oran
2020/2021
6. Complications de l’UGD :
01. La perforation d’ulcère peut : Les RJ
A. Réaliser un tableau de péritonite aiguë généralisée
B. Montrer un pneumopéritoine sur une radiographie de
l'abdomen sans preparation centré sur les coupoles
diaphragmatiques de face
C. Réaliser un tableau d'ulcère perforé bouché
D. Il s’agit d'une urgence strictement médicale
E. Faire suite à une situation de grand stress
Source : Q06 - 20-21 Sec A
Réponse : ABCE
02. Dans la perforation d’un ulcère duodénale en
péritoine libre, vue dans les premières 12 heures, on
observe typiquement : La/Les RJ
A. Une contracture abdominale
B. Un colapsus cardio-vasculaire
C. Une disparition de la matité pré-hépatique à la
percussion
D. Une température à 38.5°C
E. Une douleur au toucher rectal
Source : Q57 - 20-21 Sec A
Réponse : ACE
03. A propos des complications de la MUGD : La/Les RJ
A. La contracture abdominale et la douleur au Douglas
signent la péritonite.
B. L'absence de pneumoperitoine à l'ASP ne doit pas faire
récuser le diagnostic d'une perforation d'UGD.
C. La sténose ulcéreuse est d'emblée organique fibreuse,
cicatricielle et relevant de la chirurgie
D. Le traitement de l'ulcère duodénal perforé en péritoine
libre, évoluant depuis plus de 24 heures est toujours
chirurgical.
E. Un ulcère duodénal présente souvent un risque de
dégénérescence.
Source : Q19 - 19-20 Sec A
Réponse : ABD
04. La classification de FORREST est corrélée au risque
de récidive hémorragique des ulcères. En l'absence de
traitement ce risque de récidive est de : La/Les RF
A . Superieur a 90% en cas d'ulcère Forrest la.
B. 50 % si Forrest Ila
C. 60 % si Forrest IIb.
D. Inférieur a 50%, si Forrest IIc ou III
E. Supérieur a 50% si Forrest III
Source : Q04 - 19-20 Sec C
4
Réponse : CE
05. Quelle sera votre prescription pour un malade de 50
ans atteint d’un ulcère gastrique antral asymptomatique
cicatrisé après 12 semaines de traitement médical ?
A. Vagotomie hyper sélective
B. Vagotomie tronculaire
C. Surveillance endoscopique
D. Gastrectomie des 2/3
E. Poursuite du traitement pendant 8 semaines et nouveau
contrôle endoscopique
Source : Q20 - 16-17 Sec A
Réponse : C
06. Laquelle des complications suivantes survient plus
volontiers au cours de l'évolution d'un ulcère chronique
de la face postérieure du premier duodénum : La RJ
A. Péritonite par perforation
B. Hémorragie par érosion de l'artère gastroduodénale.
C. Fistule cholecysto-duodénale
D. Ictère rétentionnel
E. Pancréatite aiguë
Source : Q31 - 16-17 Sec A
Réponse : B
4ème Année Med Oran
2020/2021
7. Cancer de l’Estomac :
01. Les principales conditions précancéreuses à l’origine
des cancers gastriques sont : Les RJ
A. L’ulcère gastrique
B. La maladie de Berger
C. L’antrectomie pour ulcère gastrique
D. L’ulcère duodenal
E. L’adénome gastrique
Source : Q07 - 20-21 Sec A
Réponse : ACE
02. Concernant le cancer gastrique : La/Les RJ
A. Le traitement chirurgical consiste en une exérèse totale
ou partielle de l’estomac
B. L’Helicobacter pylori est incriminée dans la genèse du
cancer gastrique.
C. Une chimiothérapie préopératoire doit toujours être
administrée.
D. Le curage ganglionnaire est obligatoire au cours d’une
gastrectomie.
E. Le traitement endoscopique est réservé aux tumeurs
superficielles.
Source : Q28 - 19-20 Sec A
Réponse : BDE
03. Parmi les facteurs étiologiques incriminés dans la
pathogénie du lymphome Gastrique : Les RF
A. Hélicobacter Pylori (HP)
B. Campylobacter jejuni
C. Virus de l’hépatite B
D. Virus de l’hépatite C
E. Epstein Barr Virus
Source : Q36 - 19-20 Sec A
Réponse : ABE
05. Les principales conditions précancéreuses à l’origine
des cancers gastriques sont : Les RJ
A. La maladie de Biermer
B. Gastrectomie partielle
C. L'ulcère duodénal
D. L'adénome gastrique
E. La tuberculose gastrique
Source : Q12 - 19-20 Sec C
5
Source : Q04 - 18-19 Sec B
Réponse : BCD
07. Devant un patient atteint d'un cancer de l’estomac,
quel aire ganglionnaire périphérique est intéressé le
plus souvent ?
A. Sus claviculaire droite
B. Axillaire droite
C. Sus claviculaire gauche
D. Axillaire gauche
E. Inguinale gauche
Source : Q11 - 18-19 Sec B
Réponse : C
08. Dans les tumeurs malignes de l’estomac : La/Les RJ
A. Le diagnostic repose sur la fibroscopie et une biopsie
B. L'extension se fait exclusivement par voie lymphatique.
C. Le traitement à visée curative reste basé sur l'exérèse
chirurgicale.
D. Le diagnostic repose sur la fibroscopie et de multiples
biopsies.
E. Le diagnostic repose sur l'échoendoscopie et le scanner
abdominal
Source : Q26 - 16-17 Sec A
Réponse : CD
Réponse : BCDE
04. Parmi les lesions observées au niveau de l’estomac :
La/Les RJ
A. Le lymphome primitif le plus fréquent est le lymphome à
petites cellules du MALT.
B. Ce lymphome est un lymphome de bas grade, indolent.
C. L'adenocarcinome est une tumeur maligne gastrique très
rare
D. Les lesions tissulaires précancéreuses haut risque de
survenue de cancer sont les polypes hyperplasiques
E. Dans les tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) les
cellules tumorales ont un phénotype de cellule de Cajal
Source : Q37 - 19-20 Sec B
06. Parmi les facteurs suivants, quels sont ceux qui
favorisent le cancer de l'estomac ?
A. Un Antécédent de cancer colique
B. Un antécédent de gastrectomie pour lésion bénigne
C. Une Gastrite atrophique
D. Une Gastrite hypertrophique de Ménétrier
E. Un Polype hyperplasique
Réponse : ABD
09. Quels sont les facteurs de risque dans la survenue
d'un adénocarcinome de l'estomac : La RF
A. Gastrite atrophique de Biermer
B. Gastrite hypertrophique de Menetrier,
C. Ulcère duodénal
D. Infection HP.
E. Atcd de gastrectomie totale.
Source : Q28 - 16-17 Sec C
Réponse : C
4ème Année Med Oran
2020/2021
8. Diarrhées Chroniques :
9. Maladie Cœliaque et Sd de Malabsorption :
01. La diarrhée de type colique se caractérise par :
A. Des selles fréquentes, urgentes et abondantes
B. Presence de mucus, de sang rouge ou de pus
C. Presence de signes de carence en vitam ou sels minéraux
D. Association à des dlr abdominales sur le cadre colique
E. Retentissement sur l’état gle est fonction de l’étiologie
01. Le diagnostic histologique d'une maladie cœliaque
est fait sur : La RF
A. Atrophie villositaire
B. Hypertrophie des cryptes
C. Infiltrât inflammatoire lympho-plasmocytaire
D. Rapport cryptes sur villosités inférieur à 1
E. Augmentation du nombre des lymphocytes intra-épithéliaux
Source : Q08 - 20-21 Sec A
Réponse : BDE
Source : Q09 - 20-21 Sec A
Réponse : D
02. Quels sont parmi les étiologies des diarrhées
chroniques, celles qui sont à l’origine d’une diarrhée par
malabsorption pré- entérocytaire ?
