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Correction QCM Pharmacognosie 2

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Essais des Plantes Médicinales et
Pharmacognosie Spéciale
Faculté / Institut
FPA4
Module
Année Universitaire
2020-2021
Elément de module
Semestre
1
Date épreuve
Pr : NEJJARI Rachid
Enseignants
Durée épreuve
+
QCM : Cochez les réponses correctes
1. L’affaire Aristoloche « Aristolochia fangchi » :
A. Substitution de plantes chinoises à dénominations vernaculaires voisines.
B. A causé 105 cas de néphrotoxicités dont 17 carcinomes de l’uretère ou du bassinet.
C. Substitution frauduleuse d’une espèce médicinale par une espèce toxique.
D. La pharmacopée a élaboré une monographie « Racine de Stephania tetrandra ».
2. La pharmacopée :
A. C’est un recueil à caractère réglementaire des matières premières.
B. Rassemble les monographies des matières premières.
C. Rassemble uniquement les monographies des principes actifs.
D. Rassemble uniquement les monographies des excipients.
3. Les médicaments à base de plantes :
A. Sont des médicaments à base d’une substance isolée d’une plante.
B. Sont des médicaments contenant une préparation à base de plantes.
C. Sont des médicaments exonérés de l’AMM ou l’enregistrement.
D. Nécessites obligatoirement une AMM ou enregistrement auprès des autorités.
4. Selon la pharmacopée européenne, la monographie d’une drogue végétale comporte :
A. Les indications, contre indications et interactions médicamenteuses.
B. La classe thérapeutique, la forme galénique et la posologie.
C. La composition chimique, les effets indésirables et le service médical rendu.
D. la définition, les caractères, l’identification, les essais et le dosage.
5. Selon la pharmacopée, les plantes médicinales :
A. Des drogues végétales qui possèdent des propriétés médicamenteuses.
B. Elles peuvent avoir des usages alimentaires et condimentaires.
C. Elles peuvent avoir des usages hygiéniques.
D. Elle exclut les plantes alimentaires et toxiques.
6. La dernière édition de la Pharmacopée Européenne :
A. 10e Édition de la Ph. Eur. du 1er janvier 2020 au 31 décembre 2023.
B. Une nouvelle édition est publiée tous les 5 ans.
C. Les plantes médicinales représentent 13% de l’ensemble des monographies.
D. Plusieurs textes relatifs aux plantes médicinales sont corrigés à chaque édition.
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7. Le schéma général des monographies de plantes médicinales :
A. Définition, caractères, identification, essais et dosage.
B. Caractères, identification, essais et dosage.
C. Définition, caractères, identification, essais.
D. Définition, identification, caractères, dosage et essais.
8. Au niveau de la pharmacopée on trouve deux glossaires:
A. Termes botaniques utiles pour l'identification A.
B. Termes anatomiques utiles pour l'identification B.
C. Termes biochimiques utiles pour l'identification A.
D. Termes chimiques utiles pour l'identification B.
9. L’identification d’une drogue végétale est base sur les essais suivants :
A. L’essai bactériologique.
B. L’essai botanique.
C. L’essai physiologique.
D. L’essai physico-chimique.
10. L’essai botanique d’une drogue d’origine végétale :
A. A pour objectif d’identifier la plante ou la drogue.
B. A pour objectif de vérifier la pureté d’une drogue.
C. Permet la recherche des éléments étrangers.
D. Permet de vérifier l’origine de la drogue.
11. Les essais botaniques comportent :
A. Etudes macroscopiques.
B. Etudes physiologiques.
C. Etudes anatomiques.
D. Etudes microscopiques.
12. L’examen des caractères macroscopiques d’une drogue végétale :
A. Simple, rapide et très utile en pratique.
B. Permet d’éviter de grosses erreurs d’identification.
C. Se fait à l’œil ou à la loupe.
D. Est suffisant pour identifier une poudre végétale.
13. Dans l’examen macroscopique la section de la tige nous renseigne sur la famille:
A. Section quadrangulaire → famille des labiées « Lamiacées ».
B. Section cannelée → famille des ombellifères « Apiaceae ».
C. Section quadrangulaire → famille des ombellifères « Apiaceae ».
D. Section cannelée → famille des labiées « Lamiacées ».
14. Dans l’examen macroscopique la nervation de la feuille nous renseigne sur la classe:
A. Nervation palmée ou pennée → classe des monocotylédones.
B. Nervation parallèle → classe des monocotylédones.
C. Nervation palmée ou pennée → classe des dicotylédones.
D. Nervation parallèle → classe des dicotylédones.
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15. Dans l’examen macroscopique l’inflorescence nous renseigne sur la famille:
A. Inflorescence en ombelle → famille des Apiaceae.
B. Inflorescence en capitule → famille des Astéraceae.
C. Inflorescence en ombelle → famille des composées.
D. Inflorescence en capitule → famille des ombellifères.
16. L’examen des caractères microscopiques d’une drogue végétale :
A. Est utile pour l’identification de drogues entières.
B. N’est pas indispensables pour l’identification des poudres végétales.
C. Nécessite des techniques d’éclaircissement et de coloration.
D. Consiste à examiner les tissus cellulaires et leur contenu.
17. En examen microscopique l’usage de l’Hypochlorite de Na:
A. Est nécessaire car il vide les cellules végétales.
B. Détruis les parois cellulaires.
C. Colorer le contenu cellulaire.
D. Il respecte l’oxalate de calcium.
18. Dans les techniques d’éclaircissement et de coloration, la coloration des membranes:
A. Vert d’Iode → tissus cellulosiques (bleu violet).
B. Carmin → tissus cellulosiques (double coloration).
C. Phloroglucinole chlorhydrique → tissus lignifiés (rouge).
D. Chloroiodure de Zinc → tissus lignifiés et subérisés.
19. L’étude du contenu cellulaire après les techniques d’éclaircissement et de coloration:
A. L’amidon est coloré en bleu violacée par l’iodo-iodure.
B. Les gommes et mucilages sont colorés en rouge violet par hématoxyline.
C. Les lipides sont rouge brique (réactif de Millon à chaud).
D. Les protéines sont des petites globules noir (acide osmique) et rouge (Soudan3).
20. L’indice stomatique « IS »:
A. Définit pour une surface de feuille donnée.
B. Calculer sur une seule feuille de l’échantillon.
C. Caractéristique d’une famille botanique.
D. Caractéristique d’une espèce.
21. Dans l’étude anatomique l’Oxalate de calcium :
A. N’est pas éliminer par l’eau de Javel.
B. Existe dans la cellule sous deux formes : Cristaux isolés et Cristaux géminés.
C. Chez Datura stramonium il existe sous forme de Cristaux appelés prisme.
D. Chez Hyoscyamus niger il existe sous forme de Cristaux appelés oursins.
22. Les essais physico-chimiques comportent :
A. Examen en lumières UV.
B. Examens de contenus cellulaires.
C. Techniques d’éclaircissement et de coloration.
D. Etude de la forme cristalline de l’oxalate de calcium.
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23. Les objectifs des essais physico-chimiques :
A. Compléter l’identification botanique d’une drogue végétale.
B. Complète la recherche des impuretés dans les drogues végétales.
C. Nous renseigne sur l’activité et la toxicité d’une drogue.
D. Nous renseigne sur la qualité microbiologique d’une drogue.
24. Dans les essais physico-chimiques :
A. Les anthraquinones sont recherchées par la réaction de Bornträger.
B. Les flavonoïdes sont recherchés par la réaction avec le chlorure ferrique.
C. Les tanins sont recherchés par réaction à la cyanidine.
D. Les alcaloïdes par réactions de précipitations avec le réactif de Mayer.
25. Dans l’essai de solubilité :
A. La gomme arabique est soluble dans l’alcool.
B. La gomme arabique est insoluble dans l’eau.
C. La gomme adragante se gélifier au contacte de l’eau.
D. La gomme arabique et adragante sont très solubles dans l’eau.
26. Pour une drogue végétale, les essais quantitatifs :
A. La teneur en eau doit être < 20%.
B. Le dosage des cendres permet de déceler les falsifications et les souillures.
C. Le dosage de l’eau est basé seulement sur la méthode gravimétrique.
D. Comprend le dosage de l’eau, des cendres et des principes actifs.
27. Parmi les méthodes suivantes lesquelles ne font pas partie de la pharmacognosie :
A. Identification chimique des ions/fonctions.
B. Recherche des éléments étrangers.
C. Détermination potentiométrique du pH.
D. Classification granulométrique des poudres par tamisage.
28. Parmi les méthodes suivantes lesquelles font partie des méthodes de pharmacognosie :
A. Détermination des huiles essentielles dans les drogues végétales.
B. Détermination des tanins dans les drogues végétales.
C. Essais limites des métaux lourds.
D. Teneur en éthanol.
29. Parmi les indices suivants lesquels font partie des méthodes de pharmacognosie :
A. Indice d’amertume.
B. Indice de gonflement.
C. Indice d’hydroxyle.
D. Indice d’iode.
30. Examen en lumière ultraviolette des drogues végétales:
A. Bois de la racine d’Hydrastis → bleue
B. Écorce de la racine de Rauwolfia serpentina → jaune-vert
C. Écorce du tronc du Marronnier d’Inde → bleue
D. Alcaloïde de Quinquina en solution → jaune
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31. Réactions de coloration et de précipitation des métabolites secondaires :
A. Réaction de Liebermann → Stéroïdes
B. Trichlorure d’antimoine (réaction de Carr et Price) → Cardénolides
C. Réactifs de Baljet, de Kedde et de Raymond-Marthoud → Sapogénines
D. Papier picrosodé →Hétérosides cyanogénétiques
32. Les cendres insolubles dans l’acide chlorhydrique:
A. Résidu de calcination complète de la drogue à l’air.
B. Résidu de calcination après attaque sulfurique.
C. Résidu après traitement des cendres totales ou sulfuriques par l’acide chlorhydrique.
D. Permettent de déceler la présence de la silice dans la drogue.
33. Le dosage des cendres dans les drogues a pour objectif :
A. Évaluation de la teneur en éléments minéraux des drogues végétales.
B. Déceler les falsifications par des charges minérales.
C. Déceler les souillures par la terre au moment de la récolte de diverses drogues.
D. Evaluations de la contamination par des métaux lourds.
34. Dosage des principes actifs dans les drogues végétales :
A. Dépend de la nature chimique et la quantité de P.A.
B. Ne nécessite pas des techniques d’extraction et de purification préalables.
C. Utilise des techniques analytiques diverses.
D. Nous renseigne avec précision sur la qualité de drogue.
35. Le dosage de l’eau dans les drogues aromatiques (à huile essentielle) :
A. Se fait par perte à la dessiccation.
B. Se fait par entrainement azéotropique par un solvant organique non miscible.
C. Est un dosage gravimétrique.
D. Utilise un appareil type Dean-Stark.
36. La Chromatographie en Phase Gazeuse (C.P.G):
A. Réservée en premier lieu à l’analyse des principes volatils.
B. Ne s’applique pas à l’analyse des huiles essentielles.
C. S’applique également aux substances rendues volatiles après dérivation.
D. Est couplée à la spectroscopie de masse pour l’analyse des huiles essentielles.
37. HPLC :
A. Est une méthode chromatographique de routine en analyse phytochimique.
B. Permet l’analyse rapide des mélanges complexes (extraits végétaux).
C. Méthode qui se prête uniquement à l’analyse quantitative.
D. Nécessite l’utilisation des témoins pour l’identification des substances.
38. CCM:
A. Nous renseigne sur le système chromatographique adéquat pour l’analyse.
B. Technique la plus répandue et retenue dans les Pharmacopées.
C. Rapide, sensible et facile à mettre en œuvre.
D. Permet l’’identification et le dosage des constituants d’un extrait.
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39. La révélation des alcaloïdes sur une plaque de CCM :
A. Commence toujours par des tests non destructeurs (visible – lampe UV).
B. La pulvérisation de réactif de Dragendorff est réalisée avant la lecture Visible-UV.
C. Avec le réactif de Dragendorff les taches « alcaloïdes » virent au rouge-orange.
D. Se fait par l’anisaldéhyde sulfurique (étuve 100-105°C - 10min).
40. L’extraction et le dosage des huiles essentielles dans les drogues végétales:
A. Utilise un appareil standardisé selon les normes de la pharmacopée.
B. Est basé sur l’hydrodistillation en système fermé.
C. La concentration est exprimée en teneur (%) de la drogue sèche.
D. L’appareil s’adapte à toutes les huiles essentielles quelque soit leurs densités.
41. Le contrôle qualité des huiles essentielles HE comporte :
A. La recherche de l’eau dans les HE.
B. Contrôle de l’odeur et la saveur des HE.
C. Recherche des esters étrangers dans les HE.
D. Déterminer l’indice de mousse des HE.
42. La chromatographie sur papier des Flavonoïdes :
A. C’est une chromatographie préparative des flavonoïdes.
B. C’est une technique chromatographique adaptée à l’analyse des flavonoïdes.
C. Le solvant utilisé pour la migration des flavonoïdes est le solvant de Partridge.
D. La révélation se fait par le chlorure d’aluminium (examen des fluorescences UV).
43. Dans la monographie « Safran pour préparations homéopathiques » :
A. Définition: Stigmates séchés de Crocus sativus L.
B. Définition: Style séché de Crocus sativus L.
C. Les stigmates sont généralement joints par leur base à un style court.
D. Les stigmates sont généralement libres.
44. Dans la monographie « Safran pour préparations homéopathiques » :
A. Caractères: Le safran a une odeur aromatique caractéristique.
B. Le safran est une drogue tinctoriale et non aromatique.
C. Les caractères macroscopiques sont décrits à l’identification A.
D. Les caractères macroscopiques sont décrits à l’identification B.
45. Dans la monographie « Safran pour préparations homéopathiques » :
A. Les stigmates secs, rouge orangé foncé, ont une longueur de 20 mm à 40 mm.
B. Après immersion dans l’eau, la longueur des stigmates est de 35 mm à 50 mm.
C. Les stigmates secs, rouge orangé foncé, ont une longueur de 35 mm à 50 mm.
D. Après immersion dans l’eau, la longueur des stigmates est de 20 mm à 40 mm.
46. Les particules de safran humectées avec 0,2ml de solution d’acide phosphomolybdique
A. Virent au bleu en 1-2 min, ou s’entourent d’une auréole Bleue.
B. Virent au jaune en 1-2 min, ou s’entourent d’une auréole orange.
C. Virent au vert en 1-2 min, ou s’entourent d’une auréole jaune.
D. Virent au rouge en 1-2 min, ou s’entourent d’une auréole rouge.
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47. La CCM du safran :
