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1. Neurones et transmission synaptique

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UE SNEC – Physiologie
Pr. Bouhaddi
06/09/2022
Binôme n°3 : d’or et d’alu
Physiologie des neurones et transmission synaptique
I. Introduction
1. Deux systèmes de contrôle (communication intercellulaire)
Toutes les grandes fonctions de l’organisme sont régulées par deux systèmes de contrôle :
•
Système nerveux = assure ses fonctions par une transmission nerveuse : régule, coordonne les activités par
des signaux électriques et des neurotransmetteurs (substance chimique au niveau du SN) : c’est la tour de
contrôle, il régit toutes les activités rapides de l’organisme. Il est câblé et fonctionne par l’intermédiaire de
synapses, où se fait la régulation. La transmission nerveuse est assurée par les signaux électriques (Potentiel
Post synaptiques PPS) et Potentiel d’action (PA) et les neurotransmetteurs ou neuromédiateurs (molécules
informatives qui modulent ou modifient l’activité du SN). Il possède un champ d’action très court et rapide, il
va gérer la motricité par exemple. Les signaux électriques sont détectés par l’EEG (électroencéphalogramme).
•
Système endocrine = transmission hormonale (ou humorale) : hormones, glandes endocrines notamment les
glandes périphériques avec un chef d’orchestre qui est l’hypophyse, lui-même contrôlé par l’hypothalamus. Il
possède une action dans la durée et va donc plutôt gérer les actions métaboliques et endocriniennes
(reproduction, croissance, régulation…).
Ces 2 systèmes vont interagir, en des actions réciproques, l’objectif étant de maintenir l’homéostasie.
Ces 2 systèmes interagissent via le système hypothalamo-hypophysaire : l’hypothalamus contrôle les glandes
endocrines en libérant des hormones qui circulent dans le sang.
Homéostasie (d’après Claude Bernard) : « capacité de l’organisme à maintenir un état de stabilité relative des
différents composants de son milieu interne (variables biologiques) malgré les changements constants de
l’environnement externe ou interne ». Elle consiste à maintenir les variables physiologiques et biologiques autour de
leur valeur consigne et avec un intervalle de référence (la pression ou le pH par exemple). C’est un état dynamique et
non statique, les variables peuvent varier mais doivent rester compatibles avec la vie.
2. Interaction entre l’environnement (intérieur et extérieur) et l’organisme.
La vie de relation correspond à l’interaction avec l’environnement externe,
assurer des mouvements volontaires (marcher… = apraxie : mouvement
réalisé dans un but bien précis) et permet la perception (càd la compréhension,
interprétation de manière consciente d’une sensation) du monde
extérieur grâce à des récepteurs sensoriels : somesthésie (sensibilité du
corps), vision, audition, équilibre, goût, olfaction. Il correspond au système
nerveux somatique.
3. Du point de vue anatomique le SN comprend :
•
Le SNC (système nerveux central) : encéphale et moelle spinale (tissu nerveux enfermé dans la boite
crânienne et dans la colonne vertébrale et qui vont communiquer via le SNP pour agir sur les organes cibles).
•
Le SNP (système nerveux périphérique) : nerfs et ganglions (voie de communication via un réseau de nerf
accompagné par des amas de cellules nerveuses qui permettent aux nerfs de faire relai avec l’extérieur du
SNP, au niveau des noyaux/ganglions, ils sont situés à l’extérieur du SNC).
Nerfs : ensemble de fibres nerveuses qui vont innerver une région précise avec un trajet définit et précis.
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o 12 paires de nerfs crâniens : sortent au niveau du tronc cérébral, et desservent la tête et le cou et
vont assurer toutes les fonctions sensorielles, la motricité faciale, à l’exception du nerf
vague/pneumogastrique (X) qui lui va s’étendre pour traverser la cavité thoracique et abdominale et
pour contrôler les viscères (utile dans la fonction cardiaque, respi, dig,…). La plupart de ces nerfs sont
des nerfs mixtes (sensitifs et moteurs) à l’exception de certains comme le nerf optique.
Innervation sensitive : transmission de l’info vers le centre
Innervation motrice : transmission vers l’organe effecteur.
o
31 paires de nerfs spinaux rachidiens : ils émergent de la moelle spinale et chaque nerf va suivre un
trajet bien particulier, ce sont des nerfs mixtes.
Dans ce SNP on distingue :
•
SN somatique : contrôle l’activité du muscle strié squelettique.
