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Mummy, why is Daddy wearing a dress RL2

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Maman, pourquoi papa porte-t-il une robe ? Papa, pourquoi maman a-t-elle une moustache ?
Pierre Lescaudron
Sott.net
Sun, 25 May 2014 16:55 CDT
Note de la rédaction : Cet article traite de plusieurs sujets controversés (l'homosexualité, la pédophilie, la prédation
sexuelle, etc.) et son contenu, ainsi que ses illustrations, peuvent être choquant pour certains.
Si malgré cet avertissement vous décidez de lire la suite, gardez à l'esprit que « le diable est dans les détails », afin
d’être attentif en essayant d'éviter de penser en noir et blanc.
Et tout particulièrement, n’oubliez pas que lors de l'analyse, nous nous concentrons sur une petite minorité d'individus
pathologiques qui ont infiltré la communauté gay. Donc il ne s’agit pas d’une attaque contre les homosexuels, mais
d’un exposé de cette petite minorité qui prétend être gay et tente d'exploiter la communauté gay à des fins néfastes.
Ceci étant dit, attachez vos ceintures de sécurité et immersion !
_______________________________________________
L'idée principale développée dans cet article est venue de façon plutôt inattendue alors que j'écrivais la dernière partie
de Earth changes and the Human-Cosmic connection [Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique
– ouvrage en cours de traduction – NdT] qui vient d'être publié aux formats livre et Kindle.
La théorie de la « connexion anthropocosmique » pourrait être l'un des principaux mécanismes, sinon le principal, à
travers lequel la population humaine influence - positivement ou négativement - son environnement, y compris les
grandes catastrophes cosmiques.
Alors que le livre mentionné ci-dessus donne une image beaucoup plus détaillée et plus précise de ce phénomène
essentiel, la dernière partie de cet article décrit rapidement ce concept et montre comment cela peut être relié à tous les
sujets apparemment sans rapport que nous allons aborder maintenant.
1
Conchita Wurst, vainqueur de l’Eurovision 2014
Dans la première partie de cette série d'articles, j'ai discuté de la destruction de l'art. Alors que l'article était « sous
presse », un énième clou était planté dans le cercueil déjà bien scellé de l'art : des millions d'Européens ont assisté à la
victoire de Conchita Wurst pendant le concours Eurovision de la chanson 2014 (voir image à droite).
Conchita Wurst est un jeu de mots particulièrement subtil : « conchita » est un terme employé en Amérique du Sud
pour décrire les organes génitaux féminins tandis que « wurst » est un euphémisme pour les organes génitaux
masculins en Allemagne. J'imagine que vous saisissez la « blague ». Très subtil, en effet.
Vous vous souvenez peut-être de ma grand-mère et des discussions que nous entretenons régulièrement. Elle n’aime
pas seulement entendre parler des familles royales et des aristocrates, elle aime également écouter de la musique.
Mais, comme je l'ai déjà dit, elle est presque aveugle. Quand elle m'a demandé qui était le gagnant du concours de
l’Eurovision 2014, il m’a fallu réfléchir très attentivement à la façon dont j'allais décrire ce que j'avais vu.
Avec tristesse, j'ai réalisé que les caractéristiques de cet individu (apparence, orientation sexuelle, genre, mode de
vie...) étaient si éloignés des références de ma grand-mère qu'il m’était impossible de lui décrire en termes intelligibles
ce que le chanteur était.
Le monde était incroyablement différent il y a moins d’un siècle. L'homosexualité existait bien sûr, mais quand ma
grand-mère était une jeune femme, les choses étaient plus simples, beaucoup plus simples. Dans la plupart des cas, les
enfants avaient une maman et un papa, les hommes aimaient les femmes et les femmes aimaient les hommes, tous les
membres de la famille vivaient ensemble sous le même toit. Les hommes étaient virils et les femmes étaient
féminines.
Je suppose que cela a été le cas pendant des siècles sinon des millénaires et il n'y avait aucune raison pour que ces
principes naturels et fondamentaux ne changent un jour. Eh bien, c'était le cas jusqu'aux années 1960 et sa
« révolution ». À partir de ce moment-là, tout a changé.
La révolution des années soixante
Les révolutions sont rarement des mouvements libérateurs, populaires et spontanés tels que présentés par l'histoire
officielle. Certaines d’entre elles sont organisées depuis le début par une clique pathologique qui sert ses propres
intérêts au détriment du peuple qu'elle hystérise, instrumentalise, sacrifie et utilise comme un prétexte démocratique.
D'autres mouvements commencent par une véritable insurrection populaire avant d’être très vite infiltrés par un des
clans susmentionnés qui mettent alors en œuvre leur « contre-révolution » qui résulte en des conditions de vie encore
pire pour les gens ordinaires, c’est-à-dire, vous et moi. Voir par exemple l'une des périodes les plus sombres de
l'histoire française, la soi-disant « révolution française » qui fut suivi par la bien-nommée « terreur ».
La révolution des années soixante ne fait pas exception. Bien qu'elle ait tout d'abord pu montrer quelques signes
d'authenticité (mouvement noir des droits civiques, le mouvement pacifiste) et une véritable tentative par certains de
créer une société meilleure, elle a été rapidement cooptée et détournée.
L'injection délibérée de quantités massives de drogues , les mensonges des médias, le contrôle de l’industrie de la
musique, l'infiltration de groupes d'activistes, l'utilisation de la violence, la montée en puissance des leaders
révolutionnaires à la solde du pouvoir a rapidement conduit à des résultats diamétralement opposés aux objectifs
initiaux.
Cohn-Bendit au cours d'une manifestation à Paris en 1968
S'il est une personne qui illustre parfaitement toute cette période de l'histoire et le rôle joué par lesdits leaders infiltrés,
c’est Daniel Cohn-Bendit. La plupart de nos lecteurs étasuniens [cet article a été initialement écrit en anglais - NdT]
n'ont probablement jamais entendu parler de cet individu atypique, et c'est dommage, parce que les détails de sa
« carrière » sont plutôt édifiants.
Du jour au lendemain, cet étudiant médiocre de premier cycle né dans une riche famille allemande ashkénaze, est
devenu le leader de la « révolution » française de mai 68. Alors que le président français De Gaulle était pressé de
démissionner et que tout le pays était au bord d'une guerre civile, Cohn-Bendit était invité par les médias dominants à
présenter sa vision pathologique du monde nouveau.
Il s'est concentré sur la liberté en général et la liberté sexuelle en particulier. La liberté sexuelle n'est pas
nécessairement une mauvaise chose, mais son interprétation du sujet est assez singulière et n'a en fait pas grand-chose
à voir avec la liberté.
