QCM Classés & Organisés par COURS Faculté de Médecine - Oran Questions Compilés & Organisés par : - A. Khalida : étudiante en 4ème année médecine Section A - B. Imad Eddine : étudiant en 4ème année médecine Section B Répertoire : 1. Reflux Gastro Œsophagien ...................................................................................01 2. Lésions Caustiques du Tube Digestif.....................................................................01 3. Troubles Moteurs de l’Œsophage .........................................................................02 4. Cancer de l’Œsophage ..........................................................................................02 5. Maladie Ulcéreuse Gastro Duodénale ...................................................................03 6. Complications de l’UGD .......................................................................................04 7. Cancer de l’Estomac ............................................................................................05 8. Diarrhées Chroniques ..........................................................................................06 9. Maladie Cœliaque et Sd de Malabsorption............................................................06 10. Lymphomes Malins Primitifs du TD ....................................................................07 11. Tuberculose Péritonéale..................................................................................08 12. Tuberculose Intestinale...................................................................................08 13. Polypes & Polyposes ..........................................................................................09 14. 15. Diverticulose Colique.................................................................................10 16. Recto Colite Hémorragique...............................................................................11 17. Maladie de Crohn ...........................................................................................12 18. Manifestations Digestives du SIDA .....................................................................13 19. Parasitoses Digestives.....................................................................................13 20. 21. Cancer Colo Rectal.......................................................................................14 22. 24. 25. Explorations du Tube Digestif .................................................................15 26. Dyspepsie fonctionnelle .....................................................................................17 27. Colopathie Fonctionnelle (SII) ...........................................................................17 28. 29. Proctologie ..................................................................................................18 4ème Année Med Oran 2020/2021 2. Lésions Caustiques du Tube Digestif : 1. Reflux Gastro Œsophagien : 01. Le syndrome postural du RGO comporte plusieurs éléments sauf un lequel ? A. Brûlure épigastrique à irradiation ascendante B. Toux nocturne de décubitus C. Pyrosis D. Pituites matinales E. Signe de lacet Source : Q01 - 20-21 Sec A Q19 - 16-17 Sec C Réponse : D 02. Le traitement du RGO simple non compliqué est basé sur tous les moyens suivants sauf un lequel ? A. Intervention de NISSEN B. Mesure posturales C. Alginate ou antisécrétoires D. Prokinétiques E. Perte de poids Source : Q13 - 19-20 Sec A Q19 - 16-17 Sec C Réponse : A 03. Au cours d'un reflux gastro-œsophagien : La RJ A. La sécrétion gastrique acide est toujours augmentée B. La hernie hiatale par glissement n'est pas constante. C. La PH-métrie œsophagienne est indispensable au diagnostic. D. La vidange gastrique est accélérée E. L'hypotonie du sphincter inférieur de l'œsophage est constante. Source : Q17 - 18-19 Sec A Réponse : B 04. Parmi les complications suivantes, quelle est celle qui n’est pas dû à un reflux gastro-œsophagien : A. Une sténose peptique B. Un endobrachyoesophage C. Des pneumopathies récidivantes D. Une œsophagite ulcérée E. Un carcinome épidermoide de l'œsophage Source : Q31 - 18-19 Sec B Réponse : E 01. Certains gestes à faire s'imposent dans le traitement initial des ingestions de produits caustiques : La/Les RJ A.Placer le patient en décubitus dorsal B. Ne pas donner à boire C. Proscrire les vomissements D. Placer une sonde naso-gastrique E. Procéder au lavage gastrique Source : Q02 - 20-21 Sec A Réponse : BC 02. Une sténose œsophagienne secondaire à une ingestion de produit caustique se manifeste cliniquement par les signes suivant sauf un. Lequel ? A. Dysphagie d'évolution croissante B. Amaigrissement C. Hématémèse D. Anémie E. Signes de déshydratation Source : Q10 - 19-20 Sec C Réponse : C 03. Parmi les gestes suivants, cochez ceux qui sont proscrits lors de l'ingestion de produits caustiques : A. L'absorption de liquides neutralisants B. L'aspiration gastrique pendant l'endoscopie digestive C. La réalisation en urgence d'un transit gastrique aux produits solubles D. La position semi assise du malade E. La réalimentation précoce en cas de lésion stade 1 Source : Q08 - 18-19 Sec B Réponse : AC 04. Après ingestion de produit caustique le stade endoscopique IIb correspond à : La RJ A. Erythème B. Nécrose étendue C. Nécrose localisée D. Ulcérations confluentes et circulaires E. Perforation Source : Q35 - 16-17 Sec A Réponse : D 05. Les critères de gravité d'une ingestion de produits caustiques sont : Les RJ A. Ingestion massive d'une solution caustique (>150ml). B. Présence d'un pneumopéritoine sur l’ASP. C. Stade IIb et IIa à l’endoscopie haute. D. Acidose métabolique avec troubles de l'hémostase. E. Brûlure buccales et cutanées importantes. Source : Q40 - 16-17 Sec B Réponse : ABD 06. Quels sont les gestes à éviter chez un malade qui se présente en urgence pour une ingestion massive d'un produit caustique ? A. Désobstruction oropharyngée par des compresses sèches B. Toute manœuvre destinée à provoquer des vomissements C. L’absorption d'eau ou de lait D. Oxygénothérapie nasale E. Le décubitus dorsal qui peut augmenter le risque d'inhalation Source : Q32 - 16-17 Sec C 1 Réponse : BCE 4ème Année Med Oran 2020/2021 3. Troubles Moteurs de l’Œsophage : 4. Cancer de l’Œsophage : 01. Parmi es propositions suivantes : La/Les RJ A. Les anomalies manométriques caractérisent les troubles moteurs de l’œsophage B. Le contrôle de la motricité œsophagienne fait intervenir de façon cordonnée les muscles striées et les muscles lisses C. Le signe du ressaut en endoscopie digestive oriente vers une maladie des spasmes diffus de l’œsophage D. L'achalasie se définie par l'absence de péristaltisme du corps de l’œsophage, hypotonie de repos du SIO, et une relaxation incomplete du SIO lors des déglutitions E. Les douleurs thoraciques pseudo angineuses sont absentes 01. Parmi les propositions suivantes : La/Les RJ A. Le mauvais pronostic du cancer de l’œsophage est lié au retard diagnostic B. Le scanner thoracique fait partie des moyens diagnostiques et non pas du bilan d'extension. C. L'echo-endoscope a peu d’intérêt dans le bilan d’extension D. L'aphagie est un signe de très mauvais pronostic en matière de cancer de l’œsophage E. La radio-chimiothèrapie est l'essentiel de l'arsenal thérapeutique en matière de cancer de l’œsophage Source : Q04 - 20-21 Sec A Réponse : AD au cours de la maladie des spasmes diffus de l’œsophage Source : Q03 - 20-21 Sec A Réponse : AB 02. Parmi les propositions suivantes : La/Les RJ A. Les troubles moteurs de l'œsophage sont liés à des anomalies PH métriques. B. Le sphincter inférieur de l'œsophage est un épaississement musculaire du bas œsophage. C. Le signe du ressaut en endoscopie digestive oriente vers un cardiospasme. D. La manométrie de haute résolution est l'examen le plus spécifique pour le diagnostic de l'achalasie. E. Les douleurs thoraciques pseudo angineuses sont exceptionnelles au cours de la maladie des spasmes diffus de l'œsophage. Source : Q32 - 19-20 Sec A Q08 - 19-20 Sec B Réponse : BCD 03. Les troubles moteurs de l’œsophage comportent : A. Des anomalies de sphincters œsophagiens entravant la progression du bol alimentaire. B. Des anomalies du corps de l'œsophage entravant la progression du bol alimentaire. C. Peuvent être primitives (évoluant de façon isolée) D. C'est une pathologie très fréquente E. L'examen clé est la manométrie de l'œsophage. Source : Q21 - 17-18 Sec B Réponse : ABCE 04. La pseudo achalasie peut-être secondaire à : La RF A. Une maladie de Chagas B. Une tumeur bronchique à petites cellules C. Un adénocarcinome du bas œsophage D. Une sténose bulbaire E. Une obstruction intestinale chronique Source : Q19 - 16-17 Sec A Réponse : D 05. La maladie des spasmes diffus est caractérisée par : A. Douleurs thoraciques pseudo angineuses