A. La maladie cœliaque.
B. Une insuffisance pancréatique exocrine.
C. Une pullulation microbienne du grêle.
D. Une anomalie lymphatique secondaire.
E. Une maladie de Crohn grélique
02. Lors du syndrome de Malabsorption de la maladie
cœliaque, le test D-XYLOSE renseigne sur une atteinte :
A. Gastrique
B. Pancréatique
C. Iléo colique
D. Hépatique
E. Duodéno-jéjunale
03. La diarrhée de type grêlique se caractérise par : Les RJ
A. Des selles abondantes, graisseuses.
B. Des selles glairo-sanglantes.
C. Des douleurs abdominales diffuses ou péri-ombilicales.
D. Retentissement sur l'état général
E. Absence de signes clinicobiologique de malabsorption
03. La maladie cœliaque peut être évoquée sur la
positivité des anticorps suivants sauf : La/Les RF
A. Anticorps anti-DNA natifs
B. Anticorps anti-mitochondries
C. Anticorps anti-transglutaminase
D. Anticorps anti-nucléaires
E. Anticorps anti-Endomysium
Source : Q24 - 19-20 Sec A
Source : Q07 - 19-20 Sec B
Réponse : BC
Réponse : ACD
04. Dans quel(s) cas une diarrhée aiguë nécessite des
explorations : La/Les RF
A. Diarrhée aigüe présumée infectieuse.
B. Diarrhée sur terrain particulier (sujet âgé, patient valvulaire)
C. Diarrhée avec signes cliniques de gravité
(hyperthermie >39°, déshydratation..).
D. Diarrhée hémorragique avec syndrome dysentérique
E. Diarrhée moins de 3 jours sans retentissement.
Source : Q03 - 18-19 Sec C
Réponse : E
05. Le traitement médical de la diarrhée aiguë repose
sur ces principes sauf un, lequel ?
A. Réduction de la motilité intestinale.
B. Réhydratation et recommandations alimentaires
C. Antibiothérapie systématique.
D. Diminution de la sécrétion intestinale.
E. Adsorption d'eau intra-luminale.
Source : Q04 - 18-19 Sec C
Réponse : C
06. Les données à recueillir par l'anamnèse lors d’une
diarrhée aiguë : Les RJ
A. Intoxication collective
B. Consommation d'aliments suspects
C. Prise récente de médicaments
D. Syndrome grippal
E. Efforts physiques très intenses
Source : Q24 - 17-18 Sec B
Réponse : ABCE
07. La diarrhée chronique se définie par : La/Les RJ
A. Une diarrhée qui dure entre 2 et 4 semaines
B. Un poids de selles supérieur à 300 mg/jour
C. Une émission de glaires, pus et sangs
D. Un taux de graisse dans les selles supérieur à 6g/jour
E. Des selles fréquentes, liquidiennes et qui durent >1mois
Source : Q35 - 16-17 Sec B
6
Réponse : BE
Source : Q10 - 20-21 Sec A Q38 - 19-20 Sec A Q16 - 2014 Réponse : E
Source : Q37 - 19-20 Sec A Q19 - 17-18 Sec B
Réponse : ABD
04. Concernant la maladie cœliaque : La RJ
1. La Diarrhée chronique est un mode de révélation
fréquent
2. La maladie cœliaque peut se révéler par une anémie
3. Le test au D-xylose est le plus souvent pathologique
4. A la biopsie du grêle, l'atrophie villositaire peut être à
un stade IV (atrophie totale) Ill (sub-totale) ou Il (modéré)
A. 1,2,3 B. 1,3 C. 2,4 D. 4 E. 1,2,3,4
Source : Q30 - 17-18 Sec B
Réponse : E
05. Parmi les signes histo-pathologiques de la maladie
cœliaque dans sa forme atypique, lequel doit-on
rechercher en 1er lieu ?
A. Un rapport Villosité/Crypte diminué
B. Une hyperplasie des cryptes
C. Un chorion très inflammatoire
D. Une lymphocytose intra épithéliale supérieure à 30%
E. Une membrane basale épaissie
Source : Q30 - 17-18 Sec B Q08 - 16-17 Sec C Q06 - 15 Réponse : D
06. Le diagnostic de malabsorption se fonde sur les
examens biologiques suivants, sauf un, lequel ?
A. Dosage de graisses dans les selles de 03 jours.
B. Test au Dxylose
C. Hyperglycémie provoqué par voie orale.
D. Test de schilling
E. Dosage des folates sanguins
Source : Q11 - 16-17 Sec A
Réponse : C
07. Le diagnostic de malade cœliaque est confirmé par :
La/Les RF
A. Bilan biologique
B. Bilan radiologique
C. Bilan histologique D. Bilan immunologique
E. Bilan génétique
Source : Q38 - 16-17 Sec B
Réponse : AE
4ème Année Med Oran
2020/2021
10. Lymphomes Malins Primitifs du TD :
01. Les lymphomes malins primitifs digestifs : Les RJ
A. Se développent au depends du tissu lymphoïde associé
aux muqueuses digestifs
B. Ce sont des lymphomes hodgkiniens
C. Le phenotype T est le plus fréquent
D. La gastrite a Hélicobacter pylori est incriminée dans la
génèse du lymphome gastrique
E. Le colon est la localisation de predilection
Source : Q11 - 20-21 Sec A
Réponse : AD
02. Maladie des chaînes lourdes alpha : Les RJ
A. Est une prolifération maligne primitive développée à
partir des lymphocytes B
B. Se caractérise par la synthèse d’une IgA anormale
C. Le siège préférentiel de la tumeur est I’intestin grêle
D. Le stade A est traité par une antibiothérapie
E. Le stade C est traité par une antibiothérapie
Source : Q12 - 20-21 Sec A
Réponse : ABCDE
03. Parmi les propositions suivantes concernant la
maladie des chaines lourdes α : Les RJ
A. Prolifération clonale de lymphocytes de phénotype B, T
B. Rôle pathogène du Campylobacter jejuni dans la
prolifération tumorale admis
C. Le stade A est un stade immunoblastique de haut degré
de malignité
D. Plusieurs grades de malignité peuvent être observés au
même moment
E. La chimiothérapie est instituée d'emblée à tous les
stades évolutifs
Source : Q13 - 19-20 Sec B
Réponse : BD
04. Quelles sont les propositions exactes, concernant les
lymphomes digestifs :
A. Ce sont des lymphomes hodgkiniens
B. Les localisations coliques sont les plus fréquentes
C. Le virus est incrimine dans la pathogénie des lymphomes
digestifs de bas grade
D. 80 % des lymphomes digestifs sont de type T
E. Ce sont des lymphomes non hodgkiniens
Source : Q25 - 19-20 Sec C
7
Réponse : CE
05. Les lymphomes digestifs de phénotype T : Les RF
A. Sont très rares et représentent moins de 5 % de
l'ensemble des LNH primitifs du tube digestif
B. Siègent principalement au colon
C. Peuvent être associés ou non à une entéropathie
D. Sont des lymphomes de faible malignité
E. L'atteinte lymphomateuse peut être multifocale
Source : Q27 - 18-19 Sec B
Réponse : BD
06. Le lymphome primitif du tube digestif : La RF
A. Est une pathologie maligne
B. Se développe à partir du tissu lymphoïde
C. Est une prolifération clonale de lymphocytes
D. Est un lymphome Hodgkinien
E. Est le lymphome extra ganglionnaire le plus fréquent
Source : Q23 - 17-18 Sec B
Réponse : D
07. Tous ces facteurs sont prédisposants à un
lymphome digestif sauf un, Lequel ?
A. Déficits immunitaires : syndrome de Wiskott Aldrich et
maladie de Waldmann
B. Infection au virus d’Epstein Barr
C. Infection au virus de I’hépatite C
D. Stéato-hépatite.
E. Antécédents de radiochimiothérapie ou de prise
d'immunosuppresseurs
Source : Q11 - 16-17 Sec C
Réponse : D
4ème Année Med Oran
2020/2021
11. Tuberculose Péritonéale :
01. Parmi ces examens complémentaires, citez celui ou
ceux qui valeur de présomption dans le diagnostic de la
TBC peritonéale : La/Les RJ
A. La ponction de l’ascite retrouve un exsudat
B. Une IDRt >5mm chez le sujet vacciné au BCG
C. La laparoscopie retrouve des granulations blanchâtres
en tête d’éponge
D. Un taux d’ADA dans le liquide d’ascite >15 UI
E. Un examen direct avec coloration de Ziehl-Neelsen
Source : Q13 - 20-21 Sec A
Réponse : C
02. Les critères diagnostiques d’une tuberculose
péritonéale : La/Les RJ
A. Ascite exsudative.
B. Taux de protides dans le liquide d’ascite égal à 18 g/L
C. Notion de contage ou d’antécédents de tuberculose.
D. IDR à la tuberculine positive.
E. Les Adénosine désaminase (ADA) > 30 U/l
Source : Q35 - 19-20 Sec A
Réponse : ACDE
03. Le diagnostic positif d'une tuberculose péritonéale
peut être posé devant ces critères ? La/Les RJ
A. Notion de contage ou antécédent de tuberculose.
B. Ascite transudative lymphocytaire.
C. Taux d'Adénosine désaminase (ADA) > 30 U/I.
D. Présence de BK à l'étude bactériologique.
E. Présence de follicule de Koester à l'étude histologique.
Source : Q06 - 19-20 Sec B
Réponse : ACDE
04. Les éléments du diagnostic positif de la tuberculose
péritonéale sont : La/Les RJ
A. Caractère exsudatif de l'ascite
B. IDR à la tuberculine négative
C. Absence de signes d'imprégnation spécifique
D. Dosage de l'ADA positif (Adénosine désaminase).
E. Granulations péritonéales absentes à la cœlioscopie.
Source : Q06 - 18-19 Sec A
Réponse : AD
05. Au cours de la tuberculose péritonéale : La/Les RJ
A. Le dosage de l'ADA (adénosine désaminase) permet de
poser le diagnostic de la maladie
B. L'ascite est la principale manifestation clinique.
C. La forme sèche de la maladie est possible (absence
d'ascite).
