Qui ne se souvient des “Panama Papers”, ce scandale qui a défrayé la chronique ? par Piero Cammerinesi AVERTISSEMENT – Cet article – qui présente des informations qui, à mon sens, n’ont jamais été publiées par la presse italienne, ni par la presse dite “alternative”, ni encore moins par la presse de grand public, - est le fruit de recherches sérieuses et se base sur deux sources d’informations. La première de ces sources correspond à des sites web de langue anglaise cités plus loin dans l’article ; la seconde, à des contacts personnels de l’auteur dont se porte garant non seulement de leurs domaines d’expertise et leur sérieux mais avant tout de leur connaissance de première main des affaires révélées dans cet article. Tout ceci est dit pour apaiser le lecteur face à des informations pourraient lui paraître invraisemblables ou tout du moins fantaisistes. Que le lecteur se rassure : c’était également le sentiment que partageait l’auteur jusqu’à ce qu’il mène une enquête approfondie. Et ce sont les résultats de ses recherches fouillées que présente ici l’auteur. Aussi, avant de conclure hâtivement qu’il s’agit d’un conte à dormir debout, l’auteur invite le lecteur à réfléchir sur les informations divulguées et à creuser plus loin en se tournant vers les sources renseignées. Au fond, le meilleur moyen d’occulter quelque chose est de le mettre à la vue de tous. *** Mais revenons au scandale des Panama Papers… Avant tout, il s’agit d’être clair : c’est quoi, au juste, ces Panama Papers ? Est-ce en rapport avec ces nouvelles diffusées dans les médias officiels russes où l’on a pu voir le Président Poutin au premier plan en compagnie de plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement ? Cela dit, aucune allusion directe n’a été faite quant à l’existence d’un lien entre les fonds occultes de Panama et le Président mais seulement à des “personnes de son entourage”. Alors quid ? Ou est-ce au sujet de la découverte de ces milliers et milliers de noms de sociétés et comptes secrets ouverts dans le paradis fiscal panaméen et parmi lesquels – est-ce un hasard ? – l’on n’a retrouvé aucun nom de personnalité éminente de nationalité américaine ? N’est-ce pas cette affaire qui a enflammé les grands médias un court temps avant de disparaître de l’horizon médiatique ? Ou ne s’agit-il pas plutôt, comme certains l’ont dit, d’une opération menée par les services américano-britanniques engagés dans une lutte au sommet entre les puissances mondiales? A ce propos, il est intéressant de savoir que cette information a été divulguée par la International Coalition of Investigative Journalists (ICIJ), une organisation opaque qui dépend du Organized Crime and Corruption Reporting Project (OCCRP), elle-même financée par le Gouvernement américain (encore un hasard ?…) par le biais d’une organisation dénommée USAID. Nous avons voulu en savoir plus au sujet Panama Papers et voici ce que nous avons appris. Mais commençons par le commencement. Le leak (ndlr : fuite) au sujet des Panama Papers se compose de 11,5 millions de documents environ; il s’agit principalement d’emails, de fichiers PDF, d’images photos et d’une partie d’une base de données interne de la Mossack Fonseca. Toutes ces informations datent d’une période allant de 1970 au printemps 2016. Elles concernent des comptes et sociétés off-shore ayant à leur tête des personnalités politiques, des hommes d’affaires, des milliardaires, des maffieux, des criminels et des sociétés-écrans. Toutefois, précisons que posséder une société off-shore n’est pas illégal dans la plupart des pays et que cela est même considéré comme quelque chose d’utile pour toute une série d’opérations commerciales. Cela étant dit, et après examen des Panama Papers, il paraît évident que l’objectif principal poursuivi dans la très grande majorité des cas était celui de masquer la véritable identité des titulaires des comptes et des administrateurs des sociétés. Par ailleurs, les documents mettent en lumière bon nombre de scandales et mentionnent les noms de chefs d’Etat et de gouvernements corrompus. Un des aspects les plus frappants de cette gigantesque fuite d’informations concerne les sociétés offshore impliquant des actuels et d’anciens chefs d’Etats et de gouvernements, de même que des liens avec d’autres leaders, ainsi que leur famille, leurs conseillers les plus proches et leurs amis. Chefs d’Etat directement impliqués : Mauricio Macri, Président de l’Argentine Salman, Roi de l’Arabie Saoudite Khalifa bin Zayed Al Nahyan, Président des Emirats Arabes Unis et Emir d’Abou Dhabi Petro Poroshenko, Président de l’Ukraine Anciens chefs d’Etat directement impliqués : Qatar Hamad bin Khalifa Al Thani, ancien Emir du Qatar Ahmed al-Mirghani, ancien Président du Soudan Chefs de gouvernement directement impliqués : Sigmundur Davíð Gunnlaugsson, premier Ministre de l’Islande Anciens chefs de gouvernement directement impliqués : Bidzina Ivanishvili, ancien premier Ministre de la Géorgie Ayad Allawi, ancien premier Ministre d’Iraq Silvio Berlusconi, ancien Président du Conseil d’Italie Ali Abu al-Ragheb, ancien premier Ministre de la Jordanie