B. Dysphagie, Intermittente avec odynophagie C. Stases œsophagienne et régurgitations importantes D. Amaigrissement E. Aspect en tire-bouchon de l'œsophage au transit baryté de l’œsophage Source : Q14 - 17-18 Sec B 2 Réponse : ABE 02. Concernant le cancer de l’œsophage : Les RF A. Le pneumo médiastin témoigne d'un cancer de l’œsophage qui saigne B. La dysphonie est une des complications du cancer de l'œsophage C. La carcinose pleurale est un signe de mauvais pronostic. D. L’écho endoscopie fait partie du bilan d'extension du cancer l’œsophage E. L'adénocarcinome est le type histologique le plus fréquent du cancer œsophagien. Source : Q02 - 19-20 Sec A Réponse : AE 03. Concernant le cancer de l'œsophage : La/Les RF A. Le scanner thoracique n'est d'aucune utilité dans son bilan d'extension B. Le cancer de l'œsophage peut se manifester par des hématémèses C. L'échoendoscopie est un examen fiable pour apprécier l'extension de la tumeur œsophagienne. D. Le reflux gastro-œsophagien est le maitre symptôme dans le Kc œsophagien E. La carcinose pleurale témoigne d'un stade évolué du Kc œsophagien Source : Q22 - 19-20 Sec B Réponse : AD 04. Le cancer de l’œsophage se caractérise par : La RJ A. Une dysphagie douloureuse et intermittente. B. Une dysphagie progressive aux solides puis aux liquides, aboutissant à l'aphagie. C. Une simple gêne au passage des aliments avec état général conservé. D. Une dysphagie élective aux liquides. E. Une douleur retro sternale sans difficulté à la déglutition Source : Q05 - 18-19 Sec A Réponse : B 05. Parmi les facteurs suivants citez lequel ou lesquels favorisant le cancer de l’œsophage ? A. Les nitrosamines B. Immunosuppresseurs C. Traumatismes D. Poisson et viande frais ou congelé E. Le megaœsophage Source : Q30 - 16-17 Sec C Réponse : ABCE 4ème Année Med Oran 2020/2021 5. Maladie Ulcéreuse Gastro Duodénale : 01. A propos de I'Hélicobacter pylori : La/Les RJ A. Bactérie gram négatif B. Transmission de l'infection par voie sanguine C. Le reservoir de la bactérie est le tube digestif des mammifères D. N'a pas de cytotoxicité directe E. Faible activité uréasique Source : Q05 - 20-21 Sec A Réponse : A 06. Le contrôle de l'éradication d’HP (dans la maladie ulcéreuse) s’impose en cas de : La RF A. Maladie fréquemment récidivante B. Antécédents de perforation C. Antécédents d'Hémorragie digestive D. Prise d'anticoagulants E. Systématiquement, à la première poussée, chez l'adulte jeune Source : Q22 - 18-19 Sec B 02. La MUGD résulte d’un déséquilibre entre facteurs d'agression et facteurs de défense. Cochez parmi les réponses suivantes, celles qui correspondent à des facteurs de défense : A. L'HCL B. Les bicarbonates C. L'Hélicobacter pylori D. La pepsine E. Le renouvellement cellulaire Source : Q27 - 19-20 Sec A Réponse : BCE 04. Parmi les facteurs de défense lors de la maladie ulcéreuse gastroduodénale : La/Les RJ A. Helicobacter pylori B. Les bicarbonate C. La pepsine D. L'acide chlorhydrique E. Le mucus Source : Q40 - 19-20 Sec C Réponse : BE 05. L’échec de l'éradication de l’Helicobacter pylori (HP) peut-être dû à : La RF A. Mauvaise observance du traitement B. Résistance primaire aux macrolides C. Résistance primaire aux imidazoles D. Ancienneté de la maladie ulcéreuse E. Persistance du tabagisme Source : Q21 - 18-19 Sec B 3 07. Le diagnostic d'infection à Helicobacter pylori peut être fait par : La/ Les RJ A. La sérologie B. La coproculture C. Le test rapide à l'uréase D. Un test respiratoire E. L'histologie des biopsies antrales Source : Q15 - 16-17 Sec A Réponse : ABCDE Réponse : BE 03. La physiopathologie de la MUGD est multifactorielle, elle résulte de : La/Les RF A. Une dégradation du mucus à la surface V des cellules gastriques B. Une augmentation du taux de bicarbonates véhiculés par le sang à la surface de la muqueuse gastrique C. Un renouvellement cellulaire au niveau de la muqueuse gastrique très rapide D. Une hypersécrétion chlorhydro-peptique E. Une prolifération d'une bactérie gram (+), à faible activité uréasique Source : Q10 - 19-20 Sec B Réponse : E Réponse : D 08. L’ulcère duodénal se manifeste par un syndrome ulcéreux typique dans : La RJ A. 5% des cas B. 20% des cas C. 40 à 60% des cas D. 80 à 95% des cas E. 100% des cas Source : Q18 - 16-17 Sec A Réponse : C 09. Parmi les affirmations suivante, concernant la maladie ulcéreuse gastroduodénal : La RF A. La douleur ulcéreuse peut être atypique. B. L’ulcère n’est jamais révéler par une complication C. Le tabac diminue les chances de cicatrisation sous traitement anti sécrétoire. D. Des facteurs génétiques interviennent dans l’ulcérogénèse. E. L’antibiothérapie fait partie du traitement médical Source : Q37 - 16-17 Sec B Réponse : B 10. A propos de l’ulcère duodénal : La RJ A. Est plus Fréquent que l’ulcère gastrique B. Dégénère dans 2 % des cas C. Helicobacter pylori est retrouvée dans 25 % des cas D. Le tableau clinique est toujours typique E. Aucune de ces réponses Source : Q39 - 2015 Sec A Q21 - 16-17 Sec C Réponse : A 4ème Année Med Oran 2020/2021 6. Complications de l’UGD : 01. La perforation d’ulcère peut : Les RJ A. Réaliser un tableau de péritonite aiguë généralisée B. Montrer un pneumopéritoine sur une radiographie de l'abdomen sans preparation centré sur les coupoles diaphragmatiques de face C. Réaliser un tableau d'ulcère perforé bouché D. Il s’agit d'une urgence strictement médicale E. Faire suite à une situation de grand stress Source : Q06 - 20-21 Sec A Réponse : ABCE 02. Dans la perforation d’un ulcère duodénale en péritoine libre, vue dans les premières 12 heures, on observe typiquement : La/Les RJ A. Une contracture abdominale B. Un colapsus cardio-vasculaire C. Une disparition de la matité pré-hépatique à la percussion D. Une température à 38.5°C E. Une douleur au toucher rectal Source : Q57 - 20-21 Sec A Réponse : ACE 03. A propos des complications de la MUGD : La/Les RJ A. La contracture abdominale et la douleur au Douglas signent la péritonite. B. L'absence de pneumoperitoine à l'ASP ne doit pas faire récuser le diagnostic d'une perforation d'UGD. C. La sténose ulcéreuse est d'emblée organique fibreuse, cicatricielle et relevant de la chirurgie D. Le traitement de l'ulcère duodénal perforé en péritoine libre, évoluant depuis plus de 24 heures est toujours chirurgical. E. Un ulcère duodénal présente souvent un risque de dégénérescence. Source : Q19 - 19-20 Sec A Réponse : ABD 04. La classification de FORREST est corrélée au risque de récidive hémorragique des ulcères. En l'absence de traitement ce risque de récidive est de : La/Les RF A . Superieur a 90% en cas d'ulcère Forrest la. B. 50 % si Forrest Ila C. 60 % si Forrest IIb. D. Inférieur a 50%, si Forrest IIc ou III E. Supérieur a 50% si Forrest III Source : Q04 - 19-20 Sec C 4 Réponse : CE 05. Quelle sera votre prescription pour un malade de 50 ans atteint d’un ulcère gastrique antral asymptomatique cicatrisé après 12 semaines de traitement médical ? A. Vagotomie hyper sélective B. Vagotomie tronculaire C. Surveillance endoscopique D. Gastrectomie des 2/3 E. Poursuite du traitement pendant 8 semaines et nouveau contrôle endoscopique Source : Q20 - 16-17 Sec A Réponse : C 06. Laquelle des complications suivantes survient plus volontiers au cours de l'évolution d'un ulcère chronique de la face postérieure du premier duodénum : La RJ A. Péritonite par perforation B. Hémorragie par érosion de l'artère gastroduodénale. C. Fistule cholecysto-duodénale D. Ictère rétentionnel E. Pancréatite aiguë Source : Q31 - 16-17 Sec A Réponse : B 4ème Année Med Oran 2020/2021 7. Cancer de l’Estomac : 01. Les principales conditions précancéreuses à l’origine des cancers gastriques sont : Les RJ A. L’ulcère gastrique B. La maladie de Berger C. L’antrectomie pour ulcère gastrique D. L’ulcère duodenal E. L’adénome gastrique Source : Q07 - 20-21 Sec A Réponse : ACE 02. Concernant le cancer gastrique : La/Les RJ A. Le traitement chirurgical consiste en une exérèse totale ou partielle de l’estomac B. L’Helicobacter pylori est incriminée dans la genèse du cancer gastrique. C. Une chimiothérapie préopératoire doit toujours être administrée. D. Le curage ganglionnaire est obligatoire au cours d’une gastrectomie. E. Le traitement endoscopique est réservé aux tumeurs superficielles. Source : Q28 - 19-20 Sec A Réponse : BDE 03. Parmi les facteurs étiologiques incriminés dans la pathogénie du lymphome Gastrique : Les RF A. Hélicobacter Pylori (HP) B. Campylobacter jejuni C. Virus de l’hépatite B D. Virus de l’hépatite C E. Epstein Barr Virus Source : Q36 - 19-20 Sec A Réponse : ABE 05. Les principales conditions précancéreuses à l’origine des cancers gastriques sont : Les RJ A. La maladie de Biermer B. Gastrectomie partielle C. L'ulcère duodénal D. L'adénome gastrique E. La tuberculose gastrique Source : Q12 - 19-20 Sec C 5 Source : Q04 - 18-19 Sec B Réponse : BCD 07. Devant un patient atteint d'un cancer de l’estomac, quel aire ganglionnaire périphérique est intéressé le plus souvent ? A. Sus claviculaire droite B. Axillaire droite C. Sus claviculaire gauche D. Axillaire gauche E. Inguinale gauche Source : Q11 - 18-19 Sec B Réponse : C 08. Dans les tumeurs malignes de l’estomac : La/Les RJ A. Le diagnostic repose sur la fibroscopie et une biopsie B. L'extension se fait exclusivement par voie lymphatique. C. Le traitement à visée curative reste basé sur l'exérèse chirurgicale. D. Le diagnostic repose sur la fibroscopie et de multiples biopsies. E. Le diagnostic repose sur l'échoendoscopie et le scanner abdominal Source : Q26 - 16-17 Sec A Réponse : CD Réponse : BCDE 04. Parmi les lesions observées au niveau de l’estomac : La/Les RJ A. Le lymphome primitif le plus fréquent est le lymphome à petites cellules du MALT. B. Ce lymphome est un lymphome de bas grade, indolent. C. L'adenocarcinome est une tumeur maligne gastrique très rare D. Les lesions tissulaires précancéreuses haut risque de survenue de cancer sont les polypes hyperplasiques E. Dans les tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) les cellules tumorales ont un phénotype de cellule de Cajal Source : Q37 - 19-20 Sec B 06. Parmi les facteurs suivants, quels sont ceux qui favorisent le cancer de l'estomac ? A. Un Antécédent de cancer colique B. Un antécédent de gastrectomie pour lésion bénigne C. Une Gastrite atrophique D. Une Gastrite hypertrophique de Ménétrier E. Un Polype hyperplasique Réponse : ABD 09. Quels sont les facteurs de risque dans la survenue d'un adénocarcinome de l'estomac : La RF A. Gastrite atrophique de Biermer B. Gastrite hypertrophique de Menetrier, C. Ulcère duodénal D. Infection HP. E. Atcd de gastrectomie totale. Source : Q28 - 16-17 Sec C Réponse : C 4ème Année Med Oran 2020/2021 8. Diarrhées Chroniques : 9. Maladie Cœliaque et Sd de Malabsorption : 01. La diarrhée de type colique se caractérise par : A. Des selles fréquentes, urgentes et abondantes B. Presence de mucus, de sang rouge ou de pus C. Presence de signes de carence en vitam ou sels minéraux D. Association à des dlr abdominales sur le cadre colique E. Retentissement sur l’état gle est fonction de l’étiologie 01. Le diagnostic histologique d'une maladie cœliaque est fait sur : La RF A. Atrophie villositaire B. Hypertrophie des cryptes C. Infiltrât inflammatoire lympho-plasmocytaire D. Rapport cryptes sur villosités inférieur à 1 E. Augmentation du nombre des lymphocytes intra-épithéliaux Source : Q08 - 20-21 Sec A Réponse : BDE Source : Q09 - 20-21 Sec A Réponse : D 02. Quels sont parmi les étiologies des diarrhées chroniques, celles qui sont à l’origine d’une diarrhée par malabsorption pré- entérocytaire ? A. La maladie cœliaque. B. Une insuffisance pancréatique exocrine. C. Une pullulation microbienne du grêle. D. Une anomalie lymphatique secondaire. E. Une maladie de Crohn grélique 02. Lors du syndrome de Malabsorption de la maladie cœliaque, le test D-XYLOSE renseigne sur une atteinte : A. Gastrique B. Pancréatique C. Iléo colique D. Hépatique E. Duodéno-jéjunale 03. La diarrhée de type grêlique se caractérise par : Les RJ A. Des selles abondantes, graisseuses. B. Des selles glairo-sanglantes. C. Des douleurs abdominales diffuses ou péri-ombilicales. D. Retentissement sur l'état général E. Absence de signes clinicobiologique de malabsorption 03. La maladie cœliaque peut être évoquée sur la positivité des anticorps suivants sauf : La/Les RF A. Anticorps anti-DNA natifs B. Anticorps anti-mitochondries C. Anticorps anti-transglutaminase D. Anticorps anti-nucléaires E. Anticorps anti-Endomysium Source : Q24 - 19-20 Sec A Source : Q07 - 19-20 Sec B Réponse : BC Réponse : ACD 04. Dans quel(s) cas une diarrhée aiguë nécessite des explorations : La/Les RF A. Diarrhée aigüe présumée infectieuse. B. Diarrhée sur terrain particulier (sujet âgé, patient valvulaire) C. Diarrhée avec signes cliniques de gravité (hyperthermie >39°, déshydratation..). D. Diarrhée hémorragique avec syndrome dysentérique E. Diarrhée moins de 3 jours sans retentissement. Source : Q03 - 18-19 Sec C Réponse : E 05. Le traitement médical de la diarrhée aiguë repose sur ces principes sauf un, lequel ? A. Réduction de la motilité intestinale. B. Réhydratation et recommandations alimentaires C. Antibiothérapie systématique. D. Diminution de la sécrétion intestinale. E. Adsorption d'eau intra-luminale. Source : Q04 - 18-19 Sec C Réponse : C 06. Les données à recueillir par l'anamnèse lors d’une diarrhée aiguë : Les RJ A. Intoxication collective B. Consommation d'aliments suspects C. Prise récente de médicaments D. Syndrome grippal E. Efforts physiques très intenses Source : Q24 - 17-18 Sec B Réponse : ABCE 07. La diarrhée chronique se définie par : La/Les RJ A. Une diarrhée qui dure entre 2 et 4 semaines B. Un poids de selles supérieur à 300 mg/jour C. Une émission de glaires, pus et sangs D. Un taux de graisse dans les selles supérieur à 6g/jour E. Des selles fréquentes, liquidiennes et qui durent >1mois Source : Q35 - 16-17 Sec B 6 Réponse : BE Source : Q10 - 20-21 Sec A Q38 - 19-20 Sec A Q16 - 2014 Réponse : E Source : Q37 - 19-20 Sec A Q19 - 17-18 Sec B Réponse : ABD 04. Concernant la maladie cœliaque : La RJ 1. La Diarrhée chronique est un mode de révélation fréquent 2. La maladie cœliaque peut se révéler par une anémie 3. Le test au D-xylose est le plus souvent pathologique 4. A la biopsie du grêle, l'atrophie villositaire peut être à un stade IV (atrophie totale) Ill (sub-totale) ou Il (modéré) A. 1,2,3 B. 1,3 C. 2,4 D. 4 E. 1,2,3,4 Source : Q30 - 17-18 Sec B Réponse : E 05. Parmi les signes histo-pathologiques de la maladie cœliaque dans sa forme atypique, lequel doit-on rechercher en 1er lieu ? A. Un rapport Villosité/Crypte diminué B. Une hyperplasie des cryptes C. Un chorion très inflammatoire D. Une lymphocytose intra épithéliale supérieure à 30% E. Une membrane basale épaissie Source : Q30 - 17-18 Sec B Q08 - 16-17 Sec C Q06 - 15 Réponse : D 06. Le diagnostic de malabsorption se fonde sur les examens biologiques suivants, sauf un, lequel ? A. Dosage de graisses dans les selles de 03 jours. B. Test au Dxylose C. Hyperglycémie provoqué par voie orale. D. Test de schilling E. Dosage des folates sanguins Source : Q11 - 16-17 Sec A Réponse : C 07. Le diagnostic de malade cœliaque est confirmé par : La/Les RF A. Bilan biologique B. Bilan radiologique C. Bilan histologique D. Bilan immunologique E. Bilan génétique Source : Q38 - 16-17 Sec B Réponse : AE 4ème Année Med Oran 2020/2021 10. Lymphomes Malins Primitifs du TD : 01. Les lymphomes malins primitifs digestifs : Les RJ A. Se développent au depends du tissu lymphoïde associé aux muqueuses digestifs B. Ce sont des lymphomes hodgkiniens C. Le phenotype T est le plus fréquent D. La gastrite a Hélicobacter pylori est incriminée dans la génèse du lymphome gastrique E. Le colon est la localisation de predilection Source : Q11 - 20-21 Sec A Réponse : AD 02. Maladie des chaînes lourdes alpha : Les RJ A. Est une prolifération maligne primitive développée à partir des lymphocytes B B. Se caractérise par la synthèse d’une IgA anormale C. Le siège préférentiel de la tumeur est I’intestin grêle D. Le stade A est traité par une antibiothérapie E. Le stade C est traité par une antibiothérapie Source : Q12 - 20-21 Sec A Réponse : ABCDE 03. Parmi les propositions suivantes concernant la maladie des chaines lourdes α : Les RJ A. Prolifération clonale de lymphocytes de phénotype B, T B. Rôle pathogène du Campylobacter jejuni dans la prolifération tumorale admis C. Le stade A est un stade immunoblastique de haut degré de malignité D. Plusieurs grades de malignité peuvent être observés au même moment E. La chimiothérapie est instituée d'emblée à tous les stades évolutifs Source : Q13 - 19-20 Sec B Réponse : BD 04. Quelles sont les propositions exactes, concernant les lymphomes digestifs : A. Ce sont des lymphomes hodgkiniens B. Les localisations coliques sont les plus fréquentes C. Le virus est incrimine dans la pathogénie des lymphomes digestifs de bas grade D. 80 % des lymphomes digestifs sont de type T E. Ce sont des lymphomes non hodgkiniens Source : Q25 - 19-20 Sec C 7 Réponse : CE 05. Les lymphomes digestifs de phénotype T : Les RF A. Sont très rares et représentent moins de 5 % de l'ensemble des LNH primitifs du tube digestif B. Siègent principalement au colon C. Peuvent être associés ou non à une entéropathie D. Sont des lymphomes de faible malignité E. L'atteinte lymphomateuse peut être multifocale Source : Q27 - 18-19 Sec B Réponse : BD 06. Le lymphome primitif du tube digestif : La RF A. Est une pathologie maligne B. Se développe à partir du tissu lymphoïde C. Est une