Définition d’un conflit
Le conflit de valeurs survient lorsque les actions qui seraient menées afin de mettre en pratique une
certaine valeur dans une situation donnée entrent en conflit avec les actions préconisées par une autre
valeur qui semble également importante. Un conflit peut exister entre deux valeurs dont je voudrais
tenir compte, ou entre la valeur que je voudrais privilégier et celle qu’une autre personne,
l’organisation, ou la culture organisationnelle préfère dans un tel cas. Dans les deux cas un choix
devra être fait et une des valeurs retenue pour résoudre le problème.
le conflit de loyauté surgit au sein d’une relation de proximité, qu’elle soit amicale ou
professionnelle, et risque d’altérer ou d’empêcher le jugement droit et objectif
L’enjeu du conflit de loyauté se repose souvent sur le défi ou le besoin d’agir correctement face à un
dilemme selon nos connaissances, notre expérience et notre réflexion. Le conflit de loyauté implique
une confrontation avec la réalité puisque le conflit de loyauté nous apparaît sans nécessairement le
provoquer et sans nécessairement nous impliquer à priori à sa naissance.
Le conflit de loyauté peut engendrer des risques, des menaces et peut amener même à des
conséquences qu’on n’a pas nécessairement voulu ou choisi.
Dans une situation de conflit de loyauté, une tension psychologique est créée chez l’individu puisqu’il
se trouve dans l’obligation de se positionner par rapport à des valeurs en conflit avant même d’avoir
tous les éléments de réponse ou de réflexion. Ceci conduit soit à un bris de confiance entre l’individu
et son employeur, soit à un sentiment d’agir contre ses propres valeurs, contre un idéal. La tension
est présente et la souffrance l’est aussi puisque l’individu aurait probablement des remords ou regrets
de son choix non éclairé. Cette souffrance est vécue pendant la situation de conflit de loyauté et
continuera d’exister dans le futur.
ce qui est un véritable précurseur de souffrance psychologique.
Autonomie professionnelle – fierté, pouvoir d’agir, rayon d’action  liberté
Valeurs de loyauté et de professionnalisme
La réflexion critique et méthodique permet de surmonter les problèmes éthiques.
Création d’un schéma conceptuel (cartographie) à partir du texte de moodle  commenter et
expliquer
Éthique responsable : quelle est la véritable valeur du progrès et de la réussite scientifique,
socioéconomique et culturel si on n’est capable de développer également le réflexe de la prudence, de
la précaution et de la prévention.
Introspection : responsabilité rétrospective : faire appel au principe de précaution (tu dois le faire
donc fais le). Un héritier de l’histoire mais un acteur du présent. capacité de revendiquer l’histoire
sans nécessairement être présent à ses différents événements. qui suis-je ? et que sais-je ? Nous
sommes héritiers d’une histoire qui nous a précédée et que nous devons comprendre. Comprendre
l’histoire pour savoir que nous somme porteurs d’erreurs passées même si nous n’étions pas là pour
les commettre. la responsabilité rétrospective est la capacité de faire preuve de sagesse en
s’engageant à utiliser les connaissances et des expériences accumulées de l’histoire , heureuses et
malheureuses, à utiliser les outils nécessaire pour ne pas répéter les mêmes erreurs du passé et pour
ne pas prendre naïvement les mêmes risques potentiels. La responsabilité rétrospective appliqué à
bon escient permet d’anticiper ce qui reste à venir dans le future. Commettre
L’éthique de la convection ne cherche pas à anticiper les risques et conséquences. On sacralise le
résultat anticipé et on va mettre tous les moyens possibles pour les atteindre. Dans l’éthique de la
conviction, on l’urgence du résultat passe avant tout. On statue le bien du mal, le nécessaire du futile.
On sacralise le « bien » et on le présente comme requis et indispensable et que le contraire est
impensable, impossible et inimaginable. Ne pas agir serait perçu une incompréhension ou même une
bêtise humaine. L’éthique de la conviction relève de la volonté morale de statuer qu’une action est
préférable à une autre et maintenant. Ne pas agir immédiatement pour faire le « bien » est une
trahison à moi-même et à mon clan.
L’éthique de la délibération
Capacité à s’investir dans une réflexion riche de sens et surtout la capacité à délibérer intelligemment.
L’éthique de la délibération est basée les valeurs, sur les situations et sur les types d’agir qu’il
promeut. C’est une mise en commun de l’intelligence. C’est démarche structurée qui mène à une prise
de décision justifiée, réfléchie et pertinente. C’est donc une sorte d’éthique décisionnelle