A. Plaque : plaque au gel de silice F254 pour CCM R.
B. Phase mobile : eau R, 2-propanol R, acétate d’éthyle R (10:25:65 V/V/V).
C. La Solution à examiner n’est pas sensible à la lumière.
D. Solution témoin. jaune naphtol R et rouge Soudan G R.
48. Après développement et séchage de la plaque de CMM du safran, la détection :
A. Examen à la lumière du jour.
B. Examen en lumière UV à 254nm.
C. Traitement par l’aldéhyde anisique et chauffage à 100-105°C pendant 5-10 min.
D. Pulvérisation de réactif de Dragendorf.
49. Pulvérisez le diphénylborate d’aminoéthanol sur la tache de safran à UV 365 nm:
A. La tache présente une intense fluorescence vert-orangé.
B. La tache présente une intense fluorescence jaune-orangé.
C. La tache présente une intense fluorescence rouge-orangé.
D. La tache présente une intense fluorescence mauve-orangé.
50. Le pouvoir colorant du Safran :
A. Est évalué par la mesure de l’absorbance à 440 nm.
B. Pour une drogue conforme l’absorbance n’est pas inférieure à 0,44.
C. Est évalué par la mesure de l’absorbance à 220 nm.
D. Pour une drogue conforme l’absorbance n’est pas inférieure à 0,22.
51. La monographie de fruit d’anis :
A. La teneur en huile essentielle est mesurée sur une drogue fraîchement récoltée.
B. Pour une drogue conforme la teneur en HE de la drogue sèche est minimum 20ml/kg.
C. La drogue présente l’odeur de l’anéthol.
D. L’extraction de l’HE se fait avec un débit de distillation 2.5-3.5ml/min pendant 1h.
52. La monographie « écorce de quinquina » :
A. Seule le quinquina rouge est officinale est utilisée pour l’extraction de la quinine.
B. La teneur maximale en alcaloïdes dans une drogue conforme est de 6.5%.
C. La quinidine est l’alcaloïde majoritaire 30-60% des alcaloïdes totaux.
D. La quinine est l’alcaloïde majoritaire 30-60% des alcaloïdes totaux.
53. La monographie « fleur de passiflore » :
A. La drogue est constitue par la fleur et/ou fruit.
B. La teneur minimale en flavonoïdes totales est 20%.
C. Le dosage des flavonoïdes se fait par spectrophotométrie à 401nm.
D. La teneur en flavonoïdes est exprimée par rapport à la vitexin.
54. Les monographies « Badiane » et « badiane (huile essentielle de » :
A. Fruit composé séché d’Illicium verum Hook.f. riche en flavonoïdes.
B. La teneur au minimum 70 ml/kg d’huile essentielle (drogue anhydre),
C. HE obtenue par entraînement à la vapeur d’eau à partir des fruits mûrs et secs.
D. Au minimum 86,0 pour cent de trans-anéthole dans l’huile essentielle.
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55. L’essai physiologique:
A. Est réalisé quand l’essai chimique ne reflète pas l’activité réelle de la drogue.
B. Est réalisé s’il ya une synergie entre les différents constituants d’une drogue.
C. Comporte l’essai de toxicité, l’essai galénique et le contrôle d’activité.
D. Très utilisé en routine dans le contrôle des drogues végétales.
56. L’essai de la toxicité aigue :
A. Détermination de la dose minimale mortelle;
B. Détermination de la dose létale 50 « DL50 ».
C. Effectué notamment pour les drogues à hétérosides cardiotoniques.
D. Effectué notamment pour les drogues aromatiques.
57. L’essai de toxicité chronique :
A. Etudier la toxicité à moyen et à long terme.
B. Rarement réalisé pour les drogues végétales.
C. Se fait chez l’animal par administration de doses répétées.
D. Recommander pour les drogues et les plantes aromatiques.
58. Le contrôle de l’activité dans l’essai physiologique :
A. Le choix de l’activité à étudier est en fonction des PA.
B. Les tests sont réalisés chez l’homme.
C. Les tests sont réalisés sur l’animal ou sur des organes de l’animal.
D. Facile à mettre en œuvre pour toutes les plantes médicinales.
59. L’essai physiologique des drogues anti-tumorales:
A. Est réalisé directement chez l’homme.
B. Se fait, in-vitro et in-vivo, sur cellules animales et végétales.
C. Souvent réalisé dans le cadre de la recherche des substances anticancéreuses.
D. Est réalisé chez l’homme dans le cadre des essais cliniques.
60. La recherche de l’activité antimicrobienne.
A. Est réalisé au laboratoire sur des souches bactériennes de référence.
B. Consiste à évaluer la CMI et la CMB d’une drogue.
C. Est un essai de routine.
D. Inutile pour les drogues à huiles essentielles douées d’un pouvoir antibactérien.
61. La contamination d’une drogue d’origine végétale donnée peut se faire par :
A. Confusion avec d’autres espèces végétales semblables.
B. Falsification des drogues chères par des drogues moins chères.
C. L’utilisation des pesticides en agriculture.
D. Les champignons en cas d’une mauvaise conservation
62. Parmi les contaminants des drogues végétales :
A. Métaux lourds.
B. Terpènoïdes.
C. Aflatoxine et mycotoxines.
D. Pesticides résiduels.
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63. La recherche des métaux lourds dans des drogues végétales :
A. Se fait uniquement sur les drogues et non sur les extraits des drogues.
B. Se fait selon la méthode préconisée par la pharmacopée européenne.
C. Peut se faire selon une méthode alternative validée.
D. Certaines plantes ont la propriété de concentrer les métaux lourds.
64. Les valeurs limites prévues (Ph. Eur.) pour les métaux lourds :
A. Les extraits sont généralement inférieures à celles des drogues végétales (5x<).
B. les drogues dépassant les limites sont acceptées si les préparations sont conformes.
C. Des dépassements ont été signalés pour la grande camomille et le millepertuis.
D. Les extraits sont généralement supérieurs à celles des drogues végétales (5x>).
65. Les teneurs des métaux lourds dans les drogues:
A. Pb 0.1ppm.
B. Hg 5ppm.
C. Cd 0.5ppm.
D. Des limites pour As, Cu, Fe, Ni, Zn peuvent être requises.
66. La recherche des métaux lourds dans les drogues doit prendre en compte:
A. Le type de plante qui peut capter et concentrer des métaux lourds (Cd, Pb…).
B. La nature du sol : importance de situer les zones de culture ou cueillette.
C. La nature botanique de la drogue (racine, feuille, fruit, graine...).
D. Hg et As sont à évaluer tout particulièrement dans des produits marins.
67. La contamination bactérienne d’une drogue végétale :
A. Sa recherche est recommandée pour les drogues et préparations.
B. Sa recherche est recommandée pour les tisanes ou extraits à l’eau.
C. Les germes recherchés : E. coli ; Salmonella ; Entérobactéries.
D. Les germes recherchés : Staphylocoques ; Pseudomonas.
68. La contamination bactérienne d’une drogue végétale :
A. Est évaluée par la méthode de dénombrement selon la monographie.
B. Des valeurs limites sont requises.
C. L’humidité (activité d’eau Aw> 0.60) a une influence négative.
D. Concerne tous les germes bactériens.
69. Les aflatoxines, La méthode de la Ph. Eur. A été validée sur:
A. Racine de la réglisse.
B. L’Harpagophytum.
C. Le Gingembre.
D. Les follicules de Séné.
70. Les facteurs favorisants le développement des aflatoxines sont :
A. Humidité (H.r. > 70%).
B. La présence des pesticides.
C. Activité de l’eau (Aw : 0,70-0,85).
D. Température (26-32°C).
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71. Les facteurs favorisants l’inhibition des aflatoxines sont :
A. Présence de certains composants : amidon, lipides (graines, fruits).
B. Présence de substances inhibitrices de la croissance de mycélium.
C. Présence des huiles essentielle (HE) : plantes aromatiques.
D. Atmosphère chaude et humide.
72. Selon la Ph. Eur. (2.8.18) les limites acceptées des aflatoxines dans les drogues:
A. Aflatoxine B1 < 2 ppb.
B. Aflatoxine B1 + B2 + G1 + G2 < 4 ppb.
C. Aflatoxine B1 < 4 ppb.
D. Aflatoxine B1 + B2 + G1 + G2 < 2 ppb.
73. Le risque de développement des aflatoxines est reconnu pour les drogues suivantes:
A. Graines fruits,
B. Racines rhizomes.
C. Venant de zones à climat tropical (contrôle en routine sur chaque lot).
D. Venant des zones semi-désertiques et désertiques (contrôle périodique).
74. Les valeurs limites acceptées pour les Ochratoxine A « OTA »:
A. Racine de réglisse : OTA < 80 ppb.
B. Extraits de réglisse: OTA < 20 PPB.
C. Racine de réglisse : OTA < 20 ppb.
D. Extraits de réglisse: OTA < 80 PPB.
75. Les Ochratoxine A « OTA », le risque est reconnu pour les drogues suivantes:
A. Réglisse, Curcuma, Gingembre.
B. Fleur d’oranger, Citron.
C. Belladone, datura.
D. Coriandre, Fenouil.
76. Les pesticides résiduels dans les drogues végétales :
A. Sont autorisés dans la culture des drogues végétales.
B. Pour les drogues sont mentionnées les concentrations maximales tolérables.
C. La concentration est la même dans une drogue végétales et ses extraits.
D. Les cultures utilisant les pesticides nécessitent des analyses périodiques.
77. Les pesticides résiduels dans les drogues végétales:
A. Il n’y a plus de méthode proposée par la Ph. Eur.
B. Une méthode officielle ou personnelle à valider est acceptable.
C. Le risque des extraits est estimé selon le RDE (Rapport Drogue/Extrait).
D. L’utilisation de plusieurs pesticides ne présente aucun risque si RDE est respecté.
78. Les pesticides résiduels dans les drogues végétales:
A. Les cultures utilisant des pesticides nécessitent des analyses périodiques.
B. Les récoltes sauvages nécessitent des analyses en routine.
C. Dosage: CPG, CPG/SM, HPLC, HPLC/MS,
D. Dosage : méthode multi-résidus (250 pesticides), méthode Immuno-essai.
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79. La recherche de la radioactivité dans les drogues végétales :
A. Dose limite pour les denrées alimentaires 600 Bq/Kg.
B. Dose limite pour lait, produits laitiers et aliments pour enfant 370 Bq/Kg.
C. Plantes contaminées: Menthe, Busserole, Champignons, Mousse d’Islande, Mûre…
D. L’analyse se fait en routine sur toutes les drogues végétales.
80. Les autres contaminants possibles des drogues végétales :
A. Solvants résiduels.
B. Antibiotiques.
C. Nitrate ; Sulfite.
D. Hydrocarbures aromatiques polycycliques « PAH »; Acrylamide.
81. GACP « Good Agricultural and Collection Practices » est applicable :
A. Aux médicaments.
B. A l’alimentation.
C. Aux médicaments à base de plantes.
D. Aux denrées alimentaires à allégations « santé ».
82. GACP « Good Agricultural and Collection Practices » :
A. Sont éditées par l’OMS.
B. Sont éditées par la commission de la Pharmacopée Européenne.
C. Sont des Directives sur les bonnes pratiques agricoles et de récolte.
D. Sont obligatoires pour la production des matières premières pharmaceutiques.
83. GACP « Good Agricultural and Collection Practices » s’appliquent à :
A. L’extraction et la purification des PA.
B. La culture des plantes médicinales.
C. La récolte des plantes médicinales.
D. Opérations postérieures à la récolte.
84. HACCP « Hazard Analysis Critical Control Point » est applicable :
A. A la culture et la récolte des plantes médicinales.
B. Aux denrées alimentaires à allégations « santé ».
C. A l’alimentation.
D. Aux médicaments à base de plantes.
85. Le concept HACCP « Hazard Analysis Critical Control Point » :
A. Démarche qualité unique et obligatoire dans le domaine pharmaceutique.
B. Démarche d’analyse des dangers et point de maîtrise critique.
C. Initiée par la NASA en 1965 pour la sécurité des rations alimentaires des astronautes.
D. Rendu obligatoire pour maîtriser les risques des denrées alimentaires 1998.
86. La cueillette des plantes sauvages est effectuée dans trois circonstances principales:
A. Si les plantes sont très abondantes à l’état sauvage.
B. Dans le cas des plantes dont la culture est difficile.
C. La qualité des plantes cultivées peut être améliorée.
D. Et en cas de demande réduite.
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87. La culture et l’amélioration des plantes cultivées:
A. Se fait dans la majorité des cas des plantes médicinales à usage pharmaceutique.
B. Se fait quand la qualité des plantes cultivées peut être améliorée.
C. Dans le cas des plantes très abondantes à l’état sauvage;
D. Se fait quand il y’a une demande réduite de la drogue.
88. Le choix de l’époque de la récolte des drogues végétales dépend :
A. Les conditions climatiques.
B. La nature de l’organe à récolter.
C. Les variations du taux des principes actifs en fonction de la période de végétation.
D. Le cycle végétatif de la plante.
89. La récolte des drogues végétales :
A. Les sommités fleuries un peu avant leur complet épanouissement.
B. Les racines, rhizomes et bulbes en début de cycle végétatif.
C. Les fruits charnus et secs à maturité.
D. Les feuilles à la fin de cycle végétatif.
90. Un certain nombre de facteurs sont responsable de l’altération d’une drogue végétale :
A. Réactions chimique : Hydrolyse, oxydations, racémisation, isomérisation.
B. L’eau.
C. Les enzymes.
D. Les huiles essentielles.
91. Pour lutter contre l’altération d’une drogue végétale on a record à :
A. La dessiccation.
B. La congélation.
C. Le broyage.
D. La stabilisation.
92. Pour la conservation des drogues végétales on pratique la dessiccation:
A. Le séchage en plein air, au soleil ou à l’ombre.
B. La dessiccation chimique en utilisant des absorbants de l’humidité.
C. Le séchage sous abris dans des hangars, des greniers, des séchoirs.
D. Le séchage par l’air chaud utilisé par les producteurs de plantes médicinales.
93. La stabilisation d’une drogue végétale :
A. Consiste à détruire réversiblement toutes les enzymes.
B. Consiste à détruire irréversiblement toutes les enzymes.
C. Se fait par l’eau.
D. Se fait par l’alcool.
94. Pour la conservation des drogues végétales on pratique la stabilisation :
A. Par les vapeurs d’alcool ou d’eau sous pression,
B. Par la chaleur sèche à très haute température (séchoirs « flash »),
C. Par des hyperfréquences (micro-ondes).
D. Par des substances chimiques qui inhibent les enzymes.
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95. Le stockage des drogues végétales :
A. A l’abri de tous les agents pouvant entraîner leur altération.
B. Souvent le stock peut être conservé plusieurs années.
C. A l’abri de l’air, l’humidité, la lumière, les champignons, les insectes.
D. Stockées dans des récipients convenables dans des sacs en plastique.
96. Pour le stockage des huiles essentielles on utilise :
A. Des flacons en verre étanches.
B. Des flacons en plastique traités.
C. Des flacons teintés et opaques.
D. Un minimum d’air dans le flacon est accepté.
97. Pour le stockage des drogues végétales séchées à l’officine :
A. On utilise des sachets en plastique.
B. On utilise des sachets en papier ou flacons en verre.
C. Loin de toute source de chaleur ou d’humidité.
D. L’étiquetage des drogues est obligatoire.
98. Le glossaire des termes anatomiques de la Pharmacopée Européenne :
A. Est utile pour l’identification B (drogue végétale).
B. Est un lexique utilisé pour l’étude microscopique des drogues végétales.
C. Est un dictionnaire utilisé pour l’étude macroscopique des drogues.
D. Est utile pour l’identification A (drogue végétale).
99. Le glossaire des termes botaniques de la Pharmacopée Européenne :
A. Est utile pour l’identification B (drogue végétale).
B. Est utile pour l’identification A (drogue végétale).
C. Est un dictionnaire utilisé pour l’étude macroscopique des drogues.
D. Est un lexique utilisé pour l’étude microscopique des drogues végétales.
100. Au Maroc sont en vente libre :
A. Les huiles végétales fixes et les huiles essentielles.
B. Les plantes médicinales aromatiques et non aromatiques.
C. Les plantes classées en tableau B (stupéfiants).
D. Les plantes toxiques.
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101. Les drogues végétales qui stimulent le système nerveux central.
