C E N T R E L E C RO 16 S ECHO JA Echos CENTRELEC L CENT RELE N VIE R 2 La qualité et la disponibilité de l’énergie électrique dans les installations industrielles et tertiaires dépendent en premier lieu de la qualité d’exécution des installations électriques et de celle des produits qui y sont utilisés. Sans ces deux conditions, l’installation électrique, même neuve, peut se transformer en une source de problèmes et de dangers (déclenchements fréquents, risques d’électrocution, risques d’incendie, …etc.) Eviter ces risques revient à être exigent et attentif quant à la qualité des appareillages utilisés et à la qualité des mises en œuvre des installations. L’utilisateur aura tout à gagner en exigeant que l’ensemble de l’installation soit conforme aux normes en vigueur qui sont une garantie de la qualité globale de l’installation. En l’occurrence, il y a lieu de vérifier que : § Tous les appareils sont conformes à leur normes spécifiques (Exemple : CEI 947 pour les contacteurs) § Tous les ensembles (tableaux) sont conformes à leur norme (CEI 60439-1) § L’installation est réalisée suivant les recommandations de la norme d’installation relative (Exemple NF C 15-100 pour les installations basse tension) En respectant ou en faisant respecter ces trois règles, l’exploitant peut éviter les défaillances et les dommages pouvant être causés par une installation électrique non conforme. La disponibilité et la qualité de l’énergie électrique ne peuvent qu’améliorer la rentabilité et la sécurité des outils de production que sont les installations industrielles et tertiaires. Les régimes de neutre : Protection contre les chocs électriques (2ème partie) L M2 P M1 N PE N L3 L2 L1 tion talla e Ins auffag ch B DD N PE R tion talla lle Ins ividue TT) ind éma h (Sc A e ctiv colle ) tion a TN talla ém Ins (Sch PE D N PE M e Post tion rma sfo tran de le cipa prin tielle ten ipo équ ison Lia Dimensionner Ahmed FARAJI Directeur Marketing Dossier Dossier Dans ce numéro Pour une meilleure qualité des installations électriques T rre e te e d ent Pris bâtim du Dimensionnement des fusibles ECHOS CENTRELEC C 6 D E ME 00 J O U R N A L NU ECH S CENTRELEC 1 Nouveautés Nouveautés SMC-3 : La gamme s’élargit La gamme des démarreurs électroniques SMC-3 s’élargie et permet de commander des moteurs dont les courants nominaux vont jusqu’à 135A. Le démarreur électronique SMC-3 gère en continu la tension depuis une valeur de départ sélectionnable jusqu’à 100%. Le couple et le courant augmentent ainsi de manière continuelle. Plage d'intensité Plage de tension Tension de commande Modes de démarrage et d’arrêt. Caractéristiques Applications types Calibre du Démarreur Plage de courant 3A 9A 16 A 19 A • 1 ... 135 A • 200...600 V c.a. 50/60Hz • 100...240 V c.a. • 24 V c.a. /c.c. Modes de démarrage : Démarrage progressif : * Kick start sélectionnable * Temps de démarrage réglable de : 2…15 secondes. * Couple initial réglable de : 15…65% LRT (Couple rotor bloqué). Limitation de courant * Kick start sélectionnable * Limitation de courant réglable de : * 150…450% Intensité nominale moteur. Modes d’arrêt : * Roue libre * Arrêt progressif Protection surcharge • Classe de déclenchement sélectionnable (10, 15, 20 ou OFF) • Réarmement après surcharge programmable (Manuel, automatique ou à distance) Diagnostics de défaut • Surchauffe du circuit de puissance • Inversion de phase • Perte de phase/perte de charge • Déséquilibre de phase • Thyristors en court-circuit Contacts auxiliaires programmables Commande moteur • Pilotage réel des 3 phases du moteur • Moteur asynchrone standard • Compresseurs • Refroidisseur • Ventilateurs • Pompes • Convoyeurs 25 A 30 A 37 A 43 A 60 A 85 A 108 A 135 A 1…3 3…9 5.3…16 6.3…19 9.2…27.7 10…30 12.3…37 14.3…43 20…60 28.3…85 27…108 34…135 Avantages du démarreur SMC-3 par rapport aux solutions électromécaniques traditionnelles : • La conception compacte permet de loger trois fois plus de démarreurs dans le même volume d'armoire qu'avec un dispositif électromécanique 2 Le démarreur progressif permet également un cycle d’arrêt continu du moteur sous charge. La configuration et la mise en service sont assez simples grâce aux micro-interrupteurs. Les protections moteur restent actives même lorsque le contacteur de by-pass intégré est excité. ECHOS CENTRELEC • Fiabilité accrue • Fonctions de diagnostic permettant d’éviter les arrêts • Réduction des contraintes mécaniques et électriques du système par diminution des pointes de courant • Installation simple Dossier Dossier Les régimes de neutre : Protection contre les chocs électriques (2ème partie) En complèment à notre dossier précédent (Echos CENTRELEC N°15) le présent dossier traite de la protection contre les chocs électriques. Le contenu de ce dossier est extraits de la norme UFC 15-100 Edition 2002. La boucle de défaut est constituée exclusivement d’éléments galvaniques car elle ne comprend que des conducteurs actifs et des conducteurs de protection. Le courant de défaut franc phase-masse est donc un courant de court-circuit. La mesure de protection liée directement aux régimes de neutre est la protection par coupure automatique de l’alimentation. Cette mesure de protection est destinée à empêcher qu’à la suite d’un défaut d’isolement, une personne puisse se trouver soumise à une tension de contact supérieure à la tension limite. Pour respecter cette règle, tout défaut survenant dans un matériel provoque la circulation d’un courant qui doit être interrompu dans un temps compatible avec la sécurité des personnes. Les conditions nécessaires à cette règle sont : § L’existence d’un circuit (boucle de défaut) pour permettre la circulation du courant de défaut. La constitution de cette boucle de défaut dépend du régime de neutre (TN, TT ou IT), § La coupure du courant de défaut par un dispositif de protection automatique dont les caractéristiques sont définies suivant le régime de neutre. L2 SCHEMA TN Principe : Le point de l’alimentation généralement mis à la terre est le point neutre. Si le point neutre n’est pas disponible ou n’est pas accessible, un conducteur de phase doit être mis à la terre. En aucun cas le conducteur de phase ne doit servir de conducteur de protection. S’il existe des possibilités efficaces de mise à la terre, il est recommandé d’y relier le conducteur de protection en autant de points que possible. Une mise à la terre multiple peut être nécessaire pour s’assurer que le potentiel du conducteur de protection demeure, en cas de défaut, aussi proche que possible de celui de la terre. Les deux schémas TN-C et TN-S peuvent être utilisés dans une même installation sans l’obligation d’une séparation galvanique sous condition que le TN-C soit utilisé en amont du TN-S. L1 L3 PEN If Défaut RB L2 L1 L3 N PE If Défaut RB Fig 1 : Boucle de défaut en régime TN-C et TN-S Dans le schéma TN-C, le conducteur PEN ne doit ni être sectionné ni être coupé. L’installation est réalisée de manière à éviter tout risque de rupture du conducteur PEN, en particulier : § La section du PEN doit être suffisante pour tenir compte des contraintes mécaniques, § Le matériau utilisé pour le PEN doit être résistant à la corrosion, § Les lignes aériennes exposées à des risques mécaniques doivent être évitées. Les caractéristiques des dispositifs de protection et les impédances des circuits doivent être telles que le courant de défaut soit supérieur ou égal au courant Ia : Uo / Zs > Ia Où : Uo : est la tension nominale efficace entre phase et neutre, Zs : est l’impédance de la boucle de défaut comprenant ECHOS CENTRELEC 3 Dossier Dossier la source, le conducteur actif jusqu’au point de défaut et le conducteur de protection entre le point de défaut et la source, Ia : est le courant assurant le fonctionnement du dispositif de coupure automatique dans les temps limites. Cette condition de protection ne peut être déterminée par calcul que si le conducteur de protection (PEN ou PE) se trouve disposé, dans toute l’installation, à proximité des conducteurs actifs du circuit correspondant. Les dispositifs de protection à utiliser en schéma TN sont : § Les dispositifs de protection contre les surintensités, § Les dispositifs de protection à courant différentielrésiduel sauf pour le cas TN-C. Dans le schéma TNC-S, la liaison du conducteur de protection au conducteur PEN doit être faite en amont de l’appareil de protection (DDR). Protection des locaux à risque d’incendie ou d’explosion : Les canalisations doivent être protégées contre les défauts d’isolement en schéma TN par des dispositifs à courant différentiel résiduel de sensibilité au plus égale à 300mA. Lorsque les locaux à risque d’incendie sont réalisés en schéma TN, les conducteurs PEN ne sont pas admis. Les circuits desservant ces locaux doivent être réalisés en TN-S. Toute fois, il est admis que le tableau principal de ces locaux puisse être alimenté en TN-C. sur le conducteur PEN pour commander la coupure des conducteurs de phase mais pas le PEN, § Il est admis de ne pas prévoir de détection de surintensités sur le conducteur neutre entre la source (transformateur, groupe électrogène) et le tableau général de distribution (TGBT). Coupure du conducteur neutre : Lorsque la coupure du conducteur neutre est permise, la coupure ne doit jamais avoir lieu avant la coupure des phases et la fermeture doit toujours avoir lieu en même temps ou avant celle des phases. Dispositifs de protection contre les courants de défauts : Pour la protection contre les