prolifération clonale de lymphocytes D. Est un lymphome Hodgkinien E. Est le lymphome extra ganglionnaire le plus fréquent Source : Q23 - 17-18 Sec B Réponse : D 07. Tous ces facteurs sont prédisposants à un lymphome digestif sauf un, Lequel ? A. Déficits immunitaires : syndrome de Wiskott Aldrich et maladie de Waldmann B. Infection au virus d’Epstein Barr C. Infection au virus de I’hépatite C D. Stéato-hépatite. E. Antécédents de radiochimiothérapie ou de prise d'immunosuppresseurs Source : Q11 - 16-17 Sec C Réponse : D 4ème Année Med Oran 2020/2021 11. Tuberculose Péritonéale : 01. Parmi ces examens complémentaires, citez celui ou ceux qui valeur de présomption dans le diagnostic de la TBC peritonéale : La/Les RJ A. La ponction de l’ascite retrouve un exsudat B. Une IDRt >5mm chez le sujet vacciné au BCG C. La laparoscopie retrouve des granulations blanchâtres en tête d’éponge D. Un taux d’ADA dans le liquide d’ascite >15 UI E. Un examen direct avec coloration de Ziehl-Neelsen Source : Q13 - 20-21 Sec A Réponse : C 02. Les critères diagnostiques d’une tuberculose péritonéale : La/Les RJ A. Ascite exsudative. B. Taux de protides dans le liquide d’ascite égal à 18 g/L C. Notion de contage ou d’antécédents de tuberculose. D. IDR à la tuberculine positive. E. Les Adénosine désaminase (ADA) > 30 U/l Source : Q35 - 19-20 Sec A Réponse : ACDE 03. Le diagnostic positif d'une tuberculose péritonéale peut être posé devant ces critères ? La/Les RJ A. Notion de contage ou antécédent de tuberculose. B. Ascite transudative lymphocytaire. C. Taux d'Adénosine désaminase (ADA) > 30 U/I. D. Présence de BK à l'étude bactériologique. E. Présence de follicule de Koester à l'étude histologique. Source : Q06 - 19-20 Sec B Réponse : ACDE 04. Les éléments du diagnostic positif de la tuberculose péritonéale sont : La/Les RJ A. Caractère exsudatif de l'ascite B. IDR à la tuberculine négative C. Absence de signes d'imprégnation spécifique D. Dosage de l'ADA positif (Adénosine désaminase). E. Granulations péritonéales absentes à la cœlioscopie. Source : Q06 - 18-19 Sec A Réponse : AD 05. Au cours de la tuberculose péritonéale : La/Les RJ A. Le dosage de l'ADA (adénosine désaminase) permet de poser le diagnostic de la maladie B. L'ascite est la principale manifestation clinique. C. La forme sèche de la maladie est possible (absence d'ascite). D. La positivité de l'intradermo-réaction à la tuberculine est nécessaire su diagnostic E. L'absence de tuberculose pulmonaire exclue le dg Source : Q18 - 18-19 Sec C Réponse : ABCD 06. Concernant le mycobacterium tuberculosis : Les RJ A. L'intradermo-réaction à la tuberculine (DRT) exprime l'hypersensibilité retardée par injection des antigènes mycobacterium. B. La prévention de la maladie se fait par vaccination BCG à la naissance C. Le diagnostic se fait par la mise en évidence de bacilles acido-alcoolo résistant D. La localisation pulmonaire de la tuberculose est de loin la plus fréquente. E. La localisation de la tuberculose au niveau de péritoine se voit uniquement chez les sujets immunodéprimés Source : Q19 - 18-19 Sec C 8 Réponse : ABCD 07. Les éléments du diagnostic positif de la tuberculose péritonéale sont : La/Les RF A. Taux de protides > 25g/l dans le liquide d'ascite B. Présence de granulations péritonéales blanchâtres à la cœlioscopie C. Absence de granulome épithelio-giganto-cellulaire à l'histologie D. IDR à la tuberculine positive E. liquide d'ascite pauvre en cellules lymphocytaires Source : Q03 - 17-18 Sec B Réponse : CE 08. La primo-Infection au cours de la tuberculose abdominale se caractérise par : La/Les RF A. Les bacilles de Koch sont phagocytés par les macrophages et les cellules de l'inflammation B. Apres la phagocytose, les antigènes bacillaires activent les histiocytes. C. La primo infection est muette D. Au cours de la primo-Infection l'intradermoréaction à la tuberculine est négative E. L'évolution vers la tuberculose maladie se fait dans 10% Source : Q40 - 17-18 Sec B Réponse : BD 12. Tuberculose Intestinale : 01. Lors de la tuberculose intestinale : Les RJ A. Le siège préférentiel de l’atteinte intestinale est iléo-caecal B. La forme ulcéro hyperplasique est la plus fréquente C. Le granulome tuberculoïde avec caséum est rarement retrouvé D. L’iléo-coloscopie avec biopsies sont nécessaires pour le diagnostic de la tuberculose E. Le principal diagnostic différentiel est la RCH Source : Q14 - 20-21 Sec A Réponse : ABCD 02. La tuberculose Intestinale : La/Les RJ A. La principale espèce bactérienne responsable est le mycobacterium tuberculosis. B. Le siège le plus fréquent est duodénal. C. Le mode de contamination le plus fréquent de la tuberculose intestinale primitive est hematologique D. Le granulome tuberculaire avec nécrose caséeuse est caractéristique E. Le traitement de première ligne est : 2RHZ/4RH Source : Q29 - 19-20 Sec C Réponse : ADE 03. La tuberculose intestinale peut toucher plusieurs segments du tube digestif : La RJ A. La localisation colique est peu fréquente B. La localisation iléo-caecale est le siège de prédilection C. L'atteinte du grêle est constante D. Les localisations les plus fréquentes sont l'estomac et le colon E. Une tuberculose pulmonaire est toujours présente Source : Q24 - 18-19 Sec B Q01 - 16-17 Sec A Réponse : B 4ème Année Med Oran 2020/2021 13. Polypes & Polyposes : 01. Concernant la polypose adénomateuse familiale : A. Elle est la polypose héréditaire a transmission autosomique récessive la plus fréquente B. Elle associe une polypose gastro-intestinale hamartomateuse et une lentiginose péri-orificielle C. Caractérisée par la présence de plusieurs centaines de polypes adénomateux digestifs D. L’atteinte rectale est retrouvée dans tous les cas E. La transformation maligne est rare Source : Q15 - 20-21 Sec A Réponse : CD 02. Concernant les polypes adenomateux digestifs A. Ils sont bénins dans 80% des cas B. Leur prévalence diminue avec l’âge C. Les adénomes villeux sont les plus fréquents D. La surveillance après la polypectomie est systématique E. Ils peuvent dégénérer en cancer Source : Q40 - 19-20 Sec A Réponse : ADE 03. Concernant la polypose juvénile : La/Les RF A. C'est une polypose hamartomateuse B. Elle est associée à une lentiginose périorificielle C. Les polypes adénomateux sont localisés au niveau de l'intestin grêle D. C'est une maladie bénigne, le risque de dégénérescence est nul E. C'est une polypose héréditaire atteignant les sujets jeunes Source : Q09 - 19-20 Sec B Réponse : BCD 04. Les tumeurs épithéliales (Adénomes) : La/Les RF A. Sont les plus fréquentes des tumeurs rectocoliques B. Leur traitement est purement chirurgical C. Elles sont Villeuses, tubuleuses ou tubulovilleuses D. Elles se manifestent parfois par un saignement occulte E. Pas de risque de dégénérescence Source : Q28 - 19-20 Sec B Réponse : BE 05. Polypose adenomateuse familiale est caractérisée par : A. Polypose héréditaire la plus fréquente à transmission autosomique dominante B. Elle associe une polypose hamartomateuse et une lentiginose peri orificielle C. Présence de centaines de polypes hamartomateux (aspect de tapis baute laine) D. L'atteinte rectale est retrouvée dans 30% des cas E. La transformation maligne survient dans tous les cas, en l'absence de traitement Source : Q28 - 19-20 Sec C Réponse : AE 06. Quelle(s) est (sont) la (les) conduite(s) a tenir lors de la découverte lors d’une recto-sigmoidoscopie, d’un polype pédiculé de 1cm ? A. Doser l'antigène carcino-embryonnaire B. Proposer d'emblé une colectomie. C. Réaliser son exérèse à l'anse diathermique permettant une étude histologique. D. Décider d'une simple surveillance. E. Faire une coloscopie totale afin de rechercher d'autres polypes. Source : Q39 - 19-20 Sec C 9 Réponse : CE 07. Le lymphome à cellules du manteau : Les RJ A. Est un lymphome digestif de type T B. La localisation gastrique est constante C. D'évolution rapide et de pronostic défavorable. D. Les lésions lympho-épitheliales sont fréquentes E. Prend l'aspect caractéristique d'une polypose lymphomateuse intestinale Source : Q10 - 18-19 Sec A Q08 - 18-19 Sec C Réponse : CE 08. La polypose adénomateuse familiale : La RF A. Est une maladie héréditaire à transmission autosomique dominante B. Caractérisée par le développement de plusieurs centaines d'adénomes coliques et rectaux C. Apparaissant le plus souvent à la puberté. D. Est la plus fréquente des polyposes digestives E. La transformation maline est exceptionnelle Source : Q14 - 18-19 Sec A Q09 - 17-18 Sec B Réponse : E 09. Le polype adénomateux : La RF A. Est une tumeur bénigne qui se développe au dépend de la sous-muqueuse. B. Est une lésion dysplasique qui peut se dégénérer. C. Représente 80% des polypes recto-coliques. D. Sa répartition géographique suit celle du cancer colorectal. E. Sa