Pour vous donner une idée du paysage intérieur de Cohn-Bendit, il a détaillé son intérêt pour la pédophilie dans son
livre, Le Grand Bazar, paru aux Editions Belfond en 1975. Quelques années plus tard, sur une chaîne de télévision
nationale, et devant des millions de téléspectateurs, Cohn-Bendit a décrit les « interactions » qu'il a eues avec une fille
de cinq ans ! Il a bien sûr jeté le blâme sur la victime et accusé l'enfant d’avoir pris l'initiative, mais il a admis une part
de responsabilité personnelle dans la mesure où sa beauté l’aurait rendu irrésistible à cette petite fille ! Cohn-Bendit a
fait ces déclarations il y a quarante ans, mais ses confessions dépravées n'ont conduit à aucune condamnation.
3
Cohn-Bendit se vantant de ses exploits pédophiles sur une chaîne de télévision nationale
Au contraire, au cours des décennies suivantes, Cohn-Bendit a occupé des postes politiques de premier plan : adjoint
au maire de Francfort, chef de parti, fondateur d'un parti européen, membre du parlement européen, etc.
Vous réalisez à quel point une personne est vraiment « antisystème » lorsque le système lui accorde de façon
systématique des positions politiques clés.
Pendant plusieurs années, Cohn-Bendit a été le chef du parti des Verts, qui, en un mot, donne plus d'importance aux
animaux et aux plantes qu’aux humains, en soutenant par exemple le développement du bio-carburant qui alimente les
voitures plutôt que les humains, réduisant considérablement la surface des terres agricoles consacrées à la production
alimentaire, alors que des milliards de personnes meurent de faim.
Fait intéressant, Cohn-Bendit, leader du mouvement de la « révolution » en France n'était même pas français, mais
allemand. Mais est-ce que les nationalités sont vraiment importantes à ce niveau-là ? Comme Gilad Atzmon l’écrit
dans son livre Quel Juif errant ?, les Juifs « errants »n'ont pas de nationalités. Contrairement à la grande majorité des
Juifs pleinement intégrés dans la société dans laquelle ils vivent, les Juifs « errants » utilisent les nations comme des
hôtels, et ne servent que l'intérêt et la psychologie tordue d'une communauté élitiste.
Au nom de la liberté, de la réforme et du progrès, les fondements mêmes de notre civilisation ont été régulièrement
ébranlés depuis la « révolution » des années 1960. Loin du militantisme pour la paix et contre le racisme, l'un des
principaux thèmes de cette transformation en cours a été le mouvement des droits des homosexuels.
Le mouvement des droits des homosexuels
Au début, ce mouvement visait à mettre fin à l'homophobie et à la discrimination, qui peuvent être considérés comme
des objectifs véritablement légitimes puisque - à l'époque - l'homosexualité était considérée par la majorité comme
anormale ; l’homosexualité n’est, bien sûr, pas anormale mais plutôt une partie normale de la courbe de distribution de
l'orientation sexuelle humaine, de la même manière que les personnes très petites ou très grandes font parties de la
courbe normale de distribution de la taille humaine. Mais l'homosexualité ne représente ni la moyenne ni la majorité.
En tout état de cause, en commençant par une approche justifiée (supprimer les discriminations) qui a corrigé certains
défauts dans le système, l'homosexualité a été progressivement rendue publique, elle est devenue acceptable, et
plusieurs lois ont donné l'égalité des droits aux homosexuels. Mariage de même sexe, pacte civil, et mesures antidiscrimination ont été adoptés dans un nombre croissant de pays. Tout semble pour le mieux jusque-là.
Il est juste de dire que, en quelques décennies, l'homosexualité était devenue une composante intégrale et globalement
acceptée de notre société. Avec l'égalité juridique et sociale atteinte, on pouvait supposer que le mouvement des droits
des homosexuels, allait disparaitre puisque n'ayant plus de raison d'être. Mais ce n'est pas ce qui s'est passé.
Il semble que l’égalité n'ait jamais été le véritable objectif de ces infiltrés qui ont noyauté le mouvement, mais plutôt
un prétexte pour mener la majorité des individus homosexuels vers une cause très différente. Comme d'autres
minorités dominantes (les végétariens, les juifs, les anti-fumeurs, les francs-maçons, les tziganes, etc.), l'identité même
de ces groupes est défini par leurs différences par rapport aux gens ordinaires. Le véritable objectif est d'exacerber
ces différences, de les faire percevoir comme une marque de supériorité et de les utiliser pour manipuler le reste de la
population. C’est-à-dire que la « raison d'être » des dirigeants du mouvement des droits des homosexuels est d'être
« l'autre » pour toujours et que le concept même d’intégration est un anathème à leurs yeux.
Simulation de sexe en groupe à la « gay pride » d’Athènes en 2012
Ainsi, dans les années qui ont suivies, un genre ostensible de gay-isme a été fortement promu lors d'événements
comme la « gay pride » (notez qu'il ne s'agit plus « d'égalité » mais de « fierté » [« pride » veut dire « fierté » - NdT])
pour s'assurer que ce type d’homosexualité obtienne une large tribune aux yeux du commun des mortels et dans la
société en général.
Un nombre croissant de leaders d'opinion LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels) ont commencé à voir le
jour comme têtes de pont dans de nombreux domaines d'influence (chanteurs, artistes, politiciens, journalistes,
sportifs, « capitaines d'industrie », etc.).
Et bien sûr, les grands médias ont mis les bouchées doubles à travers la musique, les films, les talk-shows, les
publicités, etc.), afin de présenter cette homosexualité ostentatoire dans des conditions extrêmement favorables.
Cette entreprise a été un tel succès qu’il n’a fallu que quelques décennies pour que les valeurs traditionnelles soient
presque totalement inversées. Aujourd'hui, être gay est une chose à la mode, une preuve d'ouverture d'esprit, une
marque de progrès, au moins dans certains milieux et en particulier dans la jeune génération et/ou dans certains
milieux huppés, alors qu’être hétérosexuel est de plus en plus considéré comme réactionnaire, anachronique,
conservateur, dépassé et finalement ennuyeux.
Notez cependant un point très important : le mouvement des droits des homosexuels a été initié par une très petite
minorité de personnes homosexuelles qui prétendent parler au nom de toute la communauté. Mais c'est une usurpation
totale. La grande majorité des personnes homosexuelles vivent une vie normale, elles sont pleinement intégrées dans
la société et leur orientation sexuelle est une affaire privée. La plupart des gays n'ont jamais été prosélytes ou
militants, ce sont des gens normaux, après tout, non ?