courants de défaut, il est autorisé d’utiliser des dispositifs de protection contre les surintensités (disjoncteurs) en régime TN. La protection par dispositif à courant différentielrésiduel (DDR) doit assurer la coupure de tous les conducteurs actifs du circuit y compris le conducteur neutre. Le conducteur de protection associé aux conducteurs actifs ne doit pas passer à l’intérieur du circuit magnétique du DDR. Conducteur PE Conducteur actifs Tore de détection Protection des conducteurs de phase : La détection de surintensités doit être prévue sur tous les conducteurs de phase ; elle doit provoquer la coupure du conducteur dans lequel la surintensité est détectée. Protection du conducteur neutre : § Lorsque la section du conducteur neutre est au moins égale ou équivalente à celle des phases, il n’est pas nécessaire de prévoir une détection de surintensité sur le conducteur neutre, § Lorsque la section du neutre est inférieure à celle des phases, il est nécessaire de prévoir une détection de surintensité sur le conducteur neutre, appropriée à la section de ce dernier. Cette détection doit entraîner la coupure des conducteurs de phase mais pas nécessairement celle du conducteur neutre, § Dans le schéma TN-C, un tore peut être placé 4 ECHOS CENTRELEC Fig 2 : Double passage du conducteur PE Les DDR peuvent être utilisés indépendamment du régime de neutre pour : § assurer la protection contre les contacts directs (Idn <= 30mA) exception pour le régime TN-C où l’emploi de DDR est incompatible, § assurer la protection contre les risques d’incendie et les risques d’explosion (Idn <= 300mA). Si les temps de coupure ne peuvent être respectés par les disjoncteurs, il y’a lieu d’utiliser des DDR. Si certaines masses sont reliées à une prise de terre locale distincte, la partie d’installation correspondante doit être protégée par des DDR comme en régime TT. Principe Généralement, le point de l’alimentation mis à la terre est le point neutre. Si le neutre n’existe pas ou n’est pas accessible, un conducteur actif doit être mis à la terre. Toutes les masses protégées par un même dispositif de protection doivent être connectées à des conducteurs de protection reliés à une même prise de terre. L’impédance de la boucle de défaut est celle de la boucle constituée par le conducteur de phase, le conducteur de protection assurant la liaison de la masse à la prise de terre des masses, la prise de terre des masses, la prise de terre du neutre et l’enroulement secondaire du transformateur d’alimentation. Lorsque plusieurs dispositifs différentiels sont mis en œuvre pour protéger plusieurs masses reliées à la même prise de terre, la valeur Idn à prendre en considération est la valeur la plus grande. Cette condition détermine la valeur maximale de la résistance de la prise de terre des masses en fonction des caractéristiques de fonctionnement des dispositifs de coupure. Courant différentiel-résiduel maximal assigné du DDR (IDn) Basse sensibilité Moyenne sensibilité L1 L2 L3 N Masse Défaut PE RB Dossier Dossier SCHEMA TT If RA Fig 3 : Boucle de défaut en régime TT En général, la somme des résistances des prises de terre des masses et du point neutre (Ra + Rb) est prépondérante devant l’impédance des autres éléments de la boucle, de sorte que l’impédance totale de la boucle diffère peu. Lorsque les prises de terre du neutre et des masses sont confondues ou interconnectées, le schéma demeure un schéma TT si toutes les conditions du schéma TN ne sont pas respectées. Le courant de défaut phase-masse est un courant de court-circuit comme en schéma TN-S. En schéma TT, les dispositifs de protections sont des dispositifs différentiels. Le conducteur neutre ne doit pas être relié à la terre en aval d’un dispositif différentiel. La condition de protection est : Ra x Idn £ 50 V Où Ra : et la résistance de la prise de terre des masses, Idn : sensibilité du dispositif de protection. Haute sensibilité Valeur maximale de la résistance de la prise de terre des masses (ohms) 20A 10A 5A 3A 1A 500mA 300mA 100mA 2,5 5 10 17 50 100 167 500 £ 30ma > 500 Protection des locaux à risque d’incendie ou d’explosion : Les canalisations doivent être protégées contre les défauts d’isolement en schéma TT par des dispositifs à courant différentiel résiduel de sensibilité au plus égale à 300mA. Protection des conducteurs de phase : La détection de surintensités doit être prévue sur tous les conducteurs de phase ; elle doit provoquer la coupure du conducteur dans lequel la surintensité est détectée. Protection du conducteur neutre : § Lorsque la section du conducteur neutre est au moins égale ou équivalente à celle des phases, il n’est pas nécessaire de prévoir une détection de surintensité sur le conducteur neutre, § Lorsque la section du neutre est inférieure à celle des phases, il est nécessaire de prévoir une détection de surintensité sur le conducteur neutre, appropriée à la section de ce dernier. Cette détection doit entraîner la coupure des conducteurs de phase mais pas nécessairement celle du conducteur neutre, § Il est admis de ne pas prévoir de détection de surintensités sur le conducteur neutre entre la source (transformateur, groupe électrogène) et le tableau général de distribution (TGBT). ECHOS CENTRELEC 5 Dossier Dossier Coupure du conducteur neutre : L1 Lorsque la coupure du conducteur neutre est permise, la coupure ne doit jamais avoir lieu avant la coupure des phases et la fermeture doit toujours avoir lieu en même temps ou avant celle des phases. L2 L3 If M Dispositifs de protection contre les courants de défauts : En régime TT, les dispositifs de protection contre les surintensités (disjoncteurs) ne sont pas autorisés pour la protection contre les courants de défaut. La protection par dispositif à courant différentiel-résiduel (DDR) doit assurer la coupure de tous les conducteurs actifs du circuit y compris le conducteur neutre. Le conducteur de protection associé aux conducteurs actifs ne doit pas passer à l’intérieur du circuit magnétique du DDR. C3 C2 C1 PE RA If Fig 5 : Boucle de défaut en régime IT isolé Lorsque l’installation est isolée de la terre, le courant de premier défaut se referme par les capacités des deux autres phases par rapport à la terre. L1 L2 Conducteur PE Conducteur actifs L3 N If If Tore de détection M C3 C2 C1 PE Zs RB RA If Fig 4 : Double passage du conducteur PE SCHEMA IT Principe Dans le schéma IT, l’installation doit être isolée de la terre ou reliée à la terre à travers une impédance de valeur suffisamment élevée. Cette liaison doit s’effectuer au point neutre. Lorsque le point neutre n’existe pas, un conducteur de phase peut être relié à la terre à travers une impédance. En cas de défaut d’isolement sur un même conducteur actif, le courant de défaut est faible et la coupure automatique n’est pas impérative si la condition est satisfaite. Afin de réduire les surtensions et d’amortir les oscillations, la mise à la terre par l’intermédiaire d’impédance ou de point neutre artificiel peut être nécessaire. En général, la valeur de l’impédance est prise de l’ordre de 4 à 6 fois la tension simple de l’installation ; par exemple 1000 Ohms pour les installations 230/400 VAC. 6 ECHOS CENTRELEC Fig 6 : Boucle de défaut en régime IT impédant Lorsque l’installation est reliée à la terre par une impédance, l’intensité du courant de premier défaut est limitée par la valeur de l’impédance résultant de la mise en parallèle de Zs et des capacités des deux autres phases par rapport à la terre. La condition de sécurité à respecter est : Ra x If £ 50 V Où : Ra : est la résistance de mise à la terre des masses, If : est le courant de défaut en cas de premier défaut franc de faible impédance entre phase et masse. Le respect de cette règle permet d’éviter toute coupure au premier défaut et de continuer l’exploitation de l’installation à condition que le défaut soit rapidement recherché et éliminé. Pour cela, un contrôleur permanent d’isolement doit être prévu pour indiquer l’apparition d’un premier défaut en actionnant un signal sonore et/ou visuel. Après l’apparition du premier défaut, les conditions de déclenchement automatique sont : Régime IT en deuxième défaut : Si le premier défaut n’est pas éliminé et que se produit un deuxième défaut d’isolement affectant un autre conducteur actif, un courant de double défaut, lequel est un courant de court-circuit entre phases (ou entre phase et neutre) va s’établir, mais dont l’intensité est nettement inférieure à un courant de court-circuit, du fait qu’il intéresse deux circuits comme le montre la figure. Zo L1 L2 L3 PE Za Za Ifab Zb m2 Dossier Protection des conducteurs de phase : La détection de surintensités doit être prévue sur tous les conducteurs de phase ; elle doit provoquer la coupure du conducteur dans lequel la surintensité est détectée. Protection du conducteur neutre : § Lorsqu’il est nécessaire de distribuer le neutre en schéma IT, il y’a lieu de prévoir une détection de surintensité sur le conducteur neutre de tout circuit. Cette détection doit entraîner la coupure de tous les conducteurs actifs (y compris le neutre), § Il n’est pas nécessaire de protéger le neutre dans les deux cas suivants : o Le neutre considéré est protégé contre les courtscircuits par un dispositif en amont, o Le circuit considéré est protégé par un dispositif différentiel dont la sensibilité est au plus égale à 0,15 fois le courant admissible dans le neutre. Coupure du conducteur neutre : Lorsque la coupure du conducteur neutre est permise, la coupure ne doit jamais avoir lieu avant la coupure des phases et la fermeture doit toujours avoir lieu en même temps ou avant celle des phases. Choix du matériel En régime IT avec neutre distribué, les matériels connectés entre phase et neutre doivent être isolés pour la tension entre phases. 