prévalence augmente avec l'âge. Source : Q15 - 18-19 Sec A Réponse : A 10. Le syndrome de Gardner est caractérisé par : La/Les RF A. Une polypose adenomateuse recto-colique B. Une maladie héréditaire à transmission autosomique dominante C. Peut être associé à des manifestations digestives D. Ne peut être associé à des manifestations extracoliques E. La transformation maligne est inéluctable en l'absence de traitement prophylactique Source : Q18 - 18-19 Sec B Réponse : D 11. L’adénome : La/Les RF A. Est le type de polype recto colique le plus fréquent. B. Est responsable dans 90 % des cancers colorectaux C. Son traitement est essentiellement endoscopique. D. Ne récidive jamais après résection. E. Son diagnostic est endoscopique ou morphologique. Source : Q05 - 18-19 Sec C Réponse : D 12. Parmi ces polypes lequel (ou lesquels) n'est (ne sont) pas de nature épithéliale : La/Les RJ A. Polype hyperplasique B. Polype juvénile C. Léiomyome D. Lipome E. Polype de Peutz-Jeghers Source : Q06 - 18-19 Sec C Réponse : CD 13. La technique de mucosectomie est : La/Les RJ A. La résection endoscopique d'un polype sessile B. La résection endoscopique d'un polype pédicule C. La mise en place d'une endoloop à la base d'un polype D. L'injection sous muqueuse d'un colorant suivie d'une section coagulation à l'anse diathermique du polype. E. La mise en place de lips a la base d'un polype Source : Q07 - 18-19 Sec C Réponse : AD 4ème Année Med Oran 2020/2021 14. Le polype adénomateux est : La/Les RJ A. La cause la plus fréquente de cancer recto colique B. Siège le plus souvent au niveau recto colique gauche C. Dégénère en lymphome D. Dégénère en adénocarcinome E. Nécessite toujours une résection Source : Q27 - 16-17 Sec A Réponse : ABDE 15. Le polype adénomateux est caractérisé par : La RF A. Le plus fréquent des polypes réctocoliques B. Dégénère au bout de 10-15 ans C. Ne dégénère jamais D. C’est une lésion précancéreuse E. Il peut être unique ou multiple Source : Q14 - 16-17 Sec C Réponse : C 14. 15. Diverticulose Colique : 01. La sigmoïdite diverticulaire aiguë se manifeste par : A Une douleur de la fosse iliaque gauche. B. Une température à 38-38,5 °C C. Un taux de leucocytes supérieur à 10.000 élmnts/mm3 D. Une CRP élevée E. Un trouble du transit Source : Q16 - 20-21 Sec A Q18 19-20 Sec B Réponse : ABCDE 02. Concernant la diverticulose colique : La/Les RJ A. Résulte de l’inflammation d’un diverticule. B. Ne se complique jamais C. Est une anomalie anatomique bénigne. D. Est souvent de siège colique droit E. Est fréquente avant l’âge de 40 ans Source : Q17 - 20-21 Sec A Réponse : C Réponse : BCE 04. La diverticulose colique : La/Les RJ A. Est une inflammation et/ou infection d'un diverticule. B . Est une anomalie anatomique bénigne. C. Ne se complique jamais D. Est le plus souvent de siège sigmoidien E. Est rare avant 40 ans Source : Q36 - 19-20 Sec C Réponse : BDE 05. Concernant la diverticulose colique : La/Les RJ A. Elle est due à des troubles de la motricité intestinale. B. L'hyperpression et I'hyper segmentation colique en sont des facteurs favorisants. C. Les complications de la diverticulite sont : les fistules, les péritonites et l'hémorragie. D. Le drainage scanno-guidé est indiqué dans les abcès de plus de 5 cm de diamètre. E. La classification de Hinchey est une classification pronostique Source : Q13 - 18-19 Sec A Réponse : BE 06. Douleur localisée à la fosse iliaque gauche évoque : A. Une torsion ovarienne gauche. B. Une sigmoidite diverticulaire C. Une grossesse extra-utérine droite. D. Une fissuration d'un anévrisme de l'aorte. E. Une colique néphrétique gauche. Source : Q27 - 18-19 Sec A 10 Source : Q17 - 18-19 Sec B Réponse : ABDE Réponse : B 08. La diverticulite colique est définie par : Les RJ A. Une infection d'un diverticule. B. Une inflammation d'un diverticule. C. S'accompagne d'une péri-diverticulite. D. Ne se complique pas de péritonite. E. Peut se compliquer de sténose colique. Source : Q15 - 18-19 Sec C 03. La Diverticulose colique La/Les RJ A. Survient avant l'âge de 40 ans. B. Est plus fréquente en occident C. Est Favorisée par un régime pauvre en fibre D. Ne se complique jamais. E. Le risque augmente à partir de 50 ans Source : Q06 - 19-20 Sec A 07. Une maladie diverticulaire gauche compliquée d'un abcès du méso-colon de 7-8 cm, résistant au traitement médical, se traite en première intention : A. Par une antibiothérapie adaptée. B. Par drainage écho ou scanno-guidé + AB. C. Par drainage chirurgical. D. Par drainage et résection anastomose sigmoidienne et stomie de protection E. Par une colectomie totale Réponse : ABCE 09. La physiopathologie de la diverticulose fait intervenir : Les RJ A. Un régime alimentaire riche en fibres B. L’âge jeune. C. Des troubles de la motricité colique D. Des altérations des fibres collagènes et élastiques E. Une hypo pression et hyper segmentation colique. Source : Q16 - 18-19 Sec C Réponse : CDE 10. Concernant la diverticulose colique : La RF A. Elle siège plus souvent sur le colon droit que sur le colon gauche B. Elle est le plus souvent asymptomatique C. Elle peut être responsable de péritonite stercorale D. Elle peut être responsable d'une sténose colique E. Elle peut être responsable d'une pneumaturie Source : Q24 - 16-17 Sec A Réponse : A 11. L’abcès divercticulaire : Les RJ A. Est évoqué devant la fièvre et l'aggravation des douleurs abdominales B. La TDM permet de faire un bilan lésionnel et un geste de drainage C. La mortalité péri-opératoire est corrélée à la classification de Hinchey D. La coloscopie permet d'en faire le diagnostic E. Répond au traitement médical seul Source : Q17 - 16-17 Sec B Réponse : AB 12. Parmi les complications de la diverticulose colique, une seule est fausse, Laquelle ? A. Les rectorragies B. Les fistules abdominales C. Les occlusions coliques D. Les diverticulites. E. Les vomissements Source : Q17 - 16-17 Sec C Réponse : E 4ème Année Med Oran 2020/2021 16. Recto Colite Hémorragique : 01. La rectocolite hémorragique est caractérisée par : A. C’est une maladie inflammatoire intestinale d'étiologie inconnue B. Le tabac n'est pas un facteur de risque de la maladie C. Elle évolue par poussées et remissions D. Elle survient surtout chez le sujet âgé E. Elle n'altère pas la qualité de vie Source : Q18 - 20-21 Sec A Réponse : ABC 02. Au cours de la rectocolite hémorragique : La/Les RJ A. L'âge de survenue est surtout un âge jeune B. Le traitement chirurgical peut être curatif C. Les fistules internes sont souvent observées D. Le granulome inflammatoire est retrouvé à I'histologie E. L'association à des manifestations extra-intestinales Source : Q19 - 20-21 Sec A Réponse : ABE 03. Parmi ces affirmations, quelles sont celles qui sont caractéristiques de la rectocolite hémorragique : A. Se manifeste par des rectorragies B. Avec une atteinte grêlique C. La muqueuse ulcérée est séparée de muqueuse saine D. Avec une atteinte anopérinéale E. Avec un risque de transformation maligne après une longue évolution Source : Q05 - 19-20 Sec A Réponse : AE 04. Les principales caractéristiques de la rectocolite ulcéro-hémorragique (RCH) sont : La/Les RJ A. Elle se manifeste par des rectorragies B. Elle est associée à des manifestations extra intestinales C. Il n'existe pas d'espace de muqueuse saine à la coloscopie D. Elle touche tout le tube digestif E. Elle ne présente aucun risque de cancérisation Source : Q01 - 19-20 Sec B Réponse : ABC 05. Concernant la rectocolite hémorragique : La/Les RJ A. Se manifeste par des rectorragies B. Est associée des lésions ano-périneales C. Atteinte colique uniforme, sans espaces de muqueuse saine D. Présence du granulome a l'histologie E. Peut evoluer vers un cancer colorectal Source : Q24 - 19-20 Sec C Réponse : AE 06. Parmi ces manifestations extra-intestinales de la RCH, quelle(s) est (sont) celle(s) qui évolue(nt) à son (leurs) propre compte : A. L'uvéite B. La spondylarthrite ankylosante C. La cholangite sclérosante primitive D. Les arthralgies E. Les aphtes Source : Q07 - 18-19 Sec A Réponse : B 07. En cas de poussée sévère de RCH cortico résistante, quels sont les alternatives thérapeutiques dont on dispose : La/Les RJ A. Anti TNF alpha (Rémicade) B. Immunosuppresseur (Imurel) C. Chirurgie D. Immunosuppresseur (Ciclosporine IV) E. Dérivés salicylés (Pentasa) Source : Q28 - 18-19 Sec B 11 Réponse : ACD 08. La classification de Truelove et Witts au cours d'une poussée sévère de RCH se comporte : La/Les RJ A. Un nombre de selles liquidiennes supérieur à 6 B. Un pouls supérieur à 90 battements/min C. Un taux d'hémoglobine < 55 % de la valeur normale D. Une vitesse de sédimentation (VS) > 30 mm la 2ème hr E. La présence d'une fièvre Source : Q01 - 18-19 Sec C Réponse : BE 09. La RCH est une affection intestinale chronique, caractérisée par : La/Les