A. Provoquent une excitation du SNC.
B. Provoquent une sédation du SNC.
C. Sont responsables des hallucinations.
D. Sont atoxiques et peuvent être utilisées à forte doses.
102. Parmi les drogues végétales qui stimulent le système nerveux central on trouve.
A. Valériane : Valeriana officinalis.
B. Iboga : Tabernanthe iboga.
C. Vomiquier : Strychnos nux-vomica.
D. Cacaoyer : Theobroma cacao.
103. Iboga : Tabernanthe iboga
A. Famille des Apocynacées.
B. Drogue: écorce de racine.
C. Arbrisseau originaire d’Afrique tropicale et cultivé au Congo.
D. Drogue contienne une huile essentielle excitante.
104. Iboga : Tabernanthe iboga
A. Drogue contienne 1à3% d’alcaloïdes indoliques (Ibogaïne et Tabernanthine).
B. Feuilles et fruits sont aromatiques utilisée comme somnifère.
C. Racine a des propriétés défatigantes, aphrodisiaque et hypnofuge.
D. Ibogaïne est un médicament antiasthénique.
105. Vomiquier : Strychnos nux-vomica
A. Famille des Loganiaceae.
B. Drogue: Graine « Noix vomique »
C. Arbre originaire d’Asie et cultivé partout dans le monde.
D. Fruit est une capsule poricide qui contienne de nombreuses graines.
106. La composition chimique en PA de Vomiquier « Strychnos nux-vomica » :
A. Flavonoïdes
B. Huile essentielle
C. 2 à 3% Alcaloïdes dihydroindoliques.
D. Strychnine 50% des alcaloïdes, Brucine et colubrines.
107. Noix vomique → Strychnine:
A. C’est un poison inscrit au tableau C.
B. Faible dose : tonique nerveux, antiasthénique, stimulant digestif et contre l’énurésie.
C. Forte dose (très toxique) : convulsions et mort par asphyxie.
D. Utilisée dans les appâts empoisonnés contre les rongeurs.
108. Parmi les drogues à bases puriques « xanthiques » on trouve :
A. Camellia thea (= C. sinensis).
B. Coffea divers.
C. Ilex paraguariensis.
D. Strychnos nux-vomica.
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109. Les bases puriques (xanthiques) issues des végétaux sont :
A. Caféine.
B. Ibogaïne.
C. Théobromine.
D. Théophylline.
110. Les propriétés pharmacologiques des bases puriques (xanthiques) sont :
A. Excitant du SNC.
B. Spasmolytique musculotrope (antiasthmatique / théophylline).
C. Hypnotique.
D. Diurétique.
111. Le théier Camellia thea (= C. sinensis) :
A. Famille des Theaceae.
B. Drogue: Feuille inscrite à la Ph. Fse. IX éd.
C. Contienne des bases puriques: caféine, théophylline et strychnine.
D. C’est une boisson stimulante à propriétés digestive, diurétique et astringent.
112. Le caféier (Coffea divers: C. arabica ; C. canephora ):
A. Famille des Rubiaceae. Petits arbres originaires d’Afrique.
B. La drogue c’est l’amande (grain de café).
C. La teneur en caféine : 0,6 à 2% pour Coffea arabica et 1 à 3% pour C. canephora.
D. La caféine n’est pas utilisée en thérapeutique.
113. Kolatier : Cola nitida
A. Famille des Sterculiacées. Arbre d’Afrique tropicale.
B. Drogue: écorce du tronc « noix de Kola ».
C. Chimie : Tanins (5 à 10%) ; Caféine (2%) et traces de théobromine.
D. Consommées à l’état frais comme stimulant physique et intellectuel.
114. Maté : Ilex paraguariensis
A. Famille des Ilicaceae. Petit arbre du Maroc et régions désertiques.
B. Drogue: Feuille inscrite à la Ph. Fse. IX éd.
C. Les feuilles sèches contiennent 1 à 2% de caféine.
D. Boisson stimulante consommée localement.
115. Guarana : Paullinia sorbilis
A. Famille des Sapindaceae. C’est une liane d’Amérique de Sud.
B. Drogue: feuille inscrite à la Ph. Fse. IX éd.
C. Les graines séchées sont pilées et malaxées jusqu’à l’obtention d’une pâte.
D. Riche en tanins (10%) et en caféine (4 à 5%). Préparation de boissons stimulantes.
116. Cacaoyer : Theobroma cacao
A. Le fruit est une cabosse à nombreuses graines « fève » qui constitue la drogue.
B. Elle contienne 50% de lipides « beurre de cacao » et théobromine (1 à 2 %).
C. En pharmacie le beurre de caco est un excipient pour suppositoires.
D. En alimentation utilisé pour la préparation de chocolats sans caféine et théobromine.
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117. Parmi les principes actifs d’origine végétale qui excite le SNC :
A. La strychnine.
B. La morphine.
C. La caféine.
D. L’atropine.
118. Parmi les principes actifs d’origine végétale qui déprime le SNC :
A. La théobromine.
B. L’aconitine.
C. La théophylline.
D. Les valépotriates.
119. Parmi les drogues végétales qui déprime le SNC :
A. La passiflore.
B. La valériane.
C. L’aconite napel.
D. La noix vomique.
120. Parmi les plantes sédatives nerveuses on trouve :
A. Le guarana : Paullinia sorbilis
B. La valériane : Valeriana officinalis.
C. La passiflore : Passiflora incarnata.
D. Le kolatier : Cola nitida
121. Parmi les plantes suivante laquelle a une propriété antinévralgique :
A. Le guarana : Paullinia sorbilis.
B. La valériane : Valeriana officinalis.
C. La passiflore : Passiflora incarnata.
D. L’aconit napel : Aconitum napellus.
122. La valériane : Valeriana officinalis.
A. Famille des Valérianacées.
B. Drogue : fleurs, fruits et graines.
C. Plante herbacée vivace sauvage ou cultivée pour les besoins pharmaceutiques.
D. Au cours de la dessiccation se développe une odeur forte (acide valérique).
123. La valériane : Valeriana officinalis.
A. Plant officinale par ses rhizomes, racines et stolons.
B. Composition: huile essentielle, alcaloïdes, iridoïdes (valépotriates, baldrinals).
C. Drogue sédative, tranquillisante, hypnotique et antispasmodique léger.
D. A forte dose elle est excitante et toxique (Tableau A).
124. La passiflore : Passiflora incarnata.
A. Famille des Passifloraceae.
B. Famille des Valérianacées.
C. Drogue: racines et rhizomes inscrites à la Ph. Fse. IX éd.
D. Jolie plante grimpante originaire du Sud des Etats-Unis dénuée de toute toxicité.
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125. La passiflore : Passiflora incarnata.
A. Drogue: tiges et feuilles inscrites à la Ph. Fse. IX éd.
B. Chimie : Traces d’alcaloïdes indoliques, C-flavonoïdes, Maltol et de l’éthylmaltol.
C. Drogue toxique à forte dose.
D. A des propriétés sédatives nerveuses et antispasmodiques légères.
126. La passiflore officinale:
A. Passiflora incarnata, Famille des Passifloraceae.
B. Drogue officinale : tiges et feuilles inscrites au Tableau A.
C. Sédative nerveuse, antispasmodique, forte toxicité même à faible dose.
D. Principes actifs : maltol, C-flavonoïdes, traces alcaloïdes.
127. L’aconit napel :
A. Aconitum nappelus, Famille des Renonculacées.
B. Drogue : racine dénuée de toute toxicité.
C. Antitussive et décongestionnante des voies respiratoires supérieures.
D. Aconitine est un alcaloïde utilisé dans le traitement des névralgies faciales.
128. L’aconit napel : Aconitum nappelus
A. Famille des Renonculaceae. Herbacée vivace indigène des régions montagneuses.
B. Drogue: feuille inscrite à la Ph. Fse. IX éd. Tableau A.
C. La drogue est tubérisée, napiforme d’où le nom de l’espèce (napellus = petit navet).
D. Drogue provient de plantes sauvages ou de plantes de culture et peut être falsifiée.
129. L’aconit napel : Aconitum nappelus
A. Drogue à Alcaloïdes : Aconitine très toxique (Tab A) ;Aconine et Néopelline.
B. Antitussive et décongestionnante des voies respiratoires supérieures.
C. Chimie : Traces d’alcaloïdes indoliques, C-flavonoïdes, Maltol et de l’éthylmaltol.
D. Drogue atoxique même à forte dose.
130. L’aconit napel : Aconitum nappelus
A. Antitussive et décongestionnante des voies respiratoires supérieures.
B. Sédatif de la toux et dépresseur cardiaque.
C. Excitante nerveuse et antispasmodique anticholinérgique.
D. Traitement des névralgies faciales.
131. L’aconitine:
A. Est un alcaloïde très toxique (Tableau A) utilisé en homéopathie.
B. Il paralyse les terminaisons nerveuses (surtout au niveau du trijumeau).
C. Utilisé à forte dose dans le traitement des névralgies faciales.
D. C’est un sédatif de la toux et dépresseur cardiaque.
132. Pour la détente et la qualité du sommeil on utilise une association de plantes :
A. Valériane + Passiflore + Aubépine.
B. Angélique + Passiflore + Aubépine + Eschscholtzia.
C. Aconit napel + Valériane.
D. Thé + Ginseng + Gingembre.
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133. Les drogues hallucinogènes sont des drogues qui perturbent le SNC, on trouve :
A. Le peyotl : Lophophora williamsii.
B. Le khat ou thé des Abyssins : Catha edulis.
C. Le harmel : Peganum harmala.
D. La passiflore : Passiflora incarnata.
134. Les principes actifs hallucinogènes (perturbateurs du SNC):
A. Les alcaloïdes indoliques.
B. Les alcaloïdes tropaniques.
C. Les cannabinoïdes (THC, CBD).
D. Psilocybine.
135. Le peyotl : Lophophora williamsii.
A. Petit cactus poussant dans les régions subdésertiques du nord du Mexique.
B. La drogue c’est la tige responsable des hallucinations visuelles.
C. Les principes actifs sont des alcaloïdes (3 à 4%) majoré par la mescaline.
D. La partie supérieure du cactus est très toxique et non comestible.
136. Le Khat ou thé des Abyssins :
A. Catha edulis, famille des Célastracées.
B. Drogue: Jeunes bourgeons et feuilles fraîches inscrites au Tableau C.
C. Arbuste d’Afrique orientale, cultivé au Yémen et en Ethiopie.
D. Présenté sur le marché indigène en bottes à saveur astringente et aromatique.
137. Le Khat : Catha edulis.
A. Drogue: Jeunes bourgeons et feuilles fraîches inscrites au Tableau B.
B. Les PA sont des alcaloïdes (0.15% à 0.2%) : Cathine, cathidine, cathéduline.
C. Les PA sont facilement altérables.
D. La plante séchée est plus active que la plante fraîche.
138. Le Khat : Catha edulis.
A. La drogue est facilement altérable→ plante séchée perd son activité.
B. La plante fraîche est plus active que la plante séchée.
C. C’est une drogue masticatoire dans tous les pays y compris le Maroc.
D. La drogue a des propriétés hallucinogènes euphorisantes et stimulantes.
139. Le Khat : Catha edulis.
A. Les jeunes bourgeons et les feuilles fraîches sont des stupéfiants.
B. Son importation est autorisée au Maroc.
C. La mastication des feuilles fraîches a un effet hallucinogène euphorisant et stimulant.
D. La drogue est toxique est inscrite au tableau C.
140. Le Khat : Catha edulis. Les effets secondaires de cette drogue sont :
A. L’agressivité.
B. Le sommeil.
C. L’anorexie.
D. L’impuissance et l’inaptitude au travail.
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141. Le harmel :
A. Peganum harmala, famille des Zygophyllacées.
B. Drogue: les feuilles séchées inscrites à la Ph. Fse.
C. Plante herbacée des régions tropicales.
D. La drogue est riche en alcaloïdes indoliques 3 à 8%: harmine, harmaline, harmol.
142. Le harmel : Peganum harmala.
A. Plante herbacée des régions semi-désertiques de la Méditerranée.
B. La drogue c’est la graine aromatique riche en huile essentielle.
C. Plante qui pousse au Maroc et sa drogue est en vente libre.
D. Il a des effets enivrants et hallucinogènes.
143. Le chanvre indien :
A. Cannabis sativa, famille des Cannabinacées.
B. Drogue : sommités florifères et résine inscrites au tableau C.
C. Composition : alcaloïdes (tetrahydrocannabinol, cannabinol, cannabidiol…).
D. Drogue à un effet sédatif, analgésique et antiémétique.
144. Le chanvre indien : Cannabis sativa.
A. Plante herbacée annuelle monoïque de la famille des Cannabinacées.
B. Cultivée en zones tropicales, subtropicales et méditerranéennes.
C. La drogue est constitue par les sommités florifères ou fructifères (pieds femelles).
D. Au Maroc la plante et la drogue sont des stupéfiants inscrites au tableau B.
145. Le chanvre indien : Il existe de nombreuses préparations commerciales « illicites »:
A. Pieds femelles dont la résine n’a pas été extraite → Haschich ou Chiras.
B. Résine → Marihuana.
C. Feuilles → Bhang ou Herbe.
D. Le cannabis est essentiellement fumé.
146. Le chanvre indien : Les Cannabinoïdes
A. Sont des alcaloïdes responsables des effets psychotropes de la drogue.
B. Composé de Tetrahydrocannabinols (THC), Cannabidiol (CBD) et Cannabinol…
C. Le cannabidiol est pourvu d’une forte activité psychotrope.
D. Plusieurs médicaments commercialisés actuellement sont issus des cannabinoides.
147. Le chanvre indien est utilisé en thérapeutique pour les propriétés suivantes :
A. Sédative,
B. analgésique,
C. antiémétique,
D. anti glaucome, antiasthmatique, antiépileptique et anticancéreuse.
148. Le chanvre indien fumé provoque à court terme :
A. Des effets essentiellement psychiques.
B. Des effets plaisants: distorsion de la perception sensorielle et dépersonnalisation.
C. Perte de contact avec la réalité et quelques fois des hallucinations.
D. Sédation, sommeil, coma et dépression cardio-respiratoire.
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149. Le chanvre indien fumé provoque à long terme:
A. Des effets essentiellement physiques.
B. Induction d’un désordre mental.
C. Besoins d’utiliser des drogues plus fortes (cocaïne et héroïne).
D. Amaigrissement et anorexie.
150. Les médicaments issus du cannabis:
A. Ont une AMM et commercialisés dans plusieurs pays.
B. Sont des médicaments à base de plantes (AMM allégée).
C. Sont indiqués dans le traitement des manifestations digestives de la chimiothérapie.
D. Sont des antimitotiques.
151. Les Champignons hallucinogènes:
A. Appartiennent à la famille des Agaricacées.
B. Les principaux genres sont Psilocybe; Stropharia et Conocybe.
C. Les PA sont des diterpènes: Psilocybine et traces de psilocine.
D. Sont hallucinatoire avec modification des formes et accentuation des couleurs.
152. Les drogues agissant sur le SNC:
A. Valériane → sédative et dépresseur nerveux.
B. Noix vomique → stimulant et excitant nerveux.
C. Peganum harmala → sédative et dépresseur nerveux.
D. Passiflore → hallucinogène et perturbateur nerveux.
153. Les principes actifs végétaux agissant sur le SNC:
A. Psilocybine → stimulant.
B. THC → perturbateur.
C. Aconitine → stimulant.
D. Ibogaïne → dépresseur.
154. Les drogues agissant sur le système nerveux autonome SNA:
A. Parasympathomimétique → Physostigma venenosum, Pilocarpus microphyllus.
B. Parasympatholytique → Ephedra sp., Cytisus scoparius.
C. Sympathomimétique → Atropa belladonna, Datura stramonium.
D. Sympatholytique → Claviceps purpurea, Pausinystalia yohimbe.
155. Les principes actifs végétaux agissant sur le SNA :
A. Parasympathomimétique → Yohimbine.
B. Parasympatholytique → Alcaloïdes Tropaniques (atropines).
C. Sympathomimétique → Éphédrine.
D. Sympatholytique → Ésérine ou Physostigmine.
156. Parmi les drogues parasympathomimétiques on trouve:
A. Fève de Calabar : Physostigma venenosum.
B. Jaborandi : Pilocarpus microphyllus.
C. Éphédras : Ephedra sp.
D. Genêt à balai : Cytisus scoparius
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157. Parmi les principes actifs végétaux parasympathomimétiques on trouve :