• Perception du monde environnant, motricité, praxie
• Réponse volontaire
•
SN végétatif (= SN autonome) : gère l’activité viscérale : muscle lisse (tous les organes creux, les vaisseaux),
cardiaque, et les glandes
• Contrôle du monde intérieur (maintien homéostasie)
• Fonctionnement autonome
4. Du point de vue fonctionnel le SNC comprend :
3 parties qui ont des fonctions complémentaires, différentes et fondamentales :
•
Une partie sensitive : fonction sensorielle, récepteurs sensoriels, elle nous permet une représentation de
l’environnement (milieu extérieur) et de notre organisme. Elle assure l’entrée de l’information pour permettre
la perception (chaud/froid, etc..).
•
Une partie motrice : fonction motrice : assurée par les motoneurones situés dans la corne antérieure de la
moelle spinale et au niveau du tronc cérébral (qui innervent les muscles striés) + interneurones (neurones
d’association, partout dans le SN, les plus répandus). Cette activité motrice va organiser et permettre la
réalisation du mouvement
•
Une partie d’intégration : la plus complexe, encore peu comprise, qui assure fonction d’intégration grâce aux
interneurones, à la base des fonctions cérébrales dites « supérieures » : les fonctions
cognitives (intellectuelles comme le langage, la pensée, la conscience, l’apprentissage...).
Cette fonction relie l’activité sensorielle et l’activité motrice pour coordonner l’activité.
Schéma : Les récepteurs sont situés au niveau de l’environnement ou du milieu intérieur et sont
sensibles aux modifications, cela entraine un stimulus au niveau d’un récepteur sensoriel, qui
va être transmis par des voies afférentes vers le SNC où chaque étage traite une fonction
particulière, qui va traiter cette info, la coder, l’emmagasiner, et il va assurer la fonction motrice
en agissant par la voie efférente sur les organes internes ou bien sur les muscles striés
squelettiques pour rétablir l’homéostasie. On parle de rétroaction.
II.
Neurone : unité fonctionnelle polarisée
Le neurone est une unité fonctionnelle polarisée, unidirectionnel et hautement spécialisée, avec une forte activité
métabolique car elle a besoin d’énergie pour entretenir le maintien d’un potentiel de repos et assurer des transports
membranaires.
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Ces cellules sont très vulnérables, elles sont sensibles à l’hypoxie et à l’hypoglycémie car la cellule nerveuse ne peut
utiliser que le glucose comme réserve d’énergie. Ces réserves en glucose sont d’ailleurs faibles car elle ne dispose pas
de l’équipement de dégradation du glycogène, elle a donc très peu
de réserve d’énergie et de moyens de stockage comparé à d’autres
tissus.
La structure est composée d’un ensemble somatodendritique
(dendrites + corps cellulaire ou soma) et d’un axone (= fibre
nerveuse) qui peut être myélinisé ou non (influe sur la vitesse de
conduction). Il va se terminer par une arborisation terminale et
chaque branche se termine en un bouton synaptique où
l’information sera transmise à d’autres neurones.
Donc l’information qui nait au niveau d’un neurone sera transmise
vers la terminaison pour aller ensuite vers le réseau neuronal. Le
signal électrique part toujours de la dendrite ou du corps cellulaire vers l’axone. Cela n’est pas un fonctionnement
normal quand le trajet est en sens inverse.
Le neurone est une cellule particulière qui a plusieurs fonctions :
• Réception de l’information au niveau de l’ensemble somatodendritique avec une hétérogénéité des canaux
ioniques et des récepteurs
• Intégration pour avoir un message unique
• Conduction via les fibres nerveuses (axone) et dépendante de la myélinisation
• Distribution dans des réseaux neuronaux
Cette diversité impose à la cellule nerveuse une activité métabolique très importante pour assurer toutes ces
fonctions.
III.
Cellules gliales
La névroglie représente 90 % des cellules du système nerveux. Les neurones occupent seulement les 10 % restant.
Les cellules gliales = névroglie = glie = « colle » = tissu conjonctif du système nerveux
/!\ Ce ne sont pas des cellules nerveuses, ce ne sont donc pas des cellules excitables.
Elles accompagnent les cellules nerveuses et leur sont indispensables car elles ont un rôle de soutien : nutrition,
support mécanique…
Au niveau du SNC on retrouve 4 types de cellules gliales :
•
Astrocytes : ce sont des cellules étoilées qui ont un rôle mécanique (tuteur de cellules nerveuses), elles
permettent l'organisation spatiale des neurones.
Elles aident à la formation de la barrière hémato-encéphalique (pour que les cellules du sang ne passent pas
dans le LCR). Leurs pieds adhèrent aux capillaires et sécrètent une substance qui diminue la diffusion des
substances à travers les jonctions.
Homéostasie électrolytique : Elles ont un rôle tampon (régulation des mouvements d'ions pour éviter
l'hyper/hypoexcitabilité) car elles capturent le potassium (ions K+) en excès. Rappel : au niveau intracellulaire
le K+ est majoritaire alors qu’au niveau extracellulaire c’est le Na+.
