Uploaded by Pierrete Mastroanni

PANAMA PAPERS-HISTORICAL BONDS

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Qui ne se souvient des “Panama Papers”, ce scandale qui a défrayé la chronique ?
par Piero Cammerinesi
AVERTISSEMENT – Cet article – qui présente des informations qui, à mon sens,
n’ont jamais été publiées par la presse italienne, ni par la presse dite “alternative”,
ni encore moins par la presse de grand public, - est le fruit de recherches sérieuses et
se base sur deux sources d’informations. La première de ces sources correspond à
des sites web de langue anglaise cités plus loin dans l’article ; la seconde, à des
contacts personnels de l’auteur dont se porte garant non seulement de leurs
domaines d’expertise et leur sérieux mais avant tout de leur connaissance de
première main des affaires révélées dans cet article. Tout ceci est dit pour apaiser le
lecteur face à des informations pourraient lui paraître invraisemblables ou tout du
moins fantaisistes. Que le lecteur se rassure : c’était également le sentiment que
partageait l’auteur jusqu’à ce qu’il mène une enquête approfondie. Et ce sont les
résultats de ses recherches fouillées que présente ici l’auteur. Aussi, avant de
conclure hâtivement qu’il s’agit d’un conte à dormir debout, l’auteur invite le lecteur
à réfléchir sur les informations divulguées et à creuser plus loin en se tournant vers
les sources renseignées.
Au fond, le meilleur moyen d’occulter quelque chose est de le mettre à la vue de tous.
***
Mais revenons au scandale des Panama Papers…
Avant tout, il s’agit d’être clair : c’est quoi, au juste, ces Panama Papers ? Est-ce en
rapport avec ces nouvelles diffusées dans les médias officiels russes où l’on a pu voir
le Président Poutin au premier plan en compagnie de plusieurs chefs d’Etat et de
gouvernement ? Cela dit, aucune allusion directe n’a été faite quant à l’existence d’un
lien entre les fonds occultes de Panama et le Président mais seulement à
des “personnes de son entourage”. Alors quid ?
Ou est-ce au sujet de la découverte de ces milliers et milliers de noms de sociétés et
comptes secrets ouverts dans le paradis fiscal panaméen et parmi lesquels – est-ce un
hasard ? – l’on n’a retrouvé aucun nom de personnalité éminente de nationalité
américaine ?
N’est-ce pas cette affaire qui a enflammé les grands médias un court temps avant de
disparaître de l’horizon médiatique ?
Ou ne s’agit-il pas plutôt, comme certains l’ont dit, d’une opération menée par les
services américano-britanniques engagés dans une lutte au sommet entre les
puissances mondiales? A ce propos, il est intéressant de savoir que cette information
a été divulguée par la International Coalition of Investigative Journalists (ICIJ), une
organisation opaque qui dépend du Organized Crime and Corruption Reporting
Project (OCCRP), elle-même financée par le Gouvernement américain (encore un
hasard ?…) par le biais d’une organisation dénommée USAID.
Nous avons voulu en savoir plus au sujet Panama Papers et voici ce que
nous avons appris.
Mais commençons par le commencement.
Le leak (ndlr : fuite) au sujet des Panama Papers se compose de 11,5 millions de
documents environ; il s’agit principalement d’emails, de fichiers PDF, d’images
photos et d’une partie d’une base de données interne de la Mossack Fonseca.
Toutes ces informations datent d’une période allant de 1970 au printemps 2016.
Elles concernent des comptes et sociétés off-shore ayant à leur tête des personnalités
politiques, des hommes d’affaires, des milliardaires, des maffieux, des criminels et
des sociétés-écrans.
Toutefois, précisons que posséder une société off-shore n’est pas illégal dans la
plupart des pays et que cela est même considéré comme quelque chose d’utile pour
toute une série d’opérations commerciales.
Cela étant dit, et après examen des Panama Papers, il paraît évident que l’objectif
principal poursuivi dans la très grande majorité des cas était celui de masquer la
véritable identité des titulaires des comptes et des administrateurs des sociétés. Par
ailleurs, les documents mettent en lumière bon nombre de scandales et mentionnent
les noms de chefs d’Etat et de gouvernements corrompus. Un des aspects les plus
frappants de cette gigantesque fuite d’informations concerne les sociétés offshore impliquant des actuels et d’anciens chefs d’Etats et de gouvernements, de
même que des liens avec d’autres leaders, ainsi que leur famille, leurs conseillers les
plus proches et leurs amis.
Chefs d’Etat directement impliqués :
Mauricio Macri, Président de l’Argentine
Salman, Roi de l’Arabie Saoudite
Khalifa bin Zayed Al Nahyan, Président des Emirats Arabes Unis et Emir d’Abou
Dhabi
Petro Poroshenko, Président de l’Ukraine
Anciens chefs d’Etat directement impliqués :
Qatar Hamad bin Khalifa Al Thani, ancien Emir du Qatar
Ahmed al-Mirghani, ancien Président du Soudan
Chefs de gouvernement directement impliqués :
Sigmundur Davíð Gunnlaugsson, premier Ministre de l’Islande
Anciens chefs de gouvernement directement impliqués :
Bidzina Ivanishvili, ancien premier Ministre de la Géorgie
Ayad Allawi, ancien premier Ministre d’Iraq
Silvio Berlusconi, ancien Président du Conseil d’Italie
Ali Abu al-Ragheb, ancien premier Ministre de la Jordanie
Benazir Bhutto, ancien premier Ministre du Pakistan
Hamad bin Jassim bin Jaber Al Thani, ancien premier Ministre du Qatar
Pavlo Lazarenko, ancien premier Ministre de l’Ukraine
Ion Sturza, ancien premier Ministre de la Moldavie
On recense quelque 200 autres noms de politiciens du monde entier faisant partie
des clients de la Mossack Fonseca, parmi lesquels un certain nombre de ministres en
plus des membres de la famille de dirigeants comme, par exemple, le père de David
Cameron.