D. La positivité de l'intradermo-réaction à la tuberculine
est nécessaire su diagnostic
E. L'absence de tuberculose pulmonaire exclue le dg
Source : Q18 - 18-19 Sec C
Réponse : ABCD
06. Concernant le mycobacterium tuberculosis : Les RJ
A. L'intradermo-réaction à la tuberculine (DRT) exprime
l'hypersensibilité retardée par injection des antigènes
mycobacterium.
B. La prévention de la maladie se fait par vaccination
BCG à la naissance
C. Le diagnostic se fait par la mise en évidence de bacilles
acido-alcoolo résistant
D. La localisation pulmonaire de la tuberculose est de loin
la plus fréquente.
E. La localisation de la tuberculose au niveau de péritoine
se voit uniquement chez les sujets immunodéprimés
Source : Q19 - 18-19 Sec C
8
Réponse : ABCD
07. Les éléments du diagnostic positif de la tuberculose
péritonéale sont : La/Les RF
A. Taux de protides > 25g/l dans le liquide d'ascite
B. Présence de granulations péritonéales blanchâtres à la
cœlioscopie
C. Absence de granulome épithelio-giganto-cellulaire à
l'histologie
D. IDR à la tuberculine positive
E. liquide d'ascite pauvre en cellules lymphocytaires
Source : Q03 - 17-18 Sec B
Réponse : CE
08. La primo-Infection au cours de la tuberculose
abdominale se caractérise par : La/Les RF
A. Les bacilles de Koch sont phagocytés par les
macrophages et les cellules de l'inflammation
B. Apres la phagocytose, les antigènes bacillaires activent
les histiocytes.
C. La primo infection est muette
D. Au cours de la primo-Infection l'intradermoréaction à la
tuberculine est négative
E. L'évolution vers la tuberculose maladie se fait dans 10%
Source : Q40 - 17-18 Sec B
Réponse : BD
12. Tuberculose Intestinale :
01. Lors de la tuberculose intestinale : Les RJ
A. Le siège préférentiel de l’atteinte intestinale est iléo-caecal
B. La forme ulcéro hyperplasique est la plus fréquente
C. Le granulome tuberculoïde avec caséum est rarement
retrouvé
D. L’iléo-coloscopie avec biopsies sont nécessaires pour le
diagnostic de la tuberculose
E. Le principal diagnostic différentiel est la RCH
Source : Q14 - 20-21 Sec A
Réponse : ABCD
02. La tuberculose Intestinale : La/Les RJ
A. La principale espèce bactérienne responsable est le
mycobacterium tuberculosis.
B. Le siège le plus fréquent est duodénal.
C. Le mode de contamination le plus fréquent de la
tuberculose intestinale primitive est hematologique
D. Le granulome tuberculaire avec nécrose caséeuse est
caractéristique
E. Le traitement de première ligne est : 2RHZ/4RH
Source : Q29 - 19-20 Sec C
Réponse : ADE
03. La tuberculose intestinale peut toucher plusieurs
segments du tube digestif : La RJ
A. La localisation colique est peu fréquente
B. La localisation iléo-caecale est le siège de prédilection
C. L'atteinte du grêle est constante
D. Les localisations les plus fréquentes sont l'estomac et le
colon
E. Une tuberculose pulmonaire est toujours présente
Source : Q24 - 18-19 Sec B Q01 - 16-17 Sec A
Réponse : B
4ème Année Med Oran
2020/2021
13. Polypes & Polyposes :
01. Concernant la polypose adénomateuse familiale :
A. Elle est la polypose héréditaire a transmission
autosomique récessive la plus fréquente
B. Elle associe une polypose gastro-intestinale
hamartomateuse et une lentiginose péri-orificielle
C. Caractérisée par la présence de plusieurs centaines de
polypes adénomateux digestifs
D. L’atteinte rectale est retrouvée dans tous les cas
E. La transformation maligne est rare
Source : Q15 - 20-21 Sec A
Réponse : CD
02. Concernant les polypes adenomateux digestifs
A. Ils sont bénins dans 80% des cas
B. Leur prévalence diminue avec l’âge
C. Les adénomes villeux sont les plus fréquents
D. La surveillance après la polypectomie est systématique
E. Ils peuvent dégénérer en cancer
Source : Q40 - 19-20 Sec A
Réponse : ADE
03. Concernant la polypose juvénile : La/Les RF
A. C'est une polypose hamartomateuse
B. Elle est associée à une lentiginose périorificielle
C. Les polypes adénomateux sont localisés au niveau de
l'intestin grêle
D. C'est une maladie bénigne, le risque de
dégénérescence est nul
E. C'est une polypose héréditaire atteignant les sujets
jeunes
Source : Q09 - 19-20 Sec B
Réponse : BCD
04. Les tumeurs épithéliales (Adénomes) : La/Les RF
A. Sont les plus fréquentes des tumeurs rectocoliques
B. Leur traitement est purement chirurgical
C. Elles sont Villeuses, tubuleuses ou tubulovilleuses
D. Elles se manifestent parfois par un saignement occulte
E. Pas de risque de dégénérescence
Source : Q28 - 19-20 Sec B
Réponse : BE
05. Polypose adenomateuse familiale est caractérisée par :
A. Polypose héréditaire la plus fréquente à transmission
autosomique dominante
B. Elle associe une polypose hamartomateuse et une
lentiginose peri orificielle
C. Présence de centaines de polypes hamartomateux
(aspect de tapis baute laine)
D. L'atteinte rectale est retrouvée dans 30% des cas
E. La transformation maligne survient dans tous les cas, en
l'absence de traitement
Source : Q28 - 19-20 Sec C
Réponse : AE
06. Quelle(s) est (sont) la (les) conduite(s) a tenir lors de
la découverte lors d’une recto-sigmoidoscopie, d’un
polype pédiculé de 1cm ?
A. Doser l'antigène carcino-embryonnaire
B. Proposer d'emblé une colectomie.
C. Réaliser son exérèse à l'anse diathermique permettant
une étude histologique.
D. Décider d'une simple surveillance.
E. Faire une coloscopie totale afin de rechercher d'autres
polypes.
Source : Q39 - 19-20 Sec C
9
Réponse : CE
07. Le lymphome à cellules du manteau : Les RJ
A. Est un lymphome digestif de type T
B. La localisation gastrique est constante
C. D'évolution rapide et de pronostic défavorable.
D. Les lésions lympho-épitheliales sont fréquentes
E. Prend l'aspect caractéristique d'une polypose
lymphomateuse intestinale
Source : Q10 - 18-19 Sec A Q08 - 18-19 Sec C
Réponse : CE
08. La polypose adénomateuse familiale : La RF
A. Est une maladie héréditaire à transmission autosomique
dominante
B. Caractérisée par le développement de plusieurs
centaines d'adénomes coliques et rectaux
C. Apparaissant le plus souvent à la puberté.
D. Est la plus fréquente des polyposes digestives
E. La transformation maline est exceptionnelle
Source : Q14 - 18-19 Sec A Q09 - 17-18 Sec B
Réponse : E
09. Le polype adénomateux : La RF
A. Est une tumeur bénigne qui se développe au dépend de
la sous-muqueuse.
