qui lu[i] sont dus, et qu' tine autre ou je vous ai prie de retnettre les trois a DidierB e, si toutefois vous n' avez de me renvoyer le compte quiiv vous avez pone et [rei tir 26 Juin, date a depuis le pas le temps d[e] [faire] [un] [qui] comprendra tout [laqu] elle Edward9 m'en avait donne. ire une visite Je suis fache que les circonstances empech [e]nt ] ?] [de] fa e toujours recevoir une l[ettre] de aux [Vacoas ] [avant] [son] depart, mais j'esper lui, et li[e] [aujourd'hui] Y meme que cette esperance sera remp Je verrai mon compatriote Mons . Dites moi, si . Lark[ins]i'7 [avec] plaisir [n] : Nous pouvonsvii bie chez Chazal" vous trouvez bon que j [e] vous rencontre er,-72 je pense [que] [peu] t etre Chazal se souper la, mais it faut venir ici couch fachera role. si nous ne lui te[nons] pas pa avancee et si elle nest pas finie a votre Ma carte est actuellement tres arrivee, oup. Nous attendons Mr. Charles et Madame elle ne manquera pas beauc sa femme 13 ce lack. Vous coucherez dans mon pavilion, [Mr.] meme Sam[edi] de F Larkinsvin aura un a lui seu1.7A 8 This could be Didier de Saint-Amand, a Pilot of Port Louis harbour. 9 Edouard Pitot,Thomi's brother. 10 Captain Larkins was the commander of the richly-laden Chinaman, Warren Hastings, captured by La Piemontaise, and taken to Isle de France. Larkins was released shortly after and volunteered to take some letters back to Europe (Scott, p. 363). Flinders expressed disappointment that Larkins left without obtaining permission to see him (II, p.453). /1 At 'Le Mondrain'. 12 15 Flinders occupied one of the pavilions on the d'Arifat estate and his domestic, John Elder, had slept in the other. It was free after the departure of Elder in July 1807. One of many acquaintances who visited the d'Arifats and Flinders; it has not been possible to identify these individuals. 44 Ibid.: que Pitot (1885):first three paragraphs absent Barnwell: Parkins l'" Sauzier: pourrions Fin Barnwell: Parkins