RF A. Une atteinte rectale constante B. Une cholangite sclérosante primitive (CSP) comme manifestation extra digestive C. Des ulcérations iléo-caecales continues sans intervalle de muqueuse saine D. Un retard staturo-pondéral quand elle touche l'enfant E. Un risque de dégénérescence lorsque la maladie est ancienne Source : Q02 - 18-19 Sec C Réponse : CD 10. Dans la Recto-Colite Hémorragique, le traitement chirurgical est indiqué en cas de : La/Les RF A. Colectasie B. Hémorragie profuse C. Perforation D. Evolution favorable d'une colite aiguë grave E. Dysplasie sévère Source : Q01 - 17-18 Sec B Réponse : D 11. La Rectocolite ulcéro-hémorragique : La/Les RJ A. Est une maladie Inflammatoire intestinale chronique, d'étiologie inconnue B. Les lésions débutent dans le cœcum, sont continue sans intervalle de muqueuse saine. C. Peut se manifester par une cholangite sclérosante primitive D. Peut se compliquer d'un lymphome intestinal E. Doit être traitée chirurgicalement Source : Q58 - 17-18 Sec B Réponse : AC 12. Parmi ces propositions thérapeutiques, quels sont celles qui sont définitivement curatives en cas de RCH ? A. Traitement corticoïde B. Résection colorectale+ anastomose iléo-anale C. Ciclosporine IV D. Résection ileo colique droite + anastomose términoterminale E. Iléostomie définitive après coloprotectomie totale Source : Q22 - 16-17 Sec C Réponse : BE 4ème Année Med Oran 2020/2021 17. Maladie de Crohn : 01. Une de ces manifestations est rencontrée dans la maladie de Crohn et non dans le RCUH, Laquelle ? A. Arthropathie axiale B. Erythème noueux C. Diarrhée sanglante D. Lithiase rénale oxalique E. Un pyoderma gangrenosum Source : Q20 - 20-21 Sec A Q20 - 18-19 Sec C Réponse : D 02. Lors du diagnostic histologique d'une maladie de Crohn iléo-cæcale, plusieurs diagnostics différentiels ne peuvent être évoqués : La/Les RJ A. La tuberculose digestive B. Lymphome primitif intestinal C. Colite ischémique D. La Recto-colite ulcèro-hémorragique E. La maladie de Whipple Source : Q21 - 20-21 Sec A Q12 - 17-18 Sec B Réponse : CDE 03. La maladie de Crohn se traduit par : La/Les RF A. Des anomalies pariétales et/ou extra pariétales. B. Un hyper signal T1 pariétal. C. Des ulcérations superficielles linéaires D. Une hypo vascularisation du mésentère. E. Des collections abcédées Source : Q20 - 19-20 Sec A Réponse : BCD 04. Au cours du suivie de la maladie de Crohn par entéro-colo-IRM : La/Les RJ A. L’examen ne nécessite pas de balisage des anses grêles. B. L’IRM ne permet pas de distinguer les lésions actives des atteintes fibrosantes. C. L’œdème Sous-muqueux se traduit par un hypo signal pariétal en pondération T2. D. L’IRM permet la détection de l’hyperhémie et de l'infiltration du mésentère. E. En IRM, I’injection du produit de contraste iodé est contributive à l’analyse des lésions actives. Source : Q21 - 18-19 Sec A Réponse : D 05. La maladie de Crohn colique est caractérisée macroscopiquement par : La/Les RJ A. Der ulcérations en carte de géographie B. Un épaississement de la paroi C. Des fistules D. Des lésions polyploïdes E. Des lésions continues Source : Q40 - 18-19 Sec A Réponse : ABC 06. Au cours de l'évaluation radiologique de la maladie de Crohn, I'IRM : La/Les RJ A. Permet une étude morphologique et fonctionnelle des lésions transmurales. B. L'entero-IRM reste un examen invasif irradiant C. L'exploration se limite aux lésions muqueuses sans toutefois juger du degré des atteintes extra pariétales. D. N'a aucun apport sur les lésions mésentériques associées. E. Aucune des réponses n'est juste. Source : Q35 - 18-19 Sec C 07. Tous ces signes histologiques sont rencontrés dans la maladie de Crohn sauf un, Lequel ? A. Présence de follicule épithélioïde. B. Des ulcérations fissuraires. C. Une inflammation de toute l'épaisseur de la paroi. D. Des ulcérations de la muqueuse. E. Des abcès cryptiques Source : Q05 - 16-17 Sec A Q08 - 2015 Sec A Réponse : E 08. La maladie de Crohn iléale est visible sur le transit du grêle sous forme d': Les RJ A. Image lacunaire irrégulière B. Un aspect pavimenteux C. Ulcérations longitudinales dites en ragade, transversales donnant des spicules D. Image en trognon de pomme E. Un rétrécissement asymétrique Source : Q08 - 16-17 Sec A Réponse : BCE 09. Les caractères macroscopiques de la maladie de Crohn sont : La RF A. Une paroi tuméfiée B. Des lésions continues C. Des fistules D. Un rétrécissement de la lumière E. Des ulcérations serpigineuses ou en carte de géographie Source : Q30 - 16-17 Sec B Réponse : B 10. Une de ces pathologies intestinales est caractérisée par l’atteinte de segments d’anses entrecoupée par des segments d’anses saines : A. Crohn B. RCH C. Sclérodermie D. Polypose colique E. Maladie cœliaque Source : Q05 - 16-17 Sec C 12 Réponse : A Réponse : A 4ème Année Med Oran 2020/2021 18. Manifestations Digestives du SIDA : 19. Parasitoses Digestives : 01. Parmi ces lesions tumorales, (les)laquelle quelles est (sont) observée(s) au cours d'une infection a HIV : A. Condylome anal B. Maladie de Kaposi C. Adénocarcinome gastrique D. Lymphome non Hodgkinlen grélo-colique E. Cancer épidemoïde du canal anal 01. L'Oxyurose est caractérisée par : La/Les RJ A. Parasitose ubiquitaire strictement humaine qui touche surtout les enfants B. Prurit anal et/ou vulvaire vespéral C. Diarrhée abondante et brutale D. Epigastralgies intenses avec tableau de malabsorption E. Le traitement repose sur le Métronidazole en 1ère intention Source : Q22 - 20-21 Sec A Réponse : ABDE 02. Les atteintes proctologiques retrouvées au cours de l’infection à VIH : La/Les RJ A. Ulcérations herpétiques. B. Lymphome non hodgkinien. C. Condylomes. D. Cancer épidermoïde anal. E. Maladie de Kaposi Source : Q34 - 19-20 Sec A Réponse : ABCDE 03. Concernant l’Infection HIV et tube digestif : La/Les RJ A. Les manifestations digestives au cours de l'infection à VIH sont rares. B. L'œsophage est l'organe digestif le plus fréquemment touché au cours de l'infection à VIH. C. Le CMV touche uniquement l'œsophage. D. L'œsophagite herpétique prédomine à la partie haute de l'œsophage. E. Le traitement des ulcérations œsophagiennes idiopathiques est une antibiothérapie Source : Q05 - 19-20 Sec B Réponse : B 04. La candidose œsophagienne au cour de l’infection à VIH : La/Les RJ A. Elle représente la principale infection opportuniste digestive. B. L'endoscopie de contrôle après TRT est systématique C. Elle peut être associée à une atteinte buccale D. l'endoscopie, on objective des plaques de fausses membranes blanchâtres E. Le traitement repose sur le Métronidazole a la dose de 15g/jour, pendant 10 a 15 jour Source : Q30 - 19-20 Sec C Réponse : ACD Source : Q23 - 20-21 Sec A Q12 - 19-20 Sec B Réponse : AB 02. Concernant l’amibiase intestinale : La/Les RJ A. Est due à un protozoaire, de type Entamoeba histolytica. B. Peut se manifester par un syndrome dysentérique. C. Le traitement repose sur l’amoxicilline 2 g/I pdt 7 jours. D. Peut toucher le foie. E. Le traitement repose sur l’administration orale d’un nitroimidazole (métronidazole : 1,5 g/jour) pendant 10 jours. Source : Q33 - 19-20 Sec A Réponse : ABDE 03. Le taæniasis ou tænia saginata : Les RJ A. Est dû à un vers plat B. La contamination se fait par ingestion d’œufs par les bovins. C. Se manifeste parfois par des douleurs abdominales D. Se complique d'une hémorragie digestive E. Sa prévention repose sur une bonne cuisson de la viande Source : Q03 - 18-19 Sec A Réponse : ABCE 04. Au cours de l’amibiase intestinale, la présence ou l'absence de symptômes cliniques dépend : la RJ A. De la morphologie de la souche amibienne. B. De la taille de la souche amibienne. C. De la durée de l'infection amibienne D. De l'âge du sujet. E. De la virulence de la souche amibienne Source : Q23 - 16-17 Sec A Réponse : E 05. Au cours d’une amibiase colique les signes cliniques retrouvés sont : La/Les RF A. Hépatomégalie avec ictère B. Diarrhée chronique avec syndrome de malabsorption C. Diarrhée glairo-sanglante avec syndrome réctale D. Réctorragie E. Une masse dure au touché réctale Source : Q23 - 16-17 Sec C Réponse : ABDE 06. Le prurit anal est un signe majeur au cours d’une de ces parasitoses intestinales, laquelle ? A. Ascardiose. B. Taeniasis à taenia solium C. Taeniasis à taenia saginata D. Oxyurose E. Trichocéphalose Source : Q25 - 16-17 Sec C 13 Réponse : D 4ème Année Med Oran 2020/2021 20. 