Benazir Bhutto, ancien premier Ministre du Pakistan Hamad bin Jassim bin Jaber Al Thani, ancien premier Ministre du Qatar Pavlo Lazarenko, ancien premier Ministre de l’Ukraine Ion Sturza, ancien premier Ministre de la Moldavie On recense quelque 200 autres noms de politiciens du monde entier faisant partie des clients de la Mossack Fonseca, parmi lesquels un certain nombre de ministres en plus des membres de la famille de dirigeants comme, par exemple, le père de David Cameron. Nous arrêtons ici ce tour d’horizon des personnes impliquées. A partir de là, et même si ce n’est certainement que la pointe de l’iceberg que l’on aperçoit par rapport à l’ampleur réelle du phénomène, une analyse attentive des noms des personnalités qui sont impliquées – et encore plus de celles qui ne sont pas impliquées – permet de comprendre beaucoup de choses. Alors qu’est-ce qui se cache vraiment derrière cette affaire ? Hormis les indiscutables avantages fiscaux liés à la possession de comptes ou sociétés off-shore au Panama ou dans l’un des autres paradis fiscaux, il est intéressant de se demander pourquoi un examen de ces comptes montre – comme nous l’avons dit – que l’objectif principal poursuivi est de masquer la véritable identité de leurs titulaires ? Est-ce pour éviter les impôts uniquement ? Non, il n’en est rien. En réalité, le leak des Panama Papers n’a fait que soulever un coin du voile qui cache un scandale de grande échelle dont la plupart des gens ignorent tout et dont les médias ne parleront jamais. Derrière tout ceci se cache la plus extraordinaire, gigantesque et monstrueuse escroquerie jamais imaginée au monde. De quoi s’agit-il ? Selon nos recherches et d’après nos sources, bien introduites dans ces milieux, nous avons découvert une pratique utilisée depuis des décennies par le gouvernement américain et la Réserve fédérale (y compris le Trésor américain, la Banque Mondiale, le FMI, etc.). En l’occurrence, elle consiste à ouvrir des ‘comptes miroirs’, autrement dit des comptes fantômes, ce qui est parfaitement illégal dans le monde entier mais aussi dans les banques internationales les plus importantes. Ces comptes sont mis à la disposition – comme le prouvent ces Panama Papers – de personnalités bien déterminées de certains pays afin de financer des guerres, des révolutions de couleur, des génocides, des monopoles de l’information contrôlée et manipulée à des fins de désinformation ou de spoliation programmée des richesses appartenant à d’autres organismes ou pays. Le fonctionnement est simple. Lorsque le gouvernement des Etats-Unis ou un autre organisme autorise officiellement la Réserve fédérale (ou le FMI ou la Banque Mondiale ou le Trésor américain, etc.) à ouvrir un compte miroir auprès de l’une des 250 banques plus importantes au monde, des sommes d’argent sont transférées depuis le compte principal de la banque d’origine vers ces comptes miroirs ouverts dans d’autres pays. Un compte miroir a le même intitulé que le compte principal de sorte que tout semble être en règle alors que c’est tout le contraire puisque les véritables titulaires – les titulaires légaux, donc – n’ont pas donné leur accord pour effectuer des dépôts de capitaux en provenance de Comptes de Garantie (en anglais, Collateral Accounts). Que sont les Comptes de Garantie ? Nous tenons à préciser au lecteur qui rechercherait des informations sur la Toile à propos des Comptes de Garantie, qu’il ne trouvera que fort peu de sources ou du moins uniquement des sources privées telles que des blogs, des sites internet ou Wikipédia qui en parlent en bien ou en mal. En revanche, il ne trouvera aucune information à ce sujet auprès d’instances officielles. La raison en est bien simple : il s’agit d’informations classées Top secret et dont on n’a divulgué officiellement que très peu de choses, à ce jour. Et nul n’est besoin de préciser que, comme à chaque fois qu’une information sous le sceau du secret est révélée, elle est officiellement démentie ou aucun commentaire n’est fait à ce sujet. En fait, il s’agit d’un réseau complexe de comptes et actifs (en anglais, asset ; en particulier de l’or mais aussi de l’argent, des métaux précieux, des œuvres d’art d’une valeur inestimable (parfois même exposées dans des musées). Et ce n’est pas tout ; l’on retrouve également d’autres avoirs tels que des titres de propriété de gisements pétrolifères et de terres. Tous ces actifs sont disséminés dans le monde entier, y compris auprès de banques centrales et de banques commerciales (mais hors bilan). Ces richesses sont déposées en lieu sûr dans les endroits les plus improbables : sous des montagnes ou dans les déserts et même sous les océans. L’entrée de nombre de ces lieux où sont conservés ces dépôts secrets est défendue par des pièges mortels. Et ils sont nombreux les « chercheurs d’or » à leur propre compte ou les indigènes naïfs et manipulés par des agents des services de renseignements américains ou d'autres pays, au courant d’un secret, qui ont littéralement volé dans les airs, principalement dans les Philippines. Vous souvenez-vous du long-métrage américain, National Treasure, (la version