B. Est une lésion dysplasique qui peut se dégénérer.
C. Représente 80% des polypes recto-coliques.
D. Sa répartition géographique suit celle du cancer
colorectal.
E. Sa prévalence augmente avec l'âge.
Source : Q15 - 18-19 Sec A
Réponse : A
10. Le syndrome de Gardner est caractérisé par : La/Les RF
A. Une polypose adenomateuse recto-colique
B. Une maladie héréditaire à transmission autosomique
dominante
C. Peut être associé à des manifestations digestives
D. Ne peut être associé à des manifestations extracoliques
E. La transformation maligne est inéluctable en l'absence
de traitement prophylactique
Source : Q18 - 18-19 Sec B
Réponse : D
11. L’adénome : La/Les RF
A. Est le type de polype recto colique le plus fréquent.
B. Est responsable dans 90 % des cancers colorectaux
C. Son traitement est essentiellement endoscopique.
D. Ne récidive jamais après résection.
E. Son diagnostic est endoscopique ou morphologique.
Source : Q05 - 18-19 Sec C
Réponse : D
12. Parmi ces polypes lequel (ou lesquels) n'est (ne sont)
pas de nature épithéliale : La/Les RJ
A. Polype hyperplasique
B. Polype juvénile
C. Léiomyome
D. Lipome
E. Polype de Peutz-Jeghers
Source : Q06 - 18-19 Sec C
Réponse : CD
13. La technique de mucosectomie est : La/Les RJ
A. La résection endoscopique d'un polype sessile
B. La résection endoscopique d'un polype pédicule
C. La mise en place d'une endoloop à la base d'un polype
D. L'injection sous muqueuse d'un colorant suivie d'une
section coagulation à l'anse diathermique du polype.
E. La mise en place de lips a la base d'un polype
Source : Q07 - 18-19 Sec C
Réponse : AD
4ème Année Med Oran
2020/2021
14. Le polype adénomateux est : La/Les RJ
A. La cause la plus fréquente de cancer recto colique
B. Siège le plus souvent au niveau recto colique gauche
C. Dégénère en lymphome
D. Dégénère en adénocarcinome
E. Nécessite toujours une résection
Source : Q27 - 16-17 Sec A
Réponse : ABDE
15. Le polype adénomateux est caractérisé par : La RF
A. Le plus fréquent des polypes réctocoliques
B. Dégénère au bout de 10-15 ans
C. Ne dégénère jamais
D. C’est une lésion précancéreuse
E. Il peut être unique ou multiple
Source : Q14 - 16-17 Sec C
Réponse : C
14. 15. Diverticulose Colique :
01. La sigmoïdite diverticulaire aiguë se manifeste par :
A Une douleur de la fosse iliaque gauche.
B. Une température à 38-38,5 °C
C. Un taux de leucocytes supérieur à 10.000 élmnts/mm3
D. Une CRP élevée
E. Un trouble du transit
Source : Q16 - 20-21 Sec A Q18 19-20 Sec B
Réponse : ABCDE
02. Concernant la diverticulose colique : La/Les RJ
A. Résulte de l’inflammation d’un diverticule.
B. Ne se complique jamais
C. Est une anomalie anatomique bénigne.
D. Est souvent de siège colique droit
E. Est fréquente avant l’âge de 40 ans
Source : Q17 - 20-21 Sec A
Réponse : C
Réponse : BCE
04. La diverticulose colique : La/Les RJ
A. Est une inflammation et/ou infection d'un diverticule.
B . Est une anomalie anatomique bénigne.
C. Ne se complique jamais
D. Est le plus souvent de siège sigmoidien
E. Est rare avant 40 ans
Source : Q36 - 19-20 Sec C
Réponse : BDE
05. Concernant la diverticulose colique : La/Les RJ
A. Elle est due à des troubles de la motricité intestinale.
B. L'hyperpression et I'hyper segmentation colique en sont
des facteurs favorisants.
C. Les complications de la diverticulite sont : les fistules, les
péritonites et l'hémorragie.
D. Le drainage scanno-guidé est indiqué dans les abcès de
plus de 5 cm de diamètre.
E. La classification de Hinchey est une classification pronostique
Source : Q13 - 18-19 Sec A
Réponse : BE
06. Douleur localisée à la fosse iliaque gauche évoque :
A. Une torsion ovarienne gauche.
B. Une sigmoidite diverticulaire
C. Une grossesse extra-utérine droite.
D. Une fissuration d'un anévrisme de l'aorte.
E. Une colique néphrétique gauche.
Source : Q27 - 18-19 Sec A
10
Source : Q17 - 18-19 Sec B
Réponse : ABDE
Réponse : B
08. La diverticulite colique est définie par : Les RJ
A. Une infection d'un diverticule.
B. Une inflammation d'un diverticule.
C. S'accompagne d'une péri-diverticulite.
D. Ne se complique pas de péritonite.
E. Peut se compliquer de sténose colique.
Source : Q15 - 18-19 Sec C
03. La Diverticulose colique La/Les RJ
A. Survient avant l'âge de 40 ans.
B. Est plus fréquente en occident
C. Est Favorisée par un régime pauvre en fibre
D. Ne se complique jamais.
E. Le risque augmente à partir de 50 ans
Source : Q06 - 19-20 Sec A
07. Une maladie diverticulaire gauche compliquée d'un
abcès du méso-colon de 7-8 cm, résistant au traitement
médical, se traite en première intention :
A. Par une antibiothérapie adaptée.
B. Par drainage écho ou scanno-guidé + AB.
C. Par drainage chirurgical.
D. Par drainage et résection anastomose sigmoidienne et
stomie de protection
E. Par une colectomie totale
Réponse : ABCE
09. La physiopathologie de la diverticulose fait
intervenir : Les RJ
A. Un régime alimentaire riche en fibres
B. L’âge jeune.
C. Des troubles de la motricité colique
D. Des altérations des fibres collagènes et élastiques
E. Une hypo pression et hyper segmentation colique.
Source : Q16 - 18-19 Sec C
Réponse : CDE
10. Concernant la diverticulose colique : La RF
A. Elle siège plus souvent sur le colon droit que sur le colon
gauche
B. Elle est le plus souvent asymptomatique
C. Elle peut être responsable de péritonite stercorale
D. Elle peut être responsable d'une sténose colique
E. Elle peut être responsable d'une pneumaturie
Source : Q24 - 16-17 Sec A
Réponse : A
11. L’abcès divercticulaire : Les RJ
A. Est évoqué devant la fièvre et l'aggravation des
douleurs abdominales
B. La TDM permet de faire un bilan lésionnel et un geste
de drainage
C. La mortalité péri-opératoire est corrélée à la
classification de Hinchey
D. La coloscopie permet d'en faire le diagnostic
E. Répond au traitement médical seul
Source : Q17 - 16-17 Sec B
Réponse : AB
12. Parmi les complications de la diverticulose colique,
une seule est fausse, Laquelle ?