En outre, la plupart des homosexuels ne sont pas intéressés par le mariage et encore moins par l'adoption étant donné
que les unions homosexuelles, statistiquement parlant, ont tendance à être de courtes durées. Ils souhaitent juste vivre
leur homosexualité en paix et avec la liberté de mener leur vie personnelle sans crainte d'ingérence ou de contrôle
excessif, tout le contraire de ce qu’induisent les militants LGBT : couverture médiatique, hystérisation, revendications
politiques et statut spécial.
Les homosexuels sont manipulés par une minorité de pédophiles qui se présentent comme faisant partie de la
communauté gay, utilisent la menace de l'homophobie et exploitent leur statut présumé de victimes (le sida par
5
exemple), de la même manière que les Juifs sont manipulés par une minorité d'infiltrés sionistes qui surestiment
considérablement la menace de l'antisémitisme et exploitent le complexe victimaire (l'holocauste principalement).
Larry Brinkin, défenseur vétéran des droits des homosexuels, ancien membre du personnel de la Commission des
droits de San Francisco et qui a été arrêté et reconnu coupable de pédopornographie, est un bon exemple de ce
processus d'infiltration.
Cela nous amène au centre du sujet : le mariage homosexuel n'est pas une fin mais un moyen. En effet, une fois le
mariage homosexuel légalisé, l'étape juridique suivante, l’adoption, ne pouvait être refusée. Elle est déjà promulguée
dans 14 pays.
Le processus d'adoption ne repose pas tant sur la morale que sur l'argent, les homosexuels ayant, en moyenne, des
revenus plus élevés que les hétérosexuels, en raison de la politique générale de « discrimination positive » dans tous
les domaines de la société, y compris le monde des affaires. On peut donc affirmer que, de nos jours, les homosexuels
ont plus de « droits » à l'adoption que les couples hétérosexuels.
La communauté homosexuelle a été utilisée comme un cheval de Troie, infiltrée par une clique de pédophiles qui ont
fait pression pour promulguer la loi sur l'adoption, sous couvert d'égalité des droits et en vue de favoriser leur plan de
posséder des enfants. En conséquence, aujourd'hui, il est parfaitement légal pour deux pédophiles de se « marier » et
d’acheter ensuite des enfants. C’est non seulement techniquement possible mais également confirmé par de nombreux
cas réels de couple de pédophiles ayant acheté et abusé leurs enfants adoptés :
Le couple marié constitué de Haratz & Wirtz. Les mandats d'arrêt prétendent qu’ils ont non seulement abusé
sexuellement et physiquement des enfants, mais qu’ils les ont également forcés à dormir dans les placards.
Voici quelques exemples sélectionnés parmi des dizaines de cas documentés :
- Un couple homosexuel est accusé d'avoir sexuellement abusé un garçon russe adopté depuis des années [lien].
- « Ils m’ont violé chacun leur tour » : les abus sexuels d'enfants ont révélé que le couple gay était accusé d'avoir
agressé cinq de leurs neuf enfants adoptés [lien].
- Un couple homosexuel du Connecticut accusé d'avoir violé des enfants adoptés comparaîtra devant la justice [lien].
Regina Louf a survécu à l'indicible et a eu le courage de témoigner.
Bien sûr, les couples hétérosexuels peuvent aussi être des pédophiles comme en témoigne le couple Dutroux.
Cependant, des études montrent que, par rapport aux hommes, les femmes sont bien moins susceptibles d'abuser
sexuellement des enfants, tout en étant le plus souvent elles-mêmes victimes d'abus. Cette différence pourrait être
simplement due au fait que la psychopathie est considérée comme étant plus répandue parmi les hommes.
Il ne faut pas se laisser duper par l’omniprésente propagande dépeignant la pédophilie comme un « amour interdit »,
comme suggéré, entre autres, par l'étymologie même du terme « pédophilie » (pedo – « enfants », philia – « amour »).
Pour les psychopathes, l'homosexualité ou la pédophilie n'ont rien à voir avec l'amour, et il ne ‘s’agit même pas de
sexualité. Le seul but des psychopathes pédophiles est d'exercer domination et contrôle, et d'infliger le plus de
souffrances possibles aux plus innocents et aux plus vulnérables : nos propres enfants.
Ce point est très clairement décrit par Regina Louf, l'une des rares survivantes du réseau pédophile belge impliquant
des juges, des hommes d'affaires, des politiciens de haut niveau, et des policiers qui ont sacrifié Marc Dutroux, un de
leurs « fournisseurs d’enfants », pour éviter un lynchage public.
Regina Louf a rapporté d'innombrables scènes de torture, des meurtres rituels, des sacrifices de bébé, et de partie de
chasse où le gibier était des enfants. Son témoignage a été confirmé par nombre d'autres témoins ainsi que par des
preuves matérielles incontestables.
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Au cours de la Marche blanche, six cent mille belges ont protesté contre la pédophilie organisée qui a corrompu (et
corrompt encore) la Belgique.
Si donner un rôle de premier plan à la pédophilie et attribuer autant de pouvoir à des réseaux pédophiles semble
paranoïaque, considérez les chiffres suivants : selon certaines études menées aux États-Unis, cinquante-quatre pour
cent des personnes interrogées ont subi des violences sexuelles pendant l’enfance. En Inde, une étude de 2007 sur la
maltraitance des enfants menée par le Ministère de la femme et le développement de l'enfant montre que plus de
cinquante-trois pour cent des enfants ont été victimes d'abus sexuels.
Gardez à l'esprit que ces chiffres impressionnants ne tiennent même pas compte du nombre dramatique de cas qui ne
sont pas rapportés à cause de la peur, de l'amnésie partielle, du déni, de la honte, de la dépression, etc. Dès lors, il
semble légitime de supposer que plus de la moitié de la population mondiale a été abusé sexuellement durant
l'enfance.
Michelle Martin, libre depuis 2012
Pouvez-vous imaginer les dommages infligés à des sociétés entières par une telle épidémie ? Ce devrait être une cause
national. Mais en dépit de l'ampleur de la catastrophe sociale et individuelle, le silence sur le sujet est assourdissant.
Alors que les médias traitent des dernières aventures de Justin Bieber, le système judiciaire se concentre sur les
revendeurs locaux de marijuana, les scientifiques planchent sur le CO2 émis par les flatulences des vaches et la police
s’occupe des radars. Comment peut-on expliquer cette schizophrénie ? Est-ce que l'apathie systématique au sommet de
la pyramide serait la preuve même de la puissance de leurs auteurs ?
