Uploaded by SEFIANE RYANY

Gestion des risques au Maroc : Analyse et planification

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face aux risques
Comportement collectif
1- AVANT LA CATASTROPHE :
A- La prise en compte du risque :
-connaissance de l’aléa
-connaissance de la population
-les scientifiques
-les experts
-L’état
-La législation
-les zones a risque ( zonage)
*Les ouvrages a risque normal :
A- risque minimes
B- Risques moyen (maison individuelle… les parc…,
les souks…)
C- risque important, les écoles,
D- fonctionnement primordial pour la sécurité
publique (la police, les
télécom, les hôpitaux, stockage eau potable, ONE…
*Les ouvrage à risque spécial :
barrages
les usines chimiques
les centrales nucléaires…
B- Acteurs institutionnels :
•Ministère de l’Intérieur (Protection Civile, DGCL, CVC)
• Département de l’Environnement (DSPR)
• Département de l’Eau
• Ministère de la santé
• Ministère de l’Habitat
• Ministère des Affaires Economiques et de la Gouvernance
• Ministère de l’Éducation Nat et de l’Enseignement Supérieur et
de la recherche Scientifique
AEFCS : Administration des Eaux et Forêts et de la Conservation
des Sols
AGR : Administration de Génie Rural
AH : Administration de l'Hydraulique
AHB : Agence Hydraulique de Bassin
CIAT : Comité Interministériel d'Aménagement du Territoire
CNCC : Comité National des Changements Climatiques
CNDD : Commission Nationale pour le Développement Durable
CNE : Conseil National de l'Environnement
CNEDD : Centre National d'Élimination des Déchets Dangereux
CNESTEN : Centre National de l'Énergie, des Sciences et des
Technologies Nucléaires
CNRF : Centre National de la Recherche Forestière
CNS : Comité Normes et Standards
CNSTCC : Comité National Scientifique et Technique sur les
Changements Climatiques
CPE : Conseil Provincial de l'Environnement
CPGR : Cellules de prévention et de Gestion des Risques
CRTS : Centre Royal de Télédétection Spatiale
CSEC : Conseil Supérieur de l'Eau et du Climat
DAT : Direction d'Aménagement du Territoire
DCC : Direction du Cadastre et de la Cartographie
DCEMS : Direction chargé de l'Environnement au Ministère de la
Santé
DE : Département de l'Environnement
DGCL : Direction Générale des Collectivités Locales
DGH : Direction Générale de l'Hydraulique
DMN : Direction de la Météorologie Nationale
DOEC : Direction de l’Observatoire des Études et de la
Coordination
DRPE : Direction de la Recherche et de la Planification de l'Eau
DS : Direction de la Statistique
DSPR : Direction de la surveillance et de prévention des Risques
DU : Direction de l'Urbanisme
GTZ : Organisme de Coopération Technique Allemande
JICA : Agence Japonaise de Coopération Internationale
LCD : Lutte Contre la Désertification
ONEM : Observatoire National de l'Environnement du Maroc
ONS : Observatoire Nationale de Sécheresse
OSS : Observatoire du Sahara et du Sahel
C- Plans et programmes ( strategie nationale) :
PAGER : Programme d'Alimentation Groupée en Eau Potable en Milieu
Rural
PAN : Programme d'Action National de Lutte contre la
Désertification
PANE : Plan d'Action National pour l'Environnement
PAN-LCD : Programme d'Action National de Lutte Contre la
Désertification
PDAR : Plan Directeur d'Aménagement Régional
PDCI : Plan Directeur pour la protection et la lutte Contre les
incendies
PFN : Programme Forestier National
PGE : Projet de Gestion de l'Environnement
PNABV : Plan National d’Aménagement des Bassins Versants
PNPI : Plan national de Protection contre les Inondations
RAPIDE : Réseau d'Acteurs Partenaires en Information et Données
sur l'Environnement
RDD : Réseau de Développement Durable
Le réseau météorologique
Croissant Rouge Marocain