Nous arrêtons ici ce tour d’horizon des personnes impliquées.
A partir de là, et même si ce n’est certainement que la pointe de l’iceberg que l’on
aperçoit par rapport à l’ampleur réelle du phénomène, une analyse attentive des
noms des personnalités qui sont impliquées – et encore plus de celles qui ne sont
pas impliquées – permet de comprendre beaucoup de choses. Alors qu’est-ce qui se
cache vraiment derrière cette affaire ?
Hormis les indiscutables avantages fiscaux liés à la possession de comptes ou
sociétés off-shore au Panama ou dans l’un des autres paradis fiscaux, il est
intéressant de se demander pourquoi un examen de ces comptes montre – comme
nous l’avons dit – que l’objectif principal poursuivi est de masquer la véritable
identité de leurs titulaires ?
Est-ce pour éviter les impôts uniquement ?
Non, il n’en est rien.
En réalité, le leak des Panama Papers n’a fait que soulever un coin du voile qui cache
un scandale de grande échelle dont la plupart des gens ignorent tout et dont
les médias ne parleront jamais.
Derrière tout ceci se cache la plus
extraordinaire, gigantesque et monstrueuse escroquerie jamais imaginée
au monde.
De quoi s’agit-il ?
Selon nos recherches et d’après nos sources, bien introduites dans ces milieux, nous
avons découvert une pratique utilisée depuis des décennies par le gouvernement
américain et la Réserve fédérale (y compris le Trésor américain, la Banque Mondiale,
le FMI, etc.). En l’occurrence, elle consiste à ouvrir des ‘comptes miroirs’, autrement
dit des comptes fantômes, ce qui est parfaitement illégal dans le monde entier mais
aussi dans les banques internationales les plus importantes.
Ces comptes sont mis à la disposition – comme le prouvent ces Panama Papers – de
personnalités bien déterminées de certains pays afin de financer des guerres, des
révolutions de couleur, des génocides, des monopoles de l’information contrôlée et
manipulée à des fins de désinformation ou de spoliation programmée des richesses
appartenant à d’autres organismes ou pays.
Le fonctionnement est simple.
Lorsque le gouvernement des Etats-Unis ou un autre organisme autorise
officiellement la Réserve fédérale (ou le FMI ou la Banque Mondiale ou le Trésor
américain, etc.) à ouvrir un compte miroir auprès de l’une des 250 banques plus
importantes au monde, des sommes d’argent sont transférées depuis le compte
principal de la banque d’origine vers ces comptes miroirs ouverts dans d’autres pays.
Un compte miroir a le même intitulé que le compte principal de sorte que tout
semble être en règle alors que c’est tout le contraire puisque les véritables titulaires –
les titulaires légaux, donc – n’ont pas donné leur accord pour effectuer des dépôts de
capitaux en provenance de Comptes de Garantie (en anglais, Collateral Accounts).
Que sont les Comptes de Garantie ?
Nous tenons à préciser au lecteur qui rechercherait des informations sur la Toile à
propos des Comptes de Garantie, qu’il ne trouvera que fort peu de sources ou du
moins uniquement des sources privées telles que des blogs, des sites internet ou
Wikipédia qui en parlent en bien ou en mal. En revanche, il ne trouvera aucune
information à ce sujet auprès d’instances officielles.
La raison en est bien simple : il s’agit d’informations classées Top secret et dont on
n’a divulgué officiellement que très peu de choses, à ce jour.
Et nul n’est besoin de préciser que, comme à chaque fois qu’une information sous le
sceau du secret est révélée, elle est officiellement démentie ou aucun commentaire
n’est fait à ce sujet.
En fait, il s’agit d’un réseau complexe de comptes et actifs (en anglais, asset ; en
particulier de l’or mais aussi de l’argent, des métaux précieux, des œuvres d’art d’une
valeur inestimable (parfois même exposées dans des musées). Et ce n’est pas tout ;
l’on retrouve également d’autres avoirs tels que des titres de propriété de gisements
pétrolifères et de terres. Tous ces actifs sont disséminés dans le monde entier, y
compris auprès de banques centrales et de banques commerciales (mais hors bilan).
Ces richesses sont déposées en lieu sûr dans les endroits les plus improbables : sous
des montagnes ou dans les déserts et même sous les océans.
L’entrée de nombre de ces lieux où sont
conservés ces dépôts secrets est défendue par des pièges mortels. Et ils sont
nombreux les « chercheurs d’or » à leur propre compte ou les indigènes naïfs et
manipulés par des agents des services de renseignements américains ou d'autres
pays, au courant d’un secret, qui ont littéralement volé dans les airs, principalement
dans les Philippines.