française s’intitulait : Benjamin Gates et le Trésor des Templiers), tourné en 2004 avec Nicolas Cage dans le rôle principal ? Des sources bien informées m’ont appris que ce film révèle quelques détails réels à propos de ces richesses internationales cachées aux quatre coins de la planète. Toutefois, deux inexactitudes sont à relever: d’abord, il ne s’agit pas d’un Trésor national et ensuite il n’est pas aux Américains. En réalité, il s’agit d’un trésor international qui représente une partie des Comptes de Garantie. C’est avec ces immenses richesses qu’a été mis en place un système de création d’argent à partir de rien, à la fin de la seconde guerre mondiale. Ce système, inspiré semble-t-il d’une idée du Comte de Saint-Germain, un conseiller de certaines familles royales en Europe dans les années 1700, devait fonctionner en émettant des titres bancaires auprès des plus grandes banques internationales aux fins de financer la reconstruction et le développement des pays du monde entier. Hélas, très vite, des abus furent commis par les ‘gestionnaires du système’ et en particulier par les Américains. Ceux-ci détournèrent ledit système à des fins privées dans le but de s’enrichir, de faire profiter leurs amis et les amis de leurs amis mais également pour corrompre des personnes et financer toutes sortes d’atrocités. A l’heure actuelle, on parle de titres bancaires quand on fait référence principalement à des billets à moyen terme (en anglais, Medium Term Notes (MTN)), des garanties bancaires (Bank Guarantees (BG)) et des lettres de crédit stand-by (Stand-by Letter of Credit (SBLC)). Ceux-ci sont émis à un taux d’au moins 20% de la valeur faciale du titre et après quelques opérations d’achats et ventes à un prix chaque fois plus élevé, appelées de niveau 1, niveau 2 et niveau 3 (en anglais, tier 1, tier 2 et tier 3), ils parviennent finalement entre les mains des acheteurs finaux. Ceux-ci sont principalement des fonds de pensions, des fonds d’assurances ou d’autres types de fonds qui acquièrent généralement ces titres à un taux d’au moins 90% de leur valeur faciale, après les différentes étapes que nous venons de décrire, et les détiennent jusqu’à leur date d’échéance. Les montants investis dans de pareils instruments financiers varient mais il n’est pas rare qu’ils atteignent les 500 millions de dollars/euros. Les opérations dont nous avons parlé sont effectuées par des Traders spécialisés (et dont les activités n’ont rien à voir avec le trading online !). C’est au cours de ces opérations d’achats et de ventes que tout se passe. Les banquiers permettent à leurs amis et les amis de leurs amis de réaliser de plantureux bénéfices avec un capital de départ minimum de 100 millions de dollars/euros, à peine. En général, ces montants sont investis dans du cash ou directement dans des instruments financiers (tels que les MTN, BG, SBLC) mais la plupart des opérations réalisées concernent la centralisation de trésorerie (en anglais, cash pooling) avec un capital de départ encore inférieur. Ainsi, admettons que nous participions à une opération d’achat sur un instrument financier dont le prix est fixé à 40% de sa valeur faciale et que nous le revendions ensuite à 60% de sa valeur faciale, tout en sachant que ces opérations ont été préalablement garanties contractuellement dans le cadre du système. Nous réaliserions alors un bénéfice de 50% à répartir entre les différents investisseurs et intermédiaires. Enfin, en sachant que ce genre de participation se fait généralement dans le cadre d’un programme (Trading program, programme d’investissement privé ou autre) où les opérations d’achats et ventes réalisées par un Trader et que beaucoup de ces opérations ont une durée d’un an voire plus, il est facile d’imaginer les gains phénoménaux qui sont réalisés de la sorte. C’est simple de s’enrichir ainsi, n’est-ce pas ? Et bien des personnes, y compris des personnalités publiques de différentes nationalités, se sont enrichies grâce à ce type de programmes. Etant donné les capitaux de départ nécessaires pour pouvoir participer à des investissements aussi rentables, vous aurez saisi que ces opportunités ne s’adressent pas à tous mais seulement à ceux que l’on appelle des investisseurs avertis (en anglais, sophisticated investors). Ce terme est utilisé dans la haute finance et désigne ceux qui peuvent avoir accès à des investissements privilégiés et inaccessibles à la masse. Quant à ceux qui savent quelque chose, ils évitent d’aborder ce sujet, peut-être par égoïsme, par peur ou les deux choses. De leur côté, la Securities and Exchange Commission (SEC), le Trésor américain et le FBI, trois organismes américains...comme par hasard, démentent sur leur site web qu’il soit légal de participer à des opérations d’achats et ventes via de tels instruments financiers et qu’il s’agit bel et bien d’opérations frauduleuses. Il est effectivement vrai de dire qu’elles sont illégales, comme nous-même le signalions au lecteur, et pourtant elles ont bel et bien cours. Et ces pages web ne servent qu’à cacher, comme toujours, la vérité au public. Ceux qui se trouvent au sommet de la pyramide