Elles interviennent aussi dans la transmission synaptique (signalisation chimique).
•
Oligodendrocytes : servent d'isolant (formation de la myéline) ce qui permet une transmission rapide des
informations le long des axones. La formation de la myéline se fait par un prolongement qui s’enroule autour
de l’axone et forme ainsi des couches lipidiques isolantes pour les fibres ce qui empêche la déperdition des
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ions et induit ainsi une transmission plus rapide. Elles ont de nombreux prolongements. Un oligodendrocyte
peut myéliniser plusieurs axones.
Destruction de la gaine de myéline dans le cas de la sclérose en plaque, ce qui diminue la rapidité de la
transmission le long des axones engendrant une faiblesse musculaire.
•
Cellules épendymaires (cellules épithéliale): elles synthétisent le LCR (liquide céphalo-rachidien ou cérébrospinal, spécifique du SN) au niveau des plexus choroïdes (microvaisseaux sanguins dans la cavité du système
nerveux) qui sont des cavités cérébrales. Ce sont des cellules épithéliales spécialisées dans le transport, elles
présentent une bordure en brosse.
Les plexus choroïdes sont des structures vasculaires (amas de micro-vaisseaux) au niveau des cavités
cérébrales, tapissés par des cellules épendymaires ce qui permet la filtration du sang pour former le LCR.
Le sang va passer à travers plusieurs cavités qui vont effectuer la filtration :
• 2 ventricules latéraux au niveau des hémisphères cérébraux
• 3 ventricule au niveau diencéphalique (vers thalamus et hypothalamus)
• 4 ventricule au niveau mésencéphalique (entre le cervelet et le tronc cérébral), communique avec
le canal épendymaire qui longe la moelle spinale
e
e
•
Microglie : rôle de défense immunitaire, elle protège le SNC, aussi appelée « éboueur du cerveau », capable
de synthétiser des substances signal libérées lors de réactions inflammatoires, petites cellules semblables
aux macrophages.
La plupart des tumeurs cérébrales résultent d’un développement anarchique de ces cellules gliales car elles gardent
leur capacité à se diviser même à l’âge adulte.
Au niveau des nerfs périphériques, on retrouve des cellules de Schwann qui assurent la myélinisation entraînant une
conduction saltatoire du potentiel d’action. Ces cellules sont l’équivalence des oligodendrocytes dans le SNC.
Schéma : On aperçoit une cavité au-dessus, tapissée
de cellules épendymaires qui filtrent et synthétisent le
LCR, présence de mécanismes de transport
Les oligodendrocytes qui myélinisent les axones et
relient les neurones entre eux.
C'est par leurs pieds (pieds astrocytaires) que les
astrocytes entrent en contact avec les vaisseaux
participant à la barrière hémato-encéphalique.
IV.
Système de protection du SN
Les cellules nerveuses adultes ne se régénèrent plus. Elles composent un tissu nerveux qui lui est très fragile. Une
simple petite pression peut entrainer des dégâts irréversibles.
C’est pour cela qu’on retrouve 4 systèmes de protection :
1. Os protecteurs
La structure osseuse (boite crânienne, colonne vertébrale) protège le SN vis-à-vis de l'extérieur.
2. Méninges
C'est une membrane protectrice et nourricière qui stabilise la matière cérébrale.
Il y en a 3 types (de l’extérieur vers l’intérieur) :
• La dure-mère : c'est la plus externe, c’est le seul type de feuillet doté de récepteurs à la douleur. Elle est
épaisse et la plus solide, elle possède 2 feuillets (interne et externe) soudés qui peuvent être séparés pour
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former les sinus veineux (qui permettent de drainer le sang veineux du cerveau vers la circulation sanguine
(jugulaire)).
• L'arachnoïde (méninge intermédiaire) : elle a une
forme de toile d'araignée, ses filaments constitués
de fibre de collagène amarrent la substance
cérébrale à la dure-mère et au crâne, le LCR se
trouve et est drainé dans l'espace sousarachnoïdien (entre l’arachnoïde et la pie-mère)
par les villosités arachnoïdiennes. Elle présente les
villosités arachnoïdiennes (sorte de soupape de la
membrane) qui drainent le LCR des sinus de la duremère pour permettre son renouvellement et
participe au maintien de la pression intracrânienne. Elle abrite quelques veines et artères.
• La pie-mère : elle entoure intimement la substance
cérébrale, elle est très fine et très fragile.
3. Liquide cérébro-spinal (LCS) ou liquide céphalo-rachidien (LCR)
C'est le véritable 2 milieu intérieur spécifique du tissu cérébral.