21. Cancer Colo Rectal : 23. Anapath du tube digestif : 01. Parmi les lesions suivantes, laquelle ou lesquelles prédispose(ent) au cancer colique : La/Les RJ A. Le diverticule collque B. La RCH C. Le polype adenomateux D. L'amibiase colique E. Toutes ces réponses sont fausses 01. L’œsophage de Barrett : La/Les RJ A. Est une complication d’un reflux gastro-œsophagien chronique B. La muqueuse œsophagienne est tapissée par un épithélium en métaplasie malpighienne C. Peut comporter une dysplasie des structures glandulaires D. Est une complication infectieuse due au cytomegalovirus E. Est une complication de infection a Helicobacter Pylori Source : Q24 - 20-21 Sec A Réponse : BC 02. Le diagnostic positif des tumeurs colorectales est fait par : La RJ A. TDM abdomino-pelvienne B. IRM pelvienne C. Colonoscopie avec biopsie pour étude histologique D. Echographie abdominale E. Lavement baryté Source : Q25 - 20-21 Sec A Réponse : C 03. Parmi les facteurs suivants, lesquels favorisent le cancer du colon ? A. Syndrame de Lynch B. Cholecystectomie C. Antioxydants D. Les nitrites E. Vitamine D 12. Source : Q11 - 19-20 Sec C Réponse : ABD 04. Dans le cancer du rectum, L’IRM Pelvienne : La/Les RF A. Permet de distinguer les stades T1 des stades T2 B. Permet de préciser la distance entre le pôle inférieur de la tumeur et le sphincter interne de l'anus C. Permet de classer la tumeur selon le statut M D. Permet de détecter l'envahissement ganglionnaire E. Permet d'avoir le statut T de la tumeur pour la classer Source : Q10 - 18-19 Sec B Réponse : AC 05. L’exploration par un lavement baryté d’un adénocarcinome colique : La/Les RJ A. Permet d'apprécier l'étendue de la lésion B. Retrouve fréquemment un rétrécissement centre, à bords réguliers C. Retrouve fréquemment un rétrécissement excentre, à bords irréguliers avec angles raccordement aiguës en trognon de pomme. D. Permet d'explorer le reste du cadre colique à la recherche d'anomalies pariétales ou de lésions à risques E. Toutes les réponses sont fausses Source : Q34 - 18-19 Sec C Réponse : ACD 06. Quel est l’examen qui pose le diagnostic de cancer du rectum avec certitude : La RJ A. Le toucher rectal, patient en décubitus latéral B. Les rectorragies abondantes C. L’anuscopie D. La rectoscopie avec biopsies E. L’IRM pelvienne Source : Q04 - 16-17 Sec B 14 Réponse : D Source : Q23 - 20-21 Sec A Réponse : AC 02. Concernant l’œsophage de Barrett : Les RF A. Est dû à l'action acide du liquide gastrique sur un reflux gastro-sophagiens persistant B. La muqueuse malpighienne est remplacée par un épithélium de type para malpighien C. On retrouve une muqueuse métaplasique de type glandulaire contenant des cellules caliciformes intestinales D. Sans traitement il n'évolue jamais vers la dysplasie E. La surveillance n'est pas nécessaire car il n'existe aucun risque évolutif vers un carcinome Source : Q07 - 16-17 Sec C Réponse : BDE 03. L’endobrachyœsophage : La RF A. Se définit par l'existence au-dessus du cardia d'une muqueuse glandulaire au sein de la muqueuse œsophagienne B. Dans la majorité des cas il s'agit d'une métaplasie remplaçant la muqueuse malpighienne ulcérée C. Endoscopiquement la muqueuse glandulaire et rouge dépoli granité D. L'endobrachyœsophage ne dégénère jamais E. Histologiquement, la muqueuse de l'endobrachyœsophage est polymorphe glandulaire Source : Q13 - 2015 Sec A Réponse : D 04. Concernant les tumeurs œsophagiennes primitives : La RF A. Pour les tumeurs bénignes, les tumeurs d'origine épithéliales sont plus fréquentes que les tumeur mésenchymateuses B. Le carcinome épidermoïde et la tumeur maligne la + freq C. Les adénocarcinomes touchent le 1/3 inférieur et surviennent sur un œsophage de Barret D. la dysplasie est une lésion précurseur de l'adénocarcinome œsophagien E. le carcinome épidermoïde peut être végétant, polyploïde, plan ou ulcéré Source : Q06 - 16-17 Sec C Réponse : A 05. Concernant la gastrite chronique à HP : La RF A. L'atteinte peut être antrale et fundique B. La bactérie est retrouvée dans la couche superficielle du mucus C. Dans 50 % environ la gastrite est asymptomatique D. Il existe un infiltrat inflammatoire lympho-plasmocytaire sans jamais de métaplasie intestinale E. Sans traitement la bactérie peut engendrer un lymphome gastrique de type MALT Source : Q31 - 17-18 Sec B Q03 - 16-17 Sec A Réponse : D 4ème Année Med Oran 2020/2021 22. 24. 25. Explorations du tube Digestif : 01. Les indications actuelles du transit œsophagien sont : A. La recherche d’une compression extrinseque B. La recherche d’un reflux gastro-œsophage C. Un contrôle post-opératoire D. Examen endoscopique non concluant E. Bilan d’extension Source : Q26 - 20-21 Sec A Réponse : BCD 02. La cholangio-pancreatoyagraphie rétrograde endoscopique (CPRE) : La/Les RJ A. Est un examen non invasif qui explore les voies biliaires B. Est un examen à visée diagnostique seulement C. Est un examen à visée diagnostique et thérapeutique D. Est un examen qui se fait en salle de radiologie E. Son indication à visée diagnostique a été supplanté par la bili-IRM Source : Q28 - 20-21 Sec A Q03 - 19-20 Sec B Réponse : CDE 03. La fibroscopie nous apporte un renseignement important : La RF A. Sur aspect de la tumeur B. Sur la distance d’une tumeur œsophagienne par rapport aux arcades C. Sur le type histologique de la tumeur D. Sur la présence ou l’absence d’une muqueuse de Barret E. L’état de la muqueuse gastrique en vue d'une éventuelle gastro-plastie Source : Q29 - 20-21 Sec A Réponse : C 04. Quelles sont les indications en urgence de la fibroscopie digestive haute : La/Les RJ A. Perforation B. Hémorragie digestive haute. C. Ingestion de produit caustique. D. Recherche de signes d’hypertension portale. E. Exploration de diarrhée chronique. Source : Q16 - 19-20 Sec A Réponse : BC 05. Concernant la CPRE : La/Les RJ A. Est un examen invasif. B. Est réalisée grâce à un duodenoscope à vision axiale. C. Consiste en un repérage de la papille. D. Est indiquée en cas d'obstacle de la voie blliaire principale. E. Sa principale complication est la pancréatite aigue. Source : Q17 - 19-20 Sec A Réponse : ACDE 06. Les contre-indications de la fibroscopie œsogastroduodénale sont : La/Les RF A. État de choc B. IDM récent C. Insuffisance cardiaque et respiratoire sévères D. Patient sous anti vitamine K (AVK) avec TP à 28% E. Troubles de la conscience chez un malade non intubé Source : Q02 - 19-20 Sec B 15 Réponse : D 07. Une image de compression extrinsèque peut se traduire par (réponses fausses) : A. Des contours nets et réguliers B. Un angle de raccordement obtus. C. Un plissement muqueux anarchique. D. Une niche ulcéreuse. E. Une sténose caustique Source : Q35 - 19-20 Sec B Réponse : CDE 08. Quelles sont les contres Indications de la fibroscopie digestive haute : La/Les RJ A. Perforation. B. Age avance. C Troubles de l'hémostase D. Estomac plein. E. État de Choc. Source : Q38 - 19-20 Sec C Réponse : ADE 09. Les dilatations endoscopiques sont indiquées en cas de : La/Les RJ A. Sténose unique, asymptomatique B. Sténoses multiples et excentrées C. Sténose unique et longue de 8 cm D. Sténose unique, courte et symptomatique E. Sténoses uniquement néoplasiques Source : Q08 - 18-19 Sec A Réponse : D 10. L'écho-endoscopie : La/Les RF A. Est l'examen de première intention en cas d'hémorragie digestive. B. Permet de faire le diagnostic histologique des tumeurs sous-muqueuses par les biopsies C. Peut être pratiquée chez un patient en état de choc. D. Permet l'exploration des voies biliaires et du pancréas E. Peut être réalisée par voie basse pour étudier la paroi rectale et la région anopérinéale Source : Q11 - 18-19 Sec A Réponse : AC 11. Le diagnostic de la nature exacte d'une masse abdominale est obtenu par : La/Les RJ A. L'IRM abdominale. B. La TDM abdominale avec injection du produit de contraste. C. La cyto-ponction radioguidée. D. L'examen anatomo-pathologique de la masse. E. L'échographie abdominale. Source : Q29 - 18-19 Sec A Réponse : D 12. Un adénocarcinome gastrique ulcéré se traduit sur un TOGD par les signes suivants : La RJ A. Une image de soustraction aux contours irréguliers. B. Une image diverticulaire à collet étroit. C. Une confluence de plis fins et réguliers. D. Une image d'addition de contours irréguliers avec convergence de gros plis anarchiques E. Une image de rétrécissement avec dilatation d'amont Source : Q34 - 18-19 Sec B Réponse : D 4ème Année Med Oran 2020/2021 13. Au cours de l'exploration radiologique des pathologies coliques : La/Les RF A. L'aspect en accordéon sur TDM fait évoquer une pan colite. B. Le colo scanner permet la détection des masses pariétales bourgeonnantes. C. Dans un contexte péri opératoire, l'exploration s'effectue par lavement à la baryte. D. L'aspect en grain de café sur l'ASP suggère un volvulus. E. Une sténose colique serrée irrégulière en trognon de pomme sur le lavement baryté évoque une atteinte bénigne. Source : Q36 - 18-19 Sec B Réponse : CE 14. Au cours de l'exploration radiologique par TOGD : A. Une image d'addition de la face postérieure de l'œsophage cervical suggère un diverticule de Zenker. B. L'examen n'est pas contributif dans l'exploration des achalasies. C. Des images de soustraction extrinsèques étagées