Le réseau sismologique marocain……
RPS2000 : Règlement de construction parasismique marocain
SDAU : Schéma Directeur d'Aménagement et d'Urbanisme
SDAUL : Schéma Directeur d'Aménagement et d'Urbanisme du Littoral
SNAT : Schéma National d'Aménagement du Territoire
SIDE : Système d'Information et Données sur l'Environnement
D-État actuel de la gestion des risques au Maroc :
•le dialogue national sur l’amélioration du cadre lié à la
prévention des catastrophes
naturelles et technologiques ;
• la mise en place de commissions provinciales et préfectorales
chargées de
l’élaboration de plans de prévention et de gestion des risques au
niveau local ;
• l’introduction de la gestion des risques dans les plans de
développement
communaux ;
• la réalisation d’un plan national de lutte contre les
inondations qui concerne tous les
sites menacés ;
• l’établissement d’un plan s national de lutte contre l’invasion
des criquets pèlerins
¤ Actions sectorielles à faire :
Réalisation d’un système Géographique sur les risques
• Élaboration des éléments d’une stratégie nationale pour la
réduction des risques
• Réalisation d’une stratégie nationale relative à une
approche intégrée de la gestion des
risques au Maroc
¤ Les problèmes résultent fondamentalement de :
-l’insuffisance de la prise en compte des risques naturels dans
le plan de développement
national;
-l’insuffisance en matière d’étude de cartographie prévisionnelle
des risques naturels ;
-l’état lacunaire de la législation nationale et absence d’une
loi cadre portant sur la prévention
des risques
¤ Recommandations :
• Élaboration d’une loi cadre sur la gestion des risques
• Intégration de la réduction des risque dans tout plan de
développement
• Mise en place d’une plate forme nationale pour assurer la
coordination des actions
• Multiplier les compagnes de sensibilisation auprès de la
population
• Intégration la gestion des risques au niveau des programmes
scolaires
• Encourager la recherche scientifique
E- LES LOIS SECTORIELLES INTEGRANT LA NOTION DES RISQUES NATURELS :
¤- La loi sur l’Eau 10-95 :
- l’interdiction sans autorisation préalable, d’aménagement,
plantation, construction, ou dépôts
gênant les écoulements.
- Cette loi a chargé l’Agence Hydraulique de Bassin (AHB) de
prendre les mesures réglementaires
et de contribuer à la réalisation des infrastructures
nécessaires à la prévention et à la lutte
contre les inondations.
Par cette loi trois groupe d’institutions sont concernées par les
inondations :
*Les institutions impliquées dans la gestion et la
planification de l’eau:
le ministère administrateur du DPH (Domaine public
hydraulique)les ABH
les collectivités locales
le Conseil Supérieur de l’Eau et du Climat
les Commissions Préfectorales
Provinciales de l’eau
la Météorologie Nationale
les ORMVAs
l’ONEP
*Les institutions chargées de la gestion et de la
planification de l’espace urbain :
préfectures et provinces
collectivités locales
conseils régionaux
provinciaux et communaux
agences urbaines
délégations ou inspections régionales de l’Aménagement
de l’Habitat
*Les institutions chargées de l’administration, de la
mobilisation et de la protection des
populations :
Département de l’Environnement
Ministère de l’Intérieur
collectivités locales
Gendarmerie Royale
Protection Civile
F- les Décrets :
-le Décret n° 2-94-285 / Le Ministère de la Santé est chargé de
l'organisation des secours
après une catastrophe naturelle et/ou technologique.
-Le Décret n°2-97-176 permet au Ministère de l’intérieur
d’intervenir essentiellement grâce à sa
Direction de la protection civile en aval des catastrophes
naturelles et/ou technologiques (Article
36, tirets 1, 2, 4 et 5).