A. Les rectorragies
B. Les fistules abdominales
C. Les occlusions coliques D. Les diverticulites.
E. Les vomissements
Source : Q17 - 16-17 Sec C
Réponse : E
4ème Année Med Oran
2020/2021
16. Recto Colite Hémorragique :
01. La rectocolite hémorragique est caractérisée par :
A. C’est une maladie inflammatoire intestinale d'étiologie
inconnue
B. Le tabac n'est pas un facteur de risque de la maladie
C. Elle évolue par poussées et remissions
D. Elle survient surtout chez le sujet âgé
E. Elle n'altère pas la qualité de vie
Source : Q18 - 20-21 Sec A
Réponse : ABC
02. Au cours de la rectocolite hémorragique : La/Les RJ
A. L'âge de survenue est surtout un âge jeune
B. Le traitement chirurgical peut être curatif
C. Les fistules internes sont souvent observées
D. Le granulome inflammatoire est retrouvé à I'histologie
E. L'association à des manifestations extra-intestinales
Source : Q19 - 20-21 Sec A
Réponse : ABE
03. Parmi ces affirmations, quelles sont celles qui
sont caractéristiques de la rectocolite hémorragique :
A. Se manifeste par des rectorragies
B. Avec une atteinte grêlique
C. La muqueuse ulcérée est séparée de muqueuse saine
D. Avec une atteinte anopérinéale
E. Avec un risque de transformation maligne après une
longue évolution
Source : Q05 - 19-20 Sec A
Réponse : AE
04. Les principales caractéristiques de la rectocolite
ulcéro-hémorragique (RCH) sont : La/Les RJ
A. Elle se manifeste par des rectorragies
B. Elle est associée à des manifestations extra intestinales
C. Il n'existe pas d'espace de muqueuse saine à la coloscopie
D. Elle touche tout le tube digestif
E. Elle ne présente aucun risque de cancérisation
Source : Q01 - 19-20 Sec B
Réponse : ABC
05. Concernant la rectocolite hémorragique : La/Les RJ
A. Se manifeste par des rectorragies
B. Est associée des lésions ano-périneales
C. Atteinte colique uniforme, sans espaces de muqueuse saine
D. Présence du granulome a l'histologie
E. Peut evoluer vers un cancer colorectal
Source : Q24 - 19-20 Sec C
Réponse : AE
06. Parmi ces manifestations extra-intestinales de la
RCH, quelle(s) est (sont) celle(s) qui évolue(nt) à son
(leurs) propre compte :
A. L'uvéite
B. La spondylarthrite ankylosante
C. La cholangite sclérosante primitive
D. Les arthralgies
E. Les aphtes
Source : Q07 - 18-19 Sec A
Réponse : B
07. En cas de poussée sévère de RCH cortico résistante,
quels sont les alternatives thérapeutiques dont on
dispose : La/Les RJ
A. Anti TNF alpha (Rémicade)
B. Immunosuppresseur (Imurel)
C. Chirurgie
D. Immunosuppresseur (Ciclosporine IV)
E. Dérivés salicylés (Pentasa)
Source : Q28 - 18-19 Sec B
11
Réponse : ACD
08. La classification de Truelove et Witts au cours d'une
poussée sévère de RCH se comporte : La/Les RJ
A. Un nombre de selles liquidiennes supérieur à 6
B. Un pouls supérieur à 90 battements/min
C. Un taux d'hémoglobine < 55 % de la valeur normale
D. Une vitesse de sédimentation (VS) > 30 mm la 2ème hr
E. La présence d'une fièvre
Source : Q01 - 18-19 Sec C
Réponse : BE
09. La RCH est une affection intestinale chronique,
caractérisée par : La/Les RF
A. Une atteinte rectale constante
B. Une cholangite sclérosante primitive (CSP) comme
manifestation extra digestive
C. Des ulcérations iléo-caecales continues sans intervalle de
muqueuse saine
D. Un retard staturo-pondéral quand elle touche l'enfant
E. Un risque de dégénérescence lorsque la maladie est
ancienne
Source : Q02 - 18-19 Sec C
Réponse : CD
10. Dans la Recto-Colite Hémorragique, le traitement
chirurgical est indiqué en cas de : La/Les RF
A. Colectasie
B. Hémorragie profuse
C. Perforation
D. Evolution favorable d'une colite aiguë grave
E. Dysplasie sévère
Source : Q01 - 17-18 Sec B
Réponse : D
11. La Rectocolite ulcéro-hémorragique : La/Les RJ
A. Est une maladie Inflammatoire intestinale chronique,
d'étiologie inconnue
B. Les lésions débutent dans le cœcum, sont continue sans
intervalle de muqueuse saine.
C. Peut se manifester par une cholangite sclérosante
primitive
D. Peut se compliquer d'un lymphome intestinal
E. Doit être traitée chirurgicalement
Source : Q58 - 17-18 Sec B
Réponse : AC
12. Parmi ces propositions thérapeutiques, quels
sont celles qui sont définitivement curatives en cas
de RCH ?
A. Traitement corticoïde
B. Résection colorectale+ anastomose iléo-anale
C. Ciclosporine IV
D. Résection ileo colique droite + anastomose
términoterminale
E. Iléostomie définitive après coloprotectomie totale
Source : Q22 - 16-17 Sec C
Réponse : BE
4ème Année Med Oran
2020/2021
17. Maladie de Crohn :
01. Une de ces manifestations est rencontrée dans la
maladie de Crohn et non dans le RCUH, Laquelle ?
A. Arthropathie axiale
B. Erythème noueux
C. Diarrhée sanglante
D. Lithiase rénale oxalique
E. Un pyoderma gangrenosum
Source : Q20 - 20-21 Sec A Q20 - 18-19 Sec C
Réponse : D
02. Lors du diagnostic histologique d'une maladie de
Crohn iléo-cæcale, plusieurs diagnostics différentiels ne
peuvent être évoqués : La/Les RJ
A. La tuberculose digestive
B. Lymphome primitif intestinal
C. Colite ischémique
D. La Recto-colite ulcèro-hémorragique
E. La maladie de Whipple
Source : Q21 - 20-21 Sec A Q12 - 17-18 Sec B
Réponse : CDE
03. La maladie de Crohn se traduit par : La/Les RF
A. Des anomalies pariétales et/ou extra pariétales.
B. Un hyper signal T1 pariétal.
C. Des ulcérations superficielles linéaires
D. Une hypo vascularisation du mésentère.
E. Des collections abcédées
Source : Q20 - 19-20 Sec A
Réponse : BCD
04. Au cours du suivie de la maladie de Crohn par
entéro-colo-IRM : La/Les RJ
A. L’examen ne nécessite pas de balisage des anses grêles.
B. L’IRM ne permet pas de distinguer les lésions actives des
atteintes fibrosantes.
C. L’œdème Sous-muqueux se traduit par un hypo signal
pariétal en pondération T2.
D. L’IRM permet la détection de l’hyperhémie et de
l'infiltration du mésentère.
E. En IRM, I’injection du produit de contraste iodé est
contributive à l’analyse des lésions actives.
Source : Q21 - 18-19 Sec A
Réponse : D
05. La maladie de Crohn colique est caractérisée
macroscopiquement par : La/Les RJ
A. Der ulcérations en carte de géographie
B. Un épaississement de la paroi
C. Des fistules
D. Des lésions polyploïdes
E. Des lésions continues
Source : Q40 - 18-19 Sec A
Réponse : ABC
06. Au cours de l'évaluation radiologique de la maladie
de Crohn, I'IRM : La/Les RJ
A. Permet une étude morphologique et fonctionnelle des
lésions transmurales.
B. L'entero-IRM reste un examen invasif irradiant
C. L'exploration se limite aux lésions muqueuses sans
toutefois juger du degré des atteintes extra
pariétales.
D. N'a aucun apport sur les lésions mésentériques associées.
E. Aucune des réponses n'est juste.
Source : Q35 - 18-19 Sec C
07. Tous ces signes histologiques sont rencontrés dans
la maladie de Crohn sauf un, Lequel ?
A. Présence de follicule épithélioïde.
B. Des ulcérations fissuraires.
C. Une inflammation de toute l'épaisseur de la paroi.
D. Des ulcérations de la muqueuse.
E. Des abcès cryptiques
Source : Q05 - 16-17 Sec A Q08 - 2015 Sec A
Réponse : E
08. La maladie de Crohn iléale est visible sur le transit
du grêle sous forme d': Les RJ
A. Image lacunaire irrégulière
B. Un aspect pavimenteux
C. Ulcérations longitudinales dites en ragade, transversales
donnant des spicules
D. Image en trognon de pomme
E. Un rétrécissement asymétrique
Source : Q08 - 16-17 Sec A
Réponse : BCE
09. Les caractères macroscopiques de la maladie de
Crohn sont : La RF
A. Une paroi tuméfiée
B. Des lésions continues
C. Des fistules
D. Un rétrécissement de la lumière
E. Des ulcérations serpigineuses ou en carte de géographie
Source : Q30 - 16-17 Sec B
Réponse : B
10. Une de ces pathologies intestinales est caractérisée
par l’atteinte de segments d’anses entrecoupée par des
segments d’anses saines :
A. Crohn
B. RCH
C. Sclérodermie
D. Polypose colique
E. Maladie cœliaque
Source : Q05 - 16-17 Sec C
12
Réponse : A
Réponse : A
4ème Année Med Oran
2020/2021
18. Manifestations Digestives du SIDA :
19. Parasitoses Digestives :
01. Parmi ces lesions tumorales, (les)laquelle quelles est
(sont) observée(s) au cours d'une infection a HIV :
A. Condylome anal
B. Maladie de Kaposi
C. Adénocarcinome gastrique
D. Lymphome non Hodgkinlen grélo-colique
E. Cancer épidemoïde du canal anal
01. L'Oxyurose est caractérisée par : La/Les RJ
A. Parasitose ubiquitaire strictement humaine qui
touche surtout les enfants
B. Prurit anal et/ou vulvaire vespéral
C. Diarrhée abondante et brutale
D. Epigastralgies intenses avec tableau de malabsorption
E. Le traitement repose sur le Métronidazole en 1ère intention
Source : Q22 - 20-21 Sec A
Réponse : ABDE
02. Les atteintes proctologiques retrouvées au cours de
l’infection à VIH : La/Les RJ
A. Ulcérations herpétiques.
B. Lymphome non hodgkinien.
C. Condylomes.
D. Cancer épidermoïde anal.
E. Maladie de Kaposi
Source : Q34 - 19-20 Sec A
Réponse : ABCDE
03. Concernant l’Infection HIV et tube digestif : La/Les RJ
A. Les manifestations digestives au cours de l'infection à
VIH sont rares.