évoquent des varices esophagiennes en cas d'HTP. D. L'opacification du cardia en intra thoracique suggère une hernie hiatale par glissement E. La forme ulcérée du cancer gastrique se traduit par une image lacunaire. Source : Q37 - 18-19 Sec B Réponse : ACD 15. La capsule vidéo endoscopique est : La/Les RF A. Examen endoscopique invasif réalisé en ambulatoire. B. Indiquée dans les hémorragies digestives sans causes retrouvées. C. Indiquée dans le bilan des sténoses digestives D. Indiquée en cas de maladie cœliaque réfractaire aux régimes sans gluten E. Permet de faire la résection des polypes greliques. Source : Q09 - 18-19 Sec C Réponse : ACE 16. Au cours de l’exploration d’un ulcère bulbaire : A. Le TOGD peut mettre en évidence la niche ulcéreuse sous forme d'une image d'addition B. Le TOGD peut mettre en évidence la niche ulcéreuse sous forme d'une image de soustraction C. La convergence des plis muqueux peut indiquer le siège de la niche D. La niche ulcéreuse siège fréquemment sur la face antérieure du bulbe. E. En cas de suspicion de perforation, l'examen s’effectue par opacification à la baryte Source : Q36 - 18-19 Sec C Réponse : AC 17. Concernant la coloscopie : La/Les RF A. Est indiqué en cas de diarrhée chronique B. Nécessite une préparation clique par une solution hydreélectrolytique contenant du polyéthylène glycol C. Permet de faire le diagnostic histologique des cancers par les biopsies D. Est indiqué en cas de péritonite par perforation colique E. Permet le dépistage des lésions dysplasiques précancéreuses Source : Q13 - 17-18 Sec B 16 Réponse : D 18. La capsule Vidéo-Endoscopique : La/Les RF A. Examen endoscopique invasif réalisé en ambulatoire B. Indiquée dans les hémorragies digestives sans causes retrouvées. C. Indiquée dans le bilan des sténoses digestives D. Indiquée en cas de maladie cœliaque réfractaire aux régimes sans gluten. E. Permet de faire le diagnostic histologique des lésions digestives Source : Q27 - 17-18 Sec B Réponse : ACE 19. Les explorations complémentaires utiles au diagnostic de la dyspepsie fonctionnelle retrouvent : A. Anomalies biologiques B. Œsophagite peptique C. Lithiase vésiculaire D. Helicobacter pylori E. Ulcère gastroduodénal Source : Q28 - 17-18 Sec B Réponse : D 20. Les diverticules œsophagiens sont visibles sur un TGOD comme : La RJ A. Des ondes tertiaires B. Des images lacunaires hétérogènes C. Des rétrécissements centrés réguliers D. Des spasmes étagés, avec conservation des plissements muqueux E. Des images d'addition qui s'opacifient lors du transit œsophagien. Source : Q06 - 16-17 Sec A Réponse : E 21. Le processus tumoral malin bourgeonnant gastrique est visible sur le TOGD sous forme d' : La RJ A. Une image lacunaire de contours nets et réguliers B. Une image lacunaire de contours irréguliers C. Une rigidité pariétale localisée D. Une rigidité étendue donnant un aspect de linite E. Une image ulcéreuse Source : Q07 - 16-17 Sec A Réponse : B 22. Un processus tumoral bénin de l’estomac est visible sur le TOGD comme : La RJ A. Une niche centrale entourée d'un halo clair de contours irréguliers B. Une image lacunaire de contours irréguliers C. Une rigidité pariétale localisée D. Une rigidité étendue donnant un aspect de linite E. Une image lacunaire de contours réguliers Source : Q33 - 16-17 Sec B Réponse : E 23. Parmi les contre indications de l'injection de produit de contraste : La RF A. Grossesse. B. Insuffisance rénale C. Allergie au produit de contraste. D. Insuffisance hépatocelulalre. E. Myélome multiple. Source : Q02 - 2015 Sec A Réponse : D 4ème Année Med Oran 2020/2021 26. Dyspepsie fonctionnelle : 01. Selon les critères de ROME IV, la dyspepsie fonctionnelle est définie par la présence au moment du diagnostic d'au moins 1 des symptômes suivants : La/Les RJ A. Des douleurs épigastriques B. Des hématémèses de petites abondances C. Une plénitude gastrique génante post-prandiale D. Dysphagie progressive E. Une satiété précoce post-prandial Source : Q30 - 20-21 Sec A Réponse : ACE 02. Les symptômes rencontrés au cours de la dyspepsie fonctionnelle sont : Les RJ A. Eructations B. Ballonnement abdominal C. Hémorragie digestive D. Arrêt des matières et des gaz E. Amaigrissement. Source : Q18 - 18-19 Sec A Q22 - 17-18 Sec B Réponse : AB 03. Les explorations complémentaires utiles au diagnostic de la dyspepsie fonctionnelle retrouvent : A. Anomalies biologiques B. Œsophagite peptique C. Lithiase vésiculaire D. Helicobacter pylori E. Ulcère gastroduodénal Source : Q28 - 17-18 Sec B Réponse : D 27. Colopathie Fonctionnelle (SII) : 01. Dans quel (s) cas des examens complémentaires sont obligatoires devant un syndrome de l'intestin irritable répondant aux critères de Rome V: La/Les RJ A. Age inférieur à 50 ans B. Diarrhée chronique C. Amaigrissement. D. Troubles psychologiques E. Hémorragie digestive Source : Q31 - 20-21 Sec A Q11 - 19-20 Sec B Réponse : BCE 02. Quelles sont la ou les proposition (s) exacte (s) concernant le syndrome de l'Intestin irritable ? A. La douleur abdominale est calmée par l'émission des selles. B. La douleur abdominale est souvent matinale ou postprandiale. C. Dans les formes avec diarrhée, celle-ci a les caractères d'une diarrhée de malabsorption. D. La coloscopie est indispensable chez tous les malades pour affirmer le diagnostic. E. Les antispasmodiques sont proposés comme traitement de première intention. Source : Q04 - 18-19 Sec A Réponse : ABE 03. Parmi les signes suivants, un n'est pas compatible avec le diagnostic de syndrome de l'intestin irritable lequel ? A. La diarrhée B. Le ballonnement post prandial C. Les douleurs abdominales D. L'amaigrissement E. La constipation Source : Q30 - 18-19 Sec B Q18-Q25 - 17-18 Sec B 04. Quelles sont les propositions exactes concernant le syndrome de l'intestin irritable(colopathie fonctionnelle) ? A. Prédominance féminine. B. 10 à 15% de la population adulte est concernée C. La coloscopie est systématique. D. Les antidépresseurs peuvent être utiles. E. C’est une pathologie psychosomatique. Source : Q11 - 18-19 Sec C Réponse : ABDE 05. Le diagnostic de colopathie fonctionnelle est évoqué devant : La/Les RF A. l'existence de douleurs abdominales B. L'existence de troubles du transit C. La présence d'hémorroide. D. La présence de polype rectal. E. Un ballonnement postprandial. Source : Q12 - 18-19 Sec C Réponse : CD 06. Parmi les signes physiques suivants, Indiquer celui (ceux) que l'on peut trouver à l'examen clinique d'un malade atteint de syndrome de l'intestin irritable ? A. Tuméfaction ferme de la fosse iliaque droite B. Douleur sur la face latérale du rectum au TR C. Empâtement épigastrique D. Le ventre est souple et dépressible E. Douleur de siège variable volontiers diffuse Source : Q10 - 17-18 Sec B Réponse : ADE 07. Le traitement de la colopathie fonctionnelle est basé sur : La RF A. Des règles diététiques B. Un traitement médical C. Un traitement chirurgical D. Une psychothérapie E. Une hygiène de vie Source : Q17 - 17-18 Sec B Réponse : C 08. Le diagnostic du syndrome de l’intestin irritable est évoqué devant : La/Les RJ A. L’existence de douleurs abdominales B. L’existence de troubles du transit C. La présence de diverticules sigmoidiens D. La présence d'hémorroïdes E. Le ballonnement abdominal Source : Q27 - 16-17 Sec B 17 Réponse : D Réponse : ABE 4ème Année Med Oran 2020/2021 28. 29. Proctologie : 01. Une douleur anale peut avoir comme étiologie : La RF A. Fissure anale B. Thrombose hémorroïdaire C. Marisque D. Abcès peri-anal E. Cancer anal Source : Q32 - 20-21 Sec A Q21 - 19-20 Sec C Réponse : C 02. La douleur de la fissure anale présente les caractères suivants : La RF A. Intense B. Déclenchée par la selle C. Disparaît pendant quelques minutes D. Réapparaît pendant plusieurs heures E. Accompagnée d'une atonie sphincterienne Source : Q33 - 20-21 Sec A Q19 - 19-20 Sec B Réponse : E 03. Le traitement chirurgical de la maladie hémorroïdaire est contre indiqué dans toutes les situations suivantes sauf une, la quelle ? A. Incontinence anale B. Suppurations ano-rectale C. RCH en poussée D. Prolapsus irréductible. E. Ano-rectite post radiothérapie Source : Q30 - 19-20 Sec A Réponse : D 04. Le prurit anal dit idiopathique peut être lié à : La RJ A. Oxyures B. Cancer de l'anus C. Atteinte dermatologique D. Atteinte infectieuse E. Aucune de ces réponses Source : Q31 - 19-20 Sec A Réponse : E 05. Le traitement chirurgical de la maladie hémorroïdaire est indiqué dans : A. 100% B. 80 % C. 10 % à 15 % D. 50 % E. Aucune de ces réponses Source : Q20 - 19-20 Sec B Réponse : C 06. Dans la crise hémorroïdaire, les médicaments phlébotropes ont un effet : La/Les RF A. Anti agrégant B. Sur les prostaglandines C. Sur la perméabilité vasculaire D. Protecteur E. Anti infectieux Source : Q20 - 19-20 Sec C 18 Réponse : BE