de ce système financier sont appelés les Master Commitment Holders (littéralement, les détenteurs de l’engagement) et on les compte sur les doigts des deux mains. Ce sont eux qui sont chargés de l’émission d’un certain nombre de titres qu’ils font ensuite redescendre en cascade dans ce système par le biais de mouvements et opérations financières expliqués plus haut. Ces Commitment Holders ainsi que les Traders sont surveillés, comme on peut l’imaginer, par des services de renseignements afin de s’assurer qu’ils accomplissent leur travail correctement en suivant les instructions données par les grands banquiers. Les Comptes de Garantie sont également appelés Comptes Mondiaux (en anglais, Global Accounts, Global Debt Facility, ou plus exactement Combined International Collateral Accounts of the Global Debt Facility). Ils se composent d’actifs accumulés depuis des millénaires, par les familles royales du monde entier. Et ce n’est pas un hasard si l’on y trouve des références à l’histoire qui remontent à l’époque de l’Ancien Israël. A titre d’exemple, la devise du Royaume-Uni : “God Save the King/Queen” est une reprise des formules de salutation lorsque l’on s’adressait aux premiers Rois d’Israël. Dès les années 1500 – 1600, certaines familles royales européennes signent entre elles des accords privés et secrets par lesquels elles entreprennent de mettre en commun leurs actifs. Il s’agissait probablement là d’une protection contre l’arrivée de toute une série de mouvements qui allaient conduire à la création des Etats modernes. Une initiative du Tsar de Russie marque une étape importante dans cette direction lorsqu’il envoie, vers 1875, ses propres enfants dans le monde entier en mission auprès de familles royales afin d’organiser la réunification collective de toutes leurs richesses pour ensuite les utiliser pour le bien de tous et pour éviter de nouvelles guerres. Une entreprise empreinte de noblesse qui ne devait pas connaître une fin très heureuse, hélas, au vu des événements qui allaient se produire en l’espace de quelques décennies à peine. Au sommet d’une structure, aussi complexe, composée de milliers de fondations et fiducies ou Trusts, trône une fondation, dénommée Foundation Divine, qui est liée à une fiducie, appelée Heritage International Trust. Il s’agit respectivement de la fondation maîtresse et la fiducie maîtresse (en anglais, Master Foundation et Master Trust) qui chapeautent les Combined International Collateral Accounts of the Global Debt Facility. Une partie de ces richesses a servi parallèlement au financement du système même dont l’axe central est situé aux Etats-Unis et représenté par la Réserve fédérale ou FED (Fed System). Et c’est à partir de 1944, avec la signature des accords de Bretton Woods, qu’ils imposent le dollar américain en tant que devise de réserve internationale (rejetant du même coup la célèbre proposition de Keynes de créer le bancor). Ce système entre en vigueur à partir de l’année suivante. Ainsi, les Comptes de Garantie constitueraient – toujours d’après nos sources – un système international légal, bien que tenu secret, dirigé par des propriétaires privés. Il est reconnu par de nombreux traités internationaux classés Top secret et a été administré par la Trilateral Trillenium Tripartite Gold Commission (TTTGC) de 1945 à 1995. Les pays occidentaux victorieux de la deuxième guerre mondiale font d’ailleurs partie de cette commission, en l’occurrence les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France. Et c’est à ces puissances que les familles royales de l’après-guerre confièrent, de bonne foi, la gestion de leurs énormes richesses, espérant qu’elles seraient ainsi mises au service du bien. Mais ce ne fut pas le cas. Par la suite, tous les pouvoirs de gestion des actifs ont été progressivement repris à ces puissances, après que de nombreuses fraudes eurent été commises avec les richesses déposées sur les Comptes de Garantie. En 1995, une institution souveraine et indépendante de tout Etat, religion et courant politique est créée et enregistrée auprès des Nations Unies et classée Top Secret. C’est cette institution qui continue d’administrer les actifs des Comptes de Garantie, au jour d’aujourd’hui. Il s’agirait de l’International Treasury Controller (ITC) qui s’est doté, lui-même, d’un bras administratif appelé OITC (c’est-à-dire Office of International Treasury Control). Comme nous l’avons déjà dit, et d’après nos sources, ces actifs sont la propriété des familles royales du monde entier. Elles auraient confié la gestion de toutes leurs richesses à la TTTGC en concluant un accord de gestion de leurs actifs pour une durée de 50 ans (1945-1995). Mais à l’échéance, l’accord ne fut pas renouvelé pour les prochaines 50 années. C’est ainsi que naquit l'ITC en 1995. A l’heure actuelle, il est considéré comme étant la seule et unique institution ou organisation dans toute l’histoire de l’humanité à posséder assez d’or et les moyens suffisants que pour garantir par l’or les devises des 207 nations de la planète. Nous parlons d’une quantité d’or accumulée depuis des milliers d’années qui représente