0 Zo Dossier Premier cas : Les masses sont interconnectées par un conducteur de protection et collectivement mises à la terre et le neutre n’est pas distribué : 0,5 x U / Zs > Ia Deuxième cas : Les masses sont interconnectées par un conducteur de protection et collectivement mises à la terre et le neutre est distribué : 0,5 x Uo / Z’s > Ia Troisième cas : Les masses sont mises à la terre par groupes ou individuellement : Les conditions de protection sont celles du schéma TT. Zf Ifab = courant de double défaut Fig 7 : Deuxième défaut en régime IT Protection des locaux à risque d’incendie ou d’explosion : Les canalisations doivent être protégées contre les défauts d’isolement en schéma IT par un contrôleur permanent d’isolement (CPI) avec alarme sonore et/ou visuel. Une instruction appropriée doit indiquer, que lors d’un premier défaut, il doit être procédé à la coupure manuelle du circuit en défaut. Utilisation des DDR Pour la protection contre les courants de défaut, il est autorisé d’utiliser des dispositifs de protection contre les surintensités (disjoncteurs). Les DDR peuvent être utilisés indépendamment du régime de neutre pour : § Assurer la protection contre les contacts directs (Idn <= 30mA), § Assurer la protection contre les risques d’incendie et les risques d’explosion (Idn <= 300mA). Pour éviter le déclenchement du DDR au premier défaut, sa sensibilité doit être supérieure au double de la valeur du courant de premier défaut : Idn > 2 x If Contrôleur permanent d’isolement : Lorsque le neutre est distribué, la borne « réseau » du CPI est connectée au conducteur neutre le plus près possible de l’origine de l’installation sans interposition d’aucun appareil de protection contre les surintensités. ECHOS CENTRELEC 7 Dossier Dossier La borne « terre » du CPI est reliée à la plus proche prise de terre des masses de l’installation. Dans les installations dont le poste de transformation est éloigné de l’utilisation, il est admis de relier le CPI à la prise de terre du neutre de l’installation. la résistance d’isolement et des réactances de fuite. Ces dispositifs conviennent bien aux installations à courant alternatif comportant des éléments redresseurs et pour les installations à courant continu. LA COMPATIBILITE TT - TN CPI RA Fig 8 : Connexion d’un CPI Le circuit d’alimentation du CPI est relié soit à l’installation sur le même circuit que le point de connexion de la borne « réseau » soit à une source auxiliaire à haute fiabilité. Dans le premier cas, ce circuit doit être protégé contre les surintensités par des dispositifs de protection appropriés de pouvoir de coupure adapté. Lorsqu’une installation est alimentée par plusieurs sources de puissance en parallèle, un CPI est nécessaire par source de puissance, à condition qu’ils soient interverrouillés de manière qu’un seul CPI demeure relié à l’installation. Chaque CPI surveille la source deconnectée permettant ainsi la reconnexion de cette source sans défaut d’isolement préalable. Réglages des CPI Le CPI doit être réglé sur une valeur inférieure à celle correspondant à l’isolement naturel de l’installation lorsque celle-ci fonctionne normalement avec le maximum de charges connectées. Une résistance d’isolement de faible valeur ne crée pas de danger pour l’utilisateur. Un réglage du seuil d’alarme à une valeur basse (500 Ohm) permet de ne lancer la recherche qu’en cas de vrai défaut. Un deuxième seuil de prévention, réglé à une valeur inférieure d’environ 50% à la résistance d’isolement de l’ensemble de l’installation permet de prévenir en cas de baisse d’isolement du réseau. Les CPI les plus utilisés sont ceux qui appliquent une tension alternative à l’installation. Ils indiquent la valeur de Il est possible d’alimenter par un même transformateur des installations différentes réalisées sous des régimes différentes, sous réserve que soient respectées les conditions suivantes : § Les régimes de neutre sont TT ou TN exclusivement, § Chaque installation est correctement réalisée et protégée, § Chaque installation possède son propre conducteur de protection, § Une liaison équipotentielle principale est réalisée au niveau de chaque bâtiment, § La liaison du conducteur PEN, de toute l’installation réalisée en TN, au point neutre du transformateur et à la liaison équipotentielle principale est effectuée en aval du dispositif général de protection de cette installation, § Le point neutre, les masses du poste et les conducteurs de protection des installations situées dans le même bâtiment sont reliés à une même prise de terre ou à un ensemble de prises de terre interconnectées, § Lorsque dans un même local se trouvent des appareils alimentés par des installations différentes et simultanément accessibles, il est recommandé de relier leurs masses à une liaison équipotentielle supplémentaire. L M1 M2 P L1 L2 L3 N N PE DDR Installation individuelle (Schéma TT) A Installation chauffage B PEN PE Poste de transformation PEN Liaison équipotentielle principale 8 ECHOS CENTRELEC Installation collective (Schéma TN) D M T Prise de terre du bâtiment Fig 9 : Compatibilité TT - TN Produits ONDULEUR Produits SYMMETRA PX Protection de l’alimentation électrique centralisée, évolutive et redondante pour équipements informatiques des centres de données de moyennes et grandes tailles. Le SYMMETRA PX, à entrée Triphasée/sortie triphasée (3:3), est une unité simple équipée de composants modulaires. Cette architecture évolutive est le fondement de la construction et de l’évolution de systèmes d’alimentation à disponibilité quasi continue grâce à des capacités de puissance flexibles. Le SYMMETRA PX répond aux exigences de haute disponibilité de l’alimentation et d’autonomie évolutive dans un format très réduit. Le SYMMETRA PX est une solution redondante, où la redondance N+1 se réalise tout en ajoutant un module de puissance supplémentaire ce qui permet d’augmenter la disponibilité de la solution. Le SYMMETRA PX propose un contrôle avancé des batteries et une charge des batteries à compensation thermique. Les données relatives aux batteries sont en permanence comparées aux données préprogrammées se trouvant dans le logiciel de contrôle afin de garantir la fiabilité des batteries. RELAIS DE PROTECTION RELAIS DE PROTECTION MOTEUR E1 PLUS Le relais 193-E offre une protection précise et fiable contre les surcharges et les pertes de phases. Sa conception basée sur la mesure du courant permet une protection thermique précise insensible à la température ambiante. Ils présentent une grande souplesse d’utilisation grâce à la large plage de réglages (rapport5:1), Série Courant nominal Classe de déclenchement Compensation de la température ambiante Type de réarmement Perte phase Contacts de signalisation Communication la classe de déclenchement et le mode de réarmement. Ils ont l’avantage d’être auto-alimentés et d’avoir des raccordements de puissance protégés. 193-EE 0,1 …27A 10 193-ED 0,1…90A 10, 15, 20, 30 Oui Manuel Manuel ou automatique Oui 1 N.F, 1N.(isolé) Oui via le module 193-EDN ECHOS CENTRELEC 9 Produits Produits BOUTONS POUSSOIRS La gamme 800 F La nouvelle gamme 800F apporte fiabilité et protection exceptionnelles dans un format flexible et facile à installer. Les composants 800F sont disponibles en plastique ou en métal avec une grande variété de couleurs, de styles et de tailles. Les commutateurs de la gamme 800F offrent une meilleure sécurité de commutation grâce à l’utilisation de cames rigides à l’intérieur. Ces boutons poussoirs apportent un niveau supplémentaire de protection contre les coupures d’alimentation dues aux vibrations et aux à coups. SYSTEME NUMERIQUE SYSTEME NUMERIQUE 825-P Le système numérique de protection moteur 825P fournit une protection complète pour les moteurs par la surveillance, le contrôle, la mesure et l’affichage des paramètres cruciaux du courant, de la tension d’alimentation et de la température dans des installations basse et moyenne tension. Le 825-P comprend différentes options, notamment un scrutateur pour les sondes de température, une carte d’entrée tension, des cartes d’E/S avec sortie analogique et des cartes de communication via les réseaux ModBus et DeviceNet. 