B. L'œsophage est l'organe digestif le plus fréquemment
touché au cours de l'infection à VIH.
C. Le CMV touche uniquement l'œsophage.
D. L'œsophagite herpétique prédomine à la partie haute
de l'œsophage.
E. Le traitement des ulcérations œsophagiennes
idiopathiques est une antibiothérapie
Source : Q05 - 19-20 Sec B
Réponse : B
04. La candidose œsophagienne au cour de l’infection à
VIH : La/Les RJ
A. Elle représente la principale infection opportuniste
digestive.
B. L'endoscopie de contrôle après TRT est systématique
C. Elle peut être associée à une atteinte buccale
D. l'endoscopie, on objective des plaques de fausses
membranes blanchâtres
E. Le traitement repose sur le Métronidazole a la dose de
15g/jour, pendant 10 a 15 jour
Source : Q30 - 19-20 Sec C
Réponse : ACD
Source : Q23 - 20-21 Sec A Q12 - 19-20 Sec B
Réponse : AB
02. Concernant l’amibiase intestinale : La/Les RJ
A. Est due à un protozoaire, de type Entamoeba histolytica.
B. Peut se manifester par un syndrome dysentérique.
C. Le traitement repose sur l’amoxicilline 2 g/I pdt 7 jours.
D. Peut toucher le foie.
E. Le traitement repose sur l’administration orale d’un nitroimidazole (métronidazole : 1,5 g/jour) pendant 10 jours.
Source : Q33 - 19-20 Sec A
Réponse : ABDE
03. Le taæniasis ou tænia saginata : Les RJ
A. Est dû à un vers plat
B. La contamination se fait par ingestion d’œufs par les
bovins.
C. Se manifeste parfois par des douleurs abdominales
D. Se complique d'une hémorragie digestive
E. Sa prévention repose sur une bonne cuisson de la viande
Source : Q03 - 18-19 Sec A
Réponse : ABCE
04. Au cours de l’amibiase intestinale, la présence
ou l'absence de symptômes cliniques dépend : la RJ
A. De la morphologie de la souche amibienne.
B. De la taille de la souche amibienne.
C. De la durée de l'infection amibienne
D. De l'âge du sujet.
E. De la virulence de la souche amibienne
Source : Q23 - 16-17 Sec A
Réponse : E
05. Au cours d’une amibiase colique les signes
cliniques retrouvés sont : La/Les RF
A. Hépatomégalie avec ictère
B. Diarrhée chronique avec syndrome de malabsorption
C. Diarrhée glairo-sanglante avec syndrome réctale
D. Réctorragie
E. Une masse dure au touché réctale
Source : Q23 - 16-17 Sec C
Réponse : ABDE
06. Le prurit anal est un signe majeur au cours d’une de
ces parasitoses intestinales, laquelle ?
A. Ascardiose.
B. Taeniasis à taenia solium
C. Taeniasis à taenia saginata
D. Oxyurose
E. Trichocéphalose
Source : Q25 - 16-17 Sec C
13
Réponse : D
4ème Année Med Oran
2020/2021
20. 21. Cancer Colo Rectal :
23. Anapath du tube digestif :
01. Parmi les lesions suivantes, laquelle ou lesquelles
prédispose(ent) au cancer colique : La/Les RJ
A. Le diverticule collque
B. La RCH
C. Le polype adenomateux
D. L'amibiase colique
E. Toutes ces réponses sont fausses
01. L’œsophage de Barrett : La/Les RJ
A. Est une complication d’un reflux gastro-œsophagien
chronique
B. La muqueuse œsophagienne est tapissée par un
épithélium en métaplasie malpighienne
C. Peut comporter une dysplasie des structures
glandulaires
D. Est une complication infectieuse due au cytomegalovirus
E. Est une complication de infection a Helicobacter Pylori
Source : Q24 - 20-21 Sec A
Réponse : BC
02. Le diagnostic positif des tumeurs colorectales est fait
par : La RJ
A. TDM abdomino-pelvienne
B. IRM pelvienne
C. Colonoscopie avec biopsie pour étude histologique
D. Echographie abdominale
E. Lavement baryté
Source : Q25 - 20-21 Sec A
Réponse : C
03. Parmi les facteurs suivants, lesquels favorisent le
cancer du colon ?
A. Syndrame de Lynch
B. Cholecystectomie
C. Antioxydants
D. Les nitrites
E. Vitamine D 12.
Source : Q11 - 19-20 Sec C
Réponse : ABD
04. Dans le cancer du rectum, L’IRM Pelvienne : La/Les RF
A. Permet de distinguer les stades T1 des stades T2
B. Permet de préciser la distance entre le pôle inférieur de
la tumeur et le sphincter interne de l'anus
C. Permet de classer la tumeur selon le statut M
D. Permet de détecter l'envahissement ganglionnaire
E. Permet d'avoir le statut T de la tumeur pour la classer
Source : Q10 - 18-19 Sec B
Réponse : AC
05. L’exploration par un lavement baryté d’un
adénocarcinome colique : La/Les RJ
A. Permet d'apprécier l'étendue de la lésion
B. Retrouve fréquemment un rétrécissement centre, à bords
réguliers
C. Retrouve fréquemment un rétrécissement excentre, à
bords irréguliers avec angles raccordement aiguës en
trognon de pomme.
D. Permet d'explorer le reste du cadre colique à la
recherche d'anomalies pariétales ou de lésions à risques
E. Toutes les réponses sont fausses
Source : Q34 - 18-19 Sec C
Réponse : ACD
06. Quel est l’examen qui pose le diagnostic de cancer
du rectum avec certitude : La RJ
A. Le toucher rectal, patient en décubitus latéral
B. Les rectorragies abondantes
C. L’anuscopie
D. La rectoscopie avec biopsies
E. L’IRM pelvienne
Source : Q04 - 16-17 Sec B
14
Réponse : D
Source : Q23 - 20-21 Sec A
Réponse : AC
02. Concernant l’œsophage de Barrett : Les RF
A. Est dû à l'action acide du liquide gastrique sur un reflux
gastro-sophagiens persistant
B. La muqueuse malpighienne est remplacée par un
épithélium de type para malpighien
C. On retrouve une muqueuse métaplasique de type
glandulaire contenant des cellules caliciformes intestinales
D. Sans traitement il n'évolue jamais vers la dysplasie
E. La surveillance n'est pas nécessaire car il n'existe aucun
risque évolutif vers un carcinome
Source : Q07 - 16-17 Sec C
Réponse : BDE
03. L’endobrachyœsophage : La RF
A. Se définit par l'existence au-dessus du cardia d'une
muqueuse glandulaire au sein de la muqueuse
œsophagienne
B. Dans la majorité des cas il s'agit d'une métaplasie
remplaçant la muqueuse malpighienne ulcérée
C. Endoscopiquement la muqueuse glandulaire et rouge
dépoli granité
D. L'endobrachyœsophage ne dégénère jamais
E. Histologiquement, la muqueuse de
l'endobrachyœsophage est polymorphe glandulaire
Source : Q13 - 2015 Sec A
Réponse : D
04. Concernant les tumeurs œsophagiennes primitives : La RF
A. Pour les tumeurs bénignes, les tumeurs d'origine épithéliales
sont plus fréquentes que les tumeur mésenchymateuses
B. Le carcinome épidermoïde et la tumeur maligne la + freq
C. Les adénocarcinomes touchent le 1/3 inférieur et
surviennent sur un œsophage de Barret
D. la dysplasie est une lésion précurseur de
l'adénocarcinome œsophagien
E. le carcinome épidermoïde peut être végétant,
polyploïde, plan ou ulcéré
Source : Q06 - 16-17 Sec C
Réponse : A
05. Concernant la gastrite chronique à HP : La RF
A. L'atteinte peut être antrale et fundique
B. La bactérie est retrouvée dans la couche superficielle du
mucus
C. Dans 50 % environ la gastrite est asymptomatique
D. Il existe un infiltrat inflammatoire lympho-plasmocytaire
sans jamais de métaplasie intestinale
E. Sans traitement la bactérie peut engendrer un
lymphome gastrique de type MALT
Source : Q31 - 17-18 Sec B Q03 - 16-17 Sec A
Réponse : D
4ème Année Med Oran
2020/2021
22. 24. 25. Explorations du tube Digestif :