Vous souvenez-vous du long-métrage américain, National Treasure, (la version
française s’intitulait : Benjamin Gates et le Trésor des Templiers), tourné en 2004
avec Nicolas Cage dans le rôle principal ? Des sources bien informées m’ont appris
que ce film révèle quelques détails réels à propos de ces richesses internationales
cachées aux quatre coins de la planète. Toutefois, deux inexactitudes sont à relever:
d’abord, il ne s’agit pas d’un Trésor national et ensuite il n’est pas aux Américains.
En réalité, il s’agit d’un trésor international qui représente une partie des Comptes de
Garantie.
C’est avec ces immenses richesses qu’a été mis en place un système de création
d’argent à partir de rien, à la fin de la seconde guerre mondiale. Ce système, inspiré
semble-t-il d’une idée du Comte de Saint-Germain, un conseiller de certaines familles
royales en Europe dans les années 1700, devait fonctionner en émettant des titres
bancaires auprès des plus grandes banques internationales aux fins de financer la
reconstruction et le développement des pays du monde entier.
Hélas, très vite, des abus furent commis par les ‘gestionnaires du système’ et en
particulier par les Américains. Ceux-ci détournèrent ledit système à des fins privées
dans le but de s’enrichir, de faire profiter leurs amis et les amis de leurs amis mais
également pour corrompre des personnes et financer toutes sortes d’atrocités.
A l’heure actuelle, on parle de titres bancaires quand on fait référence principalement
à des billets à moyen terme (en anglais, Medium Term Notes (MTN)), des garanties
bancaires (Bank Guarantees (BG)) et des lettres de crédit stand-by (Stand-by Letter
of Credit (SBLC)). Ceux-ci sont émis à un taux d’au moins 20% de la valeur faciale du
titre et après quelques opérations d’achats et ventes à un prix chaque fois plus élevé,
appelées de niveau 1, niveau 2 et niveau 3 (en anglais, tier 1, tier 2 et tier 3), ils
parviennent finalement entre les mains des acheteurs finaux. Ceux-ci sont
principalement des fonds de pensions, des fonds d’assurances ou d’autres types de
fonds qui acquièrent généralement ces titres à un taux d’au moins 90% de leur valeur
faciale, après les différentes étapes que nous venons de décrire, et les détiennent
jusqu’à leur date d’échéance. Les montants investis dans de pareils instruments
financiers varient mais il n’est pas rare qu’ils atteignent les 500 millions de
dollars/euros.
Les opérations dont nous avons parlé sont effectuées par des Traders spécialisés (et
dont les activités n’ont rien à voir avec le trading online !).
C’est au cours de ces opérations d’achats et de
ventes que tout se passe. Les banquiers permettent à leurs amis et les amis de leurs
amis de réaliser de plantureux bénéfices avec un capital de départ minimum de 100
millions de dollars/euros, à peine. En général, ces montants sont investis dans
du cash ou directement dans des instruments financiers (tels que les MTN, BG,
SBLC) mais la plupart des opérations réalisées concernent la centralisation de
trésorerie (en anglais, cash pooling) avec un capital de départ encore inférieur.
Ainsi, admettons que nous participions à une opération d’achat sur un instrument
financier dont le prix est fixé à 40% de sa valeur faciale et que nous le revendions
ensuite à 60% de sa valeur faciale, tout en sachant que ces opérations ont été
préalablement garanties contractuellement dans le cadre du système. Nous
réaliserions alors un bénéfice de 50% à répartir entre les différents investisseurs et
intermédiaires. Enfin, en sachant que ce genre de participation se fait généralement
dans le cadre d’un programme (Trading program, programme d’investissement
privé ou autre) où les opérations d’achats et ventes réalisées par un Trader et que
beaucoup de ces opérations ont une durée d’un an voire plus, il est facile d’imaginer
les gains phénoménaux qui sont réalisés de la sorte.
C’est simple de s’enrichir ainsi, n’est-ce pas ?
Et bien des personnes, y compris des personnalités publiques de différentes
nationalités, se sont enrichies grâce à ce type de programmes. Etant donné les
capitaux de départ nécessaires pour pouvoir participer à des investissements aussi
rentables, vous aurez saisi que ces opportunités ne s’adressent pas à tous mais
seulement à ceux que l’on appelle des investisseurs avertis (en anglais, sophisticated
investors). Ce terme est utilisé dans la haute finance et désigne ceux qui peuvent avoir
accès à des investissements privilégiés et inaccessibles à la masse.
Quant à ceux qui savent quelque chose, ils évitent d’aborder ce sujet, peut-être par
égoïsme, par peur ou les deux choses. De leur côté, la Securities and Exchange
Commission (SEC), le Trésor américain et le FBI, trois organismes
américains...comme par hasard, démentent sur leur site web qu’il soit légal de
participer à des opérations d’achats et ventes via de tels instruments financiers et
qu’il s’agit bel et bien d’opérations frauduleuses. Il est effectivement vrai de dire
qu’elles sont illégales, comme nous-même le signalions au lecteur, et pourtant elles
ont bel et bien cours. Et ces pages web ne servent qu’à cacher, comme toujours, la
vérité au public.