10 ECHOS CENTRELEC Questions fréquentes Questions fréquentes Q1 : Est-ce que le DeviceNet est un bus de terrain propriétaire ou ouvert ? Le réseau DeviceNet basé sur la technologie CAN (Controller Area NetWork) est un réseau de l’Open D e v i c e N e t Ve n d o r A s s o c i a t i o n ( O D VA www.odva.org). Il s’agit d’un réseau ouvert soutenu par plus de 700 fabriquants dans le monde (Rockwell Automation, ABB Automation, Danfoss Drives, General Electric Automation, Hitachi, Mitsubishi, Moeller, Siemens...) qui proposent des produits DeviceNet. DeviceNet est une solution pour les réseaux d’équipements de bas niveau et un moyen efficace d’accéder à l’intelligence présente dans ces équipements. C’est un réseau basé sur la technologie Producteur/Consommateur. Cette technologie moderne permet à l’utilisateur de déterminer efficacement quelle information est nécessaire et quand. rapport au modèle classique et qui est Maître/Esclave. Il repose sur les principes suivants : · Chaque variable est stockée par l’équipement qui la génère (son producteur). Là, elle est mise à jour suivant un cycle qui lui est propre. · Elle est émise sur le bus suivant un cycle prédéterminé. · Chaque destinataire (consommateur) de la variable lit la valeur de celle-ci lorsqu’elle est mise à disposition sur le bus, et ceci suivant un cycle fonction de ses propres besoins. · Un mécanisme assure la synchronisation des différents cycles et la prise en compte des priorités. · Chaque variable est émise sur le réseau dans une trame qui comporte son nom et sa valeur. Une seule trame permet d’acheminer cette information à plusieurs modules du bus de façon simultanée – la variable et diffusée sur le bus, seules les modules consommateurs de cette variable la prennent en compte. Q2 : Est-ce que le SMC Flex est équipé d’un By-pass interne ? et à quoi sert-il ? Q4 : Aquoi sert la carte SNMP et comment la configurer ? Oui, Le SMC-Flex comporte un by-pass électromécanique interne qui se ferme automatiquement lorsque le moteur atteint sa vitesse nominale. La surveillance et les protections du moteur restent actives même après que le démarreur SMC Flex est by-passé. Le by-pass intégré au démarreur SMC Flex permet les avantages suivants : · Réduction du coût : pas besoin d’équipements supplémentaires nécessaires au démarreur pour son fonctionnement optimal. · Réduction des échauffements pouvant avoir lieu après le démarrage. · Encombrement réduit. La carte de communication SNMP Simple Network Management Protocol (protocole simple de gestion de réseau) est un agent permettant de superviser l’onduleur via le protocole SNMP. Elle met à disposition un ensemble d'objets sur le réseau et permet aux différentes machines distantes de superviser l'onduleur afin d'assurer la protection des données informatiques (shutdown). SNMP est un protocole réseau permettant à des périphériques d’être gérés à distance par un poste de gestion réseau (Network Management Station ou NMS), Communément appelé un gestionnaire. Pour être géré, un périphérique doit être associé à un agent SNMP (appelé le médiateur SNMP). L’objectif du médiateur est de : Q3 : Qu’est ce que le ControlBus? En optant pour ControlBus comme fond de panier pour sa famille Logix5000, Rockwell Automation utilise la technologie déjà éprouvée de ControlNet, offrant ainsi à cette gamme d’automate de puissantes capacités de communication. Le ControlBus adopte donc le modèle producteur/consommateur qu’il hérite de ControlNet. Ce modèle offre en effet beaucoup d’avantages par - recevoir du gestionnaire des demandes de données représentant l’état du périphérique et fournir une réponse appropriée ; - accepter des données du gestionnaire pour permettre de contrôler l’état du périphérique ; - générer des traps SNMP, messages indésirables envoyés à un ou plusieurs gestionnaires sélectionnés pour signaler des événements significatifs concernant le périphérique. ECHOS CENTRELEC 11 Dimensionner Dimensionner Dimensionner les fusibles La protection des installations électriques est indispensable pour assurer la protection des personnes et des biens. Dans un environnement industriel, elle est parfois assurée par des fusibles dont la conception résulte à la fois de calculs théoriques (électriques et thermiques) et d’essais en vraie grandeur dans les laboratoires spécialisés. Dans notre rubrique, nous commençons par définir les grandeurs de choix des fusibles, suivi par un peu de technique sur le fonctionnement fusible. Définition et critères de choix · Tension nominale : c’est la tension maximale sous laquelle le fusible peut être utilisé · Courant nominal : (ou assigné) valeur du courant que le fusible peut supporter en permanence, sans détérioration (ni fusion, ni échauffement excessif) dans des conditions spécifiées. chaleur évacuée par le corps I permanent chaleur produite dans les sections réduites chaleur évacuée par les extrémités et les barres le sable participe à l’évacuation de la chaleur Fig 1 : Fonctionnement fusible au courant nominal · Caractéristique temps-courant : courbe donnant pour des conditions données de fonctionnement, la durée de préarc ou la durée de fonctionnement en fonction du courant présumé. · Courant présumé : courant qui circulerait dans le circuit si un fusible s’y trouvant inséré était remplacé par une connexion d’impédance négligeable. Le courant présumé est la grandeur à laquelle se rapportent normalement le pouvoir de coupure et les caractéristiques du fusible, par exemple les caractéristiques i²t et d’amplitude du courant coupé. · Contrainte thermique : c’est l’énergie nécessaire 12 ECHOS CENTRELEC pour atteindre le point de fusion fusible. Elle permet de déterminer la sélectivité sur court-circuit entre les différentes protections en série. La contrainte thermique d’arc correspond à l’énergie limitée entre la fin du pré-arc et la coupure totale. Elle s’exprime en A².s t C= i² dt 0 · Pouvoir de coupure : valeur (en courant alternatif la valeur efficace de la composante alternative) du courant présumé qu’un fusible est capable d’interrompre sous une tension spécifiée et dans des conditions prescrites d’emploi et de comportement. Classes de fusibles selon la norme CEI · Fusible type «g» : (antérieurement à usage général) c’est un fusible limiteur de courant qui protège les circuits contre les faibles et fortes surcharges et contre les courts –circuits. Il est capable d’interrompre, dans des conditions spécifiées, tous courants qui provoquent la fusion du fusible jusqu’à son pouvoir de coupure assigné. ØFusible «gI» : fusible industriel ØFusible «gG» : ancien «gI» mais plus précis et conforme à la norme CEI. Il permet la protection des câbles et des appareils électriques hors moteurs électriques. Il est marqué en noir. · Fusible type «a» : (antérieurement d’accompagnement) fusible limiteur de courant qui protége contre les fortes surcharges et les courtscircuits. Il est capable d’interrompre, dans des conditions spécifiées, tous courants compris entre la valeur minimale du courant indiquée sur sa caractéristique temps courant et son pouvoir de coupure assigné. Ø Fusible «aM» : il permet la protection des moteurs électriques basse tension à démarrage direct et doit être associé à un organe extérieur de protection (relais thermique). Il est marqué en vert. ·Pouvoir de limitation : il permet aux fusibles de limiter au maximum les effets dangereux et destructeur des courts-circuits (voir la figure1) Dimensionner Dimensionner Courant Courant de défaut Courant crête de court circuit sans fusible dans le circuit Courant crête de court circuit avec fusible A cet instant on a atteint la température de fusion des éléments fusibles (960°C pour l’argent) Ic tp = temps de préarc (10ms à 10 ms) tt = temps de fonctionnements total tt - tp = temps d’arc (environ 5 ms) Ic = courant crête Temps Durée de préarc Durée totale de fonctionnement 0 préarc arc tp Fig 2 : Courbe de limitation tt Fig 4 : Fonctionnement fusible lors de la coupure courtcircuit Fonctionnement du fusibles lors de la coupure · Coupure des surcharges : Le fusible est constitué d’un fil traversé d’un courant qui dégage de la chaleur par effet joule Cette chaleur échauffe le fil et se dégage dans le support du fusible. Quand l’intensité augmente, la chaleur augmente au bout d’un temps, et pour une valeur de I, le fil fond. Pour que la coupure soit complète, le fusible doit produire une surtension. En effet, la loi qui régit l’évolution du courant est la suivante : i Résistance R e Inductance L Ua fusible di e = Ri + L di + ua On peut négliger R, ce qui conduit à : di e -U a = L dt 0 Durée d’arc (environ 5 ms) Durée de préarc = 0.1s à 4 heures Durée de fonctionnement (temps total de fonctionnement) Fig 3 : Fonctionnement fusible lors de la coupure surcharge di dt 1 L = Il faut que le courant passe de Ic à 0, donc le di doit être négatif. dt di est négatif si U a dt est plus grand que e. Le · Coupure des courts-circuits : Toutes les sections réduites fondent. Puis un arc s’allume simultanément à toutes les sections réduites. Le courant est limité au courant crête Ic et commence alors à redescendre vers zéro. ECHOS CENTRELEC 13 Solutions Solutions Entrées / Sorties distribuées Dans une durée de vie moyenne, quelques heures de plus ou de moins ne comptent guère, mais pour un constructeur qui perd des milliers de dirhams chaque heure d'arrêt de production, même quelques minutes sont un luxe qui coûte cher. Par le passé, lors d'une installation typique avec 200 à 300 points d'E/S, les concepteurs auraient rempli trois rangées d'armoires avec des cartes E/S chacune reliée par câble à l'équipement. Devant faire face à des milliers de mètres de câbles électriques et de gaines, le simple fait d'ajouter un seul dispositif s'avérait être une procédure complexe. De plus, le raccordement fixe par câble était limité par sa communication unidirectionnelle – aucune information de diagnostic ne pouvait être récoltée. La solution consiste à délocaliser les entrée/sorties prés des capteurs/actionneur. L’installateur n’a par la suite qu’à acheminer un câble réseau vers l’automate de commande, réduisant ainsi la longueur des câbles tirés, et diminuant significativement le coût de l’installation et de l’exploitation. En fonction de la taille du système et du nombre de points d'E/S, on peut réaliser une réduction de 30 à 50 % du temps et des coûts d'installation. 