01. Les indications actuelles du transit œsophagien sont :
A. La recherche d’une compression extrinseque
B. La recherche d’un reflux gastro-œsophage
C. Un contrôle post-opératoire
D. Examen endoscopique non concluant
E. Bilan d’extension
Source : Q26 - 20-21 Sec A
Réponse : BCD
02. La cholangio-pancreatoyagraphie rétrograde
endoscopique (CPRE) : La/Les RJ
A. Est un examen non invasif qui explore les voies biliaires
B. Est un examen à visée diagnostique seulement
C. Est un examen à visée diagnostique et thérapeutique
D. Est un examen qui se fait en salle de radiologie
E. Son indication à visée diagnostique a été supplanté par
la bili-IRM
Source : Q28 - 20-21 Sec A Q03 - 19-20 Sec B
Réponse : CDE
03. La fibroscopie nous apporte un renseignement
important : La RF
A. Sur aspect de la tumeur
B. Sur la distance d’une tumeur œsophagienne par rapport
aux arcades
C. Sur le type histologique de la tumeur
D. Sur la présence ou l’absence d’une muqueuse de Barret
E. L’état de la muqueuse gastrique en vue d'une éventuelle
gastro-plastie
Source : Q29 - 20-21 Sec A
Réponse : C
04. Quelles sont les indications en urgence de la
fibroscopie digestive haute : La/Les RJ
A. Perforation
B. Hémorragie digestive haute.
C. Ingestion de produit caustique.
D. Recherche de signes d’hypertension portale.
E. Exploration de diarrhée chronique.
Source : Q16 - 19-20 Sec A
Réponse : BC
05. Concernant la CPRE : La/Les RJ
A. Est un examen invasif.
B. Est réalisée grâce à un duodenoscope à vision axiale.
C. Consiste en un repérage de la papille.
D. Est indiquée en cas d'obstacle de la voie blliaire
principale.
E. Sa principale complication est la pancréatite aigue.
Source : Q17 - 19-20 Sec A
Réponse : ACDE
06. Les contre-indications de la fibroscopie
œsogastroduodénale sont : La/Les RF
A. État de choc
B. IDM récent
C. Insuffisance cardiaque et respiratoire sévères
D. Patient sous anti vitamine K (AVK) avec TP à 28%
E. Troubles de la conscience chez un malade non intubé
Source : Q02 - 19-20 Sec B
15
Réponse : D
07. Une image de compression extrinsèque peut se
traduire par (réponses fausses) :
A. Des contours nets et réguliers
B. Un angle de raccordement obtus.
C. Un plissement muqueux anarchique.
D. Une niche ulcéreuse.
E. Une sténose caustique
Source : Q35 - 19-20 Sec B
Réponse : CDE
08. Quelles sont les contres Indications de la fibroscopie
digestive haute : La/Les RJ
A. Perforation.
B. Age avance.
C Troubles de l'hémostase
D. Estomac plein.
E. État de Choc.
Source : Q38 - 19-20 Sec C
Réponse : ADE
09. Les dilatations endoscopiques sont indiquées en cas
de : La/Les RJ
A. Sténose unique, asymptomatique
B. Sténoses multiples et excentrées
C. Sténose unique et longue de 8 cm
D. Sténose unique, courte et symptomatique
E. Sténoses uniquement néoplasiques
Source : Q08 - 18-19 Sec A
Réponse : D
10. L'écho-endoscopie : La/Les RF
A. Est l'examen de première intention en cas d'hémorragie
digestive.
B. Permet de faire le diagnostic histologique des tumeurs
sous-muqueuses par les biopsies
C. Peut être pratiquée chez un patient en état de choc.
D. Permet l'exploration des voies biliaires et du pancréas
E. Peut être réalisée par voie basse pour étudier la paroi
rectale et la région anopérinéale
Source : Q11 - 18-19 Sec A
Réponse : AC
11. Le diagnostic de la nature exacte d'une masse
abdominale est obtenu par : La/Les RJ
A. L'IRM abdominale.
B. La TDM abdominale avec injection du produit de
contraste.
C. La cyto-ponction radioguidée.
D. L'examen anatomo-pathologique de la masse.
E. L'échographie abdominale.
Source : Q29 - 18-19 Sec A
Réponse : D
12. Un adénocarcinome gastrique ulcéré se traduit sur
un TOGD par les signes suivants : La RJ
A. Une image de soustraction aux contours irréguliers.
B. Une image diverticulaire à collet étroit.
C. Une confluence de plis fins et réguliers.
D. Une image d'addition de contours irréguliers avec
convergence de gros plis anarchiques
E. Une image de rétrécissement avec dilatation d'amont
Source : Q34 - 18-19 Sec B
Réponse : D
4ème Année Med Oran
2020/2021
13. Au cours de l'exploration radiologique des
pathologies coliques : La/Les RF
A. L'aspect en accordéon sur TDM fait évoquer une pan
colite.
B. Le colo scanner permet la détection des masses
pariétales bourgeonnantes.
C. Dans un contexte péri opératoire, l'exploration
s'effectue par lavement à la baryte.
D. L'aspect en grain de café sur l'ASP suggère un volvulus.
E. Une sténose colique serrée irrégulière en trognon de
pomme sur le lavement baryté évoque une atteinte bénigne.
Source : Q36 - 18-19 Sec B
Réponse : CE
14. Au cours de l'exploration radiologique par TOGD :
A. Une image d'addition de la face postérieure de
l'œsophage cervical suggère un diverticule de Zenker.
B. L'examen n'est pas contributif dans l'exploration des
achalasies.
C. Des images de soustraction extrinsèques étagées
évoquent des varices esophagiennes en cas d'HTP.
D. L'opacification du cardia en intra thoracique suggère
une hernie hiatale par glissement
E. La forme ulcérée du cancer gastrique se traduit par une
image lacunaire.
Source : Q37 - 18-19 Sec B
Réponse : ACD
15. La capsule vidéo endoscopique est : La/Les RF
A. Examen endoscopique invasif réalisé en ambulatoire.
B. Indiquée dans les hémorragies digestives sans causes
retrouvées.
C. Indiquée dans le bilan des sténoses digestives
D. Indiquée en cas de maladie cœliaque réfractaire aux
régimes sans gluten
E. Permet de faire la résection des polypes greliques.
Source : Q09 - 18-19 Sec C
Réponse : ACE
16. Au cours de l’exploration d’un ulcère bulbaire :
A. Le TOGD peut mettre en évidence la niche ulcéreuse
sous forme d'une image d'addition
B. Le TOGD peut mettre en évidence la niche ulcéreuse
sous forme d'une image de soustraction
C. La convergence des plis muqueux peut indiquer le siège
de la niche
D. La niche ulcéreuse siège fréquemment sur la face
antérieure du bulbe.
E. En cas de suspicion de perforation, l'examen s’effectue
par opacification à la baryte
Source : Q36 - 18-19 Sec C
Réponse : AC
17. Concernant la coloscopie : La/Les RF
A. Est indiqué en cas de diarrhée chronique
B. Nécessite une préparation clique par une solution hydreélectrolytique contenant du polyéthylène glycol
C. Permet de faire le diagnostic histologique des cancers
par les biopsies
D. Est indiqué en cas de péritonite par perforation colique
E. Permet le dépistage des lésions dysplasiques
précancéreuses
Source : Q13 - 17-18 Sec B
16
Réponse : D
18. La capsule Vidéo-Endoscopique : La/Les RF
A. Examen endoscopique invasif réalisé en ambulatoire
B. Indiquée dans les hémorragies digestives sans causes
retrouvées.
C. Indiquée dans le bilan des sténoses digestives
D. Indiquée en cas de maladie cœliaque réfractaire aux
régimes sans gluten.