Ceux qui se trouvent au sommet de la pyramide de ce système financier sont appelés
les Master Commitment Holders (littéralement, les détenteurs de l’engagement) et
on les compte sur les doigts des deux mains. Ce sont eux qui sont chargés de
l’émission d’un certain nombre de titres qu’ils font ensuite redescendre en cascade
dans ce système par le biais de mouvements et opérations financières expliqués plus
haut.
Ces Commitment Holders ainsi que les Traders sont surveillés, comme on peut
l’imaginer, par des services de renseignements afin de s’assurer qu’ils accomplissent
leur travail correctement en suivant les instructions données par les grands
banquiers.
Les Comptes de Garantie sont également
appelés Comptes Mondiaux (en anglais, Global Accounts, Global Debt Facility, ou
plus exactement Combined International Collateral Accounts of the Global Debt
Facility). Ils se composent d’actifs accumulés depuis des millénaires, par les familles
royales du monde entier. Et ce n’est pas un hasard si l’on y trouve des références à
l’histoire qui remontent à l’époque de l’Ancien Israël. A titre d’exemple, la devise du
Royaume-Uni : “God Save the King/Queen” est une reprise des formules de
salutation lorsque l’on s’adressait aux premiers Rois d’Israël.
Dès les années 1500 – 1600, certaines familles royales européennes signent entre
elles des accords privés et secrets par lesquels elles entreprennent de mettre en
commun leurs actifs. Il s’agissait probablement là d’une protection contre l’arrivée de
toute une série de mouvements qui allaient conduire à la création des Etats
modernes.
Une initiative du Tsar de Russie marque une étape importante dans cette direction
lorsqu’il envoie, vers 1875, ses propres enfants dans le monde entier en mission
auprès de familles royales afin d’organiser la réunification collective de toutes leurs
richesses pour ensuite les utiliser pour le bien de tous et pour éviter de nouvelles
guerres.
Une entreprise empreinte de noblesse qui ne devait pas connaître une fin très
heureuse, hélas, au vu des événements qui allaient se produire en l’espace de
quelques décennies à peine.
Au sommet d’une structure, aussi complexe, composée de milliers de fondations et
fiducies ou Trusts, trône une fondation, dénommée Foundation Divine, qui est liée à
une fiducie, appelée Heritage International Trust. Il s’agit respectivement de
la fondation maîtresse et la fiducie maîtresse (en anglais, Master Foundation et
Master Trust) qui chapeautent les Combined International Collateral Accounts of the
Global Debt Facility.
Une partie de ces richesses a servi parallèlement au financement du système même
dont l’axe central est situé aux Etats-Unis et représenté par la Réserve fédérale ou
FED (Fed System). Et c’est à partir de 1944, avec la signature des accords de Bretton
Woods, qu’ils imposent le dollar américain en tant que devise de réserve
internationale (rejetant du même coup la célèbre proposition de Keynes de créer
le bancor). Ce système entre en vigueur à partir de l’année suivante.
Ainsi, les Comptes de Garantie constitueraient – toujours d’après nos sources – un
système international légal, bien que tenu secret, dirigé par des propriétaires privés.
Il est reconnu par de nombreux traités internationaux classés Top secret et a été
administré par la Trilateral Trillenium Tripartite Gold Commission (TTTGC) de
1945 à 1995. Les pays occidentaux victorieux de la deuxième guerre mondiale font
d’ailleurs partie de cette commission, en l’occurrence les Etats-Unis, le Royaume-Uni
et la France. Et c’est à ces puissances que les familles royales de l’après-guerre
confièrent, de bonne foi, la gestion de leurs énormes richesses, espérant qu’elles
seraient ainsi mises au service du bien.
Mais ce ne fut pas le cas.
Par la suite, tous les pouvoirs de gestion des actifs ont été progressivement repris à
ces puissances, après que de nombreuses fraudes eurent été commises avec les
richesses déposées sur les Comptes de Garantie. En 1995, une institution souveraine
et indépendante de tout Etat, religion et courant politique est créée et enregistrée
auprès des Nations Unies et classée Top Secret. C’est cette institution qui continue
d’administrer les actifs des Comptes de Garantie, au jour d’aujourd’hui.
Il s’agirait de l’International Treasury Controller (ITC) qui s’est doté, lui-même, d’un
bras administratif appelé OITC (c’est-à-dire Office of International Treasury
Control).
Comme nous l’avons déjà dit, et d’après nos sources, ces actifs sont la
propriété des familles royales du monde entier.
Elles auraient confié la gestion de toutes leurs richesses à la TTTGC en concluant un
accord de gestion de leurs actifs pour une durée de 50 ans (1945-1995). Mais à
l’échéance, l’accord ne fut pas renouvelé pour les prochaines 50 années.
C’est ainsi que naquit l'ITC en 1995. A l’heure actuelle, il est considéré comme étant la
seule et unique institution ou organisation dans toute l’histoire de l’humanité à
posséder assez d’or et les moyens suffisants que pour garantir par l’or les devises des
207 nations de la planète.