A. Éphédrine.
B. Spartéine.
C. Physostigmine.
D. Pilocarpine.
158. Fève de Calabar : Physostigma venenosum.
A. Grande liane vivace d’Afrique occidentale de la famille des ombellifères.
B. La drogue c’est la graine inscrite à la Ph. Fse IX éd.
C. La drogue est classée comme poison (Tableau A).
D. Le fruit est une gousse renfermant 2 à 3 graines volumineuses.
159. Fève de Calabar : Physostigma venenosum.
A. Drogue toxique utilisée en Afrique comme poison d’épreuve.
B. Contienne des alcaloïdes (Ésérine ou Physostigmine) parasympathomimétiques.
C. C’est un inhibiteur du cholinestérase, elle bloque l’effet de l’acétylcholine.
D. A forte dose, elle provoque des convulsions et une paralysie respiratoire.
160. Ésérine ou Physostigmine :
A. Est un alcaloïde extrait de la graine de la Fève de Calabar.
B. Est un sympathomimétique.
C. Est un anticholinérgique.
D. Est un parasympatholytique.
161. les indications de l’ésérine (Physostigmine) sont :
A. Collyre myotique pour le traitement du glaucome.
B. Le traitement des intoxications par les anticholinérgique.
C. Le traitement des intoxications par les ADTC.
D. Le traitement des convulsions de l’épilepsie.
162. Jaborandi : Pilocarpus microphyllus.
A. Arbrisseau originaire du Brésil de la famille des Rutaceae.
B. La drogue c’est la feuille inscrite à la Ph. Fse. IX éd.
C. Contienne des coumarines (0.5 à 1%) : la Pilocarpine.
D. A des propriétés sympathomimétiques, utilisé en Collyre (anti-glaucomateux).
163. La Pilocarpine :
A. Alcaloïde extrait à partir des feuilles de Jaborandi (Pilocarpus microphyllus).
B. C’est un antiglaucomateux parasympatholytique.
C. C’est un parasympathomimétique qui entre dans les collyres myotiques.
D. C’est un anticholinérgique qui bloque l’acétylcholine.
164. Parmi les drogues parasympatholytiques on trouve :
A. Ergot du seigle : Claviceps purpurea
B. Belladone : Atropa belladonna
C. Stramoine: Datura stramonium
D. Jusquiame noire: Hyoscyamus niger
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165. Parmi les principes actifs végétaux parasympatholytiques on trouve:
A. Atropine.
B. Spartéine.
C. Scopolamine.
D. Dopamine.
166. Les Solanacées est une famille botanique importante en pharmacie :
A. Dans cette famille on trouve des drogues parasympathomimétiques.
B. Dans cette famille on trouve des drogues sympathomimétiques.
C. L’atropine est un alcaloïde tropanique des Solanacées parasympatholytique.
D. Le sulfate d’atropine est un médicament (injectable et collyre) anticholinérgique.
167. Les Solanacées officinales à alcaloïdes tropaniques parasympatholytiques sont :
A. Belladone : Atropa belladonna
B. Stramoine: (Datura officinal), Datura stramonium
C. Petite pervenche : Vinca minor
D. Jusquiame noire: Hyoscyamus niger
168. Belladone : Atropa belladonna.
A. Plante indigène, vivace par sa souche rhizomateuse de la famille des Solanacées.
B. Les feuilles sont ovales, entières et alternes.
C. Les fleurs sont solitaires ou groupées (cloche).
D. Le fruit est une baie subglobuleuse noire violacée comestible.
169. Datura : Datura stramonium
A. Plante annuelle herbacée vigoureuse de la famille des Papavéracées.
B. Les feuilles sont alternes, brièvement pétiolées, ovales et aiguës.
C. Les fleurs sont solitaires et de grande taille (entonnoir).
D. Le fruit est une baie ovoïde couverte d’épines rudes « Pomme épineuse ».
170. Jusquiame noir : Hyoscyamus niger
A. Plante herbacée à tige velue et visqueuse de la famille des Solanacées.
B. Les feuilles sont pétiolées à la base, ovales oblongues, de consistance molle et velue.
C. Les fleurs sont du même coté en grappe est constitue la drogue.
D. Le fruit est une pyxide pleine de petites graines toxiques.
171. La teneur des solanacées en alcaloïdes tropaniques variée d’une espèce à l’autre :
A. La belladone: 0,3 à 0,6% AT.
B. Le datura: 2 à 4% AT.
C. La jusquiame: 0,05 à 0,15% AT.
D. La belladone est la drogue la plus riche en atropine et hyoscyamine.
172. Les drogues à alcaloïdes tropaniques (atropine, hyoscyamine et scopolamine) :
A. Sont des drogues toxiques.
B. Sont des drogues comestibles et sans toxicité.
C. Sont responsables des cas d’intoxications par les plantes.
D. L’ingestion de 2 à 5 baies de Belladone par un enfant peut être mortelle.
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173. Les propriétés pharmacologiques des alcaloïdes tropniques sont variables :
A. Hyoscyamine est 2 fois plus active que l’Atropine racémique.
B. Hyoscyamine et Atropine: sympatholytiques; antispasmodiques.
C. Scopolamine: Parasympathomimétique et antispasmodique (- marquée).
D. Scopolamine : Sédative du SNC: dépressive, hypnotique et amnésiante.
174. L’Atropine est un médicament:
A. C’est le plus stable des alcaloïdes tropaniques.
B. Inscrit dans la liste I (Tableau A).
C. Utilisé sous forme de sulfate d’atropine en collyre, solution injectable et comprimé.
D. Elle présente des propriétés parasympatholytiques et antispasmodiques.
175. Parmi les drogues sympathomimétiques on trouve :
A. Belladone : Atropa belladonna.
B. Ephédras : Ephedra sp.
C. Genêt à balai : Cytisus scoparius.
D. Ergot du seigle : Claviceps purpurea.
176. Parmi les principes actifs végétaux sympathomimétiques on trouve:
A. Éphédrine.
B. Atropine.
C. pilocarpine.
D. Dopamine.
177. Ephédras : Ephedra sp.
A. Le genre Éphédra comprend de nombreuses espèces de la famille des Gnétacées.
B. La drogue: Tige inscrite à la Ph. Fse. IX éd à propriété sympatholytique.
C. Sont des sous-arbrisseaux dioïques utilisés pour l’extraction des alcaloïdes.
D. Le principe actif est un alcaloïde : l’éphédrine.
178. L’éphédrine :
A. Est un alcaloïde obtenu par synthèse ou extraction à partir des éphédras.
B. C’est un médicament Sympathomimétique et adrénergique.
C. Antiasthmatique, antitussif, antiasthénique et en ORL vasoconstricteur.
D. C’est un médicament qui n’est pas considéré comme substance dopante.
179. Genêt à balai : Cytisus scoparius.
A. Arbuste indigène des terrains sablonneux de la famille des Légumineuses.
B. Drogue: rameaux et sommités fleuries inscrites à la Ph. Fse. IX éd.
C. La drogue est cultivée pour les besoins pharmaceutiques.
D. Les falsifications sont nombreuses.
180. Genêt à balai : Cytisus scoparius ; La composition chimique variée selon les organes.
A. Alcaloïdes 0.5 à 1% (rameaux) → Spartéine.
B. Amines aromatiques: dopamine et tyramine (tous les organes).
C. Racine → huile essentielle.
D. C-flavonoïdes (fleurs) → scoparoside.
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181. Genêt à balai : Cytisus scoparius, les actions des principes actifs.
A. Amines → sympathomimétiques à action vasoconstrictrice et hypertensive.
B. Dopamine → parasympathomimétique et vasodilatateur.
C. Scoparoside → diurétique.
D. Spartéine → ganglioplégique et tonicardiaque.
182. Genêt à balai : Cytisus scoparius:
A. La plante est utilisée sans danger en médecine traditionnelle.
B. La drogue est récoltée à l’état sauvage.
C. Les fleurs sont utilisées en phytothérapie sous forme de tisane diurétique.
D. Les rameaux servent pour l’extraction de la spartéine.
183. Parmi les drogues sympatholytiques on trouve :
A. Ephédras : Ephedra sp.
B. Ergot du seigle : Claviceps purpurea.
C. Petite pervenche : Vinca minor.
D. Yohimbe : Pausinystalia yohimbe.
184. Parmi les principes actifs végétaux sympatholytiques on trouve:
A. Réserpine.
B. Yohimbine.
C. Vincamine.
D. Éphédrine.
185. Ergot du seigle : Claviceps purpurea.
A. Est un champignon de la famille des Ascomycètes responsable de l’ergotisme.
B. La drogue est le sclérote inscrit à la Ph. Fse. Tableau A
C. Une source d’alcaloïdes et dérivés hémisynthétiques intéressants en thérapeutique.
D. Les ergots sauvages sont très abondants pour l’extraction des PA.
186. Ergot du seigle : Claviceps purpurea. est une source importante de médicaments:
A. Ces médicaments peuvent être associés avec les macrolides (antibiotiques).
B. Ergotamine : antimigraineux pour le traitement de la crise.
C. Dihydro-ergotamine : antimigraineux (ttt de fond et de la crise), antihypotenseur.
D. Dihydroergotoxine : traitement des troubles de microcirculation cérébrale (gériatrie).
187. Ergot du seigle est une source importante de médicaments hémisynthétiques:
A. Dihydro-ergocristine →Vasodilatateur et anti-ischémique.
B. Méthyl-ergométrine → Anti-Prolactine: Blocage de la lactation.
C. Bromocriptine → Antihémorragique utérin dans les hémorragies du post-partum.
D. Pergolide → Agoniste dopa D1 et D2, Antiparkinsonien.
188. Petite pervenche : Vinca minor.
A. Plante de la famille des Apocynaceae, parasympathomimétique.
B. La drogue est la feuille inscrite à la Ph. Fse. VIII éd. Liste II.
C. Elle est cultivée en Hongrie et Pologne pour les besoin pharmaceutiques.
D. Drogue riche en alcaloïdes dont le produit majoritaire est la Vincamine 10% AT.
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189. Yohimbe: Pausinystalia yohimbe
A. Petite herbacée désertique de la famille des Rubiaceae.
B. La drogue est constitue par l’écorce de tronc.
C. La drogue est récoltée au Cameroun, Congo et Gabon.
D. Les PA sont des alcaloïdes indoliques 1 à 3% dont le majoritaire est Yohimbine.
190. Yohimbine (DCI) est un médicament:
A. Inhibiteur sélectif des récepteurs alpha2-adrénergiques.
B. Est un sympatholytique extrait de l’écorce de tronc de la Yohimbe.
C. Utilisé dans le traitement de l’hypotension orthostatique et l’insuffisance érectile.
D. Est un antiparkinsonien dopaminergique.
191. Rauwolfia : Rauwolfia serpentina.
A. Plante spontané: Inde, Pakistan, Thaïlande et Malaisie
B. Appartienne à la famille des Apocynaceae.
C. Drogue aromatique riche en huile essentielle.
D. La drogue constitue par la feuille et sommité fleurie inscrites à la Ph. Fse.
192. Les Rauwolfias: Sarpagandha de l’Inde.
A. La drogue est la racine riche en alcaloïdes 2,5% (3 groupes d’alcaloïdes).
B. Les alcaloïdes de groupe de l’Ajmaline: Réserpine et Yohimbine.
C. Les alcaloïdes de groupe d’hétéroyohimbine: Ajmalicine (Raubasine) et Serpentine.
D. Les alcaloïdes de groupe de Yohimbane : Ajmaline et Sarpagine.
193. Les médicaments issus de la Rauwolfia sont utilisés en thérapeutique :
A. Ergotamine : GYNERGENE CAFEINE* cp → Antimigraineux.
B. Réserpine: TENSIONORME* cp séc → Antihypertenseur (+ diurétique).
C. Ajmalicine: DUXIL* susp buv, cp enrob → Anti-vertigineux.
D. Yohimbine: YOCORAL* 5mg cp → Dysfonction érectile.
194. Parmi les drogues suivantes lesquelles ont une action sur le SNC :
A. Harmel : Peganum harmala.
B. Chanvre indien : Cannabis sativa.
C. Stramoine: (Datura officinal) , Datura stramonium.
D. Ephédras : Ephedra sp.
195. Parmi les drogues suivantes lesquelles ont une action sur le SNA :
A. Vomiquier : Strychnos nux-vomica.
B. Valériane : Valeriana officinalis.
C. Genêt à balai : Cytisus scoparius.
D. Ergot de seigle : Claviceps purpurea.
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196. Les plantes de la digestion sont actives par les PA suivants:
A. Les principes amers.
B. Les huiles essentielles (HE) riche en composés aromatiques.
C. Les coumarines.
D. Les saponosides.
197. Parmi les plantes stimulantes de l’appétit on trouve :
A. La Gentiane : Gentiana lutea.
B. La Camomille romaine : Chamaemelum nobile.
C. Le Houblon : Humulus lupulus.
D. Fenugrec : Trigonella foenum graecum.
198. La Gentiane : Gentiana lutea.
A. Grande plante herbacée de montagne de la famille des Astéracées.
B. La gentiane jaune n’est pas une espèce officinale.
C. La drogue est le fruit et ses graines.
D. Elle a des propriétés toniques amères et apéritives.
199. La Gentiane :
A. Gentiana lutea , herbacée de la famille des Gentianacées.
B. La gentiane jaune est une espèce officinale.
C. Les PA sont des principes amers monoterpéniques: Gentiopicroside.
D. Le rhizome et la racine sont des toniques amères, apéritives et antispasmodiques.
200. Le Gentiopicroside :
A. Est un principe amer monoterpénique extrait du rhizome et racine de la gentiane.
B. Est un alcaloïde extrait de la gentiane jaune.
C. Il a une propriété cicatrisante et anti-inflammatoire.
D. C’est un tonique amer et apéritif qui stimule la motricité et la sécrétion gastrique.
201. La petite Centaurée : Erythrea centaurium.
A. Plante herbacée bisannuelle de la famille des Gentianacées.
B. La drogue représentée par les sommités fleuries indiquée en cas d’anorexie.
C. Les principes actifs sont des principes amers, sesquiterpènes et flavonoïdes.
D. La drogue est tonique amer qui augmente la sécrétion gastrique et biliaire.
202. Le Houblon : Humulus lupulus
A. Une liane dioïque herbacée, vivace de la famille des Cannabinacées.
B. Les cônes femelles ovoïdes couverts d'une résine odorante et pulvérulente (lupuline).
C. Drogue contienne des principes amères, HE, Flavonoïdes et Tanins.
D. Tonique et stomachique à essence sédative utilisée traditionnellement au Maroc.
203. La lupuline:
A. C’est une résine odorante et pulvérulente.
B. Extraite à partir des cônes femelles du Houblon (Humulus lupulus).
C. Une drogue qui contienne des principes amers, des alcaloïdes et des coumarines.
D. C’est un tonique et stomachique ajouté à la bière.
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204. Le fenugrec:
A. Trigonella foenum-graecum légumineuse répondue au Maroc.
B. La drogue c’est les feuilles aromatiques et officinales.
C. La graine est un stimulant de l’appétit et stimulant neuromusculaire.
D. Traditionnellement utilisé pour contrôler le taux de glucose chez les diabétiques.
205. L’anis vert : Pimpinella anisum.
A. Plante aromatique de la famille des Cupressacées.
B. Utilisée pour aromatiser les gâteaux et excipient pour les médicaments.
C. La drogue c’est le fruit d'anis riche en alcaloïdes.
D. L’huile essentielle est riche en cinéol et carvacrol.
206. L’anis vert : Pimpinella anisum.
A. Drogue aromatique à huile essentielle riche en anéthol (90%).
B. A forte dose, l’anis est toxique pour le SNC (anéthol neurotoxique).
C. L’infusion est déconseillée pour le traitement des coliques du nourrisson.
D. A dose thérapeutique est un expectorant, carminatif et antispasmodique.
207. Les utilisations thérapeutiques de l’anis vert sont nombreuses:
A. Expectorants, carminatifs, antispasmodiques et antiépileptique.
B. Stimulant de l’appétit et digestions difficiles en aromathérapie.
C. Coliques du nourrisson sous forme d’infusion en médecine traditionnelle.
D. En association avec la coriandre et le thym dans les troubles fonctionnels digestifs.
208. La Badiane ou Anis étoilé :
A. Illicium verum, plante originaire de chine de la famille des Magnoliacées.
B. La drogue est constitue par le rhizome et la racine « anis étoilé ».
C. Le fruit est un follicule à 8 carpelles contenant chacune une graine brillante.
D. Plante aromatique utilisée comme « épice » et aromatisant des préparations buccales.
209. La Badiane ou Anis étoilé :
A. La drogue est constitue par le fruit riche en huile essentielle.
B. L’huile essentielle est composée majoritairement par 80-90% d’Anéthol.
C. Elle contienne de l’acide cinnamique, duquel il dérive l’Oseltamivir.
D. En infusion utilisée comme stomachique, carminatif et antispasmodique,
210. Le Fenouil doux : Foeniculum vulgare var. dulce.
A. La variété douce est cultivée au Maroc.
B. Plante aromatique de la famille des Astéracées.
C. La racine et les fruits contiennent une huile essentielle riche en anéthol.
D. HE: carminative, expectorante, diurétique, galactogène et antispasmodique.
211. Le fenouil doux est utilisé en médecine traditionnelle et moderne :
A. En infusion dans le mal de ventre, aérophagie, mauvaise haleine et la toux.
B. Indiqué chez la femme enceinte pour le traitement des nausées.
C. Allaitement: favorisation de la lactation
D. En association dans la spécialité FITOLAT*cp commercialisés au Maroc.
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212. Chez la femme allaitante les drogues galactogènes sont indiquées en association:
A. Fenouil + Fenugrec + Houblon.
B. Verveine + Camomille Romaine + Réglisse.
C. Passiflore + Valériane + Aubépine.
D. Fenouil fruit + Fenugrec graines + Houblon inflorescences femelles.
213. La Mélisse : Melissa officinalis
A. La mélisse une lamiacée à odeur citronnée.
B. La drogue est constitue par les feuilles séchées de mélisse (parties aériennes).
C. Drogue aromatique à huile essentielle riche en anéthol et cinéol.
D. Utilisée en aromathérapie pour ses propriétés anti-arthrosiques.
214. Les feuilles séchées de mélisse (parties aériennes) :
A. Coumarine, Alcaloïdes, Acides phénoliques, Triterpènes et Saponosides.
B. Usage interne : Sédatif, calmant, spasmolytique et digestif.
C. Usage externe : Virostatique (Herpes virus, traitement de l’herpès labial.
D. Possèdent une odeur citronnée due à l’HE (citral, citronellal).
215. La Menthe poivrée : Mentha x piperita
A. Une plante vivace de la famille des ombellifères.
B. La drogue est constitue par la partie sous-terraine.
C. Les feuille sont aromatiques contiennent : HE (menthol), tanins, flavonoïdes.
D. Indiquée chez le nourrisson en infusion pour le traitement des coliques intestinales.
216. Les plantes aromatiques utilisées dans le traitement de la mauvaise digestion sont :
A. Feuille de la Verveine odorante.
B. Fruit du Carvi.
C. Fruit du Coriandre.
D. Racine de Plantain.
217. Les plantes antispasmodiques digestives sont :
A. Le Houblon : Humulus lupulus ; F/ Cannabinacées.
B. La Camomille romaine : Chamaemelum nobile ; F/ Astéraceae.
C. La Millefeuille : Achillea millefolium ; F/ Astéracées.
D. Le Genévrier commun = Genièvre : Juniperus communis ; F/ Cupressaceae.
218. La Camomille romaine : Chamaemelum nobile
A. Plante herbacée vivace de la famille des Astéracées.
B. La drogue c’est les fleurs séchées (capitules).
C. La drogue contient : HE, Flavonoïdes, coumarines, principes amers (sesquiterpènes).
D. La drogue est utilisée uniquement en usage interne.
219. La Camomille romaine a plusieurs propriétés thérapeutiques :
A. Antispasmodique digestive ; Anti-inflammatoire et tonique amer.
B. Désinfectante et cicatrisante.
C. Utilisée en usage interne: Désinfectant et cicatrisant.
D. Utilisée en usage externe: Spasmes et la digestion.
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220. La Millefeuille : Achillea millefolium.
A. Herbacée vivace utilisée récemment pour ses propriétés médicinales.
B. Plante médicinale remonte à la préhistoire de la famille des Astéracées.
C. La drogue constitue par les parties aériennes.
D. HE (Chamazulène), Flavonoïdes, Coumarines, Alcaloïdes, Acide salicylique.
221. Les indications thérapeutiques de la Millefeuille (Achillea millefolium) sont :
A. Usage interne : Tonique amer, astringent, antispasmodique.
B. Usage externe : Anti-inflammatoire, cicatrisant.
C. Usage interne : Cholagogue, cholérétique.
D. Usage externe : Antiprurigineux, anti-eczémateux.
222. Les plantes qui accélèrent le transit intestinal :
A. Sont des drogues laxatives.
B. Indiquées en cas de constipation occasionnelle ou chronique.
C. Indiqué en cas de diarrhées infectieuses.
D. Sont utilisées uniquement par voie externe.
223. Les drogues laxatives de lest :
A. Sont des plantes stimulantes du péristaltisme intestinal avec un effet irritant.
B. Sont utilisées à court terme.
C. Sont des drogues riches en anthraquinones.
D. Sont indiquées en cas de constipation occasionnelle ou chronique.
224. Les plantes stimulantes du péristaltisme intestinal avec un effet irritant :
A. Sont les laxatifs de lest.
B. Sont utilisées à long terme.
C. Sont des drogues riches en anthracénosides.
D. Sont indiquées dans les diarrhées.
225. Le Plantain : Plantago ovata.
A. Plante herbacée acclimatée au Maroc de la famille des Plantaginacées.
B. La drogue c’est la graine et le tégument de la graine riche en mucilages.
C. C’est une drogue laxative, coupe faim et régulatrice du transit intestinal.
D. Indiqué dans les diarrhées (occasionnelle ou chronique).
226. La Figue: Ficus carica.
A. Arbre fruitier qui donne de délicieux fruits comestibles de la famille des Moracées.
B. Emblème du bassin méditerranéen.
C. Le fruit séché est un laxatif stimulant.
D. C’est un remède simple, naturel et efficace pour les cas de constipations légères.
227. Le Lin: Linum usitatissimum.
A. Graines de Lin : Mucilages, AG essentiels (oméga-3), huile grasse (huile de lin).
B. C’est un laxatif stimulant et émollient.
C. Indiqué dans le traitement de la constipation chronique et côlon irritable.
D. La graine est toxique et déconseillée en alimentation.
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228. Les fibres alimentaires :
A. Sont les parties d'origine végétale non transformées par les enzymes de la digestion.
B. Elles sont indispensables au bon fonctionnement du transit intestinal.
C. Sont des mélanges complexes de glucides, lipides et protéines.
D. Sont présent exclusivement dans les aliments végétaux.
229. Les fibres alimentaires sont classées en deux catégories :
A. Les polysaccharides cytoplasmiques: cellulose, hémicellulose, pectine, lignine.
B. Les polysaccharides pariétaux: gomme, agar-agar, alginate, inuline…
C. Les fibres solubles dans l'eau : Les pectines, les mucilages.
D. Les fibres insolubles dans l'eau : La cellulose, les hémicelluloses, la lignine.
230. Le rôle nutritionnel des fibres alimentaires :
A. Augmentent la consistance des selles (absorption de l'eau).
B. Inhibent les contractions de l'intestin.
C. Favorisent l'activité bactérienne dans le côlon.
D. Une carence de fibres: constipation ou diarrhée.
231. Les principales sources des fibres alimentaires sont:
A. Le lait.
B. Les Fruits.
C. Les œufs.
D. Le son de blé.
232. Parmi les plantes à anthracénosides (laxatives stimulantes) on trouve :
A. La Bourdaine: Rhamnus frangula.
B. Le Séné: Cassia angustifolia.
C. La Rhubarbe: Rheum palmatum.
D. Le Lin: Linum usitatissimum.
233. Parmi les plantes à mucilages (laxatives de lest) on trouve :
A. L’Huile de Ricin: Ricinus communis.
B. Les Aloès : Aloe socotrina.
C. Le Plantain : Plantago ovata.
D. La Figue: Ficus carica.
234. La Bourdaine: Rhamnus frangula.
A. Arbuste ou petit arbre qui pousse en milieu très humide (Europe).
B. L’écorce séchée contienne des glycosides d'anthraquinones: Glucofrangulines.
C. C’est une drogue laxative stimulante du péristaltisme du gros intestin.
D. Contre-indiquée en cas de constipation et des hémorroïdes.
235. Le Séné: Cassia angustifolia.
A. Les folioles sont importées au Maroc de l’Egypte et de l’Inde.
B. La feuille de séné et fruit séché de séné constituent la drogue.
C. Les PA sont des dérivés d'anthracène : Sennosides (di-anthrones).
D. Constipation occasionnelle chez l'adulte (long terme).
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236. PURSENNIDE* 20mg cp enr (Sennosides) est indiqué :
A. Constipation occasionnelle chez l'adulte (max 10 j).
B. Purge intestinale (examens médicaux).
C. Diarrhées infectieuses ou médicamenteuses.
D. Hémorroïdes (le séné favorise des selles molles).
237. Pour la supplémenter de l’alimentation en fibres alimentaires on utilise:
A. Le lait.
B. Les œufs.
C. Le son de blé.
D. L’huile d’olive.
238. La Rhubarbe: Rheum palmatum.
A. Polygonacée cultivée et consommée en Europe.
B. La drogue représentée par le pétiole.
C. La racine contienne : Rhéine, Anthraquinones, Flavonoïdes et Tanins.
D. Plantes anti diarrhéique utilisée pour traiter la constipation et les hémorroïdes.
239. PYRALVEX* gel bucc/gingiv ; PYRALVEX* sol bucc/gingiv :
A. C’est un médicament à base de Sennoside A.
B. C’est un médicament à base de l’extrait de la Rhubarbe riche en tanins.
C. Indiqué dans le traitement des plaies comme cicatrisant.
D. Indiqué dans le traitement des aphtes.
240. Les Aloès : Aloe socotrina / famille des Liliacées, la drogue est représentée par :
A. Racine et rhizome.
B. Fruits et graines.
C. Feuilles, suc desséché.
D. Inflorescences.
241. Les Feuilles et le suc desséché de l’Aloès (Aloe socotrina) sont riches en PA suivants :
A. Alcaloïdes tropaniques.
B. Mucilages et saponines.
C. Anthraquinones: aloé-émodol, aloïne…
D. Acides aminés,Vitamines (E, C...).
242. Les Aloès : Aloe socotrina / famille des Liliacées, la drogue est utilisée:
A. Usage externe (pommade, gel,...) :Anti-inflammatoire, hydratant, antiseptique.
B. Usage interne (sirop, liquide,...) : Constipation occasionnelle (court terme).
C. Plante très utilisée en cosmétique pour ses propriétés hydratante.
D. Drogue amère, très toxique et sans utilisations thérapeutiques.
243. L’Huile de Ricin:
A. Est une huile végétale extraite à partir des graines de Ricinus communis.
B. Est une huile essentielle extraite par distillation des feuilles de ricin.
C. En pharmacie: utilisée pour ses effets laxatifs (purgatif violent) et excipient.
D. Formellement déconseillé car elle contienne un poison (la ricine : glycoprotéine).
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244. Parmi les plantes suivantes lesquelles ont une propriété constipante :
A. La Ronce : Rubus fruticosus, F/ Rosacées.
B. Le Caroubier: Ceratonia siliqua, F/ Fabaceae.
C. La Salicaire: Lythrum salicaria, F/ Lythracées.
D. La Rhubarbe: Rheum palmatum, F/ Polygonacées.
245. Parmi les drogues suivantes lesquelles sont indiquées pour traiter la diarrhée :
A. Le fruit de fraisier : Fragaria vesca.
B. Les feuilles et les racines de fraisier : Fragaria vesca.
C. Les feuilles de thé vert : Camellia sinensis.
D. Le riz et l’eau de riz : Oryza sativa; O. glaberrima.
246. Les plantes anti-diarrhéiques sont actives par les métabolites secondaires suivants :
A. Les Anthracénosides.
B. Les Tanins.
C. Les Polysaccharides.
D. Les Alcaloïdes.
247. La Ronce: Rubus fruticosus.
A. Arbrisseau épineux envahissant commun au Maroc de la famille des Rosacées.
B. Elle donne un fruit toxique et non comestible: le mûron.
C. La drogue c’est la feuille séchée riche en tanins, flavonoïdes et acide citrique.
D. Elle a des propriétés astringentes, anti-diarrhéiques et hypoglycémiantes.
248. Les feuilles séchées de la Ronce (Rubus fruticosus) sont utilisées :
A. En tisane dans le traitement de la diarrhée.
B. En bain de bouche pour le traitement des affections buccales.
C. Contre indiquée dans la maladie hémorroïdaire.
D. Comme vasculoprotecteur et veinotonique.
249. Le Caroubier: Ceratonia siliqua.
A. Arbre ornemental méditerranéen de la famille des Fabacées.
B. Il est cultivé pour son fruit comestible: La caroube.
C. La drogue est constitue par l’écorce du tronc.
D. La drogue est riche en sucres, tanins, sels minéraux (Ca, P, Mg, Si).
250. La farine de caroube est utilisée:
A. En alimentation humaine: Additif (E410) pour les glaces, les pâtisseries…
B. Dans les aliments diététiques (riche en gluten).
C. Succédané de cacao (la caroube est riche en théobromine et caféine).
D. En alimentation infantile: épaississant dans le lait en poudre (anti-régurgitation).
251. La Salicaire: Lythrum salicaria.
A. La partie utilisée représentée par les sommités fleuries.
B. La drogue renferme des anthocyanes, des flavonoïdes et des tanins.
C. Parmi les spécialités en trouve : SALICAIRINE*sol buv.
D. Indiquée dans le traitement des hémorroïdes et varices.
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252. Le Fraisier : Fragaria vesca.
A. Les parties utilisées pour le traitement des diarrhées sont les feuilles et les racines.
B. La drogue contienne des alcaloïdes, des anthocyanes et des saponines.
C. Les feuilles sont utilisées en décoction et les racines en infusion.
D. En médecine traditionnelle la drogue est un diurétique et antirhumatismale.
253. Le Riz : Oryza sativa; O. glaberrima, F/ Poaceae.
A. Le riz est riche en amidon utilisé en alimentation.
B. L’eau de riz a des propriétés laxatives.
C. L’eau de riz est indiqué chez l’enfant et le nourrisson comme anti-diarrhéique.
D. Peut être utilisé dans le traitement traditionnel des hémorroïdes.
254. Le Figuier de Barbarie: Opuntia ficus-indica.
A. Plante arborescente épineuse organisée en cladodes (raquettes).
B. Le fruit est une baie charnue comestible plein de glochides.
C. Utilisation en alimentation humaine et animale c’est un laxatif puissant.
D. Utilisation agricole : Biocarburant, ornemental et industriel.
255. L’usage thérapeutique et cosmétique de Figuier de Barbarie:
A. C’est un puissant anti-diarrhéique qui provoque la constipation.
B. Utilisé pour ses propriétés cicatrisantes, anti-oxydantes, anti-âges et anti-lithiasiques.
C. Le fruit est utilisé en cosmétologie et thérapeutique.
D. L’huile végétale extraite des graines est utilisée en alimentation humaine.
256. Parmi les plantes utilisées pour les troubles hépatobiliaires on trouve :
A. La Fumeterre.
B. La Bourache.
C. L’Artichaut.
D. Le Boldo.
257. Parmi les principes actifs d’origine végétale à action Cholérétique et Cholagogue :
A. Alcaloïdes : fumarine, boldine.
B. FlavonoIdes : silymarine.
C. Saponosides : glycérhizine.
D. Acides-Phénols : Cynarine.
258. L’artichaut
A. Cynara scolymus, famille des Astéracées.
B. Drogue : capitule, feuille er racine.
C. Composition : huile essentielle, alcaloïdes.
D. Draineur hépatique, cholérétique, cholagogue, diurétique.
259. L’Artichaut : Cynara scolymus.
A. Indications: affections hépatiques, diurétique, anti-dyspepsie, source de k et Mg.
B. Indications: Calculs biliaires ou obstruction des voies biliaires.
C. La drogue est cholérétique et cholagogue.
D. Commercialisée sous forme d’extrait sec aqueux des feuilles d’Artichaut.
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260. Le chardon marié :
