Acte I : Werner, de son vrai nom Auguste Lecourt, naquit en 1999, vers Lausanne dans le canton de Vaud. Il évolua dans une famille de collectionneur. Il fut toujours au contact de l’art. Dès son plus jeune âge, il se découvrit une passion pour la peinture. Ayant un don pour la reproduction et l’imitation, il progressa très rapidement. Il fut notamment reconnu localement pour ses talents d’artiste. C’est donc un jour de pleine lune, qu’une personne portant un haut de forme toqua à la porte de la demeure familiale (une maison sur pilotis au bord du lac Léman). L’homme discuta longuement avec les parents du jeune homme. Cette conversation le réveillera au bout milieu d’un rêve, c’était d’ailleurs un rêve fort agréable. Il s’agissait d’un paysage représentant sa maison dans un style japonais, entourée d’innombrable cerisier japonais, et éclairée par une lune d’un bleu étincelant. Le lendemain, ses parents eurent une discussion avec lui. Ils lui présentèrent un peintre qui avait remarqué son talent et se proposer d’être son mentor afin de la faire « fleurir ». Werner apprendra donc les fondements de la peinture, et développera une aptitude très très poussé en peinture à l'huile. Werner passera des soirées et ces nuits à pendre avec son maître. Mais Werner admirant cet homme ayant une pleine confiance n'accordera aucune importance à ce détail. Pendant 10 ans, verner peindra, progressera, apprendre à l'atelier de son maitre. Une relation particulière s'était développée hé burner était devenu une sorte de fille spirituelle. Hé une nuit au milieu de ces séances nocturnes, les hommes tirent violemment irruption dans l'atelier. L'un 2, avait une carrure imposante il prit le maître de verner avec une clé d'étranglement, pendant que l'autre avançait vers lui. Hé il sortit alors un couteau certi de pierres précieuses, la lame étant gravée avec des rainures d'argent. C'était un travail d'orfèvre. Son maître avait ses yeux rivés sur la lame. cependant il jeta un coup d'œil vers son disciple, et d'un tour de bras il mit à terre le colosse et courut vers verner. Il attrapa son apprenti sous le bras en criant « jamais » vers l'homme au couteau. Son maître donna alors un coup de pied dans la porte de la cour. Pendant qu'ils franchissaient la porte, p l'homme prit un autre couteau, plus profilé, et le lança d'une puissance gigantesque sur le fugitif. Hé ce dernier fit une manœuvre avec une telle précision qui l'évita sans problème le projectile, le couteau se planta dans le mur. Toujours avec Werner assommé par le choc que son maître lui avait affligé lorsqu'il l’avait pris sous le bras. Son maître se mit à courir à une vitesse fulgurante, hé et ce rendit après une dizaine de minutes de course effrénée, dans un cas bas non situé en haut d'une colline. Il posa verner sur le sol et se rendis compte avec effroi hé qu'il avait les mains ensanglantées, jetant un coup d'œil vers son disciple il put apercevoir un trou béant au milieu de son ventre, le t-shirt et le pull avaient absorbé la majorité du sang. Son maître se rendit compte que le couteau qu'il lui était destiné, il n'avait pas juste évité, il avait transpercé son disciple. Werner se réveilla, dans un cabanon en bois, sur une paillasse, il vit son maître tout pâle assis sur une chaise. La nuit était noire. Son maître le dit avec une voix presque inaudible de se rendormir. Mais avant de retrouver le sommeil il sentit que quelque chose avait changé au fond de lui. Il sursautera et se lèvera en sueur quelques heures après son maître venait d'ouvrir la porte, il avait retrouvé des couleurs, il regardera verner d'un air triste et lui dit « je suis désolé Auguste, je suis désolé, je ne pouvais pas… ». il se reprit et renchéri « écoute, j'ai beaucoup de choses à te dire, on va aller autre part, change toi d'abord ». Hé il lui jeta un sac avec une chemise et un pantalon. Verner hé encore très troublé obéi, et se rendit compte en retirant ces vêtements un gros trou à l'avant et à l'arrière de son tee-shirt et de son pull, hé ces vêtements étaient couverts de sang sécher. Les 2 hommes sortirent du cabanon et son maître fermera le verrou à clé. Une voiture à 2 places les attendait quelque pas plus loin ; une vieille Porsche noire A en croire le logo de la marque. Le ciel était sans lune on voyait de fin nuages et une petite brise soufflait dans les cheveux de vernais. Ce dernier encore dérangé par tout ce qui s'était passé pris conscience que la chose qui avait changé c'était le fait que son cœur ne battait plus. Hé après 2 h de route dans les montagnes le tout dans un silence assourdissant, La voiture s'arrêta devant un grand chalet. Son maître sortit difficilement de la voiture et ordonna à vernir de le suivre. La seule fois ou verner avait vu son maître dans cet état, c'était lors d'un vernissage en pleine journée de hé la première exposition de son disciple. Il était couvert de la tête au pied, il avait dit à verner que c'était pour qu'on ne le hé reconnaisse pas. Lors de cet événement, il était aux aguets du moins de mouvement suspect. Ce soir-là, c'était la même chose, il l'ouvrit frénétiquement la portière, en retirant ce souvenir de sa tête et suivra son maître dans le chalet. Dedans son maître ouvrit un frigo dans lequel il y avait une dizaine de thermos de couleurs différentes il en prit un et le but entièrement. Il s'assit sur le grand sofa et regarda vers un ton grave « hé assieds toi, mieux vaut être assis pour entendre ça » verner centre prix et regarda son maître avec un air intrigué en demandant « hé est-ce que ça en rapport avec le fait que ce soit différent ? ». En temps normal quelqu'un aurait demandé quoi différent ?. Son maître acquiesça « oui je vais commencer en étant direct, hé et je t'explique ensuite… hé je suis un vampire verner et à partir de maintenant toi aussi »