Nous parlons d’une quantité d’or accumulée depuis des milliers d’années
qui représente au moins 2 millions de tonnes (de l’or qui n’est enregistré
officiellement nulle part et qui n’est pas inscrit au bilan des banques auprès
desquelles il a pourtant été déposé en partie). Cette quantité est bien supérieure aux
chiffres officiels communiqués par le World Gold Council à la fin 2015 et qui évaluait
la quantité de l’or mondial stocké à 186.700 MT (tonnes métriques ou tonnes).
Depuis quelques années déjà, on peut trouver sur Internet assez bien de documents à
propos des Comptes de Garantie mais nous recommandons au lecteur la prudence et
de faire preuve de discernement car il s’agit là d’un sujet « brûlant » et
certaines agences de renseignements publient des articles de désinformation. Nous
pensons à l’OPPT mais aussi à des personnalités telles que Neil Keenan et Karen
Hudes – tous Américains, comme c’est bizarre…- ou encore à des journalistes farfelus
comme Benjamin Fulford. Voilà des personnalités suivies sur les réseaux par
beaucoup de gens, de bonne foi et naïvement. Des gens qui ignorent tout du
fonctionnement au sommet de la pyramide et de ce qui se passe « dans les coulisses »
car les médias n’en parlent jamais puisque, dans la plupart des cas, ils n’en savent
rien. Et s’il était nécessaire d’étayer nos arguments sur l’existence d’un système
financier international « hors bilan » qui brasse des richesses phénoménales, que le
lecteur se rappelle de l’affaire de la Fondation X dévoilée, il y a quelques années, par
Lord James of Blackheath.
Comme nous le savons, les monnaies étaient
garanties par l’or jusqu’en 1971. Cette même année, les Américains
décident unilatéralement qu’ils ne sont plus tenus de garantir leur
monnaie par une contrepartie en or. Dès lors, le dollar étant la monnaie
de réserve internationale, tel que prévu dans les accords de Bretton
Woods dans les années 1944-1945, les autres monnaies nationales sont
entraînées en cascade vers un système où la convertibilité en or n’existe
plus.
Depuis 1971, le monde connaît donc un régime de fiat money, c’est-à-dire
que l’argent n’est plus garanti par rien, sauf par notre confiance (naïve).
Le système financier actuel, gravitant autour de la Réserve fédérale, fut un jour
garanti par de l’or appartenant à des familles royales qui le prêtèrent à la Banque
Mondiale et
au Fonds
Monétaire
International,
par
l’intermédiaire
du Maître des comptes de garantie (Master Holder) de l’époque, appelé M1 (et
porteur de l'Anneau Alpha-Omega qui est le signe de son rôle spirituel), et qui n’était
autre que Ferdinand Marcos, Président des Philippines.
La Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International furent chacun financé à
hauteur de 3 000 tonnes d’or. Ces richesses devaient servir à lancer véritablement
comme des starts up les pays détruits par la guerre ou les révolutions.
Mais les gros problèmes avaient commencé quelques dizaines d’années auparavant.
Ainsi, lorsque la Réserve fédérale fut incorporée au système, en 1913, les Etats-Unis
ne disposaient pas d’or en quantité suffisante pour garantir le cours du dollar.
Ce fut le Tsar de Russie qui envoya 75 000 tonnes d’or aux Etats-Unis en
garantie du financement de la Réserve fédérale.
Cet or faisait partie des Comptes de Garantie et avait été déposé en Russie et placé
sous la garde légale du Tsar. En effet, c’est le Président, premier Ministre ou le
Roi/Reine d’un pays, selon les cas, est le Gardien légal des actifs sur les Comptes de
Garantie dans leur pays.
La Fédération de Russie est en possession de documents qui attestent de la véracité
de ces faits.
A présent, le problème suivant se pose: des enquêtes ont récemment révélé que ces
75.000 tonnes d’or demeurent introuvables tant auprès de la Réserve
fédérale qu’auprès des autres dépôts du gouvernement américain.
En résumé, cette montagne d’or s’est volatilisée.
Ceci expliquerait – d’après certains – pourquoi Kissinger s’est rendu récemment en
Russie et est rentré aux Etats-Unis avec la queue entre les jambes.
Cette situation a même bouleversé le Pape – car il faut savoir que l’IOR entretient des
rapports très étroits avec la Réserve fédérale – qui aurait pris ses distances avec les
Etats-Unis.
Ceci expliquerait également les raisons de la récente rencontre à Cuba entre le Pape
François et le Patriarche moscovite Kirill.
Les choses étant ce qu’elles sont, il
n’est pas étonnant de constater que les médias occidentaux cherchent par
tous les moyens à discréditer et porter atteinte au Président Poutin.
Il s’agit d’informations fausses et de la propagande de première qualité afin de
camoufler les traces des actes commis dans le passé par les Etats-Unis et qu’ils
continuent à commettre encore aujourd’hui.
Après la signature du Traité de Londres en 1920, un Traité méconnu de la plupart des
gens, l’or fut acheminé et déposé dans plusieurs pays du monde, selon un plan très
précis élaboré par les familles royales dans lequel le jeune Hirohito – futur Empereur
- semblerait avoir jouer un rôle déterminant.
Le but était de sceller ces actifs pour éviter, autant que possible, de nouveaux cas de
fraudes.