-Le Décret n° 2-02-177 du 22 Février 2002 : Application du
règlement de construction
parasismiques RPS 2000 à partir du 22 Septembre 2002
(Secrétariat d’Etat à l’Habitat)
-La loi n° 11-03 relative à la Protection et la Mise en Valeur
de l’Environnement (PMVE) Adoptée en 2003.
G-Ce qui reste à faire :
- La définition des acteurs de protection et l’identification
de leurs rôles au niveau
national et au niveau local, par la création de commissions
régionales de gestion du
risque (CRGR), et l’adaptation des attributions des
commissions provinciales et
préfectorales aux questions de prévention;
- L’élaboration des documents de référence en matière de
planification et de gestion
du risque : les plans de protection contre les risques (PPR)
comprenant les cartes de
risque et règlements de protection, les systèmes de prévision
et d’alerte et le plans
d’organisation des secours ;
- La mise en place de textes législatifs et réglementaires :
textes d’application des lois,
texte cadre sur les catastrophes (création du PPRI et des CRGR
Conseils En Gestion De Risques)
définissant notamment les compétences et les mécanismes de
coordination,
modifications de certaines dispositions de législation
urbaine, élaboration du code de
prévention contre les risques.
- Mettre en place des commissions au niveau régional, pour
définir les risques
spécifiques à chaque région.
- Revoir et renforcer la réglementation en matière de gestion
des risques,
- Harmoniser les différentes approches et plans nationaux de la
gestion des risques.
- Intégrer la notion des risques dans les projets et l’
aménagement du territoire.
- Renforcer la prévention par l’information, l’éducation et la
sensibilisation de tous
les acteurs concernés notamment la population.
- Veiller à interdire toute construction dans les zones d’aléas
les plus forts.
- Contrôler strictement l’urbanisation dans les zones
d’expansion des crues et
préserver les capacités d’écoulement pour ne pas aggraver les
risques au niveau
des zones exposées aux inondations.
- Former des futurs acteurs de la prévention : les architectes,
les ingénieurs, les
urbanistes, les géomètres, les notaires et les maîtres
d’ouvrage, dans le but d’être
des aménageurs responsables.
- Réduire la vulnérabilité des constructions existantes.
- Mettre en place un Observatoire National qui permettra de
surveiller tous les types
de risques
H- L’élaboration du Plan de prévention des risques naturels PPR(N) et
son actualisation :
¤ Un PPR : qu’est ce que c’est ?
le plan de prévention des risques naturels prévisibles
est un document réalisé par
l’État;
Il fait connaître les zones à risques aux populations et
aux aménageurs.
Il réglemente l’utilisation des sols en tenant compte des
risques naturels identifiés
sur cette zone et de la non aggravation des risques.
Cette réglementation va de la possibilité de construire
sous certaines conditions à
l’interdiction de construire dans les cas où l’intensité
prévisible des risques ou la non
aggravation des risques existants le justifie.
Elle permet ainsi d’orienter les choix d’aménagement dans
les territoires les moins
exposés pour réduire les dommages aux personnes et aux biens
.
¤ Le PPR est composé :
1° d’un rapport de présentation qui explique
-l’analyse des phénomènes pris en compte,
- leur impact sur les personnes et sur les biens,
existants et futurs.
-Ce rapport justifie les choix retenus en matière de
prévention en indiquant les
principes d’élaboration du PPR et commentant la
réglementation mise en place.
2° d’une carte réglementaire à une échelle comprise entre
le 1:10 000 et le 1:5 000
en général, qui délimite les zones réglementées par le
PPR.
Il s’agit bien sûr des zones exposées à des risques
mais aussi de zones où des
aménagements pourraient aggraver les risques ou en
provoquer de nouveaux.
3° d’un règlement qui précise les règles s’appliquant à
chacune de ces zones.