Si vous doutez encore du pouvoir détenu par les réseaux pédophiles, voici deux derniers éléments d'information.
En 2012, Michelle Martin, l'épouse de Marc Dutroux, a été libérée de prison après avoir seulement purgé la moitié de
sa peine. Elle avait été condamnée avec son mari pour avoir enlevé, drogué, emprisonné, torturé, violé, affamé et
assassiné sept jeunes filles.
Au cours de la même affaire Dutroux, trente témoins, sont morts. La plupart de ces décès sont survenus juste avant
que la victime ne témoigne. Et il est inutile de préciser que la plupart des décès sont entourés de circonstances très
douteuses, mais pas une seule poursuite pour assassinat n’a été engagée.
La théorie du genre
Le mouvement des droits des homosexuels décrit ci-dessus n'est que l'un des outils utilisés pour changer les
fondements mêmes de nos sociétés. La théorie du genre en est un autre. Cette théorie a été créée dans les années 1920
par John Money, un sexologue néo-zélandais, qui a publiquement plaidé à plusieurs reprises pour l'homosexualité et la
pédophilie. (Notez comment le premier plaidoyer semble être lié au second. Cet indice suggère que l’interéssé n'est
pas vraiment un « homosexuel normal ».)
Money est célèbre pour avoir « soigné » deux jumeaux, en forçant l'un d’eux à changer de sexe, en prenant des photos
des jumeaux simulant des pratiques sexuelles, en les encourageant à partager des « jeux sexuels », et en violant les
deux enfants. Les jumeaux ont fini par se suicider.
Aujourd'hui, le plus ardent défenseur de la théorie du genre est une lesbienne féministe juive appelée Judith Butler.
Pour réaliser à quel point l'idéologie de Butler est soutenue par les « élites » de ce monde, il suffit de la liste de prix et
distinctions et le nombre de prestigieuses universités qui l’ont honorée ou accueillie (Princeton, Columbia et Harvard
pour n’en nommer que quelques-unes).
La théorie du genre est basée sur le postulat (boiteux) qu’à un âge très précoce, les enfants ont déjà une sexualité très
active qui doit être encouragée et que les orientations sexuelles et le genre relèvent purement d’une question de choix
et de conditionnement social.
Vous pourriez être surpris d'apprendre que la théorie du genre est déjà enseignée et appliquée dans de nombreuses
écoles à travers le monde. Vous pourriez également vous demander pourquoi il est si peu fait mention de ce sujet dans
les médias de masse (ou alternatifs).
En Suisse allemande, dès la maternelle, les enfants reçoivent un enseignement sur la masturbation et sont encouragés
à la pratiquer. Les écoliers reçoivent une « SexBox » qui contient des jouets en peluche en formes de pénis et de
vagins et des godemichés en bois. On encourage les enfants à « découvrir » leurs nouveaux jouets au nom de la liberté.
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Le contenu de la « SexBox » distribué aux enfants en maternelle et en primaire
Ils reçoivent également une bande-dessinée pornographique intitulée « Lisa et Jan », figurant entre autres scènes très
instructives, une petite fille qui se masturbe tandis qu'une autre l'observe, un petit garçon se masturbant sous les draps
tout en observant ses parties génitales avec une lampe torche et un enfant qui espionne ses parents pendant qu'ils
« font l'amour ».
Extrait de la bande-dessinée « Lisa et Jan » : un jeune garçon masturbe un autre garçon
L'hétérosexualité et l'homosexualité sont également enseignées à ces écoliers de six ans et, bien sûr, on leur explique
que c’est exactement la même chose (n'oubliez pas que c'est une question de liberté, l'orientation sexuelle étant
seulement une question de choix, peu importe que les défenseurs des droits des homosexuels clament depuis des
années que l’homosexualité n’est pas acquise mais innée : due à une variation génétique normale).
En Allemagne, de nombreux parents ont retiré leurs enfants des classes d'éducation sexuelle après avoir refusé (et à
juste titre) que leurs jeunes enfants soient exposés à un tel matériel « éducatif ». En conséquence de quoi, les autorités
allemandes ont emprisonnés plusieurs desdits parents pendant quarante jours. Vous voyez, les enfants doivent être
libres d'avoir des relations homosexuelles dès leur plus jeune âge, c’est ce à quoi ils sont incités à un âge où l’on est
particulièrement influençable. Mais les parents, ne sont pas libres, eux, de retirer leurs enfants des cours de lavage de
cerveau, et l'État appliquera cette politique à tout prix allant jusqu’à emprisonner les parents pour dissidence.
En Suède, les enfants de treize à dix-sept ans doivent obligatoirement visionner un dessin animé pornographique qui
utilise abondamment des mots comme « chatte » et « bite ».
Extrait censuré du dessin animé que les écoliers suédois doivent visionner. Notez le visage déprimé de la jeune fille et
le couple interracial politiquement correct.
L'objectif officiel de cette bande dessinée est de lutter contre les maladies sexuellement transmissibles, mais les
statistiques montrent que les MSTs ont augmenté depuis le début de la projection de ce dessin animé.
En France, la ministre de l'Éducation a publié une liste de recommandations basé sur la théorie du genre et intitulé
ABC de l'égalité (de nouveau le mantra de l'égalité et de l’anti-discrimination) qui comprend :
- L'éducation sexuelle généralisée pour tous les élèves dès l'âge de six ans.
- Le visionnage du film Tomboy, où des enfants âgés de six à huit ans sont invités à s’identifier avec une fille qui
prétend être un garçon.
- L'utilisation de livres « non sexistes » comme Papa porte une robe.
Pendant ce temps, d'autres programmes sont mis en place visant à l’atténuation de la notion de genre :
- Un dessin animé pas si subtil que cela, dépeignant deux poissons mâles (Félix et Léon) qui s’aiment. La bande
dessinée est visionnée par des écoliers de dix ans.
- Des crèches « neutres », où on propose aux garçons de jouer avec des poupées et aux filles avec des petites voitures.
Crèche neutre : un garçon jouant avec une poupée.
Les étudiants français qui sont plus âgés n'ont cependant pas à s'inquiéter, les responsables de l'application de la
théorie du genre ne les ont pas oubliés. Le 16 mai 2014 a été déclarée journée de la jupe, durant laquelle les collégiens
et lycéens entre dix et dix-sept ans ont été encouragés à porter des robes ou des jupes comme preuve de leur ouverture
d'esprit.