Toutes les Nations ont adhéré aux divers traités internationaux portant sur ces
énormes richesses mondiales, y compris les Etats-Unis et leurs alliés. Un de ces
traités, le Global Agreement, signé en 1980, et dont Ferdinand Marcos en fut le
promoteur ne fut jamais mis en œuvre. A la fin de la deuxième guerre mondiale, tous
les Etats s’étaient engagés à déposer une grande partie de leurs réserves d’or sur
les Comptes de Garantie, pour éviter des situations de déséquilibres extrêmes entre
les différents pays, une fois le conflit enterré; des situations telles qu’elles auraient pu
devenir le facteur déclencheur d’une nouvelle guerre. Et même le Vatican se vit dans
l’obligation d’en faire autant. La mise en commun de ces actifs devait donc permettre
de financer, de manière équilibrée, la reconstruction et le développement de tous les
pays du monde.
Hélas, des éléments ont infiltré le Pentagone et la Maison Blanche et, avec leurs
alliés, ont commencé à faire des guerres, à conquérir des nations et à faire main basse
sur les actifs gardés dans les autres pays et/ou sur les documents papier relatifs à
ces actifs qu’ils ont ensuite cherché à monnayer auprès de certaines banques
internationales. Il suffit de penser au « marché noir » des titres financiers qui n’ont
désormais plus cours, où des milliers de personnes dans le monde, y compris des
Italiens, essaient de s’infiltrer pour tenter « le coup de leur vie ». Ils sont souvent de
bonne foi et ignorent qu’ils agissent dans l’illégalité ; d’autres font semblant de
l’ignorer. On dénombre de nombreuses catégories de ces anciennes obligations
(old/historic bonds) qui font l’objet de trafics au marché noir financier : c’est le cas
des obligations TOV (Traité de Versailles), des billets de la Réserve fédérale
(FRN) (Federal Reserve Notes), des obligations de la Réserve fédérale (FRB)
(Federal Reserve Bonds), des obligations Wells Fargo, des obligations Petchili et
bien d’autres encore. En réalité, toutes ces obligations appartiennent aux Comptes de
Garantie mais ont été dérobées dans des dépôts secrets dans les Philippines et dans
d’autres pays. Au cours des dernières décennies, des personnalités telles que Bush,
père et fils, Bill Clinton, Dick Cheney et Tony Blair auraient été impliqués, et bien
d’autres encore, dans des énormes fraudes telles que celles-là.
Telle serait la véritable histoire des guerres aux XXe et XXIe siècles, des
interventions en Extrême-Orient dans les années 60 et 70, en Amérique latine et
Amérique centrale dans les années 70 et 80.
Là aussi ce fut pour l’or et les autres actifs sur les Comptes de Garantie.
Et cette histoire s’applique aussi à la deuxième guerre mondiale ; la destruction de
l’Allemagne visait son or. Et même les Forces Alliées participèrent à cette chasse
au trésor dans les Philippines.
La Russie et le Tsar? C’était pour l’or.
La Corée? Pour les actifs sur des Comptes de Garantie.
Et aujourd’hui encore, c’est à cause de ces richesses que sévit le chaos au
Moyen-Orient et que sont commis autant d’actes de destruction et de
massacres.
L’Iran, la Lybie, l’Iraq, la Syrie, la Turquie; tous ces pays ont exercé leur domination
sur le Moyen Orient, jusqu’au moment où la Russie s’est mise en travers de leur route
comme l’histoire récente nous l’a montré. Le gouvernement russe œuvre, de concert
avec d’autres pays (en particulier les pays BRICS), à la mise sur pied d’un nouveau
système financier international équilibré et bénéfique pour tous les pays. Ledit
système sera couvert par une contrepartie en or.
Comme nous l’avons vu précédemment, le responsable légal, qui est aussi le
propriétaire et l’arbitre des actifs en garantie de la ligne de crédit globale, est
appelé International Treasury Controller (ITC) (ndlr : le Contrôleur de la trésorerie
internationale). Celui-ci est nommé par une « hiérarchie » représentant les familles
royales du monde en vue de soutenir les monnaies de toutes les nations de la planète
grâce à l’or nécessaire pour constituer une contrepartie en or pour chaque monnaie à
l’intérieur d’un nouveau système financier international, lui-même garanti par l’or
mondial. En réalité, cela devrait déjà être le cas depuis les accords de Bretton
Woods ou plus précisément depuis la signature de certains traités secrets parallèles
aux accords officiels.
Mais les Alliés (Etats-Unis, Royaume-Uni et la France) ont empêché la mise en œuvre
de ceux-ci par des voies détournées.
Par ailleurs, l’ITC, à savoir le Dr. Ray C. Dam, descendant de la famille royale du
Cambodge, fut empêché d’exercer sa mission par le gouvernement américain, ses
agents et alliés (qui n’ont jamais reculé devant rien pour éliminer les hommes-clés du
système). Et cela, bien qu’il disposait d’une expertise avérée dans le domaine des
finances acquise au sein de plusieurs banques centrales et qu’il était le signataire de
l’or pour les G7. Et c’est le même sort que connut l’antérieur M1, Ferdinand Marcos
(qui jouait le même rôle, en somme, que l’ITC joue depuis 1995) et qui fut mis horsjeu par les Américains.