Le règlement définit ainsi les conditions de
réalisation de tout projet, les mesures de
prévention, de protection et de sauvegarde qui incombent
aux particuliers ou aux
collectivités, mais aussi les mesures applicables aux
biens et activités existants
2- PENDANT LA CATASTROPHE :
¤ les méthodes traditionnelles :
nier de la crise et le black-out médiatique
Minimiser les effets
La constitution d'une commission d’enquête
¤ les méthodes modernes :
-style 1 : Mettre la main à la pâte
Analyse de problème (diagnostic - Développer les solutions
de rechange –
aide à la décision - décisions)
-Style 2 : Je connais déjà l’histoire
méthode de scénarios (salle d'opération - système de
communication Système informatique - information - équipe de gestion des
catastrophes)
¤ Ce schéma illustre le processus de gestion d’un événement
nécessitant une intervention des secours publics dans le cadre du Plan Communal
de Secours (PCS). Voici les étapes principales :
1.Événement :
Un incident ou une situation d’urgence se produit.
2.Alerte des secours publics :
•Un témoin alerte les services de secours (police, pompiers).
•Ces derniers prennent des premières mesures compensatoires pour
répondre à l’urgence.
3.Alerte en mairie :
•Un appel entrant est reçu à la mairie. La nature de l’appel est
analysée pour déterminer s’il est lié à l’événement.
4.Orientation de l’appel :
•Si l’appel est non lié à l’événement : il est redirigé.
•Si l’appel est lié à l’événement : la mairie déclenche le Plan
Communal de Secours (PCS).
5.Déclenchement du PCS :
•Le PCS est activé pour coordonner les actions nécessaires à la
gestion de la crise.
•Une alerte à la population est émise pour informer et protéger les
habitants.
6.Le gouverneur :
•Il peut intervenir en tant qu’autorité administrative pour
coordonner ou superviser certaines actions.
Ce processus assure une gestion rapide et structurée des
crises à l’échelle locale.
¤ Le schéma décrit le système d’alerte aux crues :
1.Les Services de Prévision des Crues (SPAC) surveillent les données
et proposent un niveau d’alerte (vigilance, préalerte, alerte).
2.Le Gouverneur décide des actions et alerte le Maire et les forces
de sécurité (police, gendarmerie).
3.Le Maire transmet l’alerte à la population pour prévenir et agir en
cas de danger.
L’objectif est d’anticiper et de coordonner les actions
pour protéger les habitants.
A- Équipe de gestion du sinistre :
¤ Ce schéma décrit l’organisation de la gestion d’un sinistre à
trois niveaux hiérarchiques :
1.Niveau national :
•Centre de Veille et de Coordination (CVC) :
Une cellule de crise nationale supervise la gestion
globale du sinistre et coordonne
les ressources à grande échelle.
2.Niveau régional :
•Centre Provincial de Veille et de Coordination (CPVC) :
Il agit comme relais entre le niveau national et les
équipes locales. Il répartit
les ressources et donne des instructions aux Postes de
Commandement Incident (PCI).
3.Niveau local :
•Postes de Commandement Incident (PCI) :
Ils sont directement sur le terrain et gèrent les
interventions
(ambulances, pompes à eau, chiens de recherche,
distribution de vivres).
Objectif :
Une coordination efficace entre les différents niveaux
pour mobiliser rapidement
les moyens nécessaires et limiter l’impact du sinistre.
¤ Cette image représente un schéma de gestion des crises et des
catastrophes naturelles
sous la supervision directe de Sa Majesté le Roi, mettant en
évidence le processus
d’intervention en cas d’incident majeur. Voici les étapes clés
décrites dans le schéma :
1.Occurrence d’un incident :
•Un événement déclencheur (comme une crise ou une catastrophe
naturelle) se produit.
2.Première réponse :
•Les premiers intervenants arrivent sur les lieux pour évaluer la
situation
et fournir une réponse immédiate.
3.Activation des structures locales :
•Le Caïd/Pacha active le Plan Communal d’Intervention (PCI).