14 ECHOS CENTRELEC L’offre Rockwell Automation comprend une gamme variée d’Entrée/Sortie adaptée à chaque besoin qui offrent des fonctions évoluées comme la mise à l’échelle automatique, le diagnostic, la detection de coupure de fils, gestion des alarmes, etc… On trouve également les Points IO qui fournissent un ensemble compact comprenant un ensemble extrêmement modulaire connectable sur le réseau DeviceNet. En termes de réseau, l’offre est tout aussi riche : RIO, Ethernet, ControlNet et DeviceNet. Ce dernier présente l’avantage d’être un réseau de terrain ouvert et évolué, offrant une gestion des Entrés/Sorties déportées en temps réel, auquel vient s’ajouter un mécanisme de messagerie explicite pour communiquer avec les équipement intelligents comme les variateurs de vitesse, les démarreurs, les relais de protection, etc… Les entrées/sorties déportées sont également utilisées dans des architectures demandant un processeur redondant. Ainsi, les deux processeurs partages les mêmes cartes d’Entrées/Sorties qui se trouvent sur un châssis externe. Notre équipe Notre équipe Bilan 2005 & perspectives 2006 L’année 2005 s’est achevée sur de grandes réalisations qui consolident nos ambitions de faire de Centrelec la Référence dans notre domaine d’activité et le Modèle de société marocaine performante. Pour accompagner ces ambitions, nous avons lancé en début d’année la construction de nouveaux locaux modernes destinés à regrouper l’ensemble de nos activités (bureaux, magasins et ateliers) et à offrir à nos clients de meilleures prestations. La transformation de Centrelec de SARL en SA et l’augmentation du capital social de 15 millions à 20 millions de dirhams témoignent de notre volonté à faire de Centrelec un vrai acteur dans le domaine électrique capable d’accompagner et de supporter ses clients pour bien mener leurs projets. La certification ISO 9000 version 2000 de notre système de management de la qualité est venue couronner les efforts déployés par l’ensemble du personnel de Centrelec dans l’objectif de satisfaire davantage ses clients en leurs apportant des solutions et des services innovants. Avec une progression à deux chiffres, les résultats de 2005, en harmonie avec la stratégie de développement, traduisent la confiance qu’ont nos clients dans nos produits et solutions et dans l’entité Centrelec. L’année 2006 sera marquée essentiellement par le transfert de l’ensemble des activités de Centrelec aux nouveaux locaux. Le déménagement est prévu pour le mois de juin et toutes les dispositions nécessaires seront prises pour que le service rendu au client ne soit pas altéré. 2006 constituera également une année où les ambitions de croissance affichées sont fortes et supportées par une stratégie de satisfaction client. Ainsi, des audits de maintien sont programmés pour confirmer la certification ISO 9000 et une ouverture sur d’autres organismes certificateurs aura lieu. Technologie Technologie Applications multitâche Le développement d'applications multitâches est aujourd'hui une problématique qui se retrouve dans plusieurs domaines tels que les systèmes de contrôle/commande, le transport, les systèmes embarqués ou les télécommunications. Ces applications possèdent deux caractéristiques qui sont la réactivité et le respect de contraintes temporelles. La complexité croissante de ces applications et l'introduction massive de l'informatique ont conduit à des méthodes et outils de conception et de mise en œuvre permettant de mieux prendre en compte les exigences propres à ce type de système. Un système est dit multitâche s’il permet d’exécuter plusieurs programmes simultanément ceci est accompli en alternant successivement plusieurs processus, Le passage de l'exécution d'un processus à un autre est appelé commutation de contexte. Ces commutations peuvent être initiées par les programmes euxmêmes (multitâche coopératif) ou par le système d'exploitation lors d'événements externes (multitâche préemptif). Bien que, au début, le multitâche a été conçu pour les ordinateurs, il a rapidement été implanté dans les automates programmables. Ainsi, Rockwell a été parmi les premiers constructeurs à doter sa gamme d’automates Logix5000 d’un noyau multitâche, la rendant ainsi idéale pour la commande de systèmes complexes demandant une grande réactivité, et imposant des contraintes temporelles importantes. ECHOS CENTRELEC 15 Votre avis nous intéresse Vous lisez notre journal, vous avez des remarques ou propositions, n’hésitez pas à remplir le questionnaire ci-joint et nous le faxer au 022 44 47 07 Journal d’information CENTRELEC 38, Bd Abdellah Ben Yassine - Casablanca Tél. : 022 44 47 00 (LG) - Fax : 022 44 47 07 Publication trimestrielle réalisée par la direction Marketing et Communication de CENTRELEC www.centrelec.com Une même adresse, pour un nouveau site Travaux de Rénovation sur notre site web Journal d’information CENTRELEC 38, Bd Abdellah Ben Yassine - Casablanca Tél. : 022 44 47 00 (LG) - Fax : 022 44 47 07 Publication trimestrielle réalisée par la direction Marketing et Communication de CENTRELEC Bientôt... Découvrez notre nouveau site web www.centrelec.com Journal d’information CENTRELEC 38, Bd Abdellah Ben Yassine - Casablanca Tél. : 022 44 47 00 (LG) - Fax : 022 44 47 07 Publication trimestrielle réalisée par la direction Marketing et Communication de CENTRELEC D E C E N T R E L E C NU ECH S CENTRELEC J O U R N A L ME EC HO RO 14 NTR S CE ELE C 5 J UI N 2 00 Echos CENTRELEC L Dans ce numéro Chafik ARNABI Responsable Qualité ME ECH OS PT Echos CENTRELEC LEC E EMBR Il n’est pas à démontrer que la qualité en tant que composante incontournable de la compétitivité per met aux entre prises de réduire les dysfonctionnements, de rationaliser les coûts et d’assurer leur pérennité. Les régimes de neutre (1ère partie) En effet, les clients au Maroc et à travers le monde ne veulent plus assumer les surcoûts liés à la non qualité des produits et services qui leur sont fournis par leurs fournisseurs. Ces derniers auront tout à gagner en s’inscrivant dans une démarche qualité leur permettant de s’aligner sur les standards internationaux et d’offrir à leurs clients des produits et services qui n’ont rien à envier à ceux des four nisseurs issus des pays développés. L1 L2 L3 N Masse Défaut L1 L2 N L3 PE En engageant Centrelec dans la démarche qualité il y’a plus de deux ans, nous étions conscients que le fait d’être certifié n’est pas forcément synonyme de qualité de service rendu au client ni synonyme d’efficacité dans la gestion de la société. Enfin, être certifié ne signifie pas l’atteinte de la ligne d’arrivée du chemin de la qualité mais plutôt l’atteinte des pré-requis pour se lancer dans la course de l’excellence. PEN ut DéfaZs Les statistiques en matière de coûts de non qualité montrent qu’au Maroc ces coûts cachés s’évaluent à environ 30% du chiffre d’affaires pour les entreprises industrielles et peuvent aller jusqu’à 50% pour les entreprises de service. Ces chiffres peuvent paraître élevés mais, malheureusement, ne font que traduire une réalité masquée. PE RB RA If RB Protections des postes MT & HT Les entreprises marocaines ont aujourd’hui encore un peu de temps devant elles pour mieux s’organiser et rattraper les temps perdus. Il est certain que les ouvertures des marchés nous incitent et nous inciteront davantage à repenser nos stratégies et nos organisations afin de rester compétitifs sur notre marché local, mais aussi afin d’aspirer à un meilleur développement à l’international et devenir ainsi des acteurs reconnus. Le choix des contacteurs ECHOS CENTRELEC J O U R N A L D E C E N T R E L E C NU ECH S CENTRELEC ME EC HO EC D Notre stratégie de développement, pour les années à venir, est essentiellement axée sur la satisfaction de nos clients. Nos objectifs ont tous une composante tournée vers les clients que ce soit en terme d’offre produits, d’approche commerciale, de services rendus ou de respect des engagements... L3 Echos CENTRELEC 1 Elmostafa EL HAZIMY Directeur commercial Les entreprises industrielles sont confrontées aujourd’hui à une concurrence de plus en plus forte aussi bien au niveau de leur marché local qu’au niveau de l’export. La compatibilité éléctromagnétique (CEM) C ECH S CENTRELEC CEM D E ME La rentabilité d’un investissement passe obligatoirement par la maîtrise technico-économique de chacune de ses phases. Aider nos clients à appréhender et maîtriser le cycle de vie de leurs projets d’automatisation, telle est la principale valeur ajoutée que CENTRELEC veut apporter à ses clients. Cela nous pousse nous même à investir pour acquérir et capitaliser de la compétence et de l’expertise pour accompagner nos clients dans leurs investissements : Compétences techniques et commerciales, Système d’information , Système Qualité, Focalisation totale sur nos clients, etc… tels sont nos atouts pour vous accompagner dans les différentes phases de vos projets d’investissements. 