Citons encore l’accord conclu entre
Sukarno et Kennedy, quelques jours à peine avant l’assassinat de ce dernier, visant
à créer un dollar souverain qui ne serait pas émis par la Réserve Fédérale
des Etats-Unis et garanti par une contrepartie en or provenant des actifs sur
les Comptes de Garantie gardés en Indonésie. Inutile de dire que cet accord n’a
jamais été mis en œuvre par le gouvernement américain suivant. En outre, lorsque
Kennedy fut assassiné, le vice-Président Lyndon Johnson, qui était resté à l’hôtel à
Houston, accédant de façon inattendue à la Présidence se charge, depuis là même,
d’annuler cet accord (Traité de Green Hilton, 1963), révoquant ainsi le Presidential
Executive Order (ndlr : décret présidentiel) correspondant. C’est ainsi que le
gouvernement américain fut en mesure de retirer de la circulation les nouveaux
billets de 1 et 2 dollars (garantis par une contrepartie en or) et d’empêcher l’émission
de coupures de 5, 10, 20, 50 et 100 dollars.
Pour ajouter à la confusion ambiante, les Américains firent circuler ultérieurement
plusieurs fausses copies de cet accord.
Quant à Ferdinand Marcos, le M1 précédent, il ne connaîtra pas un meilleur sort.
Après avoir été déposé comme Président des Philippines en 1986, par l’intervention
des Américains, il meurt trois ans plus tard, « en exil » dans un hôpital d’Hawaii. Il
réussit, cependant, à « passer le relais » de M1 (et l’Anneau Alpha-Omega) in
extremis, en décembre 1988, à une personnalité respectée à travers le monde qui en
est l’actuel détenteur.
Mais nos sources ne sont pas autorisées à révéler le nom du détenteur actuel.
Le premier ITC, le Dr. Ray C. Dam, qui occupa cette fonction entre 1995 et 2011, fut
également mis hors-jeu, tout comme son prédécesseur, par des opérations sournoises
menées par la CIA. Et en mai 2012, les familles royales nommèrent un
nouveau ITC dont l’identité n’a pas été révélée.
Les Forces Alliées victorieuses de la seconde guerre mondiale, en particulier les
Américains, auraient ainsi puisé continuellement dans ces actifs internationaux,
uniquement à des fins propres, et dans le seul but de soumettre des peuples et
envahir d’autres nations. L’histoire récente foisonne de ces exemples.
Ce que même les initiés ignorent, c’est l’ampleur de ce pillage ; cela
mérite que l’on y prête une attention particulière.
Une chose que les initiés ignorent est que la Réserve fédérale, le FMI, la Banque
Mondiale, la Banque des règlements internationaux tomberaient sous la juridiction
légale du Controller. Il en irait de même pour toutes les banques appartenant au
réseau formé par les 250 plus grandes institutions bancaires du monde; ceci
s’explique par le fait que chacune d’elles conserve en dépôt des actifs des Comptes de
Garantie. Et en vertu des pouvoirs qui lui sont conférés par des traités
internationaux, l’ITC/OITC dispose d’une la juridiction légale qui les place “au-
dessus” et les investi d’une préséance sur tout autre organisme, national ou
international, pour tout ce qui concerne les Comptes de Garantie.
Il s’agirait là – toujours selon les sources renseignées – de la loi suprême
qui régit notre planète.
Mais revenons aux comptes miroirs et au mécanisme de cette gigantesque
fraude que sont les Panama Papers.
Les intérêts calculés sur ces types de comptes – nous parlons en milliards de dollars –
sont versés sur des “comptes fantômes”, ouverts auprès de l’une des 250 banques les
plus importantes, partout dans le monde, au nom des chefs de gouvernement,
Ministres et chefs d’Etat. Ces sommes servent ensuite à financer des révolutions, des
guerres et nous en passons.
Ainsi, la banque qui reçoit les fonds ouvre des comptes secrets off-shore, style
Panama, en vue d’acheter des chefs d’Etat et de gouvernement, ainsi que leurs agents
et alliés. De cette manière, elle facilite le pillage des biens de ce pays par cette
organisation, que certains appelaient la Kabale et voulaient clairement souligner les
origines de nombreux membres des familles de banquiers internationaux.
Ces mêmes types de “comptes fantômes” sont ouverts au nom de groupes
de mercenaires et d’agences de renseignements pour financer des
révolutions de couleur, guerres civiles, génocides, etc.
Chaque pays agressé par des agents Américains, qui se financent en pillant
les Comptes de Garantie, est victime d’abus financiers et se retrouve ainsi dominé,
contrôlé et dépouillé de toutes ses ressources naturelles.
En outre, les réserves d’or de ces
pays sont pillées comme ce fut le cas récemment en Ukraine.
Ou, comme cela s’est produit en Libye, les mercenaires furent armés grâce au produit
du pillage de ces ressources ; et une fois le pays envahi, la Banque centrale du pays fut
saccagée et son or emporté.
L’or libyen a quitté le pays avant d’être refondu pour être finalement
revendu à Wall Street. Les bénéfices de l’opération ont été utilisés pour financer
d’autres complots, massacres et pillages d’autres nations et peuples.