au moins 2 millions de tonnes (de l’or qui n’est enregistré officiellement nulle part et qui n’est pas inscrit au bilan des banques auprès desquelles il a pourtant été déposé en partie). Cette quantité est bien supérieure aux chiffres officiels communiqués par le World Gold Council à la fin 2015 et qui évaluait la quantité de l’or mondial stocké à 186.700 MT (tonnes métriques ou tonnes). Depuis quelques années déjà, on peut trouver sur Internet assez bien de documents à propos des Comptes de Garantie mais nous recommandons au lecteur la prudence et de faire preuve de discernement car il s’agit là d’un sujet « brûlant » et certaines agences de renseignements publient des articles de désinformation. Nous pensons à l’OPPT mais aussi à des personnalités telles que Neil Keenan et Karen Hudes – tous Américains, comme c’est bizarre…- ou encore à des journalistes farfelus comme Benjamin Fulford. Voilà des personnalités suivies sur les réseaux par beaucoup de gens, de bonne foi et naïvement. Des gens qui ignorent tout du fonctionnement au sommet de la pyramide et de ce qui se passe « dans les coulisses » car les médias n’en parlent jamais puisque, dans la plupart des cas, ils n’en savent rien. Et s’il était nécessaire d’étayer nos arguments sur l’existence d’un système financier international « hors bilan » qui brasse des richesses phénoménales, que le lecteur se rappelle de l’affaire de la Fondation X dévoilée, il y a quelques années, par Lord James of Blackheath. Comme nous le savons, les monnaies étaient garanties par l’or jusqu’en 1971. Cette même année, les Américains décident unilatéralement qu’ils ne sont plus tenus de garantir leur monnaie par une contrepartie en or. Dès lors, le dollar étant la monnaie de réserve internationale, tel que prévu dans les accords de Bretton Woods dans les années 1944-1945, les autres monnaies nationales sont entraînées en cascade vers un système où la convertibilité en or n’existe plus. Depuis 1971, le monde connaît donc un régime de fiat money, c’est-à-dire que l’argent n’est plus garanti par rien, sauf par notre confiance (naïve). Le système financier actuel, gravitant autour de la Réserve fédérale, fut un jour garanti par de l’or appartenant à des familles royales qui le prêtèrent à la Banque Mondiale et au Fonds Monétaire International, par l’intermédiaire du Maître des comptes de garantie (Master Holder) de l’époque, appelé M1 (et porteur de l'Anneau Alpha-Omega qui est le signe de son rôle spirituel), et qui n’était autre que Ferdinand Marcos, Président des Philippines. La Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International furent chacun financé à hauteur de 3 000 tonnes d’or. Ces richesses devaient servir à lancer véritablement comme des starts up les pays détruits par la guerre ou les révolutions. Mais les gros problèmes avaient commencé quelques dizaines d’années auparavant. Ainsi, lorsque la Réserve fédérale fut incorporée au système, en 1913, les Etats-Unis ne disposaient pas d’or en quantité suffisante pour garantir le cours du dollar. Ce fut le Tsar de Russie qui envoya 75 000 tonnes d’or aux Etats-Unis en garantie du financement de la Réserve fédérale. Cet or faisait partie des Comptes de Garantie et avait été déposé en Russie et placé sous la garde légale du Tsar. En effet, c’est le Président, premier Ministre ou le Roi/Reine d’un pays, selon les cas, est le Gardien légal des actifs sur les Comptes de Garantie dans leur pays. La Fédération de Russie est en possession de documents qui attestent de la véracité de ces faits. A présent, le problème suivant se pose: des enquêtes ont récemment révélé que ces 75.000 tonnes d’or demeurent introuvables tant auprès de la Réserve fédérale qu’auprès des autres dépôts du gouvernement américain. En résumé, cette montagne d’or s’est volatilisée. Ceci expliquerait – d’après certains – pourquoi Kissinger s’est rendu récemment en Russie et est rentré aux Etats-Unis avec la queue entre les jambes. Cette situation a même bouleversé le Pape – car il faut savoir que l’IOR entretient des rapports très étroits avec la Réserve fédérale – qui aurait pris ses distances avec les Etats-Unis. Ceci expliquerait également les raisons de la récente rencontre à Cuba entre le Pape François et le Patriarche moscovite Kirill. Les choses étant ce qu’elles sont, il n’est pas étonnant de constater que les médias occidentaux cherchent par tous les moyens à discréditer et porter atteinte au Président Poutin. Il s’agit d’informations fausses et de la propagande de première qualité afin de camoufler les traces des actes commis dans le passé par les Etats-Unis et qu’ils continuent à commettre encore aujourd’hui. Après la signature du Traité de Londres en 1920, un Traité méconnu de la plupart des gens, l’or fut acheminé et déposé dans plusieurs pays du monde, selon un plan très précis élaboré par les familles royales dans lequel le jeune Hirohito – futur Empereur - semblerait avoir jouer un rôle déterminant. Le but était de sceller ces actifs pour éviter, autant que possible, de nouveaux cas de fraudes. Toutes les Nations ont adhéré aux divers traités internationaux portant