E. Permet de faire le diagnostic histologique des lésions
digestives
Source : Q27 - 17-18 Sec B
Réponse : ACE
19. Les explorations complémentaires utiles au
diagnostic de la dyspepsie fonctionnelle retrouvent :
A. Anomalies biologiques
B. Œsophagite peptique
C. Lithiase vésiculaire
D. Helicobacter pylori
E. Ulcère gastroduodénal
Source : Q28 - 17-18 Sec B
Réponse : D
20. Les diverticules œsophagiens sont visibles sur un
TGOD comme : La RJ
A. Des ondes tertiaires
B. Des images lacunaires hétérogènes
C. Des rétrécissements centrés réguliers
D. Des spasmes étagés, avec conservation des plissements
muqueux
E. Des images d'addition qui s'opacifient lors du transit
œsophagien.
Source : Q06 - 16-17 Sec A
Réponse : E
21. Le processus tumoral malin bourgeonnant gastrique
est visible sur le TOGD sous forme d' : La RJ
A. Une image lacunaire de contours nets et réguliers
B. Une image lacunaire de contours irréguliers
C. Une rigidité pariétale localisée
D. Une rigidité étendue donnant un aspect de linite
E. Une image ulcéreuse
Source : Q07 - 16-17 Sec A
Réponse : B
22. Un processus tumoral bénin de l’estomac est visible
sur le TOGD comme : La RJ
A. Une niche centrale entourée d'un halo clair de contours
irréguliers
B. Une image lacunaire de contours irréguliers
C. Une rigidité pariétale localisée
D. Une rigidité étendue donnant un aspect de linite
E. Une image lacunaire de contours réguliers
Source : Q33 - 16-17 Sec B
Réponse : E
23. Parmi les contre indications de l'injection de produit
de contraste : La RF
A. Grossesse.
B. Insuffisance rénale
C. Allergie au produit de contraste.
D. Insuffisance hépatocelulalre.
E. Myélome multiple.
Source : Q02 - 2015 Sec A
Réponse : D
4ème Année Med Oran
2020/2021
26. Dyspepsie fonctionnelle :
01. Selon les critères de ROME IV, la dyspepsie
fonctionnelle est définie par la présence au moment du
diagnostic d'au moins 1 des symptômes suivants :
La/Les RJ
A. Des douleurs épigastriques
B. Des hématémèses de petites abondances
C. Une plénitude gastrique génante post-prandiale
D. Dysphagie progressive
E. Une satiété précoce post-prandial
Source : Q30 - 20-21 Sec A
Réponse : ACE
02. Les symptômes rencontrés au cours de la dyspepsie
fonctionnelle sont : Les RJ
A. Eructations
B. Ballonnement abdominal
C. Hémorragie digestive
D. Arrêt des matières et des gaz
E. Amaigrissement.
Source : Q18 - 18-19 Sec A Q22 - 17-18 Sec B
Réponse : AB
03. Les explorations complémentaires utiles au diagnostic
de la dyspepsie fonctionnelle retrouvent :
A. Anomalies biologiques
B. Œsophagite peptique
C. Lithiase vésiculaire
D. Helicobacter pylori
E. Ulcère gastroduodénal
Source : Q28 - 17-18 Sec B
Réponse : D
27. Colopathie Fonctionnelle (SII) :
01. Dans quel (s) cas des examens complémentaires
sont obligatoires devant un syndrome de l'intestin
irritable répondant aux critères de Rome V: La/Les RJ
A. Age inférieur à 50 ans
B. Diarrhée chronique
C. Amaigrissement.
D. Troubles psychologiques
E. Hémorragie digestive
Source : Q31 - 20-21 Sec A Q11 - 19-20 Sec B
Réponse : BCE
02. Quelles sont la ou les proposition (s) exacte (s)
concernant le syndrome de l'Intestin irritable ?
A. La douleur abdominale est calmée par l'émission des selles.
B. La douleur abdominale est souvent matinale ou
postprandiale.
C. Dans les formes avec diarrhée, celle-ci a les caractères
d'une diarrhée de malabsorption.
D. La coloscopie est indispensable chez tous les malades
pour affirmer le diagnostic.
E. Les antispasmodiques sont proposés comme traitement
de première intention.
Source : Q04 - 18-19 Sec A
Réponse : ABE
03. Parmi les signes suivants, un n'est pas compatible
avec le diagnostic de syndrome de l'intestin irritable
lequel ?
A. La diarrhée
B. Le ballonnement post prandial
C. Les douleurs abdominales
D. L'amaigrissement
E. La constipation
Source : Q30 - 18-19 Sec B Q18-Q25 - 17-18 Sec B
04. Quelles sont les propositions exactes concernant le
syndrome de l'intestin irritable(colopathie fonctionnelle) ?
A. Prédominance féminine.
B. 10 à 15% de la population adulte est concernée
C. La coloscopie est systématique.
D. Les antidépresseurs peuvent être utiles.
E. C’est une pathologie psychosomatique.
Source : Q11 - 18-19 Sec C
Réponse : ABDE
05. Le diagnostic de colopathie fonctionnelle est évoqué
devant : La/Les RF
A. l'existence de douleurs abdominales
B. L'existence de troubles du transit
C. La présence d'hémorroide.
D. La présence de polype rectal.
E. Un ballonnement postprandial.
Source : Q12 - 18-19 Sec C
Réponse : CD
06. Parmi les signes physiques suivants, Indiquer celui
(ceux) que l'on peut trouver à l'examen clinique d'un
malade atteint de syndrome de l'intestin irritable ?
A. Tuméfaction ferme de la fosse iliaque droite
B. Douleur sur la face latérale du rectum au TR
C. Empâtement épigastrique
D. Le ventre est souple et dépressible
E. Douleur de siège variable volontiers diffuse
Source : Q10 - 17-18 Sec B
Réponse : ADE
07. Le traitement de la colopathie fonctionnelle est basé
sur : La RF
A. Des règles diététiques
B. Un traitement médical
C. Un traitement chirurgical
D. Une psychothérapie
E. Une hygiène de vie
Source : Q17 - 17-18 Sec B
Réponse : C
08. Le diagnostic du syndrome de l’intestin irritable est
évoqué devant : La/Les RJ
A. L’existence de douleurs abdominales
B. L’existence de troubles du transit
C. La présence de diverticules sigmoidiens
D. La présence d'hémorroïdes
E. Le ballonnement abdominal
Source : Q27 - 16-17 Sec B
17
Réponse : D
Réponse : ABE
4ème Année Med Oran
2020/2021
28. 29. Proctologie :
01. Une douleur anale peut avoir comme étiologie : La RF
A. Fissure anale
B. Thrombose hémorroïdaire
C. Marisque
D. Abcès peri-anal
E. Cancer anal
Source : Q32 - 20-21 Sec A Q21 - 19-20 Sec C
Réponse : C
02. La douleur de la fissure anale présente les
caractères suivants : La RF
A. Intense
B. Déclenchée par la selle
C. Disparaît pendant quelques minutes
D. Réapparaît pendant plusieurs heures
E. Accompagnée d'une atonie sphincterienne
Source : Q33 - 20-21 Sec A Q19 - 19-20 Sec B
Réponse : E
03. Le traitement chirurgical de la maladie
hémorroïdaire est contre indiqué dans toutes les
situations suivantes sauf une, la quelle ?
A. Incontinence anale
B. Suppurations ano-rectale
C. RCH en poussée
D. Prolapsus irréductible.
E. Ano-rectite post radiothérapie
Source : Q30 - 19-20 Sec A
Réponse : D
04. Le prurit anal dit idiopathique peut être lié à : La RJ
A. Oxyures
B. Cancer de l'anus
C. Atteinte dermatologique
D. Atteinte infectieuse
E. Aucune de ces réponses
Source : Q31 - 19-20 Sec A
Réponse : E
05. Le traitement chirurgical de la maladie
hémorroïdaire est indiqué dans :
A. 100%
B. 80 %
C. 10 % à 15 %
D. 50 %
E. Aucune de ces réponses
Source : Q20 - 19-20 Sec B
Réponse : C
06. Dans la crise hémorroïdaire, les médicaments
phlébotropes ont un effet : La/Les RF
A. Anti agrégant
B. Sur les prostaglandines
C. Sur la perméabilité vasculaire
D. Protecteur
E. Anti infectieux
Source : Q20 - 19-20 Sec C
18
Réponse : BE
Download