Ainsi, à aucun moment le compte de dépôt, auquel est rattaché “le compte fantôme”,
n’a été utilisé et les montants sur celui-ci peuvent être retransférés vers le compte
donneur principal à tout moment. Et les milliards de dollars d’intérêts gagnés sur les
montants pillés sur les Comptes de Garantie ne sont pas crédités au titulaire légal du
compte principal. Le transfert de ces fonds se fait soit de Banque à Banque soit par le
biais de mécanismes pervers et totalement étrangers au système Swift international,
tels que celui connu sous le nom de Server to Server. Il s’agit d’un mécanisme illégal,
mais bien connu de certaines banques internationales, qui permet à certains milieux
« déviants » et avec la complaisance des spécialistes du blanchiment et/ou des
banquiers corrompus, de « décharger » des fonds sans laisser de traces dans le
système Swift. C’est parfaitement illégal, bien entendu, et pourtant c’est ainsi que
cela se passe encore aujourd’hui pour piller les fonds sur les Comptes de Garantie ou
parfois, aussi, pour transférer de l’argent sale.
Ce système de contrôle global – totalement Top Secret jusqu’à il y a très
peu – commence à percer au grand jour.
De nombreux politiciens dans le monde entier – suivant la stratégie de domination
mondiale américaine – sont achetés et contrôlés de cette façon.
En outre, pour éviter que cette réalité de fait n’éclate au grand jour, des sommes
d’argent considérables provenant des Comptes de Garantie sont dépensées pour
contrôler les grands médias à l’échelle mondiale.
A la lecture de tous les éléments que nous avons donné, il paraît évident que quand
on parle d’affaires telles que celle des Panama Papers et d’autres encore, on parle de
choses plus importantes que d’éviter de payer des impôts. Nous parlons d’un
véritable stratagème visant à placer les activités des élites nationales sous
le contrôle du propriétaire transnational de l’argent, et par-là même à
exercer un contrôle sur ces élites nationales.
Maintenant, il est très probable que dans ce contexte de lutte pour le pouvoir entre les
hiérarchies opaques des clans qui gèrent toutes les politiques et les stratégies à
l’échelle mondiale, une faction – liée à l’empire américain – ait voulu lancer un
avertissement aux autres factions en révélant des éléments – par le biais des Panama
Papers – de nature à créer des difficultés à certains Etats et à certaines personnalités,
entre autre Vladimir Poutin. Ce dernier serait au courant du titanesque pillage
des Comptes de Garantie sur lesquels ont été déposées les 75 000 tonnes
d’or prêtées par le Tsar de Russie aux Etats-Unis. Cet or était sous la
garde du Tsar depuis 1913 et n’a jamais été restitué à son pays d’origine.
L’histoire de la finance aux Etats-Unis d’Amérique remonte à quelque 240 années et
n’a jamais été un long fleuve tranquille. Voilà un pays qui a déjà connu une
cinquantaine de fois la récession, a été déclaré de nombreuse fois en faillite et a pu se
redresser, à chaque fois, grâce à l’aide de la communauté internationale. En effet, la
communauté internationale n’a pas seulement secouru les Etats-Unis en 1913,
comme nous l’avons expliqué, mais également dans les années 30, en leur transférant
des quantités d’or sur des Comptes de Garantie, lorsque cette Nation tombe
en défaut de paiement pour la énième fois. L’or national accumulé par le
Gouvernement américain, eu égard au décret présidentiel 6102 de 1933 et le Gold
Reserve Act de 1934, n’a permis d’apurer que 10% environ de la dette nationale des
Etats-Unis.
Pourtant, aujourd’hui la communauté
internationale n’a plus la moindre intention de venir en aide, une
nouvelle fois, aux Américains. Et pour cause : leur discipline financière n’a fait
que se dégrader depuis les années 30 et est responsable d’énormes fraudes, à l’échelle
internationale, comme indiqué dans notre article.
Les Américains cherchent à cacher une situation de facto de défaut de paiement dans
laquelle ils se trouvent déjà, en élevant continuellement le plafond d’endettement
(debt ceiling) légal qui a été porté, en mai 2013, à 16 699 T (trillions) de dollars. Ils en
sont même arrivés à suspendre temporairement le plafond d’endettement maximum
de la dette américaine d’octobre 2015 à mars 2017.
Actuellement, la dette américaine a dépassé les 19 trillions de dollars et ne cesse
d’augmenter.
Comme nous l’avons dit, en haut de la pyramide de la puissance mondiale, certains
détiennent des secrets dont nous n’entendrons probablement jamais parler.
Mais il arrive parfois que d’autres soient révélés, pour une quelconque
raison, volontairement ou pas.
D’après les normes utilisées par les services de renseignements internationaux,
certaines questions délicates sont classées Top Secret mais il en existe d’autres encore
plus délicates – sur le plan national ou international – classées Above Top Secret et
qui ne sont probablement connues que d’une poignée de personnes.
Et il se peut même que certaines ne doivent jamais
être révélées sous aucun prétexte, même après plusieurs siècles, et qui sont
classées Shrouded in Secrecy ou Cloaked in secrecy (ndlr : gardé dans le plus grand
secret).
Des termes qui, semble-t-il, sont bel et bien utilisés au sommet de la pyramide.
Mais peut-être qu’une porte vient de s’entrouvrir et que le voile qui séparait les
communs des mortels des hautes sphères qui gouvernent le monde est en train de se
déchirer.
Si c’est le cas, et c’est notre vœu le plus cher, il pourrait bien y avoir du spectacle à
l’avenir…
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