1 RO 13 NT S CE MA Echos CENTRELEC Supervision industrielle : PC industriels ou ordinateurs de bureau, Que choisir ? ECHOS CENTRELEC C E N T R E L E C EC HO La protection électrique des environnements informatiques et industriels critiques au Coeur de la disponibilité Dimensionner Justifier, appliquer, installer, exploiter, maintenir et améliorer, telles sont les phases du cycle de vie d’un investissement. RE LE E M B RE J O U R N A L Pour être compétitifs, les entreprises se livrent à un combat quotidien visant l’augmentation de la productivité et la maîtrise des rapports qualité/prix de leurs offres. Souvent cela n’est possible que si l’entreprise engage de nouveaux investissements visant à mettre à niveau les outils et méthodes de production existants. Faut il améliorer les installations existantes ou carrément les remplacer ? Quel est le cycle de vie des investissements et comment le bien gérer ? Voici bien des questions que les entreprises posent et se posent à chaque nouvel investissement. NT S CE Dans ce numéro Dossier Dossier ECHOS CENTRELEC Cycle de vie des investissements : Quelle valeur ajoutée pour les fournisseurs des produits d’automatisation ? 1 RO 12 04 Nous considérons que notre engagement dans un système de management de la qualité totale (TQM) est une suite logique à tout le travail que nous avons accompli jusqu’à présent et qu’une telle ambition est une assurance pour nos clients. M L1 20 Aujourd’hui, après avoir obtenu la certification ISO 9001 Version 2000, nous sommes, plus que jamais, convaincus que l’amélioration continue est incontournable et constitue la seule garantie d’une qualité de service réellement productrice de valeur pour le client. If If RA L2 If Dimensionner La certification ISO 9001 tant convoitée par les uns et négligée par les autres est certainement appréhendée de plusieurs façons dans la mesure où elle est un objectif à atteindre pour les uns et un moyen pour atteindre les objectifs pour les autres. If RB Jawd RAMY Ingénieur commercial Responsable Compte industrie Alors que la sécurisation du système d'information est aujourd'hui au centre des préoccupations des entreprises et des Administrations, on constate que le niveau de disponibilité électrique des infrastructures informatiques et industrielles est encore loin d'atteindre un seuil permettant d'assurer la continuité des activités de l'entreprise. Comment formaliser alors la stratégie de sécurisation du système d'information pour assurer la continuité du service à travers un niveau de disponibilité optimale de l’environnement informatique et des structures névralgiques ? Une question complexe qui appelle une réponse simple : la pertinence d'une stratégie de sécurité repose à la fois sur l'efficacité des solutions technologiques retenues (caractéristiques, fonctionnalités, évolutivité) et sur l'amplitude des risques. En effet les entreprises et les administrations font régulièrement l'expérience de défaillances électriques (pannes électriques, micro-coupures...) dont les conséquences directes (interruption de l'activité en interne, impossibilité aux clients d'accéder à certains services …) et indirectes (perte de chiffre d'affaires, dégradation de la productivité et de la rentabilité, dégradation de l'image de l'entreprise auprès des clients …) nuisent au développement de leur activité. Dans ce contexte, quelle est la place de la politique de sécurité physique dans l'approche globale de sécurisation du système d'information ? Quelles sont les solutions mises en place par les entreprises et les administrations pour pallier les risques d'insécurité physique ? Sontelles à la hauteur des risques encourus ? Quelles sont les principales fonctionnalités permettant d'assurer une protection électrique en accord avec la criticité des infrastructures informatiques ? Autant de questions que nous essaierons de décrypter à travers la rubrique “Dimensionner” et dans nos prochains numéros. RE LE C 5 Le chantier des préparations et des constructions étant terminé, vient alors le grand chantier où nous devons, jour après jour, faire plus et mieux pour nos clients afin de donner un sens aussi tangible que possible à la notion de certification. NU Azelarab EL HARTI Directeur Général Dossier Dossier Dans ce numéro Quelles orientations après la certification ? R S 20 0 Dans ce numéro Dossier Dossier L Face à un marché international hautement compétitif et devant un consommateur national de plus en plus exigent, les petites, moyennes et grandes entreprises sont appelées à se remettre en cause et à revoir leurs méthodes et façons de faire. R O 15 CEN TRE Bus de terrain Dimensionner S E Dimensionner NU C E N T R E L E C 05 D E 20 ECH S CENTRELEC J O U R N A L Dossier Dossier Qualité & compétitivité Protection des transformateurs de puissance Solutions haute disponibilité ECHOS CENTRELEC 1 Echos CENTRELEC Journal d’information CENTRELEC 38, Bd Abdellah Ben Yassine - Casablanca Tél. : 022 44 47 00 (LG) - Fax : 022 44 47 07 Publication trimestrielle réalisée par la direction Marketing et Communication de CENTRELEC ME EC HO NT S CE RE LE S EP RO 15 Echos CENTRELEC L C 05 C E N T R E L E C NU D E 20 ECH S CENTRELEC J O U R N A L TE MB RE Dans ce numéro Dossier Dossier Quelles orientations après la certification ? Azelarab EL HARTI Directeur Général Les régimes de neutre (1ère partie) L1 Le chantier des préparations et des constructions étant terminé, vient alors le grand chantier où nous devons, jour après jour, faire plus et mieux pour nos clients afin de donner un sens aussi tangible que possible à la notion de certification. L2 L3 N Masse Défaut L1 L2 N L3 PE En engageant Centrelec dans la démarche qualité il y’a plus de deux ans, nous étions conscients que le fait d’être certifié n’est pas forcément synonyme de qualité de service rendu au client ni synonyme d’efficacité dans la gestion de la société. Enfin, être certifié ne signifie pas l’atteinte de la ligne d’arrivée du chemin de la qualité mais plutôt l’atteinte des pré-requis pour se lancer dans la course de l’excellence. If If If RB RA M L2 L1 L3 N PE t fau Dé Zs PE RB RA If If RB Dimensionner La certification ISO 9001 tant convoitée par les uns et négligée par les autres est certainement appréhendée de plusieurs façons dans la mesure où elle est un objectif à atteindre pour les uns et un moyen pour atteindre les objectifs pour les autres. Aujourd’hui, après avoir obtenu la certification ISO 9001 Version 2000, nous sommes, plus que jamais, convaincus que l’amélioration continue est incontournable et constitue la seule garantie d’une qualité de service réellement productrice de valeur pour le client. Le choix des contacteurs C ELE ments : ENTRinvestisseur les s po os C de tée ts ui de vie r ajou Cycle e valeus des prod Quellnisseur tion ? four tomatisa d’au Ech D E LE C ZIMY l EL HAmercia ostafa r com Elm Directeu C EM ée s ro nt co nf s forte so nt en plu qu’au iel les plus cal du strrence de arché lo s in pr ise concurde leur m à un en tre une rent la Le s rd’hui à niveau liv se s n deprix aujoui bien auxport. prise ta tio entre m en qualité/ e si auss u de l’e ifs, lessa nt l’a ug ports ble qu ents nivea pétit possi sem com id ien vi rise des rap n’est estis es de être Pour ba t qu otet la maît ent cela eaux inv méthod co m uctivité s. Souvde nouv outils et prod rs offreengage eau les ute tes ou de leureprise re à niv vie istan s ha ns ex cle de ici l’ent t à mettexistants. tion ilité llatio le cy ? Vo visan uction insta uel est n gérer nt et se Solu ponib se t. er les r ? Q le bie prod élior mplace mment prises poiss em en dis re il am co st tre et Faut ment les ents et e les en el in ve tenir n ain carré estissemtions qu no uv m d’u r, des invdes quesch aq ue ploite cle de vie cy ler, ex bien nt à instalphases du po se ss e quer, t pa ique appli sont les en r, les fie em om Justi orer, tel t. st iss -écon in ve technico améli tissemen un îtrise inves té d’ cycle ab ilint par la maes. la er le as re nt aîtris le est La atoiremede ses ph r et m n, tel veut ende atisatio ELEC ême oblig acune éh pr om NTR us m la de ch no ts à ap d’aut clien ojets ée que CEpousse lis er de nos ta ut us er r nos rs pr Aide de leu leur ajo Cela no et ca pi mpagn tences de vie ipale va s clients. qu ér ir pour accoCompé tion , princ rter à se ur ac xpertise ments : d’infor ma etc… 1 appo ve sti r poet de l’e estisse stème s clients, dans LEC NTRE à in pétence leurs inv iales, Sy ale sur nompagner ents. S CE com ts dans commercisation tot us acco nvestissem ECHO clien iques et té, Focal pour vo ojets d’i techn me Qualis atouts de vos pr Systè sont no phases tels férentes les dif ns C ELE 1 NTR S CE ECHOS CENTRELEC ECH J O U R N A L C ELE vité ENTR os C pétiti Ech com L lité & Qua D E C E N T R N UM RE E C E L s Dan ce nu d Bus ER EC HO O 14 S CE NT RE LE C 5 NT 00 O 12 J UIN 2 o mér e te rrain BI ARNAalité Chafiksable Qu Respon en t ut em l de na l ha io na ur natiograndes rn at et in te ommate nes et cause . ns ch é oyen ire m ar nt un co es, m ettre en de fa à un deva les petit se rem ço ns e t qu Fa cepétitif etexigent, pelées à s et fa en tantitivité com en plus sont ap ét ho de té ali qu compé e le s plus prises ur s m e la ir r qu le de la ré du coûts et entre vo ir le tre mon ournab es de er les à re à dé pas e inconttr e pr is tionalis st ra onde Il n’e posant x en ts, de le m non le : com m et aunnemen ité. la vers striel à tra liés à fournis pe r nctio r pérenn ts c et à indu ou Maro surcoûleur sontnt tout té dysfo rer leu sion striels reau, i les ts au ro ali d’assu ervi clien sumer ices qu iers au e qu ds Sup PC indu s de bu? et, les plus as s et serv s dern démarchsta nd aruits eff r ur En ulent produit rs. Ce une r les s prod s oisi nate ne ve té des urnisseu nt dans ne r su ents de ce ux de . ordi Que ch quali leurs fo nscriva s’a lig leurs cli vi er à lo pp és par er en s’i ta nt de ffrir à n à en dé ve té et ys d’o gn ga pe rm ux et on t rie s pa quali non valuent leu r nationa qu i n’ su s de s s de coût chés s’é treprise