sur ces énormes richesses mondiales, y compris les Etats-Unis et leurs alliés. Un de ces traités, le Global Agreement, signé en 1980, et dont Ferdinand Marcos en fut le promoteur ne fut jamais mis en œuvre. A la fin de la deuxième guerre mondiale, tous les Etats s’étaient engagés à déposer une grande partie de leurs réserves d’or sur les Comptes de Garantie, pour éviter des situations de déséquilibres extrêmes entre les différents pays, une fois le conflit enterré; des situations telles qu’elles auraient pu devenir le facteur déclencheur d’une nouvelle guerre. Et même le Vatican se vit dans l’obligation d’en faire autant. La mise en commun de ces actifs devait donc permettre de financer, de manière équilibrée, la reconstruction et le développement de tous les pays du monde. Hélas, des éléments ont infiltré le Pentagone et la Maison Blanche et, avec leurs alliés, ont commencé à faire des guerres, à conquérir des nations et à faire main basse sur les actifs gardés dans les autres pays et/ou sur les documents papier relatifs à ces actifs qu’ils ont ensuite cherché à monnayer auprès de certaines banques internationales. Il suffit de penser au « marché noir » des titres financiers qui n’ont désormais plus cours, où des milliers de personnes dans le monde, y compris des Italiens, essaient de s’infiltrer pour tenter « le coup de leur vie ». Ils sont souvent de bonne foi et ignorent qu’ils agissent dans l’illégalité ; d’autres font semblant de l’ignorer. On dénombre de nombreuses catégories de ces anciennes obligations (old/historic bonds) qui font l’objet de trafics au marché noir financier : c’est le cas des obligations TOV (Traité de Versailles), des billets de la Réserve fédérale (FRN) (Federal Reserve Notes), des obligations de la Réserve fédérale (FRB) (Federal Reserve Bonds), des obligations Wells Fargo, des obligations Petchili et bien d’autres encore. En réalité, toutes ces obligations appartiennent aux Comptes de Garantie mais ont été dérobées dans des dépôts secrets dans les Philippines et dans d’autres pays. Au cours des dernières décennies, des personnalités telles que Bush, père et fils, Bill Clinton, Dick Cheney et Tony Blair auraient été impliqués, et bien d’autres encore, dans des énormes fraudes telles que celles-là. Telle serait la véritable histoire des guerres aux XXe et XXIe siècles, des interventions en Extrême-Orient dans les années 60 et 70, en Amérique latine et Amérique centrale dans les années 70 et 80. Là aussi ce fut pour l’or et les autres actifs sur les Comptes de Garantie. Et cette histoire s’applique aussi à la deuxième guerre mondiale ; la destruction de l’Allemagne visait son or. Et même les Forces Alliées participèrent à cette chasse au trésor dans les Philippines. La Russie et le Tsar? C’était pour l’or. La Corée? Pour les actifs sur des Comptes de Garantie. Et aujourd’hui encore, c’est à cause de ces richesses que sévit le chaos au Moyen-Orient et que sont commis autant d’actes de destruction et de massacres. L’Iran, la Lybie, l’Iraq, la Syrie, la Turquie; tous ces pays ont exercé leur domination sur le Moyen Orient, jusqu’au moment où la Russie s’est mise en travers de leur route comme l’histoire récente nous l’a montré. Le gouvernement russe œuvre, de concert avec d’autres pays (en particulier les pays BRICS), à la mise sur pied d’un nouveau système financier international équilibré et bénéfique pour tous les pays. Ledit système sera couvert par une contrepartie en or. Comme nous l’avons vu précédemment, le responsable légal, qui est aussi le propriétaire et l’arbitre des actifs en garantie de la ligne de crédit globale, est appelé International Treasury Controller (ITC) (ndlr : le Contrôleur de la trésorerie internationale). Celui-ci est nommé par une « hiérarchie » représentant les familles royales du monde en vue de soutenir les monnaies de toutes les nations de la planète grâce à l’or nécessaire pour constituer une contrepartie en or pour chaque monnaie à l’intérieur d’un nouveau système financier international, lui-même garanti par l’or mondial. En réalité, cela devrait déjà être le cas depuis les accords de Bretton Woods ou plus précisément depuis la signature de certains traités secrets parallèles aux accords officiels. Mais les Alliés (Etats-Unis, Royaume-Uni et la France) ont empêché la mise en œuvre de ceux-ci par des voies détournées. Par ailleurs, l’ITC, à savoir le Dr. Ray C. Dam, descendant de la famille royale du Cambodge, fut empêché d’exercer sa mission par le gouvernement américain, ses agents et alliés (qui n’ont jamais reculé devant rien pour éliminer les hommes-clés du système). Et cela, bien qu’il disposait d’une expertise avérée dans le domaine des finances acquise au sein de plusieurs banques centrales et qu’il était le signataire de l’or pour les G7. Et c’est le même sort que connut l’antérieur M1, Ferdinand Marcos (qui jouait le même rôle, en somme, que l’ITC joue depuis 1995) et qui fut mis horsjeu par les Américains. Citons encore l’accord conclu entre Sukarno et Kennedy, quelques jours à peine avant l’assassinat de ce dernier, visant à créer un dollar souverain qui ne serait pas