C'est un filtrat du sang par les cellules épendymaires dans les plexus choroïdes des ventricules cérébrales. Dans sa
composition c'est un liquide qui est semblable au plasma mais avec une composition ionique différente. De plus il
possède PEU de protéines.
Donc si l'on détecte des globules rouges ou des protéines, c'est qu'il y a un souci.
e
•
Les plexus choroïdes des ventricules cérébraux renouvellent 0,4 mL/min, ce qui assure un renouvellement
du LCR toutes les 6 à 8 heures.
•
C’est un liquide clair d'environ 150 mL, avec un pH de 7,32 environ (à titre indicatif) (volume et pH doivent
rester à peu près constants).
•
Il est sécrété par les mécanismes de transport à travers la membrane de cellules épithéliales des plexus
choroïdes (le transport actif de Na+ via la pompe Na+/K+ ATPase est le moteur de la sécrétion du LCR).
•
65 % de ce LCR est produit par les ventricules latéraux (V1 et V2) et par le 4 ventricule (V4).
ème
Le LCR circule des ventricules latéraux vers le 3 ventricule avant de
rejoindre le 4 ventricule par l’aqueduc cérébral (aqueduc de Silvius) pour
enfin être drainé passivement vers le canal épendymaire de la moelle
spinale, cependant la majeure partie pénètre dans l’espace sous
arachnoïdien depuis le 4 ventricule (le seul à communiquer avec cet espace
via des orifices) pour être drainé par les villosités arachnoïdiennes vers les
sinus veineux dans la dure-mère et participer au renouvèlement permanent
du LCR.
Régulation de la production du LCR :
ème
ème
ème
- Innervation cholinergique et noradrénergique
- Stimulation des fibres beta adrénergiques peut augmenter sa sécrétion
- Absence d’effet de l’aldostérone (capital sodique) et l’ADH (capital
hydrique)
Le LCR est donc un deuxième milieu intérieur qui assure donc une :
• Protection physique : rôle d'amortisseur liquide car permet la flottaison du cerveau (baisse du poids cerveau
et donc de la pression du tissu cérébral sur les vaisseaux et les nerfs crâniens). L’encéphale pèse dans l’air
environ 1,5kg mais grâce au LCR qui joue le rôle de coussin aqueux le poids apparent peut être diminué de 30
à 40x donc la pression qu’exerce l’encéphale sur les nerfs crâniens et les vaisseaux est moindre.
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• Protection chimique : tampon biochimique (équilibre ionique), élimination des déchets cellulaires
Le LCR est un liquide biologique que l’on peut prélever = ponction lombaire du LCR de l'espace sous-arachnoïdien. On
ponctionne en dessous de L1 car il n’y a pas de moelle spinale puisqu’elle arrête son développement à 4/5 ans alors
que la croissance de la colonne vertébrale continue (queue de cheval).
On peut aussi y injecter des choses (antibiotiques, chimiothérapies ou anesthésiques).
•
Toute variation de la composition, du volume ou de la pression du LCR atteste un trouble cérébral. → Une
augmentation du volume du LCR (= hydrocéphalie) en cas de tumeur augmente la pression intracrânienne par
exemple.
•
Le LCR participe aux échanges métaboliques via la barrière hémato-encéphalique
→ Le SNC possède de puissants systèmes de protection, et possède une homéostasie indispensable à l’activité
cérébrale.
4. Barriere hémato-encéphalique :
C'est la barrière sang/liquide interstitiel ou sang/tissu nerveux. Ce n'est pas une barrière au sens physique mais elle
apparaît comme une interface d’échange sélective en bloquant des substances du sang et protégeant ainsi le cerveau
des substances potentiellement nocives (ex : bactéries).
Les capillaires cérébraux sont moins perméables :
• Endothélium étanche : les cellules endothéliales des capillaires cérébraux sont liées par des jonctions serrées
qui empêchent la diffusion des molécules, entourés par des astrocytes.
• Couche basale
• Les pieds astrocytaires participent aussi à cette étanchéité via libération paracrine (agissent directement sur
la barrière) de sécrétions entraînant la synthèse de jonctions serrées.
Les substances hydrophiles (eau, glucose, AA essentiels) passent la barrière par des transporteurs (ex aquaporines)
ainsi que les substances liposolubles (lipide, alcool, nicotine, anesthésiques, …).
Mais certains médicaments ne peuvent pas passer (grosses taille, chimie particulière ex : dopamine) ainsi que les
déchets métaboliques (urée).
Ex : la maladie de Parkinson
est une altération du système
dopaminergique. On peut
apporter de la dopamine mais
la barrière hématoencéphalique empêche son
passage, donc traitement par
la L-dopa (précurseur) qui elle
peut passer pour être
transformée en dopamine
dans le cerveau.
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