A. Silubum marianum de la famille des Ombellifères (Apiacées).
B. Il est très fréquent au Maroc et sur le pourtour méditerranéen.
C. La drogue (fruit = akène) est riche en flavonoïdes.
D. La silymarine est un alcaloïde à propriété hépato-protectrice.
261. Le chardon marié : Silubum marianum.
A. La drogue c’est le fruit : akène luisant.
B. La drogue contienne des flavonoïdes: silymarine, silybine, silychristine, silydianine.
C. Il a des propriétés hépatoprotectrices : draineur hépatique et cholagogue.
D. Indiqué dans les atteintes hépatiques et l’obstruction complète des voies biliaires.
262. La Fumeterre : Fumaria officinalis.
A. C’est une papavéracée commune au Maroc dans les friches et les haies.
B. La partie utilisée c’est les sommités fleuries en décoction et en infusion.
C. Composition: Plusieurs flavonoïdes (Protopine = fumarine; protoberbérine…).
D. Parmi ses propriétés: cholagogue, dépurative et diurétique.
263. Les sommités fleuries de la fumeterre sont utilisées en thérapeutique :
A. En usage interne: Cholagogue, dépurative, diurétique, apéritive et tonique.
B. En usage externe: Anti-eczémateux, antiprurigineux et sédatif local.
C. En association avec les feuilles d’artichaut dans des formes galéniques.
D. La plante n’est pas répondue au Maroc.
264. Le Romarin : Rosmarinus officinalis.
A. Les feuilles aromatiques sont utilisées en cuisine, en parfumerie et en phytothérapie.
B. Plusieurs chimiotypes sont identifiés : HE à bornéol, HE à camphre et HE à cinéol.
C. Son association est déconseillée avec les drogues hépato-protectrices et digestives.
D. Il a des propriétés antiseptique, antispasmodique, stomachique et diurétique.
265. Le Boldo : Peumus boldus.
A. Plante indigène des régions côtières du Chili.
B. Les feuilles de boldo contiennent un hétéroside flavanique: La boldine.
C. Le boldo et la boldine sont des puissants stimulants du SNC.
D. Indications: Cholérétique, cholagogue, diurétique et spasmoyltique.
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266. Parmi les drogues antiseptiques respiratoires qui contiennent des huiles essentielles:
A. La feuille officinale d’Eucalyptus.
B. Les feuilles et sommités fleuries de Thym.
C. L’écorce de Pin sylvestre.
D. Les capitules de l’Armoise.
267. Parmi les terpénoides des huiles essentielles à propriétés antiseptiques respiratoires :
A. L’Arbutoside → La Busserole.
B. L’Eucalyptol (1-8) cinéole → Eucalyptus.
C. Le Thymol → Thym, Serpolet.
D. Les Pinènes → Pin sylvestre.
268. L’eucalyptus : Eucalyptus globulus.
A. La drogue est constitue par les feuilles des rameaux âgés.
B. L’huile essentielle est utilisée pure et à forte dose (10ml/j) par voie orale.
C. Drogue aromatique dont le composé majoritaire est l’eucalyptol (70-80%).
D. La drogue a des propriétés balsamiques et antiseptiques respiratoires.
269. Les feuilles de l’eucalyptus : Eucalyptus globulus.
A. Sur les jeunes rameaux sont alternes et courtement pétiolées.
B. Sur les rameaux âgés sont persistantes, opposées et sessiles.
C. La feuille des rameaux jeunes constitue la drogue.
D. Utilisées en infusion, fumigation, cigarettes, teinture officinale et sirop.
270. L’eucalyptol :
A. Est un composé majoritaire de l’huile essentielle d’eucalyptus.
B. Médicament indiqué dans les affections broncho-pulmonaires.
C. Utilisé uniquement par voie interne et jamais en usage externe.
D. Sous forme : Sirops, Suppositoires, Pilules, Capsules, Huiles nasales, Pommades…
271. Le thym : Thymus sp.
A. Sous-arbrisseau, vivace, rameuse, très aromatique des régions méditerranéennes.
B. Genre Thymus comporte environ 35 espèces et de nombreux chimiotypes.
C. Utilisé par voie orale dans les troubles digestifs, nerveux, hépatiques et rénaux.
D. Utilisé par voie locale comme antiseptique pour l’hygiène buccale.
272. Le thymol :
A. Est le composé essentiel de l’HE de la Verveine.
B. Il a des propriétés antibactériennes et antifongiques.
C. Médicament utilisé dans la formulation des sirops des affections respiratoires.
D. Un composé des pommades antiseptiques et les préparations pour inhalation.
273. Le pin sylvestre : Pinus sylvestris.
A. Plante de la famille des Pinaceae (= Conifères).
B. La drogue est constitue par les bourgeons, les fleurs et les fruits.
C. Plante aromatique à HE riche en pinène, cinéol, menthol et camphre.
D. Il a des propriétés antiseptiques respiratoires et expectorantes.
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274. Parmi les drogues à propriété expectorante on trouve :
A. Le Lierre grimpant (feuille) : Hedera helix.
B. La Saponaire (rhizome et racine) : Saponaria officinalis.
C. La Mauve (fleur) : Malva sylvestris.
D. La Réglisse (racine et stolon) : Glycyrrhiza glabra.
275. Les principes actifs des drogues à propriété expectorante sont:
A. Les coumarines.
B. Les flavonoïdes.
C. Les anthracénosides.
D. Les saponosides.
276. Le Lierre grimpant : Hedera helix L.
A. La drogue est constitue par les feuilles.
B. La feuille est un purgatif puissant, cholagogue et cholérétique.
C. La drogue contienne des saponosides triterpéniques à effet expectorant.
D. Entre dans la formulation de pastille ou sirop des affections broncho-pulmonaires.
277. La réglisse : Glycyrrhiza glabra L.
A. La drogue: fruits et graines aromatiques.
B. La drogue : Bâtonnets cylindriques gris-brun de section jaune vif, de saveur sucrée.
C. La drogue contienne des saponosides triterpèniques (Glycyrrhizine : 6-12%).
D. Elle a des propriétés expectorante, anti-inflammatoire, anti-ulcère gastrique.
278. La racine et les stolons de la réglisse constituent une drogue :
A. Bâtonnets cylindriques gris-brun de section jaune vif, de saveur sucrée.
B. Contienne des saponosides triterpéniques (Glycyrrhizine) et flavonoïdes.
C. Provoque une rétention Na+, Cl- et d’eau; excrétion de K+ avec risque d’HTA.
D. Peut être utilisée sans danger chez les personnes hypertendues.
279. La saponaire : Saponaria officinalis.
A. C’est une Caryophyllacée officinale par sa souche radicante.
B. La drogue constitue par les rhizomes ou les racines.
C. Drogue à coumarines et alcaloïdes (Gypsogénine).
D. C’est une drogue expectorante, diurétique, dépurative, irritante et mal tolérée.
280. Les drogues antitussives (7 espèces pectorales) sont :
A. Saponaire, Réglisse, Tussilage, Pied de chat, Bouillon blanc, Coquelicot, Mauve.
B. Pulmonaire, Réglisse, Tussilage, Pied de chat, Bouillon blanc, Coquelicot, Girofle.
C. Eucalyptus, Myrte, Tussilage, Pied de chat, Bouillon blanc, Coquelicot, Mauve.
D. Saponaire, Réglisse, Tussilage, Lierre grimpante, Bouillon blanc, Mauve.
281. Le tussilage (Tussilago farfara) offre plusieurs drogues qui sont :
A. Les fleurs (capitules) riches en mucilage (7%).
B. Les feuilles riches en matières minérales et mucilage (8%).
C. Les capitules font parti des « Espèces pectorales ».
D. Utilisé en infusion à 5g/l pour ses propriétés expectorantes.
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282. Le bouillon blanc : Verbascum thapsus.
A. La drogue c’est les corolles (Fleurs) officinales.
B. La composition chimique de la drogue: Mucilage, Saponosides, alcaloïdes, HE.
C. C’est une espèce pectorale utilisée en infusion à 5g/l.
D. La drogue présente des propriétés antiseptiques et expectorantes.
283. Le coquelicot : Papaver rhoeas.
A. C’est espèce officinale de la famille des Papavéraceae.
B. La drogue est traditionnellement utilisée pour le traitement de la rougeole.
C. La plante est officinale par son fruit (capsule) et ses graines.
D. La drogue contienne des anthocyanosides, des mucilages et des alcaloïdes.
284. La rhoeadine:
A. Est un alcaloïde isoquinoléique extrait du pavot (Papaver somniferum).
B. Est un excellent médicament expectorant, adoucissant et calmant de la toux.
C. Elle est utilisée pour colorer les vins, le thé et les médicaments.
D. C’est anthocyanoside présent dans les pétales du coquelicot (Papaver rhoeas).
285. Le coquelicot : Papaver rhoeas.
A. C’est espèce toxique de la famille des Astéracées.
B. La drogue est traditionnellement utilisée pour le traitement de la rougeole.
C. La drogue à des propriétés laxatives.
D. La drogue contienne des anthocyanosides, des mucilages et des alcaloïdes.
286. Le pied de chat : Gnaphalium dioicum.
A. C’est une Astéracée de l’Europe, l’Asie et l’Amérique.
B. La drogue c’est la souche sous-terraine (bulbe).
C. C’est une plante officinale par son capitule floral riche en mucilages.
D. Fait parti des espèces pectorales à propriétés expectorante et antiseptique.
287. La mauve : Malva sylvestris.
A. C’est unes Malvacée répondue au Maroc pour ses feuilles comestibles.
B. Elle est officinale par ses fleurs émollientes et béchiques (espèce pectorale).
C. Les feuilles sont traditionnellement utilisées dans les affections gastro-intestinales.
D. La fleur contienne des anthocyanosides (quercétine), des alcaloïdes et des Mucilages.
288. La pulmonaire :
A. Pulmonaria officinalis de la famille des Boraginaceae.
B. Les feuilles sont couvertes de poils, vertes à taches blanches.
C. La drogue contienne des mucilages, des saponines et des tanins.
D. Elle a des propriétés émollientes, expectorantes, et laxatives.
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289. Parmi les drogues antiseptiques urinaires on trouve :
A. La Busserole (Raisin d’ours) : Arctostaphylos uva-ursi.
B. La Bruyère cendrée : Erica cinerea.
C. Le Buchu : Agathosma betulina.
D. Le Maïs : Zea mays.
290. Parmi les principes actifs végétaux utilisés comme antiseptique urinaire :
A. L’arbutoside.
B. L’huile essentielle à apiol.
C. Les coumarines.
D. Les saponosides.
291. La Busserole (Raisin d’ours) : Arctostaphylos uva-ursi.
A. Arbuste ligneux colonisateur couvre-sol de la famille des Uricacées.
B. Le fruit est une drupe consommée par les ours (raisin d’ours).
C. Les feuilles séchées contiennent l’arbutoside comme principe actif.
D. La drogue est un désinfectant des voies urinaires, diurétique et antipyrétique.
292. L’arbutoside :
A. Se transforme en hydroquinone avec effet antibactérien dans les urines alcalines.
B. Se transforme en hydroquinone avec effet antibactérien dans les urines acides.
C. Indiqué dans les cystites aiguës non compliquées.
D. Extrait à partir du Palmier de Floride (Serenoa repens).
293. L’arbutoside est un antiseptique urinaire présent dans les drogues suivantes :
A. La Busserole (Raisin d’ours) : Arctostaphylos uva-ursi.
B. Les racines de la grande ortie : Urtica dioïca.
C. La Bruyère cendrée : Erica cinerea.
D. La Bruyère callune : Calluna vulgaris.
294. La Bruyère cendrée : Erica cinerea.
A. C’est une Uricacée rencontrée dans le Nord du Maroc (Tanger et Rif).
B. Le fruit est indiqué en cas de cystites, infections urinaires et calculs rénaux,
C. Composition chimique de la drogue: Arbutoside, Flavonoïdes, Tanins…
D. Propriétés de la drogue: Antiseptique, diurétique, décongestionnant prostatique.
295. La Bruyère callune : Calluna vulgaris, Famille des Uricacées :
A. Les fleurs contiennent : Proanthocyanidol, flavonoïdes et traces d’Arbutoside.
B. La décoction de fleur est un antiseptique urinaire et diurétique.
C. La plante ne pousse pas au Maroc.
D. Plante cultivée pour la production d’une épice aromatique.
296. Le Buchu : Agathosma betulina, Famille des Rutacées :
A. C’est une Rutacée originaire d’Afrique de Sud et très répondue au Maroc.
B. La drogue est aromatique: HE.
C. Usage traditionnel: Antiseptique urinaire, diurétique et antirhumatismal.
D. La drogue à des propriétés antitussives dans les affections respiratoires.
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297. Le Genévrier: Juniperus oxycedrus, Famille des Cupressacées.
A. La drogue c’est la feuille et la fleur.
B. Les baies sont aromatiques (HE) et renferment des flavonoïdes.
C. Propriétés : Diurétique, antiseptique, antirhumatismale, carminative et apéritive.
D. Présente une toxicité rénale en cas des traitements prolongés.
298. L’huile de Cade :
A. Préparée à partir du Genévrier: Juniperus oxycedrus, Famille des Cupressacées.
B. Drogue utilisée au Maroc par voie externe et par voie interne.
C. Drogue employée en dermatologie et pour les soins capillaires.
D. Riche en goudron (phénols 17-26%) à propriétés antiseptiques et antiparasitaires.
299. Le Persil: Petroselinum sativum.
A. Herbe condimentaire culinaire de la famille des Astéracées (Composées).
B. Le fruit et feuille sont aromatiques (HE riche en apiol), sels minéraux et vitamine C.
C. Plante entière utilisée en décoction: diurétique, emménagogue et antiscorbutique.
D. Les feuilles en friction externe pour calmer les démangeaisons (piqûres d’insectes).
300. La Lavande: Lavandula officinalis (=angustifolia); (=vera) :
A. Drogue aromatique renferme : HE (eucalyptol, thymol), coumarine (herniarine).
B. Les fleurs sont utilisées en décoction ou pour l’extraction de l’HE.
C. Antiseptique urinaire et pulmonaire, emménagogue, stomachique et cholagogue.
D. Par voie vaginale (HE de fleurs) utilisée dans les infections du vagin et de l’utérus.
301. Parmi les drogues diurétiques on trouve :
A. L’Orthosiphon : Orthosiphon stamineus F/ Lamiacées.
B. L’huile de pépins de courge: Genre Cucurbita F/ Cucurbitaceae.
C. La Piloselle : Hieracium pilosella F/Astéracées.
D. Le Pissenlit : Taraxacum vulgare F/ Astéracées.
302. L’activité diurétique est obtenue par les principes actifs suivants :
A. 90% des plantes consommées en tisanes.
B. Les flavonoïdes.
C. Les saponosides.
D. Les huiles essentielles.
303. L’Orthosiphon : Orthosiphon stamineus.
A. Arbrisseau de la famille des Lamiacées cultivé en Indonésie.
B. Drogue : Feuille et Sommité fleurie.
C. Renferme des polyphénols; tanins, saponines et HE riche en sesquiterpènes.
D. La drogue à des propriétés diurétique, expectorante et laxative.
304. La Piloselle : Hieracium pilosella, Famille des Astéracées.
A. Plante vivace, acaule commune au Maroc.
B. Plante entière constitue la drogue.
C. Renferme des flavonoïdes (lutéoside) à propriété diurétique et cholérétique.
D. Renferme des coumarines et acides-phénol à propriété antiseptique et laxative.
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305. Le Pissenlit : Taraxacum vulgare, Famille des Astéracées.