émis par la Réserve Fédérale des Etats-Unis et garanti par une contrepartie en or provenant des actifs sur les Comptes de Garantie gardés en Indonésie. Inutile de dire que cet accord n’a jamais été mis en œuvre par le gouvernement américain suivant. En outre, lorsque Kennedy fut assassiné, le vice-Président Lyndon Johnson, qui était resté à l’hôtel à Houston, accédant de façon inattendue à la Présidence se charge, depuis là même, d’annuler cet accord (Traité de Green Hilton, 1963), révoquant ainsi le Presidential Executive Order (ndlr : décret présidentiel) correspondant. C’est ainsi que le gouvernement américain fut en mesure de retirer de la circulation les nouveaux billets de 1 et 2 dollars (garantis par une contrepartie en or) et d’empêcher l’émission de coupures de 5, 10, 20, 50 et 100 dollars. Pour ajouter à la confusion ambiante, les Américains firent circuler ultérieurement plusieurs fausses copies de cet accord. Quant à Ferdinand Marcos, le M1 précédent, il ne connaîtra pas un meilleur sort. Après avoir été déposé comme Président des Philippines en 1986, par l’intervention des Américains, il meurt trois ans plus tard, « en exil » dans un hôpital d’Hawaii. Il réussit, cependant, à « passer le relais » de M1 (et l’Anneau Alpha-Omega) in extremis, en décembre 1988, à une personnalité respectée à travers le monde qui en est l’actuel détenteur. Mais nos sources ne sont pas autorisées à révéler le nom du détenteur actuel. Le premier ITC, le Dr. Ray C. Dam, qui occupa cette fonction entre 1995 et 2011, fut également mis hors-jeu, tout comme son prédécesseur, par des opérations sournoises menées par la CIA. Et en mai 2012, les familles royales nommèrent un nouveau ITC dont l’identité n’a pas été révélée. Les Forces Alliées victorieuses de la seconde guerre mondiale, en particulier les Américains, auraient ainsi puisé continuellement dans ces actifs internationaux, uniquement à des fins propres, et dans le seul but de soumettre des peuples et envahir d’autres nations. L’histoire récente foisonne de ces exemples. Ce que même les initiés ignorent, c’est l’ampleur de ce pillage ; cela mérite que l’on y prête une attention particulière. Une chose que les initiés ignorent est que la Réserve fédérale, le FMI, la Banque Mondiale, la Banque des règlements internationaux tomberaient sous la juridiction légale du Controller. Il en irait de même pour toutes les banques appartenant au réseau formé par les 250 plus grandes institutions bancaires du monde; ceci s’explique par le fait que chacune d’elles conserve en dépôt des actifs des Comptes de Garantie. Et en vertu des pouvoirs qui lui sont conférés par des traités internationaux, l’ITC/OITC dispose d’une la juridiction légale qui les place “au- dessus” et les investi d’une préséance sur tout autre organisme, national ou international, pour tout ce qui concerne les Comptes de Garantie. Il s’agirait là – toujours selon les sources renseignées – de la loi suprême qui régit notre planète. Mais revenons aux comptes miroirs et au mécanisme de cette gigantesque fraude que sont les Panama Papers. Les intérêts calculés sur ces types de comptes – nous parlons en milliards de dollars – sont versés sur des “comptes fantômes”, ouverts auprès de l’une des 250 banques les plus importantes, partout dans le monde, au nom des chefs de gouvernement, Ministres et chefs d’Etat. Ces sommes servent ensuite à financer des révolutions, des guerres et nous en passons. Ainsi, la banque qui reçoit les fonds ouvre des comptes secrets off-shore, style Panama, en vue d’acheter des chefs d’Etat et de gouvernement, ainsi que leurs agents et alliés. De cette manière, elle facilite le pillage des biens de ce pays par cette organisation, que certains appelaient la Kabale et voulaient clairement souligner les origines de nombreux membres des familles de banquiers internationaux. Ces mêmes types de “comptes fantômes” sont ouverts au nom de groupes de mercenaires et d’agences de renseignements pour financer des révolutions de couleur, guerres civiles, génocides, etc. Chaque pays agressé par des agents Américains, qui se financent en pillant les Comptes de Garantie, est victime d’abus financiers et se retrouve ainsi dominé, contrôlé et dépouillé de toutes ses ressources naturelles. En outre, les réserves d’or de ces pays sont pillées comme ce fut le cas récemment en Ukraine. Ou, comme cela s’est produit en Libye, les mercenaires furent armés grâce au produit du pillage de ces ressources ; et une fois le pays envahi, la Banque centrale du pays fut saccagée et son or emporté. L’or libyen a quitté le pays avant d’être refondu pour être finalement revendu à Wall Street. Les bénéfices de l’opération ont été utilisés pour financer d’autres complots, massacres et pillages d’autres nations et peuples. Ainsi, à aucun moment le compte de dépôt, auquel est rattaché “le compte fantôme”, n’a été utilisé et les montants sur celui-ci peuvent être retransférés vers le compte donneur principal à tout moment. Et les milliards de dollars d’intérêts gagnés sur les montants pillés sur les Comptes de Garantie ne sont pas crédités au titulaire légal du compte