inter rv ice s rs is les en ère de s ca et se ni ss eu mati ces coût s pour les % pourraître fo ur 50 s en ire qu’à ent pa duire tique Maroc d’affa statis qu’au chiffre t aller jusres peuv que tra s Le trent % du en chiff font monviron 30 et peuvice. Ces ent, ne core à en strielles de serv reusem r ui en indu prises , malheu . urd’hs’organise aujo entre s mais asquée ont mieux us élevé réalité m aines pour és nonos arch maroc elles une ises devant rdus. s des m repenser ste r re re à pe trepr 1 s en de tempstemps ouvertu ntage in de ssi afin Le va af u l C les au RELE un pe traper que lesiteront dasa tio ns l, mais nationa CENT rat rtain ni é loca à l’inter inc S et ga ce us t or t ECHO Il es nt et noet no s tre march pemenus. incite ég ies sur no r dévelopreconn str at pétitifs meilleu acteurs com irer à un si des d’asp venir ain et de r L N A U R Di me Di me ns ion ne r de s EN électr atiquesr rm eu n os C Ech protectioents inqufoes au Co MY d RA l Jaw mercia La ronnem s criti ur comindustrie envi dustriel ibilité pte Ingénie t Com sable et in dispon on es s Respon mati de la nfor treprisede u me d'i s en systè ons de le nivea ues tiq e on du upati risati s préocc nstate qu informa seuil cu la sé ntre de on co tructures indre unités de s, ce s que d'attedes activ Alor rd'hui au stratione des infras in aujou s Adminiélectriqu encore lo inuité on nt risati et de nibilité les est la co sécu inuité dispo dustriel d'assurer gie de cont ale straté surer la é optim res et in ettant rs la as ilit r alo pour disponib s str uctu permreprise. alise on de l'ent nse t formnfor matiniveau de que et men ati répo un Com stème d'i une reposes vers t inform lle tra sy ité à ue ur du appe vice emen ) qui gie de séc hnologiq du ser nvironn ? tivité exe tec até de l’ealgiques n compld'une str lutions tés, évolu névr questio rtinence é des sonctionnali nt e cit ns fo Un : la pe l'effica es, foes. ratio ctriques inist simplefois sur téristiqu s risqu les adm nces éledo nt les à la ues (caractude de et é en failla ... ) reten r l'ampli treprises ce de dé up ur es l'activitrtains en et su érien icr o- coption de er à ce ires, m éd ffa fet les t l'exp ru En ef èremen ct riq ue s,tes (interents d'acc iffre d'a abilité,s réguli ne s éle es direc aux cli erte de ch la rentprès de . (p an équenc ssibilité ctes (p ité et de ise au activité cons ne, impoet indire oductiv l'entreprt de leur que de inter ices …) de la pr ag e de pemen politi tion de la sécurisa ions serv adation de l'im dévelop de place lut dégr adation isent au est la globale les so tions dégr ts …) nu te, quelle proche lles sont ministraSontad ? ue l'ap ex clien cont que dans on ? Q s et les ysique lles sont ise ati s ce Que ssurer Dan ité physi nform entrepr écurité ph ? us d'a é d'i sécur stème par les es d'ins encour ettant criticit du sy en placeles risqu risques tés perm avec la s mises pallier eur de tionnali accord ypter décr nos pour à la haut s fonc ique en ques ? de ns ns elles incipale n électr or mati saiero et da les prprotectioctures inf nous es nner” que ensio une infrastru tions e “Dim des ques t de rubriqu Autanvers la méros. à tra hains nu proc ECH J O ER ion ne 5 00 tecti teurs Pro forma nce s tran puissa de C ELE C S CE HO EC L E DE R CEMB R E N T C E o ér num s ce an té M) D E tibili mpa ue (C La coagnétiq trom éléc NT R S CE ns Di me C ss ier Doier Do ss LE 2004 RE E NT ierier ssss DoDo LEC TRE ique D E O 13 r ion ne L N A U R ER C S CE HO EC L E 2 MARS R E N T C E o mér ce nu s s e Dan on d NT S CE ierier ssss DoDo EC H J O EC R EL NU M Notre stratégie de développement, pour les années à venir, est essentiellement axée sur la satisfaction de nos clients. Nos objectifs ont tous une composante tournée vers les clients que ce soit en terme d’offre produits, d’approche commerciale, de services rendus ou de respect des engagements... NUM Nous considérons que notre engagement dans un système de management de la qualité totale (TQM) est une suite logique à tout le travail que nous avons accompli jusqu’à présent et qu’une telle ambition est une assurance pour nos clients. d es ons & HT tecti Pro tes MT pos S CE ECHO NTRE LEC 1 Les Echos CENTRELEC Des sujets intéressants et d’actualité au coeur de vos besoins, une présentation minutieuse de toutes nos nouveautés, le tout imprimé sur un support à la fois simple et convivial. Echos CENTRELEC, votre journal pour la réussite de vos projets Journal d’information CENTRELEC 38, Bd Abdellah Ben Yassine - Casablanca Tél. : 022 44 47 00 (LG) - Fax : 022 44 47 07 Publication trimestrielle réalisée par la direction Marketing et Communication de CENTRELEC L3 If de Bus M RA If t fau Zs RB L1 L3 N PE If r on ne en si D im D im NUM 4 00 r on ne en si D im C ECH ie U n urs O nom atio Eco applic ntilate J les et ve E N NUM TR E LE C 5 EN MARS 2 ro umé n es on d rs tecti teu Pro sforma nce a tran puiss de s ce D an RAMYial Jawdmmerc trie co ieur indus IngénCompte t ble ion es onsa Resp rmat rises NT S CE : EC REL ments ENT vestisse les os C des in e pour E REL C 1 La c agnéti trom éléc Y Ech le de vieur ajoutéoduits HAZIM ial a EL mmerc Cyc lle vale des pr ostaf r co Elm Directeu Que nisseurs ation ? four tomatis n té es on d’au n fr o forte pétiti d e la co m nt plus ’au rte co h eu re objectife le s so us en l qu L’ ès fo à l’ ur st ri elnce de pl ché loca de tr so n t oitation. e meille in du ar pl exte in s un se s concurre leur m cont ar o ca coût d’exer avec un ep ri ls de m nt à ch s un strie en tr à une livre de la Dan u st ri el s n de leur moins L es urd’hui au niveau s indu on. ses seta ti o n /prix ur le ploitati ire. jo bien t. ri in d nalisatioproduire po au or ep tr en xp i si alité ente s d’ex la rédu ratio mple : auss au de l’e les ent l’a ug morts qu le que ts prés ge ib n ue re s char ssant de elle, peut pp titifs, est si ité. en nive mpé en vi sa e des ra est possstissem s de itergétiqante de plus croi co qual so én is n’ di re e de ve tr e rt us de ti êt la gpo s cturrraim fatale lle : xo la mnaîuvent ceuveaux sinet métho Pour b at aqu s, de r a rt eêt ? La fa gie, de pl strie mpe letivuité netes ém éner no til e pa nt sioSo cotambuc s po travaillelés e dun u cagér ation d’ée l’i fr . gage de les ou indu te d . de od s ù à of e e nt e ’o pr es oue s au nt gu m timis d D rs ion iels o au, aslesur e en nive deva nt ré tant ilisa ix d op l mo oteu a consom exis cle de vi ci ervis ustr bure es ut urs et able, so odes de Cho ables bdel’entreprismettre àtants. L gérée et oi ons Que r les m cy Sup PC ind rs de ? systèmmpresse ge vari s. Ces m re ch allati l est le gérer ? Vet se nt à n exis e de u ir u êt st sa ar ro co nr o p in as is vi te tio ch s b p ge ou -p uc de de ho dé ina ? Que le bien posentm en t. r les ns ce omies prod Beaucilateurs, nditions par by ord Que c e da se éliore placer ment rises vent des co ment ougivores.de vitess des écon il am s rem et com entrep ve st is ir et Faut ément le ments que les ve l in dans étrangle nt éner ateurs réaliser et ainten un ple, carr investisseestions e n o u par lation so des vari et de r, m vie d’ r exem o rt ée ploite e de des des qu ch aq u régu isation ns perm ge, pa tr an spénergie r, ex du cycl pa til à le en io ’u m al s bi at L plic po d ’e au oins d’ teur nt s. r, inst phases ria n de p o se d’ap tantielle p as se latio an ti té fois m s des va plique nt les en t ique er subs instal e qu atre ier, ap lles so se m conom une m êm u’à qu s à trav alité -é st is Justif iorer, te ent. la qu el le Ainsi un e ait jusq imenté in ve chnico amél stissem ergie, ca r des p o ur ommer s sont al d ’u n trise te d’én an te cycle e inve il it épar la maî . conss groupe e. er le est la b ation im p o rt e de vi sions, is ta es m tr t n aî as si le équenc consom au ss i la duré surten tous et m ion, telleC veut a re oiremen ses ph r L s fr t nt u le de la at t e de at es de LE en is ier lietension, phases soablemen s oblig acune us de er gi e préh tomat NTRE us mêm la ap ch el à ér au E de no ri de De plce tt e éne en prem s C id d’ de de es ns eux dust client projets tée que us pousseit al is er er nos de itionn . Les cr séquilibrissent cola, les in ssession nos s p ou gn condpements 1s, les dé i alourd Pour ce ût de po Aider e de leur leur1 aj s. Cela no et ca compa pétences , ac va . vi co on EC EC EC ir qu nt si ce o ie om le ér ur équi EL EL de cipa es ation cl C s au an po TR-ten TREL mér inENTR omèn nten nsibilisé . à ses o ur ac qu ertise ments : d’inform s, etc… CEN us CEN ce nu ions SC OS so s phén la mai Opr OS rter xp isse ème ns ient ECH ECH appo st ir p de l’e ECH de ût de en plus se quisition nique deapplicat vest Syst r nos cl er da . et ve le co de plus ût d’ac ssier tech sur les à in pétence leurs inerciales, totale su compagn sements m dans sont us du co ns le do énergie e. mm lisation us ac investis co co s ie d’ vitess en pl acro clientniques etlité, Foca pour voprojets d’ s cons onom de tech ème Qua s atouts de vos Nou spect écvariateurs Syst sont no s phases à l’a pes et tels fférente pom lecture les di ne Bon p rs les apntilateu et ve I HARTial Ali EL mmerctes ieur co mp IngénGrands Co ble onsa Resp , les on Ech conomietions pom L’é lica n 04 , de ée 20 en t r an n la n ce m éliore , am tt e ts e ce té gi e declients à semen ce is s ut d d éb e st ra r no invest ntenan s le n s n o tr pour aide leurs la mai ui D ep so lid o lutions otéger faciliter . us co n elles so tivité, prarrêt et lations , no riellelogiciels nouv produc mps