Nantes, France. Les élèves du secondaire qui participent à la « journée de la jupe »
11
En Ontario, au Canada, le propriétaire d'un sex-shop a été invité à expliquer et à encourager l'utilisation de
godemichés à des écoliers.
En Angleterre, les cours d'éducation sexuelle commencent dès l'âge de cinq ans. Les parents ne sont pas officiellement
informés du contenu des « cours », ils ont éventuellement fini par apprendre de leurs enfants que les leçons incluent
des sujets tels que la « sodomie » et la « fellation ».
Non seulement la théorie du genre est appliquée au niveau national (la liste ci-dessus ne répertorie que quelques
exemples), mais c'est aussi le thème central d'un rapport intitulé Standards pour l'éducation sexuelle en Europe, publié
en 2010 par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Dans ce rapport, nous trouvons des recommandations explicites sur la façon dont nos enfants doivent être endoctrinés.
Voici quelques exemples intéressants :
- Avant quatre ans, nos enfants doivent apprendre la masturbation. L'enfant doit exprimer ses « besoins et désirs » en
termes de sexualité. Il est conseillé de le faire « jouer au docteur ».
- Quand ils ont quatre ans, les enfants sont encouragés à « explorer les différentes identités sexuelles », et surtout
« l'amitié et l'amour envers les personnes du même sexe ».
- À l'âge de six ans, l'enfant doit maîtriser les « différentes standards de la sexualité », il doit aussi apprendre
« l'éjaculation et la menstruation » et « les méthodes de contraception ».
Dans la même ligne, l'Organisation des Nations Unies a organisé une conférence intitulée Le genre à l’école : une
question essentielle de l'éducation.
Dans la même veine que le mouvement des droits des homosexuels, le véritable objectif de la théorie du genre
imposée à la société n'a rien à voir avec la liberté ou l'égalité. En réalité, la théorie du genre vise à normaliser et même
imposer à nos esprits et à nos sociétés, la pratique fondamentalement déviante et destructrice qu’est la pédophilie.
En effet, sous le couvert de liberté sexuelle, la théorie du genre propage la croyance délirante selon laquelle les jeunes
enfants devraient effectivement avoir une sexualité d’adulte et que leur orientation sexuelle est purement une question
de choix personnel. Réunissez ces deux postulats et le résultat est que les jeunes enfants ayant une relation sexuelle
avec un adulte est une chose parfaitement normale.
Mais ce n'est pas le cas, comme de nombreuses études le démontrent. Par exemple, les cerveaux des pédophiles
présentent une réaction anormale d’attirance lorsqu’ils regardent des visages d’enfants :
Dans le règne animal, il y a un certain nombre de mécanismes visant à empêcher les adultes de tenter
d’avoir des rapports sexuels avec les jeunes. Par exemple, « les phéromones émises par les enfants souris
inhibent le comportement sexuel des souris mâles adultes », a déclaré le principal auteur de l'étude Jorge
Ponseti, un psychiatre/psychothérapeute, chercheur en sexologie à l’Université Christian Albrecht de Kiel
en Allemagne. « Si les scientifiques inhibaient ces phéromones chez les petits de la souris, les souris
mâles commenceraient à s'accoupler avec ces bébés ».
Découvrir pourquoi la pédophilie se manifeste chez l’être humain demeure incertain. Les pédophiles peuvent
avoir connu des problèmes de développement cérébral à un très jeune âge. Par exemple, « il y a chez les
pédophiles un plus grand nombre de blessures à la tête avant l’âge de douze ans », a déclaré Ponseti. (Journal
Biology Letters, 21 mai 2014)
De façon évidente, et à la différence des homosexuels qui sont nés ainsi pour diverses raisons, et représentent une
petite - mais normale - partie de la courbe de distribution de la sexualité humaine, les pédophiles eux, sont anormaux anormaux même dans le règne animal.
Les femmes deviennent des caricatures des hommes et vice versa
Outre la normalisation de la pédophilie, la théorie du genre renforce un processus entamé il y a des décennies avec un
brouillage progressif de la notion même de sexe, où les femmes sont masculinisées au nom de la non-discrimination et
de l'égalité des sexes, tandis que les hommes sont féminisées par des campagnes anti-macho, une promotion du
modèle gay et une incitation à la « libération » de la part féminine de l'homme. Chez les hétérosexuels, ce processus
semble être une adaptation de la façon dont certaines lesbiennes imitent de façon caricaturale les pires traits de la
masculinité (brutalité, vulgarité), tandis que certains gays présentent une caricature des pires traits de la féminité
(hystérie, superficialité). Les traits masculins les plus positifs et fondamentaux comme le courage ou l'honneur et les
traits féminins les plus positifs et fondamentaux comme la créativité ou l’intelligence émotionnelle, ont peu voire pas
de place dans ces caricatures.
La théorie du genre a fait progresser une tendance lancée il y a quelques années par l'industrie de la mode et des
médias qui, malheureusement, établit les normes de beauté et d’idéaux dans nombre d'esprits. Les défenseurs de la
théorie du genre ont joué un rôle majeur dans sa popularisation, pour progressivement nous faire accepter l’être
l'androgyne, une créature qui n'est pas un homme, mais pas une femme non plus. En fin de compte, l'être androgyne
est une personne dépourvue de l'un des principaux déterminants de son identité personnelle et sociale : son propre
genre, qui est directement offert par la Nature.
Aujourd'hui, la tendance androgyne a pleinement saisi la scène sociale et juridique et n'est plus seulement le fantasme
de certains créateurs de mode ou de théoriciens du genre zélés.
Prenons le cas du transsexuel australien Bruce Watson. Le 3 Avril 1989, Watson a subi une chirurgie mâle-femelle,
mais a découvert plus tard qu’être une femme n'était pas satisfaisant.
13
À gauche, Casey Legler, un modèle féminin français. À droite, le modèle masculin suisse Roc Montandon
Puis, Watson a saisi les autorités compétentes pour accéder à un statut dérogatoire : ni homme ni femme, statut qu'il a
obtenu après une décision historique de l’État civil de la Nouvelle-Galles du Sud (Australie), le 2 avril 2010.
Bien que cette décision ait été annulée le 17 mars 2010, la Cour d'appel de Nouvelle-Galles du Sud qui est la
juridiction civile suprême de l'État australien, a officiellement confirmé le 3 mai 2014, après quatre années de bataille
juridique, que Bruce Watson n’avait effectivement pas de genre.
Non seulement la théorie du genre a triomphé au sein du système juridique, mais elle a aussi une influence sociale
massive. Par exemple, Facebook, le géant des médias sociaux, propose une liste d'environ cinquante termes différents
que les utilisateurs peuvent utiliser pour identifier leur genre.