principal. Le transfert de ces fonds se fait soit de Banque à Banque soit par le biais de mécanismes pervers et totalement étrangers au système Swift international, tels que celui connu sous le nom de Server to Server. Il s’agit d’un mécanisme illégal, mais bien connu de certaines banques internationales, qui permet à certains milieux « déviants » et avec la complaisance des spécialistes du blanchiment et/ou des banquiers corrompus, de « décharger » des fonds sans laisser de traces dans le système Swift. C’est parfaitement illégal, bien entendu, et pourtant c’est ainsi que cela se passe encore aujourd’hui pour piller les fonds sur les Comptes de Garantie ou parfois, aussi, pour transférer de l’argent sale. Ce système de contrôle global – totalement Top Secret jusqu’à il y a très peu – commence à percer au grand jour. De nombreux politiciens dans le monde entier – suivant la stratégie de domination mondiale américaine – sont achetés et contrôlés de cette façon. En outre, pour éviter que cette réalité de fait n’éclate au grand jour, des sommes d’argent considérables provenant des Comptes de Garantie sont dépensées pour contrôler les grands médias à l’échelle mondiale. A la lecture de tous les éléments que nous avons donné, il paraît évident que quand on parle d’affaires telles que celle des Panama Papers et d’autres encore, on parle de choses plus importantes que d’éviter de payer des impôts. Nous parlons d’un véritable stratagème visant à placer les activités des élites nationales sous le contrôle du propriétaire transnational de l’argent, et par-là même à exercer un contrôle sur ces élites nationales. Maintenant, il est très probable que dans ce contexte de lutte pour le pouvoir entre les hiérarchies opaques des clans qui gèrent toutes les politiques et les stratégies à l’échelle mondiale, une faction – liée à l’empire américain – ait voulu lancer un avertissement aux autres factions en révélant des éléments – par le biais des Panama Papers – de nature à créer des difficultés à certains Etats et à certaines personnalités, entre autre Vladimir Poutin. Ce dernier serait au courant du titanesque pillage des Comptes de Garantie sur lesquels ont été déposées les 75 000 tonnes d’or prêtées par le Tsar de Russie aux Etats-Unis. Cet or était sous la garde du Tsar depuis 1913 et n’a jamais été restitué à son pays d’origine. L’histoire de la finance aux Etats-Unis d’Amérique remonte à quelque 240 années et n’a jamais été un long fleuve tranquille. Voilà un pays qui a déjà connu une cinquantaine de fois la récession, a été déclaré de nombreuse fois en faillite et a pu se redresser, à chaque fois, grâce à l’aide de la communauté internationale. En effet, la communauté internationale n’a pas seulement secouru les Etats-Unis en 1913, comme nous l’avons expliqué, mais également dans les années 30, en leur transférant des quantités d’or sur des Comptes de Garantie, lorsque cette Nation tombe en défaut de paiement pour la énième fois. L’or national accumulé par le Gouvernement américain, eu égard au décret présidentiel 6102 de 1933 et le Gold Reserve Act de 1934, n’a permis d’apurer que 10% environ de la dette nationale des Etats-Unis. Pourtant, aujourd’hui la communauté internationale n’a plus la moindre intention de venir en aide, une nouvelle fois, aux Américains. Et pour cause : leur discipline financière n’a fait que se dégrader depuis les années 30 et est responsable d’énormes fraudes, à l’échelle internationale, comme indiqué dans notre article. Les Américains cherchent à cacher une situation de facto de défaut de paiement dans laquelle ils se trouvent déjà, en élevant continuellement le plafond d’endettement (debt ceiling) légal qui a été porté, en mai 2013, à 16 699 T (trillions) de dollars. Ils en sont même arrivés à suspendre temporairement le plafond d’endettement maximum de la dette américaine d’octobre 2015 à mars 2017. Actuellement, la dette américaine a dépassé les 19 trillions de dollars et ne cesse d’augmenter. Comme nous l’avons dit, en haut de la pyramide de la puissance mondiale, certains détiennent des secrets dont nous n’entendrons probablement jamais parler. Mais il arrive parfois que d’autres soient révélés, pour une quelconque raison, volontairement ou pas. D’après les normes utilisées par les services de renseignements internationaux, certaines questions délicates sont classées Top Secret mais il en existe d’autres encore plus délicates – sur le plan national ou international – classées Above Top Secret et qui ne sont probablement connues que d’une poignée de personnes. Et il se peut même que certaines ne doivent jamais être révélées sous aucun prétexte, même après plusieurs siècles, et qui sont classées Shrouded in Secrecy ou Cloaked in secrecy (ndlr : gardé dans le plus grand secret). Des termes qui, semble-t-il, sont bel et bien utilisés au sommet de la pyramide. Mais peut-être qu’une porte vient de s’entrouvrir et que le voile qui séparait les communs des mortels des hautes sphères qui gouvernent le monde est en train de se déchirer. Si c’est le cas, et c’est notre vœu le plus cher, il pourrait bien y avoir du spectacle à l’avenir…