•Le Gouverneur active le Centre Provincial de Veille et de
Coordination (CPVC).
4.Évaluation et gestion de la situation :
•La CVC (Salle de Veille Centrale) ou la salle de crise nationale
coordonne
les actions et fournit une assistance au niveau national ou
international,
selon l’ampleur de la situation.
5-Coordination et mobilisation des ressources :
•Les Forces Armées Royales et services de sécurité sont déployés pour
renforcer les secours.
•La Protection Civile intervient pour des actions de sécurité civile.
•Le Ministère de l’Intérieur supervise la coordination générale.
6.Déclaration d’urgence :
•Le gouvernement peut déclarer une situation d’urgence nationale si
nécessaire.
•Le parlement, via ses commissions spécialisées, peut intervenir pour
soutenir les actions en cours.
7.Suivi par Sa Majesté le Roi :
•Sa Majesté surveille personnellement l’évolution de la situation et
le suivi des opérations.
Ce processus met en évidence une chaîne d’intervention
structurée et hiérarchisée,
allant de la réponse locale à la mobilisation nationale, avec
une coordination
étroite entre les différents acteurs pour une gestion efficace
des crises.
3- APRES LA CATASTROPHE : (phase de reconstruction)
- Protéger et prendre en charge les populations, préserver les
écosystèmes
-Faire des études de suivi après la catastrophe
-Identifier les facteurs ayant aboutit aux décès et blessures
-Stratégie de planification des moyens afin d'éviter les causes
de décès et
de blessures en cas de nouvelles catastrophes
¤ CONCEVOIR LE RECUEIL DES DONNÉES :
- Recueillir au plus vite et de façon fiable les données
relatives aux conséquences de l’événement
sur la population et l’environnement.
- Toute perte de temps en la matière et toute méthodologie
approximative présentent le risque
de laisser définitivement disparaître des informations
indispensables.
- Il est donc primordiale de se préparer à l’avance au recueil
des données et bien connaître la
nature des informations à recueillir:
*mesures environnementales,
*prélèvements biologiques,
*données statistiques,
*données individuelles sur les circonstances
d’exposition,
*caractéristiques démographiques, économiques et
sociales des territoires touchés,
*conséquences sanitaires et sociales de l’événement
GARANTIR FINANCIÈREMENT LE RECUEIL DES DONNÉES ET LA
RÉALISATION DU RETOUR
D’EXPÉRIENCE.
¤ Retour d’experience :
Ce schéma illustre le retour d’expérience dans le cadre
de la gestion des catastrophes,
en mettant en évidence les différentes phases d’un cycle
d’intervention. Voici les détails :
1. Fonctionnement avant la catastrophe :
•Cette phase représente la préparation et l’organisation
en temps normal,
avant qu’un événement catastrophique ne
survienne.
•Les plans d’intervention, la formation des équipes et
les infrastructures
nécessaires sont mis en place pour anticiper
et réduire les impacts potentiels.
2. Fonctionnement dégradé pendant la catastrophe :
•Lorsque la catastrophe survient, le fonctionnement des
services
et infrastructures est affecté.
•C’est une phase critique où les plans d’urgence sont
activés
pour limiter les pertes humaines,
matérielles et environnementales.
•Les équipes doivent s’adapter à des conditions
imprévues ou difficiles.
3. Fonctionnement après la catastrophe :
•Après la crise, les efforts se concentrent sur la
réhabilitation,
la reconstruction, et le retour à la
normale.
•Cette étape inclut également une analyse des actions
réalisées
pour identifier les faiblesses et améliorer
les futurs plans d’intervention.
En résumé :
Ce schéma montre que chaque phase (avant,
pendant, après) est essentielle
pour réduire les impacts des catastrophes et
améliorer les capacités de réponse
future à travers un processus de retour
d’expérience et de réglage des plans
d’intervention.
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