Jetez un œil à la liste et je suis sûr que vous serez étonné de voir quelques-uns des termes suggérés. Vous pouvez
même créer un nouveau genre rien que pour vous. Encore une fois tout cela est mené au nom de la liberté.
L’amour, le mariage, la famille et la vie
Avec le mouvement des droits des homosexuels et l’application dans notre monde de la théorie du genre, les dernières
décennies ont été marquées par un affaiblissement constant de l'amour, du mariage, de la famille et même de la vie
elle-même. Quand on y pense, ces thèmes intimement liés forment le cycle fondamental de l'existence humaine : vous
tombez amoureux, vous vous mariez à l'être aimé, vous avez des bébés et vous fondez une famille.
L’amour
Idéalement, faire l'amour est un acte fondamental de partage et de création de liens affectifs unissant un homme et une
femme au niveau physique, mais aussi émotionnels voire spirituels. Cette conception de l'amour était l'un des (rares)
héritages bénéfiques du judéo-christianisme et se trouve illustrée dans les passages de l'Ancien du Nouveau Testament
:
C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une
seule chair. (Genèse 2:24)
C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et les deux deviendront
une seule chair. Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. (Marc 10:7,8)
Ne savez-vous pas que celui qui s'attache à la prostituée est un seul corps avec elle ? Car, est-il dit, les
deux deviendront une seule chair. (1 Corinthiens 06:16)
Avant que vous ne décidiez que Sott.net s’est converti au judéo-christianisme le plus orthodoxe, n'oubliez pas que la
Bible n'a pas été créée ex-nihilo. Une bonne partie de son contenu est, très probablement, issu des peuples nomades
des steppes via les Grecs puis les Romains (voir, entre autres, les ouvrages The Horse, the Wheel and Language [Le
cheval, la roue et le langage, ouvrage non traduit en français – NdT] de David W. Anthony, La cité antique de Fustel
de Coulanges, et Does the New Testament Imitate Homer? de Dennis. McDonald).
Contrairement à notre civilisation moderne, les populations des steppes (et dans une moindre mesure les Grecs et les
Romains) avaient une très bonne compréhension de la « connexion anthropocosmique » (dont nous allons parler dans
un instant).
L'ancien principe selon lequel « faire l'amour » représente l'union entre un homme et une femme qui va au-delà du
simple plan physique, a été progressivement transformé en « avoir des rapports sexuels », un acte banalisé
uniquement fondé sur le plaisir physique, la satisfaction personnelle et généralement dépourvue de tout amour.
Cette transformation a été déclenchée par l'hyper-sexualisation de notre société, qui a pris plusieurs formes :
- Le scandaleux développement de la pornographie et de sa diffusion. Il y a quelques décennies, la pornographie était
presque inconnue dans la société ordinaire (bien que les « élites » aient depuis longtemps participé à la perversion et
au détournement sexuels). En 2006, l'industrie de la pornographie a généré treize milliards de dollars de revenus. Son
contenu a également évolué, devenant de plus en plus extrême. Aujourd'hui, quatre-vingt-huit pour cent des scènes de
films pornographiques contient des actes d'agression physique et quarante-neuf pour cent des scènes contiennent des
agressions verbales. Parallèlement à cela, est apparue l'acceptation croissante de diverses formes « radicales » de
sexualité comme le sado-masochisme.
- La sexualisation du contenu des médias (maquillage et tenues vestimentaires, clips vidéo, série TV, publicité).
- Le développement de toutes les formes de sexe extra-conjugal : prostitution, « échangisme », rencontre sur Internet
(trente-trois pour cent des personnes ont des rapports sexuels au cours du premier rendez-vous), des relations sexuelles
d’un soir ou occasionnelles...
- La sexualisation de la jeunesse, à travers les vêtements (y compris des strings à la taille des enfants avec des phrases
suggestives inscrites dessus), les jouets (comme la Barbie lingerie), la promotion et la médiatisation de vedettes de
plus en plus jeunes, etc.
La Barbie lingerie est surtout vendue aux fillettes âgées de huit à douze ans
La combinaison de ces facteurs a conduit à un point où la dépendance sexuelle a atteint des proportions épidémiques,
touchant plus de douze millions d’Étasuniens.
Dans certains milieux, un renversement des valeurs a déjà eu lieu. Par exemple, dans certains cercles huppés français,
fréquenter les établissements « échangistes » est désormais considéré comme une marque de distinction.
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Le mariage
Les Noces de l'Agneau et Son Épouse - Vitrail par Stephan Adam, 1906
Depuis l'aube de la civilisation, le mariage, union sacrée et vénérée s’il en est, était l'essence même de la tradition
familiale. Ses vœux solennels étaient un engagement fort de fidélité et de soutien mutuel et durable entre l'homme et la
femme.
Mais avec l'affaiblissement de la spiritualité et de la religion, le mariage a été progressivement détruit sur le plan
juridique et social avec la légalisation du divorce, l'acceptation du remariage, la création d'alternatives aux mariages
comme le « pacte civil de solidarité », le développement des mariages de même sexe, et également l'union libre.
Je tiens à faire remarquer ici que les femmes ont des droits, y compris celui de quitter un mariage malheureux ou
abusif, ce qui est une bonne chose. Ce que je vois à la racine du problème du divorce, c’est que les enfants apprennent
que l'attirance sexuelle est le principal élément motivant le mariage, et sont imprégnés de toutes sortes d'illusions sur
ce que le mariage est vraiment - ou devrait être. Tout ceci (et plus) mène inévitablement à faire de mauvais choix de
partenaires de vie et conduit ainsi à plus de divorces et de familles brisées.
Du reste, dans plusieurs pays européens, bien que la polygamie soit techniquement illégale, il n'y a pas de lois contre
une personne vivant avec plus d'un partenaire/conjoint.
Aujourd'hui, le divorce est devenu si normal, que l'enfant dont les deux parents sont toujours mariés pourrait être la
cause de certaines perplexités parmi ses pairs. « Tes parents ne sont pas divorcés ? Comme c'est étrange ». Dans la
même veine et dans certains milieux, avoir une maîtresse est non seulement accepté, mais est également considéré
comme la preuve d’un certain statut social.
En effet, de nos jours, le rapport divorce/mariage dépasse cinquante pour cent dans de nombreux pays dits développés.
Cela signifie que, pour une année donnée, plus de divorces sont prononcés que de mariages sont établis.
Il y a quelque chose d’inquiétant dans cette description, qui montre à quel point notre société est mal guidée et
schizophrène.