A. Petite plante herbacée, spontanée ou cultivée, très commune et polymorphe.
B. Les feuilles renferment des flavonoïdes et des vitamines C et B.
C. La racine est riche en saponosides (inuline 40%).
D. La drogue à des propriétés diurétiques, antispasmodiques et apéritives.
306. L’Ache des marais – Céleri : Apium graveolens, F/ Apiacées.
A. Cosmopolite, potagère consommée comme légume (feuilles et racines tubérisées).
B. Drogue aromatique à HE (limonène et lactones), Flavonoïdes, vitamine C.
C. Usages traditionnels: Racines et fruits en infusion → Diurétique.
D. Usages traditionnels : Plante entière → Cataplasmes résolutifs.
307. L’Asperge : Asparagus officinalis, F/ Liliacées.
A. Plante dioïque, seuls les pieds femelles portent des fruits (baies rouges).
B. Pousse sur les terrains sablonneux (sauvage ou cultivé).
E. Plante ne pousse pas au Maroc et répétée diurétique, dépurative et légère laxative.
C. Les jeunes pousses sont toxiques et non comestibles.
308. Les utilisations traditionnelles de l’Asperge variées selon les régions :
A. Partout au Maroc, les jeunes pousses toxiques utilisées pour traiter l’ictère.
B. Au Sahara et Sud : la friture d’asperge est répétée spermatogène et aphrodisiaque.
C. A Rabat: baies, tige et racine sont stomachiques et apéritives.
D. Fès et Oujda: l’infusion des tiges et racines contre la syphilis et la blennorragie.
309. La Bourrache officinale : Borago officinalis, F/ Boraginacées.
A. Spontanée en Europe, en Afrique du nord et en Asie mineur.
B. C’est une excellente plante mellifère et toxique à effet diurétique.
C. PA : Matières minérales (K), mucilage, alcaloïdes pyrrolizidiniques, anthocyanes.
D. La graine est utilisée comme source d’une huile essentielle riche en AG insaturés.
310. Les utilisations traditionnelles de la Bourrache sont nombreuses :
A. En usages traditionnels, partout au Maroc la plante entière est un diurétique.
B. Rif et Fès: Racine coupée en lamelles anti-inflammation par action locale.
C. Oriental et Algérie : Jeunes feuilles pour préparer le bouillon du couscous au Khlea.
D. L’huile de Bourrache à propriétés cosmétiques est extraite à partir des feuilles.
311. Le Maïs : Zea mays, F/ Poacées.
A. La drogue est représentée par la racine.
B. Les styles de l’inflorescence femelle (Barbes de Maïs) sont utilisés en infusion.
C. La drogue est riche en matières minérales (K), tanins, saponines et vitamine K3.
D. La décoction de la drogue est répétée diurétique (anti-lithiasique, cystite).
312. Parmi les sources des médicaments utilisés pour la décongestion de la prostate :
A. Le Palmier de Floride : Serenoa repens.
B. Le Prunier d’Afrique : Prunus africana.
C. L’huile de pépins de courge.
D. Le Caféier: Coffea arabica.
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313. Parmi les drogues végétales traditionnelles utilisées pour l’adénome de la prostate :
A. La feuille de la Grande Ortie : Urtica dioica.
B. La racine de la Grande Ortie : Urtica dioica.
C. L’Huile de pépins de courge.
D. L’huile végétale de la Bourrache : Borago officinalis.
314. Le Palmier de Floride : Serenoa repens, F/ Arecaceae.
A. C’est le Palmier nain de l’Afrique tropicale.
B. Le fruit est une drupe globuleuse consommée à maturité.
C. La drogue est répétée aphrodisiaque, traitement de cystite et de gonorrhée.
D. Indiqué pour traiter l’hyperplasie prostatique et les irritations des muqueuses.
315. PERMIXON* 160 mg gél :
A. Médicament à base de l’extrait lipidostérolique de l’écorce du Prunier d’Afrique.
B. Médicament à base de l’extrait lipidostérolique du fruit de Palmier de Floride.
C. Indiqué dans l’hypertrophie de la prostate et l’alopécie androgénique masculine.
D. La posologie : 1 gélule de 160mg 2fois par jour (matin et soir).
316. Le Prunier d’Afrique : Prunus africana, F/ Rosaceae.
A. C’est un arbre de l’Afrique sub-saharienne et l’île de Madagascar.
B. Espèce vulnérable pourrait être en danger dans l’avenir.
C. La drogue représentée par le fruit qui est une baie comestible.
D. La drogue à un usage traditionnel et elle n’est pas une source de médicament.
317. TADENAN* 50mg caps molle :
A. Médicament à base de l’extrait lipidostérolique du fruit de Palmier de Floride.
B. Médicament à base de l’extrait lipidostérolique de l’écorce du Prunier d’Afrique.
C. Indiqué dans l’hypertrophie bénigne de la prostate.
D. La posologie : 1 capsule de 50mg 2fois par jour (matin et soir).
318. La Grande Ortie : Urtica dioica, F/ Urticaceae.
A. La drogue c’est la feuille.
B. La drogue c’est la racine.
C. La drogue renferme des polysaccharides, composés phénoliques, lignanes et stérols.
D. Utilisée dans le traitement de l’hyperplasie bénigne de la prostate.
319. Huile de pépins de courge:
A. C’est l’huile végétale obtenue à partir des graines de courge.
B. Les courges sont des fruits alimentaires du genre Cucurbita, F/ Cucurbitacées.
C. C’est une drogue très irritante et déconseillée par voie orale.
D. C’est une huile essentielle obtenue par distillation des graines mures et séchées.
320. Huile de pépins de courge est riche en AGE, stérols et vitamines, elle est indiquée:
A. Par voie orale (laxative) et voie externe (cicatrisante).
B. En cosmétologie pour les soins des cheveux.
C. Pour le traitement des problèmes d’alopécie.
D. Par voie orale pour le traitement de l’adénome de la prostate.
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321. Les drogues veinotoniques:
A. Elles augmentent la contraction des fibres musculaires lisses.
B. Elles favorisent la remontée du sang veineux.
C. Elles provoquent une vasoconstriction.
D. Elles provoquent une vasodilatation.
322. Les principes actifs végétaux à propriété veinotonique sont:
A. Les alcaloïdes.
B. Les mucilages.
C. Les saponosides.
D. Les tanins.
323. Les drogues à action vitaminique P:
A. Renforcent la paroi veineuse.
B. Augmentent la résistance de la paroi capillaire.
C. Diminuent la perméabilité capillaire.
D. Exercent une action AVK.
324. Les principes actifs végétaux à propriété vitaminique P sont:
A. Les Flavonoïdes.
B. Les tanins.
C. Les anthocyanes.
D. Les coumarines.
325. Les drogues agissant sur les veines:
A. Effet dynamique: Veinotonique.
B. Effet protecteur: Vitaminique P.
C. Effet dynamique: Vitaminique P.
D. Effet protecteur: Veinotonique .
326. Les drogues végétales vasculoprotectrices:
A. Sont des drogues à effet dynamique →Veinotonique.
B. Sont des drogues à effet protecteur → Vitaminique P.
C. Contiennent des saponosides ou des tanins.
D. Contiennent des anthocyanes ou des coumarines.
327. Parmi les plantes veinotoniques et vasculoprotectrices on trouve :
A. Le Mélilot.
B. Le Petit Houx.
C. Le Marronnier d’Inde.
D. Le Pissenlit.
328. Parmi le phytomédicaments utilisés dans l’insuffisance veinolymphatique on trouve :
A. Les Citroflavonoïdes.
B. Le Rutoside et ses dérivés.
C. L’extrait lipidostérolique de Palmier de Floride.
D. L’huile essentielle de la lavande.
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329. Les Citroflavonoïdes :
A. Sont les flavonoïdes des fruits de divers Citrus, Famille des Rutaceae.
B. Le genre Citrus comporte de nombreuses espèces toxiques.
C. Ils sont extraits par l’alcool des péricarpes et des pulpes des agrumes.
D. Les agrumes sont comestibles et fournissent une huile essentielle et des pectines.
330. La diosmine :
A. Médicament obtenu par extraction directe des fruits de divers Citrus.
B. Médicament toxique et nécessite une surveillance de traitement.
C. Médicament d’hémisynthèse obtenu à partir d’une flavone (diosmétine).
D. Indiquée à forte dose jusqu’à 2g/j dans la crise hémorroïdaire.
331. Les citroflavonoïdes utilisés en pharmacie :
A. Sont des mélanges de citroflavonoïdes totaux.
B. Des glycosides de flavanones purs séparés : Hespéridoside, Naringoside.
C. Un glycoside de flavone produit par hémisynthèse: la Diosmine (DCI).
D. Indiqués dans le traitement de l’ HTA et le diabète.
332. Le rutoside (=Rutine et Sophorine).
A. Est un diglycoside de la quercétine: 3-O-rutinosylquercétol.
B. Sa très faible solubilité a conduit à la mise au point de dérivés plus solubles.
C. Il est très rare dans la nature.
D. Est indiqué dans les troubles liés à l’insuffisance veinolymphatique.
333. L’extraction industrielle de rutoside se fait à partir de deux drogues :
A. Boutons floraux de Sophora: Sophora japonica (15 – 20% rutoside).
B. Feuilles de Sarrasin (blé noir): Fagopyrum esculentum (5-8% rutoside).
C. Graine de Marronnier d’Inde: Aesculus hippocastanum.
D. La Myrtille: Vaccinum myrtillus .
334. Les indications de Rutoside et ses dérivés seul ou en association sont :
A. Les troubles liés à l’insuffisance veinolymphatique.
B. La baisse d’acuité et de troubles du champ visuel présumé d’origine vasculaire.
C. La constipation chronique ou occasionnelle.
D. L’adénome bénin de la prostate.
335. Le Mélilot officinal: Melilotus officinalis.
A. Fabaceae, herbacée à fleurs jaunes des régions Méditerranéennes (Maroc).
B. Plante fourragère et mellifère à odeur agréable et très toxique.
C. PA: Saponosides triterpéniques, flavonoïdes, acides-phénols, Coumarine 0,4 à 1%.
D. En cas de contamination fongique (mauvaise conservation) il devienne toxique AVK.
336. Le Mélilot officinal est une Fabacée répondue au Maroc « Melilotus officinalis ».
A. Contienne de l’acide O-hydroxycinnamique qui donne le dicoumarol (AVK).
B. Mal conservé, il est responsable des hémorragies chez les bétails et l’homme.
C. Les sommités fleuries sont antispasmodiques et protectrices du système vasculaire.
D. Les fruits sont utilisés pour les soins de la chevelure, diurétiques et apéritifs.
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337. Le Fragon faux houx : Ruscus aculeatus, F/ Liliaceae.
A. Arbrisseau épineux toujours vert formant des buissons touffus.
B. Les jeunes pousses sont toxiques et les baies sont comestibles.
C. La drogue c’est le rhizome et racine à propriété veinotonique et laxative.
D. PA : saponosides stéroïdique (Ruscogénine), flavonoïdes, rutoside.
338. CYCLO 3 FORT* gél; sol buv:
A. Médicament à base de l’extrait sec Fragon faux houx + Hespéridine + Vit C.
B. Médicament à base de l’extrait sec Fragon faux houx + Extrait fluide Mélilot.
C. Indiqué dans le traitement des manifestations de l’insuffisance veinolymphatique.
D. Indiqué dans le traitement de l’hyperplasie bénigne de la prostate.
339. La graine de Marronnier d’Inde « Aesculus hippocastanum ».
A. Elle est toxique et non comestible.
B. Renferme des saponosides triterpéniques : Escine.
C. C’est un vasoconstricteur veineux indiqué en cas des hémorroïdes et des varices.
D. C’est une drogue laxative indiquée en cas de constipation chronique.
340. L’écorce de Marronnier d’Inde « Aesculus hippocastanum ».
A. C’est une drogue qui renferme des coumarines: Esculoside.
B. La drogue à une action vitaminique P.
C. La drogue à des propriétés veinotoniques.
D. Indiquée dans le traitement des hémorroïdes et des varices.
341. La Myrtille (Raisin des bois): Vaccinum myrtillus.
A. Sous-arbrisseau vivace est rampant de la famille des Ericaceae cultivé au Maroc.
B. Les fuit sont des baies sucrées comestibles fraîches, apéritives et laxatives.
C. PA : Anthocyanosides (Myrtilline: Delphinidin 3-O-glucoside) et tanins.
D. Elle a des propriétés à la fois vitaminique P et veinotoniques.
342. DIFRAREL*100cp ; DIFRAREL E*cp :
A. Médicament à base d’extrait anthocyanosidique de Myrtille + tocophérol.
B. Utilisation thérapeutique en neurologie, digestive et ophtalmologie.
C. Indiqué dans les troubles de la vision crépusculaire présumés d'origine circulatoire.
D. La posologie est de 3 à 6 cp/j pdt 20 j/mois.
343. Le Cyprès: Cupressus sempervirens.
A. Grand arbre de la famille des Cupressaceae répondu au Maroc.
B. La drogue c’est le fruit: noix de galle.
C. La drogue renferme des tanins à propriété vasculoprotectrice.
D. La drogue est veinotonique indiquée dans le traitement de HTA.
344. L’Hamamélis: Hamamelis virginiana. F/ Hamamélidaceae.
A. Arbuste de l’Amérique du Nord à feuilles caduques.
B. La drogue c’est la racine.
C. La drogue renferme des alcaloïdes, des saponosides et des tanins.
D. La drogue est veinotonique indiqué en cas d’insuffisance veinolymphatique.
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345. La Vigne rouge: Vitis vinifera F/ Vitaceae.
A. Plante ligneuse à tige rampante munie de vrilles.
B. Cultivée pour ses fruits en grappes comestibles.
C. Drogue : le fruit sec séché qui renferme des tanins, anthocyanes et flavonoïdes.
D. La feuille a des propriétés veinotoniques et vitaminique P.
346. L’Ail: Allium sativum.
A. Plante potagère vivace dicotylédone de la famille des Apiacées.
B. Le Bulbe se compose de plusieurs caïeux ou (gousses) d’ail.
C. PA : Composés soufrés, Sélénium, Vitamines A, B, C et E et HE (0,25%).
D. Utilisée pour ses valeurs nutritives (condiment) et ses propriétés médicinales.
347. L’Ail (Allium sativum) a plusieurs utilisations médicinales :
A. Hypotenseur indiqué pour le traitement de l’HTA et l’hypercholestérolémie.
B. Antiseptique par son huile essentielle très abondante dans la drogue.
C. Vermifuge contre les oxyures en action locale au niveau rectal.
D. Propriété vasculaires dans le traitement des hémorroïdes.
348. Le Ginkgo : Ginkgo biloba, F/ Ginkgoaceae.
A. Arbre dioïque très ancien et la seule espèce actuelle de cette famille.
B. On connu 7 espèces fossiles qui date de 270Ma.
C. Il est originaire de l’Australie.
D. La drogue c’est le rhizome et la racine.
349. La feuille de Ginkgo : Ginkgo biloba, F/ Ginkgoaceae.
A. Renferme des terpènes (Ginkgolides) et des flavonoïdes.
B. Elle a des propriétés Vitaminique P et antidiarrhéiques.
C. Contre-indiquée dans l’Insuffisance vasculaire cérébrale (Maladie d’ Alzheimer…).
D. Indiquée dans l’Insuffisance veineuse: Varices, jambes lourdes, hémorroïdes.
350. GINKOR FORT gél; sach :
A. Médicament à base : Ginkgo biloba + Heptaminol + Troxérutine.
B. Il a des propriétés Vitaminique P et antiépileptique.
C. Contre-indiqué dans l’insuffisance vasculaire cérébrale (Maladie d’ Alzheimer…).
D. Indiqué dans la crise d'hémorroïdaire : 3-4gél/jx7j.
351. La petite pervenche : Vinca minor
A. C’est une plante de la famille des Apocynaceae.
B. La drogue est représentée par les pétales et les feuilles.
C. La drogue renferme un flavonoïde actif: la vincamine.
D. Indiquée dans l’insuffisance vasculaire cérébrale (Maladie d’ Alzheimer…).
352. Le traitement des manifestations de l’insuffisance veinolymphatique :
A. Utilise des médicaments à base de plantes très efficaces à fortes doses.
B. Utilise uniquement la voie orale, la voie locale est déconseillée.
C. Associer traitements locaux et voie orale.
D. Plusieurs spécialités à base de plantes adaptées aux troubles légers non compliqués.
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353. Parmi les drogues antimitotiques d’origine végétale on trouve :
A. La Podophyllotoxine (Podophyllum peltatum).
B. Les alcaloïdes indoliques de la petite Pervenche (Vinca minor).
C. Les alcaloïdes de la Pervenche tropicale (Catharanthus roseus).
D. Les Taxoïdes (Taxanes: Ifs).
354. Les PA anticancéreux d’origine végétale utilisés dans le traitement des cancers sont :
A. Paclitaxel et Docetaxel.
B. Vinca-alcaloïdes et dérivés.
C. Dérivés de la Camptothécine.
D. Colchicine.
355. Les agents du fuseau (Poisons et Stabilisants) naturels anticancéreux sont:
A. Dérivés de la Podophyllotoxine.
B. Dérivés de la Camptothécine.
C. Vinca-alcaloïdes et dérivés.
D. Paclitaxel et Docetaxel.
356. Les drogues végétales inhibitrices de la topoisomérase I et II :
A. Paclitaxel et Docetaxel.
B. Dérivés de la Camptothécine.
C. Dérivés de la Podophyllotoxine.
D. Vinca-alcaloïdes et dérivés.
357. Les inhibiteurs de topoisomérases anticancéreux d’origine végétale sont :
A. Dérivés de la Camptothécine.
B. Dérivés de la Podophyllotoxine.
C. Paclitaxel et Docetaxel.
D. Colchicine.
358. Les médicaments anticancéreux d’origine végétale :
A. Sont des médicaments très actifs à faible doses.
B. Ont un index thérapeutique faible.
C. Sont sans effets indésirables notables.
D. Utilisés selon des protocoles thérapeutiques standardisés.
359. Le Plantain d’eau :
A. Plante utilisait par Avicenne et Galien pour le traitement des tumeurs.
B. La drogue renferme un triterpène : Alisol B.
C. Contienne des alcaloïdes à activité antimitotique.
D. Utilisé traditionnellement pour son activité anticancéreuse.
360. L’Indigotier : Les médicaments anticancéreux d’origine végétale :
A. Les feuilles sont utilisées pour la préparation de la teinture d'indigo.
B. Utilisé par la Médecine Chinoise dans le traitement des leucémies.
C. Contient l’Indirubine qui est une molécule inhibitrice kinase-cycline-d.
D. Il fournit une résine à propriétés laxatives et antispasmodiques.
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361. Colchicum autumnale : Colchique d'automne.