d’ s instal st indu fre de lus, et leur ire les ten de leur ion of iew P ent rédu volutio alisat elle visu une nouv PanelVvironnem s de et l’é de té rs s é tion march opérateu ec un enpossibili rs ces le s solu ve En tons sur rminaux view, av , et de tantes met , de te els Versacommun es exis s IHMindustri ement es-for m ion detiel at at pp is at PC velo s pl mes. tom séquen s de dération deates-for s d’au ess, de mplétonx. gi co ence mig elles pl exig s de proct, nous e flexlo un aux nouv le ns ndre dustriel ouvemenu systèm x da tation gi po lo ea ré m in r Pour ications ande de r le nouv moteu d’alimenbarqués . appl comm logix pa nce du systèmeation em I/ O ou dee offre la puissa à son munic ie s fl ex notr ésente it grâce de com ée -s o rt richie ssi en ulaire Il pr ce rédu modules d ’e n tr est au mod 5-M espa gré, ses h ér ie eur mot érique ue 82 és inté p ér ip tion num numériq d ’u n itdes et sa otec ème é e is fre pr u syst du relat éq u ip, et offr esure, of n ea m re Not le nouv évolutio 5 -P es étriquestion, de par P, une L e 8 2 et voltm protec ux 825- T 4 ). riques uées de s. uvea s no erciaux, (C E remét ités évol atistique no r pé su comm der à am tionnal et de st ai ions fonc chivage rmat nieurs vous ti o n s. d’infoà nos ingé est de in st al la d’ar us pl on s ns z lutio vocati e vo ande Dem uits et so cipale en ce d prod la prin l’ ef fi ci dont io re r am él E REL en si d to d’au eure pro meill EC REL e sur gi ENT os C d’éner pes C O 13 SC fo ep e d'in s entr au de ve stèm ns de s du sy atio e le ni atique ation préoccup tate qus inform seuil s ns un curis la sé centre de , on co tructureteindre ités de que tiv ns fras at Alorsurd'hui auinistratioue des in loin d' té des ac tion aujo s Adm électriq encore ntinui sa ri t té cu et deonibilité les es rer la co de sé ntinui disp dustriel d'assu tégie r la co optimale la stra sure té ures et in ettant alors ur as onibili struct permreprise. aliser ion po disp des e nse l'esnt ent form format niveau de ique et répo aut de Comm ème d'inavers un informat une é reposees s sh n lle st tr t o & HT pe sécurit giqu du sy rvice à nemen tion ilité ) i ap lo tecti e quratégie de techno olutivité du se nviron ? Solu ponib plex Pro tes MT ns év de l’ealgiques on com d'une st solutio alités, is s d po névr questi rtinence ité des nctionn font s ions Une e : la pe l'efficac iques, fo s. istrat trique simplfois sur actérist s risque s admin ces élec nt le s à la nues (car itude de et le faillan s. ..) do ité en rises e de déou pu re l'activ rtains rete r l'ampl trep ro -c tion deder à ce faires, s en xpérienc et su ic le t m up fe rr t l'e d'af s, té, accé En eflièremenec tr iq uectes (inte ients d' chiffre rentabilides régu ne s él es dire té aux cl erte de de la auprès ité. (p an équenc ssibili rectes (ptivité et prise ur activ re le di de consrne, impo et in produc l'ent t de ique inte ices …) de la mag e deloppemen la polit risation cu de ns e sé serv adationn de l'i au déve ac de lutio t la pl globale nt les so trations dégr adatio isent e le es dégr s …) nu te, quel pproch uelles so adminis ? Sontl'a ? Q s ique ex nt ient O 11 O 12 le ns nt cl R et co ue da ys uelles so rer E ER es ion C C Q assu ans ceé physiq informatentrepris curité ph ? E LE E LE D d' R us s sé T TR rit 1 e d' ur tant criticité EN EN sécu stèm par le s d'in enco et SC SC sy EC place risque sques s perm avec la HO HO duEC E C E C EC E CD TREL ises en er les des ri TREL alité accord ter L ECE M BR r J UIL LE T lli nn CEN CEN m yp S eu E L E pa tio O OS en Rcrns nos ECH ECH pour à la hautles fonc trique atiques ? nsTde dé s ec da ro pa le el Nner” et n él s inform inci essaie usE re les prprotectio on no tu si eC une infrastruc tions qu “Dimen éro éro des ques E ue num num t de laDrubriq . ans s ce s ce utan méros ie d es AA L ers D an D an ilité M) p erg N à travhains nu atib (CE R d’én s pom proc omp que D im Ech nouvelles ation, p ité is uctiv De mat KAT BARA rvice d EL du Se iale Khali Chef mmerc tion Co unica Comm o us eau tection -BradleJ ouv en Le n de pro d’All -P 825 NT S CE si er si er D os D os EC REL ENT lutions r so os C ou C ECH tésiser auos veD J E REL N ou ECH NT S CE L a ronnemels crit envi dustri ibilité et in dispon de la ne r en si on ne r RB des hoix rs Le c tacteu con E HO CEM D im Dé L2 D ER EC 00 NUM If RB R A L EC es REL iqueiqdues ENTn électrrm at oeur os C fo Ech protectioents iniques au C NABI k AR alité Chafi sable Qu on Resp RA PE 5 J O U N T R C E C E L NUM L2 S CE ECH ain terr E LE NTR 2004 L1 ut Défa N PE C 2 J UIN éro num ns en t uctio te m nstr nous h au nal de s co r où ur io n al natio des et de antie ux po rn at mateur s et gran e et ions d ch et mie tangible . in te us ne n arat gran i ch é consom oyentre en ca fa ir e. prépalors le ire plus auss if ic a ti o ar m s , m un ns rt t r de , fa se u n devant s petites remet n s d e antie é, vien s jour er un d e ce alité se le e ço e à e qu ts Le cht terminur aprè donn o ti o n F ac pétitif etexigent, pelées à et fa nt qu arch cien en ta vité étan ns, jo afin deà la n dém cons ément com en plus sont ap ét h o d es alité pétiti s ni rc ns la ions devo clients ib le plus eprises u rs m la qu la com u ir e le et c da us ét pas fo client é. e le le qu tr nos p o ss t no de tre en vo ir er ciét ré d coûts u au s ontr rnable s d e que t Cenux ans,ifié n’ese rend de la so de la re le m an à dé gage de de re cert servicgestion tteinte plutôt s à contoue p ri se onaliser l’a mais ti us d’êt ité de tr En en est pa e in de ns la ns la pas a pl Il n’ posant x en ts, de ra mon n il y’ le fait de qual ité da gnifie qualité er da ers le la no com m et aunnemen ité. que nyme d’efficacé ne siin de la se lanc à trav liés à urnis p er onctio ur pérenn syno nyme certifi chem is pour oc et rcoûts sont fo ut à r les t Mar dysf surer le to e pa synoin, être ée du requ s au er les su qui leurauront alité oité ainemen e as nt nv d’ Enf d’arriv s pré-lence. ie ur qu rt co es ices iers s cl sum rd s che tant est ce la m s et ligne inte del’excel fet, le plus as et serv dern mar an da ts 9001 tres dans les un les l’atte se de En ef ulent produits rs. Ces une dér le s sts produi s ur ur ISO s au çons cour ne veité des urnisseu nt dans n er suients de ce ux de . tion par le urs fa dre po ifs po rtifica igée plusie attein object qual leurs fo inscriva s’ al ig leurs cl vi er à el o p p és O La ceet négl e de jectif à e les en év n IS par er en s’ ta n t deoffrir à ob teindr atio mais, uns éhendé ité et et d’ t ri en à p ay s d gn fic un m at t ga rti ja qual p er ux on apprelle es pour la ce que e e st non aluent le ur rnationa qu i n’ su s d es où moyen tenu es, plus n ti n u d’une ûts de s’év rises co ntie leur m inte rv ic es u rs is oir ob un es. de co cachés entrep les ra som ti o n s av va et ser n is se atière coûts ur les pour autr aprè , nous lio ra ule ga de en m oc ces faires po à 50% t paraître ’hui, 2000 l’a m é la se uctrice fo u s rd ue od ue u’ ar on uire en tiq u M re d’af r jusq Aujou Versi s q u e constitment pr ’a peuv e trad ns un iff statis t da M) 9001va in cuable et réelle Les trent qu% du ch ent allechiffres font qu men (TQ co n ntourn service monviron 30 s et peuvice. Ces ent, ne gage totale e nous re inco ité de nt. tre en alité l qu telle à en strielle de serv eusem i encoser e no de la qu travai ’une nts. ur hu O 10 s qual le clie du d’ he qu R se in t gani s ur le et qu s clie E mal . epri pour C t éron emen tout t aujo ieux s’or entr és mais, asquée E LE nsid manag que à présenpour no m us s on TR nées s co à élev réalité m EN 1 ocaine s pour és nonos s an ction Nou ème de ite logijusqu’ rance ch le SC le ar C e ar el O m ur EC fa un er H m s E syst une su mpli e assu vant us. EC t, po satis u n e TRELrise des à repens re st er 2 CEN trep mps de ps perd rtures emen r la to u s soit E L est s accoest un J UIN OS en age in d e ssi afin R te ce lopp ée su o n t ECH Les u de les tem s ouve davant avonbition af s au T nal dévement ax ct if s nts queT erciRale,s s pe le r n e nt ai de tio un ttrape n qu m e am ie N at io l, m N tero ielle o b je s clE erna com ct d tégie et ra t certai us inci o rg an isché locaC t àEl’int stra essent N o s rs le Cprocehere sp e Notrenir, est ie n ts . née ve, d’ap Il es tent et noet n o s tre mar ppemenus. ro ur Euits Elo conn u d à ve n o s cl e toD umé inci té gi es sur no ur déve nt fre prod d u s o ra titifs Lmeille D teurs re d e posa ce n n st : of s e L re d’ m r n ac pé u co A e Da comNpireA r à un nsi des ic e s oteu mériq N term r ai se rv ts... Rd’asde R en on mme nu ur : veni d e gemen U U tecti et O enga Pro systè mote y O If E LE E se Mas s ce D an TR r EC REL ité ENT titiv os C mpé Ech & co L alité u Q E N C EN on ne L3 N E O 14 SC en si L2 D HO ne r L1 RTI EL HA ral rab r Géné AzelaDirecteu R A L N ER EC D im S CE ECH T R C E C E L on en si éro num utre e ne es d ie) régim part J O U Les (1ère s ce D an E LE NTR 00 R NUM C E 2 005 E LE si er si er D os D os E N TR si er si er D os D os C EN NUM EC REL ons ENT ta ti ? os C r ie nication Ech s o L e ll e certif u Q s la rè p a E O 15 SC EPTEMB 04 D ER HO E CS 20 R A L ersi er sios D osD J O U N T R C E C E L ersi er sios D osD S CE ECH E LE NTR 1 Les Echos CENTRELEC Des sujets intéressants et d’actualité au coeur de vos besoins, une présentation minutieuse de toutes nos nouveautés, le tout imprimé sur un support à la fois simple et convivial. 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