La famille
Les membres d'une famille de fermiers - Row River Valley, États-Unis, début du vingtième siècle.
Pendant des siècles, la tradition pour chaque personne était de passer toute, ou la plupart de son existence dans la
maison de famille avec les enfants, les parents, les grands-parents et, dans certains cas, avec la famille élargie : les
beaux-parents, les oncles, les tantes, les cousins, les cousines, etc.
Les entreprises familiales comme les exploitations agricoles ou les échoppes d’artisans constituaient un maillon
essentiel du tissu économique.
Mais la révolution industrielle a donné naissance à des entreprises géantes qui ont détruit les petites affaires familiales,
créé des emplois salariés individuels et ont concentré l'activité économique dans les zones urbaines et/ou industrielles.
Les familles traditionnelles, qui étaient pour la plupart situées dans les zones rurales, ont dû se diviser. Au cours de ce
processus, les familles de type tribu, le cœur même de la vie communautaire pour une grande partie de l'évolution
humaine, le noyau de base de toute civilisation, ont été détruites.
Chaque membre de la famille a été contraint de suivre son propre chemin. Aujourd'hui, la grand-mère est placée dans
une maison de retraite, le père divorcé travaille dans une ville, la mère divorcée vit dans une autre ville, l'enfant
travaille à l'étranger, et les autres membres de la famille ne se rencontrent que lors de funérailles. Les êtres humains
ont été séparés de leur noyau familial, leur tribu, et contraints à vivre une vie isolée.
Par le passé, lorsqu’il vivait en famille, l’individu était en contact avec ses racines, il était exposé à des valeurs et des
principes moraux, il avait une vie sociale active, il recevait des anciens l'enseignement sur les traditions et les
compétences locales, et sur l'histoire orale. Il apprenait tous les jours le partage, la compassion et l’entraide mais aussi
le courage et l’autorité. Il vivait avec son conjoint dans sa famille, sur laquelle il pouvait compter pour un soutien
matériel, émotionnel, financier, y compris les soins de l'enfant. La cellule familiale était la source même de l'identité
individuelle, où chacun pouvait définir qui il était, et établir sa notion même du bien et du mal.
La solitude de la vie urbaine moderne a annulé tout ce qui précède, donnant lieu à une multitude d'individus solitaires,
dépressifs et vulnérables. L’une des conséquences est que les taux de suicides ont augmenté de soixante pour cent au
cours des quarante-cinq dernières années. Devons-nous être surpris ?
La vie
La valeur même de la vie n'a cessé d’être détruite par notre « civilisation moderne ». D’abord la contraception a été
diffusée, puis l'avortement légalisé, et la pilule du lendemain est devenu disponible. Bien sûr, l'avortement peut être
une bonne chose dans des cas traumatiques comme les viols ou en cas de mauvaise santé, ou de pauvreté. Mais il a été
poussé à l'extrême, les femmes se dégageant au-delà du raisonnable de leurs responsabilités et du respect de ce qui est
le plus précieux : la vie elle-même. Le choix ne devrait pas être entre avorter ou porter un enfant à terme, mais entre le
fait de tomber enceinte ou pas. La contraception et l'éducation devraient être accessible à toutes les femmes.
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La fécondation in vitro
Les adultes ont été progressivement dépouillés de leurs responsabilités envers la vie, qui est devenue simultanément
l'objet de profits et de spéculations avec la légalisation des mères porteuses (location d'un utérus), les banques de
sperme (achat de gamètes mâles), les fécondations in vivo et in vitro (achat d'ovules et de fœtus), les adoptions
mentionnées plus haut dans l’article (achat d’enfants), les sélections de gènes (achat d'un meilleur profil génétique),
ainsi que les sites Web internationaux de « rencontres » (achat d'une femme) et les opérations chirurgicales de
changement de sexe (l'achat d'un nouveau genre).
Maintenant que nous avons vu que les fondements de la société humaine qui nous ont permis d'évoluer et de survivre
ont été détruits, et que nous avons observé la façon dont cette destruction a été mise en œuvre, une question demeure :
pourquoi ? Il existe plusieurs réponses. Du point de vue de l’« élite » psychopathique, cela a permis :
- La normalisation d'un de leurs passe-temps favoris : la pédophilie, par la sexualisation des enfants et la légalisation
de l'adoption par des couples homosexuels. Qui sait combien de temps il leur faudra avant que leurs activités les plus
agréables deviennent la norme et que tout anti-pédophile soit traité de « réac’ »?
- La concrétisation de l'idéologie néo-conservatrice où tout doit être source de profit et de cupidité, qui a mené à la
marchandisation de la dernière partie sacrée de l'humanité : les enfants, la grossesse, les fœtus, etc.
- L'isolement moral et social des individus (destruction de la famille) les transformant en esclaves complaisants et en
proies plus vulnérables. C’est une règle de base de la prédation: une proie isolée est plus facile à attraper.
Toutefois, cela pourrait ne pas être le tableau d'ensemble. À un niveau plus fondamental, l'ordre du jour pourrait être
encore plus néfaste. C'est là que la « connexion anthropocosmique » entre en scène, et vous verrez qu’à partir de là,
les choses deviennent vraiment bizarres.
Sectionner la connexion anthropocosmique
Un certain nombre d'expériences de psychokinésie ont fourni un ensemble de preuves montrant que les êtres humains
ont une influence sur les événements non seulement microscopique (physique quantique, rôle de l’observateur) mais
aussi macroscopiques. Cependant, cette influence ne correspond pas nécessairement à l'intention des sujets, de
nombreux autres facteurs sont impliqués, y compris l’inconscient, les peurs du sujet, l'état émotionnel, les croyances,
etc.
Je ne vais pas particulièrement développer ce point ici parce que, comme mentionné précédemment, mon livre Earth
Changes and the Human-Cosmic Connection, et en particulier les quatrième et dernière partie (la connexion
anthropocosmique) est entièrement dédié à ce sujet : comment les individus influencent le monde extérieur, y compris
à l’échelle macroscopique.
Ce phénomène - la capacité humaine à influencer les événements macrocosmiques – peut être un modulateur
important de notre environnement et ce pourrait être la raison pour laquelle nos élites ridiculisent systématiquement ce
qui est appelé avec condescendance « parapsychologie ».
Robert Jahn et Brenda Dunne, chefs de projet PEAR à l'Université de Princeton
Quoiqu’il en soit, parmi les expériences de psychokinèse, celle menée par le Dr Robert Jahn, doyen de l'École
d'ingénierie et de sciences appliquées à Princeton, et Brenda Dunne, une psychologue du développement à l'Université
de Chicago, est une des plus exhaustives et rigoureuses.