A. Plante vivace par un bulbe tuniqué de la famille des Liliacées.
B. Colchique d’automne pousse dans les prairies médio-européennes.
C. Le bulbe était préconisé par les Arabes comme purgatif et diurétique.
D. Plate fourragère à bulbe comestible.
362. Colchicum autumnale : Colchique d'automne.
A. Plante toxique et la drogue est inscrite au tableau A.
B. La drogue est officinale constitue par la graine.
C. Renferme des flavonoïdes, des anthocyanosides et des saponines.
D. La drogue a des propriétés diurétiques, analgésiques et anti-inflammatoires.
363. La colchicine :
A. Est un alcaloïde extrait à partir de la graine de colchique d’automne.
B. C’est un principe actif atoxique peut être utilisé à forte dose.
C. Médicament utilisé en thérapeutique comme anticancéreux.
D. Médicament commercialisé pour le traitement de la crise de la goutte.
364. COLCHICINE* 1mg, Cp :
A. Induit la mort cellulaire en arrêtant la mitose en métaphase.
B. Il a un index thérapeutique très large.
C. Utilisée au laboratoire de génétique et son intérêt en cancérologie est historique.
D. Prescrit dans le traitement de la goutte.
365. La podophylle : Podophyllum peltatum.
A. Petite plante vivace par un rhizome de la famille des Berbéridacées.
B. Deux feuilles opposées palmatilobées et une fleur solitaire 3-mère blanche.
C. Pousse spontanément dans les forêts du Maroc et l’Afrique du Nord.
D. La drogue c’est le rhizome qui renferme 3-6% de résine.
366. La podophylotoxine :
A. C’est un lignane extrait uniquement à partir du rhizome de la podophylle.
B. Peut être obtenue des champignons endophytes de rhizome de la podophylle.
C. C’est un agent de fuseau violent.
D. Indications: Cancer: poumon, sein, testicules, ovaire…
367. Podophyllum hexandrum (Himalaya) :
A. Le rhizome renferme 3-6% de résine.
B. Le rhizome renferme 6-12% de résine.
C. La Podophyllotoxine représente 40% de la résine.
D. La Podophyllotoxine représente 20% de la résine.
368. Les médicaments inhibiteurs de la Topoisomérase II :
A. Sont des médicaments obtenus par synthèse chimique totale.
B. Sont des dérivés hémisynthétiques de la podophylotoxine.
C. Téniposide (DCI): VEHEM* ; Étoposide (DCI): ETOPOPHOS*.
D. Sont des anticancéreux utilisés en thérapeutique (Cancer: poumon, sein, ovaire…).
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369. Parmi les alcaloïdes naturels de la Pervenche Tropicale on trouve :
A. La Vindoline.
B. La Vincristine.
C. La Vinblastine.
D. Le Paclitaxel.
370. Parmi les dérivés d’hémisynthèse des alcaloïdes de la Pervenche Tropicale on trouve :
A. La Vinblastine.
B. La Vindésine.
C. La Vinorelbine.
D. La Vinflunine.
371. Pervenche tropicale (Pervenche de Madagascar): Catharanthus roseus (Vinca rosea L).
A. Sous-arbrisseau vivace à tiges ligneuses à la base à feuilles opposées.
B. Fleurs de type 5 pourpres ou blanches décoratives.
C. Plantes de la famille des Liliacées.
D. Elle pousse dans les régions intertropicales et plantée à des fins ornementales.
372. La drogue de la Pervenche tropicale (Catharanthus roseus):
A. Racine séchée inscrite à la Ph. Fse.
B. Parties aériennes.
C. La racine est une source d’alcaloïdes binaires (0.2 – 1%).
D. Les parties aériennes est une source de l’ajmalacine.
373. Les alcaloïdes binaires (indole + dihydroindole):
A. Sont présent dans la partie aérienne de la Pervenche Tropicale en grandes quantités.
B. Vincristine (DCI): 0,0003% (3g/tonne drogue sèche)
C. Vinblastine (DCI).
D. Vinorelbine (DCI): le plus efficace.
374. Parmi les alcaloïdes binaires utilisés dans le traitement du cancer :
A. Vinblastine: OKA-VINBLASTIN*10mg pdr.sol.inj.
B. Vincristine: VINCRISTINE* Cooper 1mg sol.inj.
C. Vinorelbine: NAVELBINE* 10, 20, 30, 50mg sol.inj. caps. Molle.
D. Paclitaxel : TAXOL* 30mg sol. perf.
375. Camptotheca acuminata : Happy tree, Tree of life, F/ Nyssaceae.
A. Arbre ornemental chinois dont la drogue renferme la Camptothécine.
B. Écorces de tronc → 0,03% de camptothécine.
C. Écorces de racines → 0,02% de comptothécine.
D. Fruits → 0,01% de comptothécine.
376. La Camptothécine:
A. Est un alcaloïde quinoléique.
B. Elle réagit avec les réactifs généraux des alcaloïdes.
C. Elle ne forme pas de sels stables.
D. Elle très soluble dans les solvants usuels.
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377. Les analogues de synthèse de la camptothécine utilisés dans le traitement des cancers :
A. Topotécan (DCI):HYCAMTIN* 0,25 et 1mg gél (VO); 4mg pdr.p.sol. Perf.
B. Téniposide (DCI): VEHEM* 10mg sol. perf.
C. Irinotécan (DCI):CAMPTO* 40, 100mg sol. perf.
D. Utilisés dans le traitement de cancers des ovaires, bronchiques et colorectaux.
378. La camptothécine :
A. Il présente toutes les caractéristiques physico-chimiques des alcaloïdes vrais.
B. Anticancéreuse commercialisée pour le traitement des cancers.
C. Ses analogues de synthèse sont des anticancéreux moins toxiques.
D. Le Topotecan et l’Irinotecan sont plus toxique que la Camptothécine.
379. L’if :
A.
B.
C.
D.
Taxus baccata est l’if à baies comestibles très répondue au Maroc.
Le paclitaxel (taxol) est un diterpène présent naturellement dans l’if.
Le docétaxel est un produit d’hémisynthèse obtenu à partir de la baccatine III.
Le taxol et docétaxel sont des poisons de fuseau utilisés par voie parentérale.
380. Les Taxanes :
A. Paclitaxel: TAXOL* 30mg sol.perf.
B. Docétaxel: TAXOTERE* 20, 80mg sol. Perf.
C. Téniposide (DCI): VEHEM* 10mg sol. perf.
D. Irinotécan (DCI):CAMPTO* 40, 100mg sol. perf.
381. Taxus baccata L.
A. C’est l’if à baies, ornementale et comestible.
B. C’est un grand arbre dioïque.
C. Elle pousse en Europe, Afrique Nord et Asie.
D. Au Maroc rencontrée dans les montagnes (au bord des cours d’eau).
382. Taxus brevifolia : l’if du pacifique.
A. La drogue c’est l’écorce de tronc.
B. La drogue c’est la feuille.
C. La drogue renferme 0,01% de Taxol.
D. Drogue à propriété antiparasitaires et antipaludique.
383. Les ifs: Taxus sp. F/ Taxaceae.
A. Ce sont des plantes alimentaires.
B. Chez les Gaulois utilisés comme poison de flèches et fabrication des arcs (Bois).
C. Au Maroc (Moyen-Atlas) la décoction des feuilles est abortive.
D. Le fruit est une baie rouge, sucré à graine amère responsable des intoxications.
384. Les ifs: Taxus sp. F/ Taxaceae
A. Renferment des diterpènes tricycliques à noyau taxane.
B. Le Paclitaxel et le Docétaxel sont des poisons de fuseau isolés de fruit.
C. Source des médicaments anticancéreux (Cancers: poumon, prostate, sein, ovaire…).
D. Renferme la Baccatine III qui est un intermédiaire de synthèse des anticancéreux.
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385. Le docétaxel (DCI) :
A. Est un anticancéreux obtenu à partir de la Baccatine III.
B. Extrait à partir des feuilles de l’If d’Europe (Taxus baccata).
C. C’est un intermédiaire de synthèse plus actif que le taxol.
D. Commercialisé sous le nom de TAXOTERE* 20, 80mg sol. Perf.
386. Les sources des taxanes sont :
A. L’Écorces de tronc de l’If d’Europe : Taxus baccata.
B. Les champignons endophytes des ifs (Faibles quantités).
C. Les feuilles de Taxus x media.
D. Les feuilles de l’if du pacifique: Taxus brevifolia.
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387. La scille :
A. Urginea maritima, une liliacée très répondue au Maroc.
B. Drogue: écailles du bulbe inscrite au tableau C.
C. Les principes actifs: hétérosides cardiotoniques bufadiènolides.
D. Diurétique utilisée sans danger chez les hypertendues.
388. Parmi les drogues utilisées dans le traitement de l’HTA :
A. La racine de la réglisse : Glycyrrhiza glabra.
B. La feuille de l’olivier : Olea europea.
C. Les bulbes d’ail : Allium sativum.
D. Huile de ricin : Ricinus communis.
389. L’olivier : Olea europea
A. C’est une espèce officinale par ses feuilles.
B. La feuille est aromatique et riche en huile essentielle à dérivés terpéniques
C. La drogue contient des flavonoïdes (Lutéoline) et des dérivés triterpéniques.
D. L’infusion des feuilles est utilisée comme antihypertenseur.
390. L’ail : Allium sativum.
A. C’est une liliacée dont la drogue est représentée par les caïeux du bulbe.
B. Drogue aromatique riche en sélénium, composés soufrés et vitamines.
C. La drogue est déconseillée chez les personnes hypertendues.
D. Possède des propriétés antibiotiques, hypocholestérolémiante et vasculoprotectrices.
391. Les digitaliques:
A. Ce sont des glycosides cardiotoniques utilisés en cardiologie.
B. Ce sont des substances apparentées à la digitaline.
C. Sont extraits à partir des végétaux : Digitalis lanata et Digitalis purpurea.
D. Parmi les molécules on trouve : la digoxine, la colchicine et la digitoxine.
392. La Digitale pourpre: Digitalis purpurea L. F/ Scrofulariaceae.
A. Plante anciennement connue pour sa toxicité à effet diurétique.
B. La drogue: feuilles séchées inscrites à la Ph. Fse IX éd., Tab B.
C. Une drogue cardiotonique majeure toujours utilisée pour l’extraction des hétérosides.
D. À dose toxique entraine des troubles du rythme, l’excitabilité et l’arrêt cardiaque.
393. La Digitale laineuse: Digitalis lanata L. F/ Scrofulariaceae.
A. Drogue 3 à 4 fois moins toxique que la Digitale pourpre.
B. Drogue: feuilles séchées inscrites à la Ph. Fse IX éd., Tab A.
C. Les principes actifs sont des hétérosides cardiotoniques bufanolides (0.5 à 1%).
D. A dose thérapeutique elle est Inotrope+ et diurétique.
394. DIGOXINE NATIVELLE* Cp. Séc. 0.25mg; Sol. Buv. 5%.
A. Médicament à effet Inotrope+, Chronotrope–, Bathmotrope–, Dromotrope–.
B. Sa principale source d’extraction est la Digitale pourpre: Digitalis purpurea.
C. La dose maximale est 1mg/24h et ne nécessite pas de surveillance de traitement.
D. Médicament à marge thérapeutique étroite n’est plus commercialisé au Maroc.
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395. Les Strophantus: Strophanthus gratus et Strophanthus kombe.
A. Sont des drogues à action cardiotoxique de la famille Apocynaceae.
B. La drogue c’est la graine inscrite à la Ph. Fse IX éd., Tab A.
C. Les principes actifs sont des hétérosides cardiotoniques bufanolides (Ouabaïne).
D. La drogue c’est la principale source d’extraction de la digitoxine.
396. Parmi les drogues à hétérosides cardiotoniques cardénolides on trouve :
A. Le laurier-rose: Nerium oleander ; F/ Apocynaceae.
B. Le Muguet: Convallaria majalis ; F/ Liliaceae.
C. L’Adonis: Adonis vernalis ; F/ Renonculaceae.
D. La scille : Urginea scilla (= U. maritima) ; F/ Liliaceae.
397. Parmi les drogues à hétérosides cardiotoniques bufanolides on trouve :
A. La Digitale laineuse: Digitalis lanata L. F/ Scrofulariaceae.
B. La Digitale pourpre: Digitalis purpurea L. F/ Scrofulariaceae.
C. Le laurier-rose: Nerium oleander ; F/ Apocynaceae
D. La scille : Urginea scilla (= U. maritima) ; F/ Liliaceae.
398. Le laurier-rose: Nerium oleander ; F/ Apocynaceae.
A. Arbuste aromatique, ornementale et condimentaire très répondue au Maroc.
B. La drogue représentée par toute la plante et principalement la feuille (Ph. Fse IX éd.).
C. La drogue renferme des hétérosides cardiotoniques bufanolides (Oéandrine).
D. Les feuilles sont très toxiques et utilisées pour l’extraction de la digoxine.
399. La scille : Urginea scilla (= U. maritima) ; F/ Liliaceae.
A. Herbacée des rivages méditerranéens, vivace par un bulbe tuniqué volumineux.
B. La drogue c’est les écailles du bulbe inscrites à la Ph. Fse VIII éd., Tab C.
C. Existe 2 variétés: Scille blanche dite d’Italie et Scille rouge dite d’Espagne (Maroc).
D. Les principes actifs sont des hétérosides cardiotoniques cardénolides.
400. La rose de Noël : Helleborus niger, F/ Renonculaceae.
A. Herbacée ornementale vivace à fleurs blanches.
B. La drogue c’est les fleurs blanches inscrites à la Ph. Fse IX éd.
C. La drogue c’est le rhizome blanc inscrit à la Ph. Fse IX éd.
D. Renferme des hétérosides cardiotoniques bufadiènolides toxiques.
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