C'est une des très rares études « parapsychologiques » qui ait été reconnue par une organisation scientifique de
premier plan, le US National Research Council, qui a conclu que l'expérience était scientifiquement solide et que ses
résultats ne pouvaient pas être expliqués par le hasard.
Sur une période de douze années, Jahn et Dunne ont enregistré près de deux millions cinq cent mille essais au cours
desquels les participants, assis en face d'un « générateur d’événements aléatoires » (REG) soigneusement configuré,
devaient d'abord tenter d’« influencer » la machine à produire plus de « 1 » que de « 0 », et puis l'inverse, en essayant
de ne pas influencer la machine du tout.
Jahn et Dunne ont trouvé un écart cumulé qui était statistiquement très significatif, parce que les résultats ont été
compilés à partir de millions d'essais, avec des dizaines d'expériences en corrélation. La probabilité que ces résultats
aient été produits par hasard est de un sur un milliard.
L'expérience de Jahn et Dunne. Résultats cumulés. La courbe supérieure affiche le décalage pour les intentions « 1 ».
La courbe inférieure affiche le décalage pour les intentions « 0 ».
Non seulement Jahn et Dunne étudient la façon dont les individus influencent des événements « aléatoires », mais ils
ont également étudié l'influence exercée par des paires de sujets, et c'est là que les choses deviennent vraiment
intéressantes.
19
Le laboratoire PEAR a publié une série d'études utilisant des paires de personnes, dans lesquelles chaque paire devait
agir de concert lors de la tentative d'influencer les machines. Des deux cent cinquante-six mille cinq cents essais,
produits par quinze paires de quarante-deux séries expérimentales, de nombreuses paires ont également produit des
résultats qui ne ressemblaient pas forcément à l’effet produit par les opérateurs individuels.
Les couples de sexe opposé, qui tous se connaissaient, ont eu un puissant effet complémentaire, produisant plus de
trois fois et demi l'effet d’un individu. Cependant, les paires profondément liées, ces couples [hétérosexuels] unis dans
une relation, ont eu l'effet le plus profond, qui était près de six fois plus important que celui des opérateurs
individuels.
En revanche, les couples de même sexe ont tendance à avoir un effet négatif. Ces types de couples ont eu un résultat
en deçà de ce qu’ils avaient réalisé individuellement ; pour huit paires d'opérateurs, les résultats étaient même
opposés à leur intention.
Les couples hétérosexuels unis - le genre de couple qui a, de loin, la plus forte influence - présentent trois spécificités
fondamentales :
- L'hétérosexualité, c'est à dire la complémentarité entre l'homme et la femme. Pour que cette complémentarité se
concrétise pleinement, l'homme doit être homme (tempérance, courage, raisonnement intellectuel, etc.), tandis que la
femme doit être femme (créativité, l'intelligence émotionnelle, empathie, etc.). De fait, transformer des femmes ou des
hommes en androgynes rompt cette complémentarité même, en produisant des hommes féminisés et des femmes
viriles.
- La liaison à travers l'acte autrefois sacré de l'amour qui unissait un homme et une femme au niveau physique,
émotionnel et spirituel. Le remplacement progressif de « faire l'amour » par « avoir des relations sexuelles » a de facto
réduit ce potentiel d’union.
- Le partage durable, la confiance et l'engagement scellé par les vœux du mariage ont été détruits par la
démocratisation du divorce, de l’union libre et des pactes civils.
Alors que les couples hétérosexuels unis - le genre de paires qui ont la plus forte influence sur la réalité qui nous
entoure – étaient systématiquement inhibés au point de détruire pratiquement toutes leurs capacités, la normalisation
de l'homosexualité - y compris la fausse homosexualité de masse - a donné lieu à un nombre croissant de couples
homosexuels dont l'influence, comme démontré par Jahn et Dunne, est non seulement plus faible que celle exercée par
des individus seuls, mais peut produire dans certains cas des effets opposés à ce qui est souhaité.
Est-ce une coïncidence de voir que les dévolutions apparemment sans rapport décrites ci-dessus (promotion de
l'homosexualité et de l’« androgynisation », destruction de l'amour et du mariage) tendent tous à affaiblir le « lien
anthropocosmique » ? Si quelqu'un voulait minimiser l'influence cosmique exercée par notre civilisation, une bonne
façon de s'y prendre serait de prendre toutes mesures énumérées ci-dessus.
Gardez à l'esprit que, bien sûr, le mariage, la famille, l'hétérosexualité, la virilité et la féminité ne garantissent pas le
bonheur parfait à tous. Il y a tant de couples hétérosexuels dysfonctionnels avec des enfants. Cependant, si nous avons
atteint un point de la courbe de dévolution où nous avons à choisir entre deux maux, il serait judicieux de choisir le
moindre d'entre eux. De ce point de vue, la famille et la vie traditionnelle sont probablement « moins pire » que la vie
« moderne » que les « élites » nous ont imposé.
Pendant la rédaction du dernier chapitre de cet article, j'ai finalement décidé de parler de Conchita Wurst à ma grandmère. Lors de ma dernière visite, je lui ai fait une description hésitante du gagnant de l'Eurovision : « Eh bien, laissemoi réfléchir, c'est un homme qui est passé par la chirurgie et a obtenu quelques caractéristiques féminines, heu...,
mais ce n'est pas vraiment une femme, heu…, il a aussi changé de nom, il s'habille comme une femme et se maquille,
mais il porte aussi une barbe ».
Un long silence suivit la description. Je suppose que ma grand-mère essayait de créer une image mentale de cette
personne hors du commun. Après une ou deux minutes ma grand-mère a juste dit : « Il ne manque pas d'air ! »
Tandis que les médias de masse louaient Conchita Wurst pour son courage, sa bravoure et son talent, tout ce que
pouvait en conclure ma grand-mère, c’est qu’il s’agissait d’une provocation de mauvais goût.
Comme le dit le vieil adage : « La vérité sort de la bouche des enfants ». Ce proverbe pourrait également s'appliquer à
nos anciens, surtout en période de dévolution, quand, génération après génération, le bon sens, les repères moraux et la
pensée critique sont systématiquement dévoyés.
John Martin. La destruction de Sodome et Gomorrhe. Un exemple possible de la connexion entre les «péchés»
humains et une réaction cosmique. C’est bien plus tard que la propagande homophobe a dépeint l’événement biblique
comme la colère de Dieu déclenchée par l'homosexualité.
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